"Ça roule pas !" La gestion de crise est désormais notre menu quotidien. Nous sommes fatigués de répéter que les organisations font face à de multiples risques dans un contexte d’incertitude permanente avec des instabilités géopolitiques, économiques et climatiques. Informations confidentielles, compétences rares, possessions matérielles et immatérielles ainsi que réseaux logistiques ou sociaux peuvent tous être visés. Nous reviendrons la semaine prochaine sur les enseignements du "Mondial de l'Automobile". Alors accordons toute l’importance qu’ils méritent aux articles de Thierry FUSALBA « Ne nous racontons pas d’histoires, bâtissons-la ! Le rôle du narratif dans l’influence. » et de Johnny M. « McDonald’s. Gestion de crise : de l'infiniment grand à l'infiniment petit ». Chaque détail compte. Rien n’est jamais acquis. Et la réglementation pour la décarbonation doit être mise en place avec précision et cohérence afin de ne pas pénaliser nos industries déjà fragilisées. Pablo SANTAMARIA et Philippe Lévêque nous ouvrent des fenêtres. Merci pour le partage. Eric Seulliet Christophe Pouilly Thierry FUSALBA Alice Bisson Inès Ramozzi Johnny M. Pablo SANTAMARIA Philippe Lévêque David COMMARMOND Natalie Maroun, PhD CHRISTOPHE ASSENS Anna Elviro Jérôme Bondu François JEANNE-BEYLOT Patrick CUENOT Thomas Delage François BERT Patrice SCHOCH David Cousquer Jean-Marie Carrara Cell'IE Arnaud de Morgny Augustin de Colnet #discernement #décision #intelligence artificielle #intelligence économique #diplomatie culturelle #stratégie #alliances #géopolitique #intelligence collective #cyberdéfense #résilience #cohérence #responsabilité #crise #communications #RSE #réglementation #Europe
Post de Jacqueline Sala
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Simple, clair et ... fondamental !
Je pose ça là, un samedi matin. Nous autres acteurs économiques savons que n’importe quelle solution de transformation, pour être efficace et durable, doit reposer sur un diagnostic implacable, souvent douloureux, toujours transparent, jamais complaisant. Dans l’entreprise comme la cité, l’époque n’est plus au diagnostic. À quoi bon, a) nous n’en avons pas le temps, d’analyser ni de penser, dans ce monde accéléré où nous sommes devenus des hamsters doppés à la frénésie du rien, b) nous n’en avons pas besoin car « nous savons déjà », arrogants ou fous que nous sommes, submergés par une complexité que nous ne parvenons même plus à nous représenter c) pire : nous ne prendrons pas ce risque, car un pansement sur une jambe de bois est préférable à la levée de voile sur une réalité que nous ne saurions appréhender, tant le courage et la responsabilité manquent à l’appel. Alors merci Pascal Perri. Merci de rappeler - dans cette cacophonie d’invectives, de « c’est pas ma faute à moi », de bassesses et de paresse intellectuelle - 2 évidences : * Sans diagnostic objectif, collectif, avec mise en lumière des paradoxes, des tabous, des impensés, il ne saurait y avoir de revisite du modèle France. * Sans assumer d’abord que la France c’est aussi et surtout les francais, c’est à dire chacun d’entre nous, il ne saurait être question de responsabilité unique d’un Autre, des Autres. Michel Barnier Nicolas Bouzou Philippe Dessertine - Conférencier et économiste Emmanuelle Barbara David Djaïz Sebastien Musset laurent alexandre Thomas Georgeon …
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Je pose ça là, un samedi matin. Nous autres acteurs économiques savons que n’importe quelle solution de transformation, pour être efficace et durable, doit reposer sur un diagnostic implacable, souvent douloureux, toujours transparent, jamais complaisant. Dans l’entreprise comme la cité, l’époque n’est plus au diagnostic. À quoi bon, a) nous n’en avons pas le temps, d’analyser ni de penser, dans ce monde accéléré où nous sommes devenus des hamsters doppés à la frénésie du rien, b) nous n’en avons pas besoin car « nous savons déjà », arrogants ou fous que nous sommes, submergés par une complexité que nous ne parvenons même plus à nous représenter c) pire : nous ne prendrons pas ce risque, car un pansement sur une jambe de bois est préférable à la levée de voile sur une réalité que nous ne saurions appréhender, tant le courage et la responsabilité manquent à l’appel. Alors merci Pascal Perri. Merci de rappeler - dans cette cacophonie d’invectives, de « c’est pas ma faute à moi », de bassesses et de paresse intellectuelle - 2 évidences : * Sans diagnostic objectif, collectif, avec mise en lumière des paradoxes, des tabous, des impensés, il ne saurait y avoir de revisite du modèle France. * Sans assumer d’abord que la France c’est aussi et surtout les francais, c’est à dire chacun d’entre nous, il ne saurait être question de responsabilité unique d’un Autre, des Autres. Michel Barnier Nicolas Bouzou Philippe Dessertine - Conférencier et économiste Emmanuelle Barbara David Djaïz Sebastien Musset laurent alexandre Thomas Georgeon …
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Dans un environnement VICA, il est important d'abandonner la logique de causalité par une logique d'effectuation : - Faire avec ce que l'on a (frugalité) - Définir ses pertes acceptables (vs un ROI attendu) - Rechercher la motivation (plutôt que l'expertise à tout prix) - Transformer les surprises et les contraintes en opportunités (plutôt que de les éviter) - Oublier les chimères puisque le futur est incertain, et se concentrer sur ce qu'on contrôle, les indicateurs que l'on pilote directement, et non les KPI de niveau 2 qui en sont les conséquences. Merci Michel Benaut pour l'éclairage. Actacea Delphine Clave
Dans un environnement 𝐕olatil, 𝐈ncertain, 𝐂omplexe et 𝐀mbigu, ce ne sont pas les plus forts qui survivent, mais ceux qui savent s'adapter. Et vous, quelle est votre approche? 🦠Nos sociétés ont vécu l’épisode 𝐂𝐎𝐕𝐈𝐃 comme une parenthèse désagréable qu’on devait vite oublier. L’être humain devait montrer sa capacité à se mettre à l’abris d’une pandémie grâce à des vaccins élaborés en un temps record. 🌈A l’issue des deux confinements, 𝐥𝐞 𝐦𝐨𝐧𝐝𝐞 𝐝𝐞𝐯𝐚𝐢𝐭 𝐫𝐞𝐩𝐚𝐫𝐭𝐢𝐫 𝐜𝐨𝐦𝐦𝐞 𝐚𝐯𝐚𝐧𝐭. La supply chain mondiale devait redémarrer, retrouver son efficacité et éviter tout risque de ruptures de stock. Cela a-t-il été le cas? ❌𝐍𝐨𝐧! Certains secteurs sont toujours marqués par des arrêts brutaux et longs (voire définitifs) d'approvisionnement. 💥𝐋𝐞𝐬 𝐜𝐫𝐢𝐬𝐞𝐬 s'installent et 𝐬𝐨𝐧𝐭 𝐫𝐞́𝐯𝐞́𝐥𝐚𝐭𝐫𝐢𝐜𝐞𝐬 𝐝'𝐮𝐧 𝐜𝐡𝐚𝐧𝐠𝐞𝐦𝐞𝐧𝐭 𝐬𝐭𝐫𝐮𝐜𝐭𝐮𝐫𝐞𝐥 𝐝𝐮 𝐜𝐨𝐧𝐭𝐞𝐱𝐭𝐞 dans lequel nous vivons. ➡️Le 𝐝𝐞́𝐫𝐞̀𝐠𝐥𝐞𝐦𝐞𝐧𝐭 𝐜𝐥𝐢𝐦𝐚𝐭𝐢𝐪𝐮𝐞 entraîne des perturbations environnementales, économiques et sociales. Il réduit la production de ressources alimentaires et le réchauffement du permafrost devrait libérer des agents pathogènes auxquels nous n’avons pas été exposés depuis des millénaires. ➡️L'𝐞́𝐩𝐮𝐢𝐬𝐞𝐦𝐞𝐧𝐭 𝐝𝐞𝐬 𝐫𝐞𝐬𝐬𝐨𝐮𝐫𝐜𝐞𝐬 va accentuer les tensions géopolitiques et économiques. Les ruptures de stock devraient se multiplier et le coût de la complexité augmenter. Les entreprises vont devoir simplifier leurs offres de produits et raccourcir leurs chaines logistiques. ➡️L’𝐚𝐜𝐜𝐞́𝐥𝐞́𝐫𝐚𝐭𝐢𝐨𝐧 𝐝𝐮 𝐫𝐲𝐭𝐡𝐦𝐞 𝐝’𝐢𝐧𝐧𝐨𝐯𝐚𝐭𝐢𝐨𝐧, en particulier les innovations de rupture, ne permet plus de penser son plan de développement en extrapolant le passé. ✴️Ces trois phénomènes interconnectés forcent les entreprises, les gouvernements et les individus à 𝐫𝐞𝐩𝐞𝐧𝐬𝐞𝐫 𝐥𝐞𝐮𝐫𝐬 𝐦𝐨𝐝𝐞̀𝐥𝐞𝐬 𝐝𝐞 𝐟𝐨𝐧𝐜𝐭𝐢𝐨𝐧𝐧𝐞𝐦𝐞𝐧𝐭 et à s’adapter rapidement. ⚡Nous ne savons 𝐩𝐫𝐞́𝐝𝐢𝐫𝐞 𝐧𝐢 𝐥’𝐚𝐦𝐩𝐥𝐞𝐮𝐫 𝐧𝐢 𝐥𝐞𝐬 𝐝𝐚𝐭𝐞𝐬 𝐝𝐞𝐬 𝐟𝐮𝐭𝐮𝐫𝐞𝐬 𝐜𝐫𝐢𝐬𝐞𝐬. 💡𝐌𝐚𝐢𝐬 𝐨𝐧 𝐩𝐞𝐮𝐭 𝐞𝐧 𝐚𝐧𝐭𝐢𝐜𝐢𝐩𝐞𝐫 𝐥𝐚 𝐧𝐚𝐭𝐮𝐫𝐞. Comment s’y prendre pour sa PME? 👉En se 𝐠𝐚𝐫𝐝𝐚𝐧𝐭 𝐝𝐞𝐬 𝐨𝐩𝐭𝐢𝐨𝐧𝐬 𝐩𝐨𝐮𝐫 𝐬’𝐚𝐝𝐚𝐩𝐭𝐞𝐫 𝐚𝐮 𝐜𝐡𝐚𝐧𝐠𝐞𝐦𝐞𝐧𝐭 𝐝𝐞 𝐜𝐨𝐧𝐭𝐞𝐱𝐭𝐞. Dans cette optique la PME peut compter sur son 𝐚𝐠𝐢𝐥𝐢𝐭𝐞́, un 𝐩𝐫𝐞́𝐜𝐢𝐞𝐮𝐱 𝐚𝐭𝐨𝐮𝐭 𝐩𝐨𝐮𝐫 𝐫𝐞́𝐮𝐬𝐬𝐢𝐫. Je détaillerai ces propos dans mon prochain post. ❗Le sujet vous intéresse et vous avez 𝐝𝐞𝐬 𝐫𝐞𝐦𝐚𝐫𝐪𝐮𝐞𝐬 𝐨𝐮 𝐝𝐞𝐬 𝐪𝐮𝐞𝐬𝐭𝐢𝐨𝐧𝐬? N'hésitez pas à les partager dans les commentaires. Et si vous souhaitez en savoir plus sur l'analyse stratégique en #PME, n'hésitez pas à vous inscrire au prochain 𝐰𝐞𝐛𝐢𝐧𝐚𝐢𝐫𝐞 𝐀𝐜𝐭𝐚𝐜𝐞𝐚 sur la stratégie d’entreprise en PME patrimoniale que j’animerai le 12 novembre 2024 à 12h. Je mets le lien est en commentaire. #stratégie #management #leadership #transformation #Entrepreneuriat
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Entre guerres et épidémie de Covid-19, les tensions des dernières années ont fragilisé les chaînes de valeur internationalisées et ainsi rendu prégnante la désindustrialisation de la France, pourtant alertée depuis des décennies par nombre d’économistes. Les dirigeants politiques, Emmanuel Macron en chef de file, ont alors annoncé le temps de la Reconquête industrielle. Mais existe-t-il une Politique industrielle cohérente derrière ces annonces ? ✍️ Une #Analyse de l'économiste Vincent Fringuant et du politiste Patience Le Coustumer.
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Le Mouvement des Entreprises de France (MEDEF) doit lancer un « front économique » sans tabous. Ce combat pour l'intelligence économique et la réflexion de fond est indispensable pour affronter les enjeux de demain.
C'est un avertissement qui devrait retentir dans l'hémicycle de l'Assemblée. La colère couve, la désillusion domine, l'effondrement menace. Les marchés dégradent logiquement la France plus vite que les agences de notation. Face à des débats et une politique spectacle qui n'honorent pas le génie français, on se fatigue de voir la bêtise triompher sans combat. Le Mouvement des Entreprises de France a raison d'engager un "front économique" sans tabous : il faut malgré tout combattre l'ineptie ambiante, qui finira par passer, et préparer l'avenir. Engagez-vous dans vos organisations professionnelles : ce sont les fabriques du futur. Les solutions viendront des entreprises et de la société. Les talents y sont immenses, et leur boussole ne varie pas.
Le climat des affaires plonge dans l'industrie
lesechos.fr
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Match : Déesse de la Terre Vs Dieu de la Finance Les crises actuelles font oublier les enjeux majeurs d’un développement raisonné, respectueux de notre planète. Le Dieu finance s’exprimer par la voix de l’ancien président du conseil Italien Mario Draghi. Dans un rapport sur la compétitivité en Europe, il demande de réduire les réglementations sociales et environnementales européennes trop contraignantes pour les entreprises du Vieux Continent ! Sans doute les modèles américains ou chinois répondent-ils mieux aux attentes, mais aux attentes de qui en fait ? Celles des citoyens du Monde, celles des environnements dans lequel nous vivons, mangeons et respirons tous les jours ou alors celles des multinationales et de leurs actionnaires qui n’ont jamais été aussi riches depuis le début de l’ère industrielle ? Faut-il être aveugle et sourd pour ne pas comprendre ce qui va suivre ? 30 COP, 34 ans de rapports du Giec, des milliers d’études scientifiques établis par des experts, des prix Nobel, ne suffisent pas à raison garder ! A force de répéter « on a encore le temps de… » je crains qu’un jour prochain, nous ne devions accepter le fait qu’il est désormais un peu trop tard !
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🌏 #RSE x #SupplyChain ✈️ 📖 Pour comprendre l'enjeu de #resilience des chaînes d'approvisionnement, lisez ce récent article de Dr. Natacha TREHAN dans The Conversation France. 🤯 #CSRD, impacts, #tracabilite, #transformation sont autant de thèmes abordés afin d'y voir plus clair sur le sujet. 💾 Sans oublier que, derrière tout cela, ce sont des #data qu'il faut gérer et pour répondre aux challenges de demain. Exactement le savoir-faire de BoostAeroSpace SAS, cela tombe bien ! 👍 Bonne lecture !
Résilience climatique des entreprises : comment préserver son avantage concurrentiel ?
theconversation.com
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Souffler le chaud et le froid. Depuis 50 ans, les choix politiques et économiques nous ont menés à un monde chaotique, belliqueux, dangereux. Si nous continuons sur cette voie, nous allons « dans le mur ». Pour éviter un tel avenir, il faut changer nos méthodes de pensée et de décision. C’est cette ligne qui a guidé le choix de cette semaine. Mais plus les constats sont lourds, moins les moyens sont à la hauteur. Le Droit n’est pas la seule réponse, la guerre non plus. Il est temps d'adopter une approche innovante, basée sur l'intelligence collective pour faire face aux défis climatiques et géopolitiques. Merci pour le partage. Stéphane Chaudiron Association CELL'IE Achour ANNABI Franck Mathot Pierre Memheld Louis Allavena Julien Duprat Alain Berger Christophe Pouilly Natalie Maroun, PhD CHRISTOPHE ASSENS Eric Seulliet Christian Marcon Mickaël RéaultLudovic JEANNE Julien Poisson Patrice SCHOCH Anna Elviro François BERT Dominique Béhar #créativité #discernement #décision #intelligenceartificielle #intelligenceémotionnelle #Fresques #intelligencecollective #développementdurable #résilience #cohérence #responsabilité
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C'est un avertissement qui devrait retentir dans l'hémicycle de l'Assemblée. La colère couve, la désillusion domine, l'effondrement menace. Les marchés dégradent logiquement la France plus vite que les agences de notation. Face à des débats et une politique spectacle qui n'honorent pas le génie français, on se fatigue de voir la bêtise triompher sans combat. Le Mouvement des Entreprises de France a raison d'engager un "front économique" sans tabous : il faut malgré tout combattre l'ineptie ambiante, qui finira par passer, et préparer l'avenir. Engagez-vous dans vos organisations professionnelles : ce sont les fabriques du futur. Les solutions viendront des entreprises et de la société. Les talents y sont immenses, et leur boussole ne varie pas.
Le climat des affaires plonge dans l'industrie
lesechos.fr
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🚨 2 interventions hyper intéressantes et asymétriques ont marqué le Bonial Day du 5/12 : ➡️ L'inventeur du "bilan carbone" et le grand "commerçant" : -> Jean-Marc Jancovici explique, avec le sens didactique et la rigueur qu'on lui connait, la fin "l'économie de l'abondance" (pénurie énergétique, raréfaction des ressources...) et le "dérèglement climatique", avec leurs implications : 1. Nécessité de "consommer moins et mieux". 2. Obligation d'adapter, au niveau mondial, les modes de coopération, de production et de distribution. -> Thierry Cotillard, président charismatique du Groupement Les Mousquetaires et dirigeant engagé, rappelle les contraintes de tout chef d'entreprise et ses "objectifs de croissance" pour : 1. Garantir la performance auprès des clients et face à la concurrence. 2. Dégager les moyens nécessaires pour rembourser les dettes et poursuivre les investissements. ➡️ Les 2 points de vue, en apparence antagonistes, sont pourtant justes, chacun à leur façon : -> Jean-Marc Jancovici énonce les contraintes auxquelles nous n'aurons pas d'autre choix que de nous adapter, compte-tenu de l'état physique de la planète. -> Thierry Cotillard, quant à lui, expose les préoccupations quotidiennes du dirigeant, à savoir maintenir à flot son entreprise, en préservant et en améliorant sa compétitivité. -> Les 2 points de vue sont fondés et c'est un peu la même problématique que "fin du monde" vs "fin de mois". ➡️ Cette contradiction se résoudra, d'une façon ou d'une autre, selon 3 scenarii aux probabilités variables : 1. Les acteurs du monde entier et de ses différentes sphères (politique, économique, etc.) parviennent à partager un diagnostic juste de la situation du monde et s'engagent de façon concertée et coordonnée dans la transformation nécessaire. -> C'est le scénario idéal et peu probable (cela touche à la fois au "dilemne du prisonnier" et au "management de la complexité" à l'échelle internationale). 2. Tout le monde continue "comme avant" et, face aux contraintes croissantes, les plus faibles s'effondrent en premier (c'est ce qu'on a vu suite à la crise de la covid 19 au niveau des entreprises en mauvaise santé). Dans ce cas, les plus forts récupèrent les parts de marché des plus faibles, satisfaits et ignorants des catastrophes à venir. -> C'est le pire scénario et peut-être le plus probable. 3. L'ensemble des acteurs, conscients du "mur à franchir", ne renoncent pas totalement aux "anciens schémas" et s'engagent collectivement sur certains sujets. -> C'est le scénario de la "voie médiane", avec toutes les nuances possibles et variables selon l'échelle retenue (monde, groupement de pays type UE, pays, secteurs économiques, etc.). ➡️ A l'échelle de la France et du commerce, Perifem, la Fédération Technique du Commerce, est très active pour "fédérer un commerce plus responsable" : -> "C'est mieux que rien !" disent les uns... -> "Ce n'est pas suffisant !" disent les autres... -> Et vous, qu'en pensez-vous ?
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Chercheur associé au laboratoire CeReGe (UR 13564) axe Intelligence Stratégique Internationale chez Université de Poitiers
4 moisLa mise en oeuvre de l'IE dans un cadre dérogatoire comme "la gestion de crise" est un excellent point d'entrée pour démontrer son efficacité et sa rentabilité. Quant à penser que l'#influence et les #narratifs sont là pour vous sauver, il est déjà bien tard. Il est préférable d'AGIR (© Lilian Laugerat), son complément indispensable, dont l'efficacité opérationnelle est-elle aussi démontrée. 👁️🗨️ Pourquoi ne pas interroger ceux chez qui "ça roule" avec des process éprouvés❔