Post de Jérôme Boissel

Qui aurait cru qu’un simple geste audacieux d’un étudiant anglais en 1823 donnerait naissance à l’un des sports les plus populaires au monde ? William Webb Ellis, en saisissant le ballon avec ses mains lors d’un match de football, ne se doutait pas qu’il venait de poser les fondations du rugby. Mais à l’époque, le ballon était bien différent de celui que nous connaissons aujourd’hui. Les premiers ballons de rugby ressemblaient davantage à des ballons de football déformés qu’à l’élégant ovoïde actuel. Sans taille standard, ils variaient grandement d’un match à l’autre. C’est alors qu’un cordonnier visionnaire entre en scène. William Gilbert, l’homme qui a donné forme au rugby En 1835, William Gilbert décide de mettre de l’ordre dans ce chaos en créant ses propres ballons de forme plus ovale. Fabriqués à base de vessie de porc recouverte de panneaux de cuir cousus à la main, ils avaient pour but de rendre les trajectoires et rebonds plus incertains, tout en améliorant le contrôle lorsque le ballon était porté. Son idée était de rendre la trajectoire et les rebonds plus incertains mais aussi d’améliorer le contrôle du ballon contre le corps lorsqu’il était entre les mains d’un joueur. Une innovation récompensée Le succès fut tel que la famille Gilbert, basée dans la ville de Rugby, exporta ses ballons dans les colonies britanniques, gagnant une solide réputation. En 1862, leur création remporta même une médaille d’argent à l’Exposition Universelle de Londres. Mais il faudra attendre 1892 pour que la Fédération anglaise établisse enfin une norme officielle. Le ballon moderne Aujourd’hui, les dimensions du ballon sont strictement réglementées par World Rugby, l’instance dirigeante de ce sport au niveau mondial : Longueur du grand axe entre 280 et 300 mm Circonférence entre 740 et 770 mm Petit périmètre entre 580 et 620 mm Poids entre 410 et 460 grammes Fabriqué en cuir ou matériaux synthétiques, le ballon ovale est devenu l’emblème incontournable du rugby. Et c’est avec ce même ballon que les plus grands champions s’illustrent, à l’image d’Antoine Dupont et de l’équipe de France de rugby à 7, en quête d’une médaille olympique à Paris en 2024. De ses origines modestes à son statut iconique, l’évolution du ballon de rugby est un témoignage fascinant de la passion et de l’innovation qui animent ce sport. Une histoire ovale qui n’a pas fini de rebondir ! The post L’évolution fascinante du ballon ovale dans le rugby first appeared on ViralMag.fr.

🏀Basket équipe de France #Paris2024 🏀 Les performances mitigées de l équipe de France de basket ( depuis tant d années sur le plan du jeu) illustrent une nouvelle fois 2 principes méconnus et pourtant bien réels de toute dynamique individuelle et collective . 1️⃣« Un groupe, une équipe, une société ne peut fonctionner sur un modèle plus complexe que celui de son dirigeant ». 2️⃣ « les résultats et chiffres donnent souvent une vision incomplète voir erronée de la performance réelle d une équipe » . Le sélectionneur Vincent Collet n a jamais insufflé un fond de jeu à l équipe de France 🇫🇷. Ces résultats en sélection sont liés à la qualité intrinsèque des joueurs plus qu à une culture du succès. Que ce soit l époque Parker , ou la nouvelle génération dorée, aucune animation offensive peu de mouvement et un jeu très restrictif basé sur La Défense. Lorsque l on a la chance d avoir autant de joueurs de qualité obtenir des médailles 🥇 est plutôt normal que de se faire sortir dans les tours préliminaires . Ke suis a fond derrière cette équipe . Elle se donnera une chance d aller loin, si les joueurs prennent leurs destins en main et sauto gèrent comme l avait fait l équipe de France de Football avec Zidane en 2006 m, laissant Domenech sur le côté. Lorsque les fédérations, comme ce fut le cas en volley ou handball cette dernière décennie, nommeront des sélectionneurs qui savent federer et mobiliser plutôt que les copains des alcôves du pouvoir, nous pourront créer une culture de la performance . Ce soir allez les bleus, le tournoi commence maintenant 😀😉🍾 #motivation #leadership #Paris2024 #performance

⭐️⭐️⭐️⭐️⭐️⭐️ 《 ❝ Les blessures d’un Romain Ntamack posent question! ❞ 》 👉 Fabien PELOUS, ex deuxième ligne international du Stade Toulousain ➤ [Sud-Ouest], 4 novembre 2024 [La volonté du sélectionneur Français, Fabien Galthié, de protéger au maximum ses trentenaires lors de cette Tournée] ❝C’est une conjonction de facteurs. On a effectivement un championnat qui est le plus disputé du monde. Les matchs, il faut les faire et je pense que chaque joueur a un volume de pratique maximum. En étant sur le terrain, on augmente le risque de blessure, les baisses de forme et les possibilités de sortir de l’équipe de France que cela implique. Des joueurs qui battent des records, ce sont, sauf exception, des joueurs qui sont dans des équipes qui traversent des périodes domination à l’image des All Blacks de 2010 à 2016, des Springboks aujourd’hui. L’équipe de France a traversé une période difficile où on n’avait pas la formule. Dans le rapport d’opposition avec les autres nations, on avait des joueurs qui étaient moins bons et l’équipe changeait plus souvent. Il faut accorder à certains un statut un peu spécial. Physiquement, il est certain que tu récupères moins bien avec l’âge. Jouer moins de matchs, cela permet de faire durer les carrières. Est-ce que ce projet sera aligné avec les impératifs des clubs, c’est un autre problème. Le constat est fait, depuis des années, que l’on joue trop en France pour tirer la quintessence des joueurs. On ne peut pas être performant 10 mois et demi par an. Les blessures d’un Romain Ntamack posent question. On ne peut pas dire que ce n’est pas une pépite. C’est peut-être le premier numéro 10 en France qui pouvait viser les 100 sélections. C’est un profil qu’il faudrait protéger. Mais je trouve qu’un Antoine Dupont par exemple a été plutôt bien géré l’an passé. Du coup, il a été performant sur les moments qui comptaient. C’est certainement cela que veut Fabien Galthié. Il faut surtout faire en sorte que ces joueurs soient performants lorsqu’on en a besoin en club comme en équipe de France. Il est clair qu’on ne peut pas attendre les mêmes choses d’un joueur de 33 ans que d’un joueur de 25 ans. C’est pour ça qu’il faut les ménager. Mais il me semble que les entraîneurs de club sont plutôt enclins à le faire. Après, en club comme en équipe de France, il suffit de perdre quelques matchs pour que l’ambiance change et le statut du joueur change aussi. Il y a les grands principes et l’adaptation aux circonstances.❞ 🔴⚫ Quand des acteurs, observateurs et personnalités du monde du rugby s'expriment sur le Stade Toulousain, c'est l'objet exclusif des posts du compte ❝Paroles de. à propos du Stade Toulousain Rugby!❞ C'est nouveau et le lien est ici 👇 https://lnkd.in/gGtzN3Yi Suivez nous ! 🔴⚫ #toulouse #stadetoulousain #rugby #championscup #InvestecChampionsCup #top14 #francerugby

Scott Robertson : " L’effet sur le match qui nous attend est vraiment important. Évidemment, jouer pour le trophée Dave Gallagher, qui signifie beaucoup pour nous et pour les deux pays, représente un héritage important, chargé d’histoire. Quelqu’un qui a tant donné pour notre pays a été évoqué cette semaine. Et revenir ici, où cela fait un moment que nous n’avons pas obtenu de résultat, montre à quel point cette rencontre est significative pour les deux équipes. C’est une grande occasion. C’est une équipe difficile à cerner après la Coupe du monde, notamment en ce qui concerne leur trajectoire. Leurs forces principales restent les mêmes. Leur ADN, c’est qu’ils aiment jouer. Ils exploitent tout le terrain et, une fois qu’ils trouvent leur rythme, qu’ils réalisent des passes après contact et qu’ils avancent à travers vous, ils deviennent très difficiles à arrêter. C’est une équipe très instinctive. Ils ont un équilibre entre le flair français et une discipline élevée, avec des joueurs de talent capables de vous punir. Par exemple, Ramos, qui peut marquer des points au pied, n’est-ce pas ? Nous sommes bien conscients de leurs atouts. Oui, ils performent et sont sélectionnés. Il y a une grande diversité culturelle ici en France, et de nouvelles générations émergent en jouant un excellent rugby. Regardez l’équipe de Toulouse, c’est une équipe exceptionnelle, pour ne citer qu’eux. J’observe beaucoup d’équipes et de joueurs polynésiens en France. Mauvaka, par exemple, ou encore des joueurs de Wallis et Futuna. Quelle belle histoire que celle-là. Ce sont des joueurs incroyables, et c’est ça la beauté du rugby : il rassemble le monde entier. J’ai beaucoup appris avec Christophe Pourcu. Le style français est unique, que ce soit dans les entraînements, les mouvements ou leur manière d’envisager le jeu. Il y avait beaucoup de gestes et de discussions. J’ai appris ces gestes avant même de maîtriser la langue. Les expressions comme *"Scott Joue"* ou d’autres étaient au cœur de cette approche. Passer d’un système très discipliné et structuré comme celui des All Blacks et des Crusaders à un environnement français, où ils apprécient un peu plus de spontanéité et de liberté dans le jeu, était un contraste saisissant. Ce n’est ni une mauvaise ni une bonne manière de jouer, juste une approche différente. Cela m’a beaucoup enrichi et a influencé ma façon de coacher. Oui, absolument. La dernière fois, c’était il y a plus de 20 ans, en 2000. J’ai joué lors de cette même rencontre contre Fabien (Galthié), je crois. Cela rappelle des souvenirs, n’est-ce pas ? C’est un endroit empreint de passion. La Marseillaise est une chanson très puissante, elle touche profondément les Français et suscite beaucoup d’émotion. L’atmosphère et les sensations dans ce stade sont uniques. C’est l’un des meilleurs endroits pour jouer au rugby dans le monde." #Rugby #XVDEFRANCE #NEFAISONSXV #franzl #allblacks #UBB #iloveubb #bordeaux #stadetoulousain #stfamily

C est bien l interdépendance entre qualité du contexte , des leaders et des acteurs qui favorise ou inhibe la performance et la dynamique individuelle et collective Ce principe est encore illustré par la situation de l équipe de France de basket

L’olympisme réside dans l’universalité de la pratique sportive et non pas dans la recherche de médailles en des sports confidentiels bien que pratiqués par des millions de personnes dans deux ou trois états ! L’intégration de ces sports devrait se préparer bien en amont dès lors qu’un sport pratiqué en l’absence d’adversité ne poussera pas les populations des nations autres à le regarder ou à se licencier.

La vérité des audiences prouve que le messianisme ne prend pas auprès des plus jeunes. La contestation n’est pas encore générale mais, comme d’habitude, démarre par l’Europe. Les audiences du football chez les 16-24 ans y sont partout mauvaises (sondage ECA de 2020: 28% des moins de 25 ans se disaient “fans” ou “particulièrement fans” de football, contre plus de 35% chez leurs aînés). Pour comprendre la lassitude, il faut revenir à un article célèbre de l’anthropologue David Graeber consacré aux "bullshit jobs" (et bien connu de cette génération). Des centaines de métiers auxquels on se prépare ne servent pas à grand-chose si ce n’est à nous maintenir occupés (cocheurs de case, gestionnaires inutiles, réparateurs de problèmes évitables...). Bienvenue aux "bullshit games". Ce concept désigne toutes ces rencontres qui prennent pour prétexte et apparence la compétition mais servent en réalité un autre projet: la politisation de la Fifa (si on est gentil), la cupidité de ses membres (si on est méchant). Quiconque a déjà jeté un œil au profil Insta de Gianni Infantino sait de quoi on parle: les compétitions ne sont plus organisées pour célébrer la gloire de leurs participants mais celle de leur organisateur. Si le format éliminatoire était l’aspect privilégié par les inventeurs des Coupe d’Europe et Coupe du monde d’antan, c’est que l’idée de risque est consubstantielle à celle de compétition. Si personne ne perd, ce n’est plus un sport, c’est une émission de télé. Au fond, en servant des intérêts qui n’ont plus grand-chose à voir avec le football, les bullshit games reposent sur une angoisse de chauve en Stan Smith: la peur de perdre. https://lnkd.in/d4RrGbUQ

Pouquoi l'Espagne a gagné le dernier Euro, par ce qu'elle a jouée à 11 sur le terrain. L'importance de l'équilibre entre les talents individuels et la cohésion de l'équipe. Les équipes qui misent trop sur un ou deux joueurs vedettes risquent de devenir prévisibles ou déséquilibrées, surtout si ces joueurs ne sont pas en forme ou même dépassé (Ronaldo, M'Bappé, Kane). L'Espagne à eu cette capacité à jouer en tant qu'unité cohérente, avec des joueurs prêts à s'adapter pour le bien de l'équipe, plutôt que de s'appuyer uniquement sur des stars, surtout diminués. Le succès en football, comme dans d'autres sports d'équipe, repose donc sur un équilibre subtil entre le talent individuel et la capacité de travailler en équipe. Les joueurs doivent parfois mettre de côté leur propre ego ou rôle habituel pour s'adapter aux besoins de l'équipe. Cela peut inclure accepter un rôle de remplaçant, ajuster leur style de jeu, ou même passer la main à des coéquipiers plus en forme ou plus adaptés à une situation donnée. Ces principes s'appliquent aussi dans le vie d'un projet d'entreprise 🙂

🇭🇷 𝗟𝘂𝗸𝗮 𝗜𝘃𝗮𝗻𝘂𝘀𝗲𝗰, 𝗹'𝗮𝗶𝗹𝗶𝗲𝗿 𝗴𝗮𝘂𝗰𝗵𝗲 𝗮𝘂 𝗤𝗜 𝗳𝗼𝗼𝘁 𝘀𝘂𝗽𝗲́𝗿𝗶𝗲𝘂𝗿 ? 𝐵𝑒𝑎𝑢𝑐𝑜𝑢𝑝 𝑑𝑒 𝑐𝑙𝑢𝑏𝑠 𝑠𝑜𝑛𝑡 𝑎̀ 𝑙𝑎 𝑟𝑒𝑐ℎ𝑒𝑟𝑐ℎ𝑒 𝑑'𝑎𝑖𝑙𝑖𝑒𝑟𝑠 𝑔𝑎𝑢𝑐ℎ𝑒𝑠 𝑒𝑡 𝑙𝑒𝑠 𝑝𝑟𝑜𝑓𝑖𝑙𝑠 𝑒́𝑡𝑎𝑛𝑡 𝑟𝑎𝑟𝑒𝑠, 𝑐𝑒𝑙𝑢𝑖 𝑑'𝐼𝑛𝑣𝑎𝑛𝑢𝑠𝑒𝑐 𝑝𝑟𝑜𝑝𝑜𝑠𝑒 𝑢𝑛𝑒 𝑎𝑙𝑡𝑒𝑟𝑛𝑎𝑡𝑖𝑣𝑒 𝑖𝑛𝑡𝑒́𝑟𝑒𝑠𝑠𝑎𝑛𝑡𝑒 𝑎𝑢𝑥 𝑎𝑖𝑙𝑖𝑒𝑟𝑠 𝑑𝑦𝑛𝑎𝑚𝑖𝑡𝑒𝑢𝑟𝑠 🧨 𝗝𝗲 𝘁𝗿𝗼𝘂𝘃𝗲 𝗹𝗲 𝗽𝗿𝗼𝗳𝗶𝗹 𝗱𝗲 𝗟𝘂𝗸𝗮 𝗜𝘃𝗮𝗻𝘂𝘀𝗲𝗰 𝘁𝗿𝗲̀𝘀 𝗶𝗻𝘁𝗲́𝗿𝗲𝘀𝘀𝗮𝗻𝘁 𝗽𝗮𝗿𝗰𝗲 𝗾𝘂'𝗶𝗹 𝗲𝘀𝘁 𝗱𝗶𝗳𝗳𝗲́𝗿𝗲𝗻𝘁 𝗱𝗲 𝘁𝗼𝘂𝘀 𝗰𝗲𝘂𝘅 𝗾𝘂'𝗼𝗻 𝗮 𝗹'𝗵𝗮𝗯𝗶𝘁𝘂𝗱𝗲 𝗱𝗲 𝘃𝗼𝗶𝗿 𝗮𝗽𝗽𝗮𝗿𝗮𝗶̂𝘁𝗿𝗲 𝗱𝗮𝗻𝘀 𝗹𝗲𝘀 𝗿𝘂𝗺𝗲𝘂𝗿𝘀 𝗺𝗲𝗿𝗰𝗮𝘁𝗼𝘀. 𝐸𝑛 𝑒𝑓𝑓𝑒𝑡, 𝐼𝑣𝑎𝑛𝑢𝑠𝑒𝑐 𝑎 𝑏𝑒𝑎𝑢𝑐𝑜𝑢𝑝 𝑒́𝑣𝑜𝑙𝑢𝑒́ 𝑑𝑎𝑛𝑠 𝑢𝑛 𝑟𝑜̂𝑙𝑒 𝑑𝑒 𝑚𝑖𝑙𝑖𝑒𝑢 𝑑𝑒 𝑡𝑒𝑟𝑟𝑎𝑖𝑛 𝑐𝑒𝑛𝑡𝑟𝑎𝑙/𝑜𝑓𝑓𝑒𝑛𝑠𝑖𝑓 𝑑𝑎𝑛𝑠 𝑠𝑒𝑠 𝑝𝑟𝑒𝑚𝑖𝑒̀𝑟𝑒𝑠 𝑎𝑛𝑛𝑒́𝑒𝑠 𝑝𝑟𝑜, 𝑒𝑡 𝑐𝑒 𝑛'𝑒𝑠𝑡 𝑞𝑢𝑒 𝑟𝑒́𝑐𝑒𝑚𝑚𝑒𝑛𝑡 𝑞𝑢'𝑖𝑙 𝑠'𝑒𝑠𝑡 𝑒𝑥𝑐𝑒𝑛𝑡𝑟𝑒́ 𝑠𝑢𝑟 𝑙𝑒𝑠 𝑎𝑖𝑙𝑒𝑠, 𝑒𝑡 𝑝𝑙𝑢𝑠 𝑝𝑎𝑟𝑡𝑖𝑐𝑢𝑙𝑖𝑒̀𝑟𝑒𝑚𝑒𝑛𝑡 𝑙'𝑎𝑖𝑙𝑒 𝑔𝑎𝑢𝑐ℎ𝑒. Ivanusec est donc l'essence même du "meneur de jeu excentré", ce n'est pas un monstre de projection et de prise de profondeur. 🧠 Par contre, c'est un joueur avec un QI football développé, qui va souvent trouver la bonne passe à réaliser au bon moment pour trouver un coéquipier démarqué. Il parvient très facilement à casser le rideau défensif pour permettre à un coéquipier de pénétrer dans le surface adverse 🪄 Son pied droit de velours lui permet également de faire très mal avec les frappes enroulées. 🔵⚪️ 𝗟'𝗢𝗠 𝗲𝘁 🔴🔵 𝗹'𝗢𝗟 𝘀𝗲 𝘀𝗼𝗻𝘁 𝗽𝗲𝗻𝗰𝗵𝗲́𝘀 𝘀𝘂𝗿 𝗹𝗮 𝗽𝗶𝘀𝘁𝗲 𝗠𝗶𝗻𝘁𝗲𝗵 𝗮𝘂 𝗰𝗼𝘂𝗿𝘀 𝗱𝗲 𝗰𝗲 𝗺𝗲𝗿𝗰𝗮𝘁𝗼, 𝗲𝗵 𝗯𝗶𝗲𝗻 𝗷𝗲 𝗽𝗲𝗻𝘀𝗲 𝗾𝘂𝗲 𝘀𝗲 𝗽𝗲𝗻𝗰𝗵𝗲𝗿 𝘀𝘂𝗿 𝗹𝗮 𝗽𝗶𝘀𝘁𝗲 𝗜𝘃𝗮𝗻𝘂𝘀𝗲𝗰 𝘀𝗲𝗿𝗮𝗶𝘁 𝗽𝗹𝘂𝘀 𝗮𝗯𝗼𝗿𝗱𝗮𝗯𝗹𝗲 𝗲𝘁 𝗽𝗹𝘂𝘀 𝗶𝗻𝘁𝗲́𝗿𝗲𝘀𝘀𝗮𝗻𝘁𝗲 𝗽𝗼𝘂𝗿 𝗹𝗲𝘀 𝗱𝗲𝘂𝘅 𝗰𝗹𝘂𝗯𝘀. Ivanusec encadré par RDZ pour lui permettre de passer un cap, je signe tous les jours 🖊️ Ivanusec pour remplacer de la créativité à l'OL en remplacement de Cherki sur le départ, avec l'avantage qu'il sait évoluer sur une aile mais aussi dans le coeur du jeu, je signe tous les jours 🖊️

Qui a dit qu'il fallait être amateur dans le sport? Merci à Telerama et @michelbezbach d'avoir essayé de répondre à cette question... https://lnkd.in/eRww2Xq2  « Il a été profondément marqué par la défaite de 1870 face aux Prussiens et l'occupation de la propriété familiale par l'ennemi », ajoute Aymeric Mantoux, auteur de Pierre de Coubertin. L'homme qui n'inventa pas les jeux Olympiques (2). « Il veut renforcer l'âme des Français par le sport. Montrer les muscles, selon une conception aristocratique et masculine de la grandeur d'une nation. » La puissance de l'olympisme vient de cette prétendue valeur que le CIO ne cessera de défendre : le sport pour le sport. Mais si l'amateurisme est inscrit dans l'ADN des Jeux modernes, il n'est pas immédiatement respecté car le Comité international olympique (CIO) ne contrôle pas les compétitions. À Athènes en 1896, à Paris en 1900 et jusqu'en 1920, les organisateurs adoptent leurs propres règles. Or, bien sûr, ils veulent tout simplement le meilleur spectacle et les meilleurs compétiteurs possibles. Le CIO parviendra à mieux faire respecter l'amateurisme quand il reprendra la main sur l'événement, dans l'entre-deux-guerres. Mais alors, pourquoi en fait-il une valeur cardinale jusqu'au début des années 1980 ?Eh bien d'abord, ça fait bien, l'amateurisme. Dans le sillage de Pierre de Coubertin, en qui Aymeric Mantoux voit « l'un des premiers storytellers modernes », le CIO va « prospérer sur cet idéal ». « La puissance de l'olympisme vient de cette prétendue valeur qu'il ne cessera de défendre : le sport pour le sport, comme on a théorisé l'art pour l'art. » L'amateurisme est donc un puissant outil de communication, mais donne aussi une certaine forme de pouvoir. « Dans les années 1950, 1960 et 1970, le CIO demande aux comités nationaux olympiques de vérifier la qualité d'amateur de leurs membres ». « Il peut ainsi exercer un contrôle sur les athlètes du monde entier. » (1) Son prochain ouvrage, Pierre de Coubertin ou la paix par le sport, paraîtra le 23 mai aux éd. Presses universitaires de Rennes. (2) À paraître le 17 mai, aux #editionsdufaubourg #sophiecaillat