Post de Jonathan Amram

Quel impact d’un retour de Trump sur l’économie française ? 🇨🇵 🇺🇸 Avec le nouveau président des États-Unis, voici quelques impacts possibles chez nous : 🟢Accès à certains marchés : Une politique protectionniste pourrait limiter la présence américaine sur certains marchés, offrant aux entreprises françaises de nouvelles opportunités à l'international 🟢Allégement de la concurrence : Un focus des États-Unis sur leur marché pourrait libérer des parts dans des secteurs clés comme la tech ou le luxe 🔴Hausses des taxes douanières : Des tarifs supplémentaires sur les exportations vers les États-Unis pourraient toucher durement les secteurs comme le luxe et l’agroalimentaire 🔴Augmentation des coûts : Si des restrictions sur les matières premières sont imposées, nos entreprises pourraient voir leurs coûts augmenter, impactant les prix finaux L’évolution de la politique commerciale américaine est un facteur à surveiller pour l’économie française. Quel impact pensez-vous que cela pourrait avoir pour les entreprises ?

🇺🇸 Le commerce mondial risque-t-il d’être menacé ? C’est la question qui hante bien des esprits au lendemain de l’annonce de la réélection de Donald Trump à la Maison Blanche. Le premier mandat du milliardaire américain entre 2017 et 2021 avait déjà porté la marque des droits de douane punitifs. Il a promis pendant la campagne des taxes à l’importation de notamment 60 % sur les produits chinois, et renchéries de 10 % pour le reste du monde. Ajoutés à de probables mesures de rétorsion de Pékin et de l’UE, cela coûterait 533 milliards de dollars d’ici 2029 à l’économie de l’UE, 749 milliards de dollars pour les États-Unis et 827 milliards de dollars pour la Chine, a évalué le cabinet de conseil Roland Berger dans une étude. 📊 En revanche, les pays émergents tels que l’Inde, l’Indonésie et le Brésil «seraient beaucoup moins affectés», d’après la London School of Economics (LSE).

✨ Retour de Donald Trump à la Maison-Blanche – Quelles implications économiques ? ✨ La dernière Lettre de l’Ingénierie Financière GWS met en lumière les premiers impacts économiques du retour de Donald Trump au pouvoir 🇺🇸. Avec ses orientations en matière de relance budgétaire et de guerre commerciale, quelles seront les conséquences pour les entreprises américaines et les marchés mondiaux ? 🔹 Relance budgétaire et baisse des impôts : Trump prévoit de maintenir les baisses d’impôts et de réduire le taux d’imposition des sociétés de 21 % à 15 % 📉. À court terme, cela devrait soutenir la croissance américaine, mais des tensions inflationnistes sont attendues. 🔹 Protectionnisme : Les droits de douane sur les importations, notamment chinoises et européennes, pourraient augmenter jusqu’à 100 %. Ce retour au protectionnisme pourrait peser sur les bénéfices des entreprises exportatrices 📈📉. 🔹 Impacts sur l’Europe : Le protectionnisme pourrait coûter 1,5 % de PIB à l’Allemagne et forcer l’Europe à augmenter ses dépenses militaires pour compenser la réduction de l’appui américain 🛡️. 📝 Les répercussions mondiales et les tensions commerciales à venir nécessiteront une attention particulière. À suivre ! 🔍 📄 Source : Generali / Generali Patrimoine Lettre de l’Ingénierie Financière GWS #10, Novembre 2024

En 2023 et 2024, de grandes entreprises ont connu des décrochages boursiers spectaculaires, comme Worldline ou Stellantis. Ces fluctuations soudaines et spectaculaires des cours peuvent fortement perturber la composition des portefeuilles. Il est donc essentiel de bien comprendre leurs causes pour mettre en place des stratégies d'investissement adaptées. 📉 Quels sont les causes de ces décrochages ? Quels mécanismes sont mis en place pour contenir la panique ? Quel rôle pour les différents acteurs ? Et comment s'adapter à cette nouvelle normalité ?  C'est à retrouver notre dernière Carazette, préparée par Camille Magdelaine et Yohann Derbyshire, CFA ! 👉🏻 https://lnkd.in/etUhtb7s #Bourse #Décrochage #Finance #Investissement #CarazetteDesMarchés

𝐀𝐍𝐀𝐋𝐘𝐒𝐄. Les entreprises qui exportent sur le marché américain font face à une grande menace. Voici comment vous préparer 👇 #ÉtatsUnis #DonaldTrump #manufacturier ✍ François Normand, MBA

Avec ce post, j’essaie d’aider les dirigeants politiques et économiques Européens, à mieux comprendre la politique de M. Donald Trump, en analysant les propos de M. François Villeroy de Galhau, membre du directoire de la BCE. Voir lien à l’article en bas 👇🏿 1. “Le programme économique du président élu Américain, Donald Trump risque de faire revenir l'inflation aux États-Unis et de nuire à la croissance économique dans le monde entier”. 2. “Reste à savoir si la baisse sera plus ressentie aux Etats-Unis, en Chine ou en Europe." 3. “M. Trump a lancé l'idée d'imposer des droits de douane de 10 % ou plus sur tous les produits importés aux États-Unis, ce qui permettrait d'éliminer le déficit commercial des États-Unis.” 4. “Les consommateurs américains seraient les premiers à subir les conséquences de ces droits de douane”; “le protectionnisme est presque toujours synonyme de réduction du pouvoir d'achat des consommateurs.” Mes éléments de réponse. 5. La question que les Européens devraient se poser est de savoir si leurs dirigeants ont les moyens de ne pas subir les contrecoups de la politique de M. Donald Trump qui est élu pour s’occuper des intérêts des Américains. 6. La politique commerciale de M. Trump ne risque de ramener durablement l'inflation aux États-Unis, que si l’économie américaine reste consommatrice de biens produits ailleurs, ce à quoi M. Trump veut justement mettre un terme. 7. C’est plutôt la démission des responsables politiques et économiques des partenaires des États-Unis qui pourrait effectivement faire en sorte que le programme de M. Donald Trump “risque de faire baisser un peu la croissance, partout dans le monde”. 8. Le problème est que M. Villeroy de Galhau, comme beaucoup de dirigeants occidentaux, ne comprend pas les fondements paradigmatiques des politiques commerciale et de développement économique de M. Donald Trump, qui s’inscrivent dans une logique de “DÉCONNEXION” avec l’économie mondiale globalisée. 9. Cette “DÉCONNEXION” vise d’abord à rompre les vulnérabilités verticales des États-Unis qui font justement que l’inflation y est importée par le fait que les Américains consomment des biens produits à l’extérieur. 10. Ensuite, en taxant les produits étrangers pour encourager la production nationale, la politique de M. Trump vise à davantage internaliser les chaînes de valeurs de la production industrielle, ce qui permettrait de maîtriser les coûts de production domestiques et l’inflation, tout en créant plus d’emplois et de pouvoir d’achat. En conclusion, il ne faut pas simplement lire la politique M. Trump sous le prisme de mesures isolées de leur contexte général de politique économique intégrée. Parce que M. Trump espère libérer la politique monétaire et financière des États-Unis, de sa prison macroéconomico-mécaniciste, qui fait que le seul moyen de lutter contre l’inflation et le chômage consiste dans les manipulations des taux directeurs de sa Banque Centrale. À suivre! https://lnkd.in/e5QSVp3a

📊 L'élection de Donald Trump : un tournant pour les entreprises françaises ? La récente victoire de Donald Trump suscite des débats sur ses impacts pour les entreprises françaises 🇫🇷. Que pourrait signifier ce retour à la Maison-Blanche pour notre économie ? Voici les principaux points à retenir. 👇 ✅ Pour : Des Opportunités de Croissance 1. Relance de l'économie américaine 🌎 : Trump a déjà prouvé sa volonté de soutenir les entreprises américaines par des réductions d'impôts et des politiques pro-croissance. Si l'économie américaine repart à la hausse, la demande de produits européens, notamment français, pourrait augmenter, offrant un souffle nouveau pour nos industries de luxe, de technologie et d’aéronautique. 💼💸 2. Alliances stratégiques dans l'aéronautique ✈️ : Le secteur aéronautique pourrait bénéficier de coopérations renforcées, particulièrement face à la montée de la concurrence chinoise. Airbus pourrait voir de nouvelles opportunités si les États-Unis cherchent des alliances pour contrer la puissance industrielle chinoise. 3. Climat favorable aux investissements 🏢 : Une politique pro-business pourrait inciter les entreprises françaises à renforcer leurs investissements aux États-Unis, créant des liens commerciaux plus solides et profitant des incitations fiscales locales. ❌ Contre : Des Risques pour Nos Exportations 1. Tensions commerciales et droits de douane 📉 : Le retour des politiques protectionnistes américaines, comme en 2017, pourrait porter un coup aux secteurs exportateurs français, notamment le vin et les spiritueux. Les droits de douane risquent d'impacter durement ces industries, entraînant des pertes pour les producteurs. 2. Isolement de l'Europe sur la scène mondiale 🌐 : Une politique d'« America First » pourrait affaiblir la position de l’Union européenne dans les négociations commerciales. Une Europe affaiblie serait un obstacle pour les entreprises françaises souhaitant bénéficier de marchés internationaux. 3. Volatilité accrue des marchés financiers 💹 : La politique imprévisible de Trump pourrait créer une incertitude sur les marchés, augmentant la volatilité des indices boursiers comme le CAC 40 et impactant la valeur de nos entreprises cotées. 🌍 Conclusion Le retour de Trump représente une opportunité pour les entreprises prêtes à saisir les occasions d’expansion, mais aussi une menace pour les secteurs dépendants des exportations. La route est donc semée d'embûches, mais aussi de possibles succès ! #Economie #EntreprisesFrançaises #ElectionUS #DonaldTrump #CommerceInternational #Opportunités #Risques Les Echos

La revue de presse du retail : Voici pourquoi Trump ne va pas faire si mal à l'Europe: Selon une étude de Roland Berger, la mise en place du programme de Donald Trump, malgré les droits de douanes, serait plus indolore pour l'Europe que pour la Chine et...les Etats-Unis.  ==> Abonnez vous à la revue de presse du retail #GrandeConso #retail

💡 Avantage aux actions américaines !   L’arrivée de Donald Trump à la Maison-Blanche déclenche une nouvelle dynamique sur les marchés, particulièrement aux États-Unis, tandis que l’Europe demeure en proie à des incertitudes économiques et politiques.   ✅ Wall Street en forte hausse : records historiques -L’indice S&P 500 a franchi pour la première fois le seuil des 6 000 points, enregistrant une progression de plus de 25 % depuis le début de l’année. -L’absence de contestation des résultats a rassuré les investisseurs, soutenue par une majorité républicaine consolidée au Sénat et probablement à la Chambre des représentants.   ✅ Réformes fiscales et bénéfices d’entreprise -La réduction envisagée de l’impôt sur les sociétés à 15 % (contre 21 % actuellement) pourrait accroître mécaniquement de 4 % le bénéfice par action moyen des entreprises du S&P 500. -Les PME américaines, représentées par l’indice Russell 2000, ont bondi de 7 % en une semaine, portées par les attentes d’une dérégulation accrue et de mesures favorisant l’investissement.   ✅ Secteurs porteurs aux États-Unis -Les banques (Goldman Sachs, Citigroup, JPMorgan, etc.) bénéficient des projets de dérégulation. -Les semi-conducteurs (Intel, Micron Technology) et l’industrie automobile, protégés contre la concurrence asiatique, affichent des gains notables. -Tesla, en particulier, a vu son action grimper de 30 % en une semaine.   ✅ L’Europe face aux incertitudes et aux opportunités -Les entreprises européennes bien implantées aux États-Unis pourraient tirer parti des baisses d’impôts et de la demande locale : Exemple : Vallourec (42 % de ses ventes en Amérique du Nord), Schneider Electric (38 %), Airbus (assemblage en Alabama). -Cependant, des secteurs fortement exportateurs, comme le luxe, restent exposés aux potentielles barrières douanières américaines, qui pourraient atteindre 60 % sur les produits chinois.   ✅ Allemagne et Europe : fragilité persistante -L’Allemagne, malgré une légère croissance au T3 (+0,2 % du PIB), est confrontée à une instabilité politique avec l’éclatement de la coalition gouvernementale. -La relance économique en Chine reste modeste, limitant l’impact positif pour l’industrie européenne.   ✅ Soutien des banques centrales et volatilité à venir -La FED a réduit ses taux directeurs deux fois (0,5 point en septembre et 0,25 point récemment). -La BCE en est à sa troisième baisse en moins de deux mois, apportant un soutien modéré aux marchés européens. -Cependant, les réformes américaines pourraient entraîner des dérives budgétaires et un retour de l’inflation, avec un risque de voir les rendements obligataires américains atteindre 5 %, amplifiant la volatilité.   ✅ Un différentiel croissant entre les États-Unis et l’Europe La conjonction des baisses d’impôts, de la croissance américaine supérieure et de l’assouplissement réglementaire rend les actions américaines et le dollar particulièrement attractifs à court terme.   Via Le revenu    #MFLpatrimoine 

Candriam - 🌎 #ÉlectionsAméricaines : Quels impacts et opportunités pour l’#économiechinoise ? 📉 En réaction aux pressions déflationnistes, les autorités chinoises ont instauré une série de #mesuresmonétaires et fiscales – signe de leur besoin urgent de stabiliser l'économie. Si ces mesures sont un pas dans la bonne direction, elles ne seront pas suffisantes pour atteindre pleinement l’objectif. 🏢 Alors que la Chine cherche à stabiliser le secteur #immobilier et à soutenir sa croissance intérieure, les élections américaines pourraient raviver les tensions commerciales, et se traduire par de nouveaux droits de douane et une dévaluation de la monnaie. 🔎 Par conséquent, le stock-picking devient de plus en plus pertinent sur le #marchéchinois. 👉 Retrouvez l'article de 👤 Christopher Mey, CFA, Head of Emerging Market Credit et 👤 Paulo Salazar, Head of Emerging Markets Equity sur notre site ⬇️ #CGP #Patrimoine #Investissement https://lnkd.in/ez8XBPX2