Post de Léna Guichaoua 🌞

𝑵𝑶𝑼𝑽𝑬𝑨𝑼 ! 𝑪𝒆𝒓𝒄𝒍𝒆𝒔 𝒅𝒆 𝒑𝒂𝒓𝒐𝒍𝒆𝒔 𝒑𝒐𝒖𝒓 𝒍𝒆𝒔 #𝒋𝒆𝒖𝒏𝒆𝒔 Avec mon amie Léna Guichaoua 🌞, nous avons la joie de poser les premières pierres d’un projet qui nous tient particulièrement à cœur : des CERCLES D’ÉCOUTE ET DE PAROLE pour JEUNES 18-25 ANS à partir de Novembre à #Nantes. ☝️ De quoi s’agit-il ? Offrir aux jeunes 𝒖𝒏 𝒆𝒔𝒑𝒂𝒄𝒆 𝒅’𝒂𝒄𝒄𝒖𝒆𝒊𝒍 𝒆𝒕 𝒅𝒆 𝒑𝒂𝒓𝒕𝒂𝒈𝒆, à travers la parole libre, authentique et respectueuse et qu'ils se sentent pleinement accueilli.e.s dans leurs ressentis, maux et mots, sur les sujets qui les préoccupent. Parmi ces sujets, pêle-mêle : – les relations (famille, amis, amoureuse…) – la relation au corps, à l’image, à la sexualité – les études, l’orientation et l’épanouissement professionnels – la charge mentale, le stress, les peurs (de l’avenir, de déplaire, du rejet, de dire non…) – la gestion des émotions, l’hypersensibilité, les addictions, le harcèlement – les interrogations et difficultés (d’être soi-même, de trouver/prendre sa place, de faire des choix, de réussir, d’être heureux-se…) – la connaissance de soi, la confiance en soi, l’estime de soi, l’amour de soi… Cette liste n’est bien sûr pas exhaustive ! Selon les cercles, nous proposerons différentes approches. Un cadre est posé, auquel chacun.e s’engage : – Bienveillance (non-jugement) – Respect (écoute de soi et des autres) – Coresponsabilité (vous vous impliquez, comme nous nous impliquons) – Confidentialité (ce que nous partageons dans les cercles, reste dans les cercles) 👉 Lieu, date, horaires : Salle à Nantes, quartier Gare Sud (lieu exact précisé par mail quelques jours avant l’événement) De 18h30 à 20h : jeudi 7 et jeudi 21 novembre, jeudi 5 déc et mardi 17 déc 👉 Pour en savoir plus, rdv sur l'évènement Facebook ou sur mon site >> les liens en commentaires du post #jeune #cercleparole

𝐉’𝐚𝐢 #𝐩𝐞𝐮𝐫 𝐝𝐞 𝐥𝐚 𝐜𝐨𝐥è𝐫𝐞 𝐝𝐞 𝐦𝐞𝐬 𝐞𝐧𝐟𝐚𝐧𝐭𝐬, 𝐚𝐥𝐨𝐫𝐬 𝐣’𝐞𝐬𝐬𝐚𝐢𝐞 𝐝𝐞 𝐥𝐞𝐮𝐫 𝐟𝐚𝐢𝐫𝐞 𝐩𝐥𝐚𝐢𝐬𝐢𝐫 𝐚𝐮 𝐦𝐚𝐱𝐢𝐦𝐮𝐦 Je lutte pour m’affirmer avec eux Cela peut sembler familier à certains d’entre nous. Il est très difficile émotionnellement de frustrer nos enfants, pourtant la #frustration fait partie de la vie. Il n'est pas question de les frustrer pour les frustrer, mais de le faire dans le cadre d'un apprentissage positif pour leur évolution. Il se trouve que la parentalité consciente "Parent Enfant - S'élever ensemble" explique comment nous positionner intérieurement, ce qui est aidant si nous sommes quelqu’un qui a déjà du mal à s’affirmer. L'idée générale est d'anticiper les situations autant que faire se peut et d'être absolument en accord avec soi-même dans ce que nous demandons à nos enfants. Une fois que nous sommes en accord avec nous-même, il est plus facile d'imposer nos décisions et de les expliquer à nos enfants parce qu'elles prennent sens. Vous pouvez apprendre à vous élever à votre raison d'être parent avec l'accompagnement "𝐏𝐚𝐫𝐞𝐧𝐭 𝐄𝐧𝐟𝐚𝐧𝐭 - 𝐒'é𝐥𝐞𝐯𝐞𝐫 𝐞𝐧𝐬𝐞𝐦𝐛𝐥𝐞" 👇 4 modules pour une hashtag #relation plus connectée avec votre enfant Module 1: M’élever au hashtag #cœur de moi-même Module 2: M’élever au cœur de mon couple - En couple ou séparé Module 3: La place du couple dans la famille Module 4: 7 hashtag #mythes à démystifier Pour plus de renseignements https://lnkd.in/epHWqXNx #aimer #avenir #developpementpersonnel #Amour #parent #accompagner #connexion #correction #positionnement #PESE ———————————————— 𝐎𝐥𝐢𝐯𝐢𝐞𝐫 𝐁𝐨𝐫𝐠𝐞𝐚𝐮𝐝 J'aide chacun à découvrir sa raison d’être parent et à s’affranchir des codes sociétaux. Auteur de "Parent enfant – S’élever ensemble" - Le livre GPS pour libérer mon étincelle de parent unique. Contactez moi en MP pour tout renseignement

⚠️ « Urgence » L’agression d’une enfant en situation de handicap par 9 camarades de sa classe, a engendré notre intervention pour viser ces objectifs : 🔺Apaiser les tensions et encourager un climat bienveillant par l’apport d’outils. 🔺Eveiller sur nos façons de vivre-ensemble afin de nourrir le respect, l’Empathie, la tolérance, l’encouragement à l’acceptation de soi et de l’autre dans sa singularité. 🔺 Développer l’estime de soi. En effet, plus on se sent bien avec « soi-m’aime », moins on ressent le besoin d’abîmer les autres pour exister et prouver sa valeur. C’est à nos yeux, une priorité d’action qui permet la prévention de la malveillance et des situations de « secousses émotionnelles », pour reprendre le terme de Bruno Humbeeck. Nous avons donc utilisé le concept de « la coccinelle du bonheur » 🐞qui symbolise et encourage, le prendre soin de soi et des autres. « - Mais on ne va pas donner des points à la coccinelle de l’autre ! - Et pourquoi pas ? - Parce qu’on veut qu’il soit plus moche que nous, moins important. - Mais, as-tu compris que agir comme ceci ne nourrit pas ta coccinelle? Au contraire, elle s’abîme davantage… - Silence. » Nous restons réalistes, ce n’est pas en une séance que nous pouvons gommer des habitudes relationnelles qui n’encouragent pas le lien du « nous ». Néanmoins, l’apport des outils, des contes, des concepts imagés et le travail de réinvestissement de l’enseignante, vont permettre d’y tendre. Les graines sont plantées…🌱 Et même si parfois, nous sommes découragées quand on observe des actes malveillants AUSSITÔT aprés l’animation, on se dit qu’il est tout de même nécessaire de continuer… 💬« Merci Mauricette pour tes histoires, moi aussi je veux que les coccinelles de tout le monde se sentent bien comme ça il y aura la paix. » élève de CE1. 💬 « Merci beaucoup pour cette intervention de qualité, réalisée en si peu de temps. Elle apporte cet éveil des consciences dont nous avions tant besoin et ces précieux outils vont être très utiles. »L’enseignante des CP/CE1 >>> Amandine et Mauricette #agression #handicap #vivreensemble #prevention #harcelementscolaire #estimedesoi #maitresse #ecole

🤗 De nos jours, un plus grand nombre de personnes sont en quêtes de sens, de réveil intérieur… Ça peut passer par quelques raisonnements inconfortables comme : ❓Qu’est-ce que je veux réellement ? ❓Ce que je vis c’est OK ou NON, mais quoi faire ? ❓Je n’aime plus ce que je fais ? mais quoi faire ? ❓J’admire ce que certaines personnes font… J’en suis incapable … ❓❓❓ … Cette phase je l’ai souvent sentie ! C’est ce qui m’a permis d’avancer 🚀 , d’aller chercher au fond de moi qui je suis réellement. Et pour ça je suis passée par la phase indispensable des EMPREINTES !!! Alors non je ne parle pas des empreintes digitales 😉 ✨ Je parle de toutes nos empreintes conscientes et inconscientes : -     Culturelles -     Éducatives -     Religieuses -     Sociétales -     Transgénérationnelles   Celles qui peuvent être de vrais moteurs dans notre vie comme celles qui peuvent nous empêcher d’avancer ou d’être réellement qui nous sommes. Toutes ces empreintes ont été gravées dès notre plus jeune âge. A mon époque (je croirais entendre ma grand mère 😅), je n’avais aucun avis et encore moins de discernement pour savoir si ce qui m’était inculqué été juste pour moi. Mais aujourd’hui je suis en capacité de l’être sans le manifester comme de la rébellion, juste en étant moi et ne pas juger mon entourage de ce qui a été fait. Je remercie ces empreintes qui m’ont permis d’avancer et je me remercie d’avoir travaillé sur celles qui aujourd’hui m’empêchaient de me révéler avec authenticité ! A un stade de notre vie, il est plus juste d'utiliser ses propres lunettes que d’empreinter celles que nous avons reçues 🌈 *Si ce post résonne en toi, ou te fais penser à quelqu'un n'hésite pas à partager et à mettre un commentaire 🌱 ✨ Linda #coach #authenticité #humain #gratitude #relation

Le mardi 2 avril marque la Journée mondiale de sensibilisation à l'autisme. D'habitude, je publie un message sur Facebook ou Instagram, mais aujourd'hui, j'ai envie de m'adresser aux gestionnaires, décideurs, présidents et présidentes, ainsi qu'aux responsables des ressources humaines. En d'autres termes, à tous ceux et celles qui ont l'opportunité d'engager des personnes au sein d'une entreprise. Accorder une chance à une personne neurodivergente est souvent applaudi. On le célèbre avec de beaux posts sur les réseaux sociaux et on se félicite mutuellement. Cependant, si les efforts s'arrêtent après le recrutement, je vous le dis tout de suite, votre succès ne durera pas longtemps. Travailler avec une personne autiste demande du temps, de la bienveillance, et surtout, beaucoup de PATIENCE. Attention, je ne suis pas une experte, juste la sœur d'un adulte autiste qui a vécu des expériences de travail pas toujours reluisantes. Mon frère est direct, parfois (souvent) abrupt (pour ne pas dire bête comme ses deux pieds!). J'ai le droit de le dire, je suis sa sœur. 😉 Il lui est déjà arrivé de quitter son lieu de travail parce qu'il n'avait plus rien à faire... Je ne suis pas en train de dresser le portrait de l'employé modèle, vous me direz. Eh bien non. Vous voyez, personne ne lui avait expliqué qu'il devait rester sur son lieu de travail même si son travail était terminé. Pour lui, ce n'était pas logique (et, pour moi non plus d'ailleurs, mais c'est un autre débat). Ah ! Mais jamais son employeur n'aurait pensé devoir lui expliquer ça... cela semblait tellement évident. Mais pas pour lui. Vous comprenez maintenant pourquoi j'ai souligné la patience un peu plus haut ? Et je ne le répéterai jamais assez. Car c'est la réalité. Ce n'est pas toujours facile. Mais en vaut-il la peine ? Aucun doute là-dessus. Je ne pense pas avoir besoin de souligner qu'une équipe de travail diversifiée est garante de succès. Si l'on dit que deux têtes valent mieux qu'une, imaginez deux têtes complètement différentes. Le prix à payer pour trouver la "perle rare" au sein de votre équipe, c'est peut-être juste un peu d'ouverture d'esprit... 💙

Bonjour les amis,😀 ✨Post débat #bienveillant, #constructif ouvert.✨ Je m’adresse principalement à tout les #professionnels PE, #soignants PE … En tant que professionnelle de la petite #enfance et #soignante, il m’est impossible de ne pas remarquer les débats qui émergent autour de la question du #bisou, du #câlin, ou du petit surnom donné à un enfant. 💋🫂🤗 Ces échanges, parfois #passionnés, révèlent des interrogations profondes sur nos pratiques quotidiennes et sur l’intimité que nous partageons avec les #enfants. 👦🏻👧🏻 Il est essentiel que ces sujets soient abordés sans culpabilité ni jugement. Pourquoi certains professionnels ressentent-ils le besoin de chercher ce contact physique, un câlin par exemple, alors que l’enfant ne l’a pas nécessairement demandé ? Ce n’est pas une question anodine, mais bien un véritable enjeu professionnel. On nous enseigne que le #bisou ou le câlin ne sont pas des interdits — heureusement ! — mais qu’il est crucial de s’interroger sur l’origine de ce besoin : à qui répond-on vraiment ? Sommes-nous en train de combler un #manque #affectif en tant qu’adultes ? Ou bien répondons-nous à un #besoin affectif clairement exprimé par l’enfant ? N’ Est-ce pas la notion de #consentement qu’on aborde ici? Ce sont des questions importantes qui touchent à notre #posture professionnelle et à notre rôle auprès des enfants. Je pense qu’il est temps d’ouvrir un dialogue autour de ces pratiques, pour mieux les comprendre et les ajuster si nécessaire. Si vous souhaitez en discuter et partager vos points de vue, je vous invite à échanger ensemble, dans un cadre bienveillant et respectueux. Au plaisir d’avoir vos retours et d’échanger avec vous à ce sujet 🙏💜 Marine 🍀 Marin'Api Do @followers #marinapido #accompagnementperinatal #accompagnementparental #accompagnementholistique #petiteenfance #auxiliairedepuericulture #Eje #debatpetiteenfance #consentement #bienveillance #questionnement #creche #microcreche

“Ne met pas trop d’affect Mariam.” C’est ce que m’a dit un proche lorsqu’il m’a vu pianoter sur me téléphone à 23h pour essayer de calmer un jeune qui faisait une crise d’angoisse dans sa chambre. Ce même jeune que j’avais eu en atelier quelques heures auparavant et qui avait fondu en larme pour une question que je pensais banale. Travailler avec des adolescents n’est pas une chose anodine. Nous devons dealer avec cette période particulière : entre changements physiologiques, construction identitaire, conflits avec les parents (et les adultes de manière générale), et passage à l’âge adulte et les enjeux que cela implique. Et lorsque pour certains on y ajoute des difficultés d’ordre sociales, économiques, familiales, physiques ou psychiques, le cocktail peut-être explosif ! D’autant que dans nos ateliers on a décidé de mettre les pieds dans le plat : 👉on les pousse à se poser des questions sur qui ils sont et sur ce qu’ils veulent être, 👉 on leur rappelle qu’ils sont légitimes dans notre société et qu’ils ont leur mot à dire sur les maux de notre monde, 👉on leur donne un espace où ils peuvent s’exprimer, être créatifs, proposer des solutions, expérimenter sans avoir peur d’échouer, 👉on les accompagne pour qu’ils puissent prendre confiance et aller au delà de ce qu’ils peuvent penser d’eux-mêmes pour construire leurs propres voies. Et oui ça remue tout ça, surtout quand toute votre vie on a décidé pour vous ou qu’on vous a fait comprendre que vous n’y arriverez pas parce que vous ne venez pas du bon territoire, que vous n’avez pas le bon bagage culturel, que vos parents ne sont pas de vrais français ou que votre handicap est invisibilisé. Et vous qu’auriez vous fait à ma place ? Gardé le lien avec ce jeune qui avait besoin d’assistance à ce moment-là ou vous n’auriez pas mis "trop d’affect" comme me l’a suggéré cet ami ? Dites le moi en commentaire. #adolescence #crise #égalitédeschances #écoute

Quelques phrases qui font du bien à nos enfants A consommer sans modération. Quelles sont les phrases que vous utilisez avec vos enfant ? Le programme d'accompagnement "𝐏𝐚𝐫𝐞𝐧𝐭 𝐄𝐧𝐟𝐚𝐧𝐭 - 𝐒'é𝐥𝐞𝐯𝐞𝐫 𝐞𝐧𝐬𝐞𝐦𝐛𝐥𝐞" que je vous invite à découvrir👇 4 modules pour une #relation plus connectée avec votre enfant 1. M’élever au #cœur de moi-même 2. M’élever au cœur de mon couple - En couple ou séparé 3. La place du couple dans la famille 4. 7 #mythes à démystifier Pour plus de renseignements https://lnkd.in/epHWqXNx #aimer #avenir #developpementpersonnel #Amour #propos #blesser #connexion #blessure ———————————————— 𝐎𝐥𝐢𝐯𝐢𝐞𝐫 𝐁𝐨𝐫𝐠𝐞𝐚𝐮𝐝 J'aide chacun à découvrir sa raison d’être parent et à s’affranchir des codes sociétaux. Auteur de "Parent enfant – S’élever ensemble" - Le livre GPS pour libérer mon étincelle de parent unique.

💡 Pourquoi avoir choisi le nom Happy Moi pour notre association ? Ce nom peut paraître un peu décalé et provocateur vu le sujet traité : le renoncement non choisi et définitif à la parentalité. Pour l’immense majorité des personnes concernées, c’est un véritable deuil à faire. Quand on veut des enfants et qu’on n’en aura jamais, on est souvent isolé, car on rencontre peu de gens dans notre cas. On est aussi souvent malheureux, surtout quand on sort d’un parcours de procréation médicalement assisté éprouvant. On ressent à la fois une immense tristesse, de la culpabilité, de la colère, de la jalousie, parfois, envers ceux qui sont parents. 🧡 Notre association vise à rassembler les non-parents involontaires, pour les faire se sentir moins seuls, à les aider à cheminer hors de ce marasme émotionnel, à trouver leur voie vers le bonheur. D’où le nom, Happy Moi : si ce n’est pas qu'ils ressentent aujourd’hui, ce « moi heureux », c’est ce qu’on souhaite les aider à devenir demain 😊 #infertilité #entraide #solidarité

Aujourd’hui, j’ose partager un rêve un peu spécial : je souhaite à chacun d’avoir un cœur d’autiste. Pourquoi? Parce qu’hier, une conversation avec un ami et une vidéo de Josef Schovanec m’ont rappelé à quel point les personnes neuroatypiques, notamment les autistes, voient le monde à travers un prisme d’innocence, d’amour inconditionnel et d’une sincérité touchante. Ces qualités, loin d’être des faiblesses, sont de véritables forces qui invitent à reconsidérer nos propres perceptions et interactions. Si le handicap est souvent visible dans certains domaines, il est important de reconnaître que dans l'art de l'amour, les personnes autistes peuvent faire preuve d'une surefficience remarquable, là où d'autres, non qualifiés de handicapés, peuvent souffrir d'un handicap du cœur, un aspect que les neuro atypiques ne montrent pas forcément du doigt chez l’autre. Il est vrai que le mot ‘handicap’ évoque souvent des défis, et ceux-ci ne sont pas à minimiser. Cependant, il révèle aussi une diversité d’expériences et de perspectives qui, si elles sont écoutées et valorisées, enrichissent nos interactions. Dans sa vidéo, Joseph Schovanec, avec un brin d’humour, soulignait que nous avons tous nos ‘handicaps’, ces aspects de notre vie où nous comptons sur les autres et sur l’entraide pour avancer. En affirmant ‘Je souhaite à tout le monde d’avoir un cœur d’autiste’, je désire mettre en lumière cette capacité à aimer sans réserve, à s’émerveiller de la simplicité et à percevoir le monde avec une authenticité et une empathie profondes. Chez 𝗙𝗹𝗮𝘀𝗵 𝗜𝗻𝗳𝗼 𝗗𝗶𝗳𝗳𝗲́𝗿𝗲𝗻𝗰𝗲, nous créons des badges avec des QR codes pour faciliter la communication et l’expression des personnes neuroatypiques. Mais au-delà de cet outil, notre mission est de célébrer et de sensibiliser à la différence, car c’est dans la diversité que nous trouvons notre unité et notre force. Avoir un ‘cœur d’autiste’ ce n’est pas souhaiter les difficultés, mais plutôt aspirer à une forme d’amour et de compréhension qui transcende les mots. Et comme me l’a si joliment dit mon ami autiste : « Bon sang… ils vont finir par s’aimer, ces neurotypiques ! »