#Media | Notre président revient dans le Le Journal du Dimanche sur le discours d'Emmanuel Macron sur l’#Europe 👉 https://lnkd.in/dkhxBSQK Il rappelle que le périmètre économique pertinent pour le secteur agricole est résolument européen. Il souligne "𝙦𝒖’𝒂̀ 𝒎𝙖𝒓𝙘𝒉𝙚́ 𝙪𝒏𝙞𝒒𝙪𝒆, 𝙞𝒍 𝒇𝙖𝒖𝙩 𝙙𝒆𝙨 𝙧𝒆̀𝙜𝒍𝙚𝒔 𝒖𝙣𝒊𝙦𝒖𝙚𝒔" et que nous avançons des propositions concrètes pour plus de cohérence, de simplification et de compétitivité, leviers indispensables pour assurer la #SouverainetéAlimentaire de l’Europe. 💬 "Nous proposons davantage de convergence fiscale et sociale. Nous souhaitons développer un #CarboneAct européen afin d'éviter le dumping environnemental et que les coûts de #décarbonation soient bien inclus dans les échanges internationaux. Enfin nous voulons lever les freins idéologiques et réglementaires pour avoir accès aux technologies et à l'#innovation agronomique" Sur le projet de loi d’orientation agricole, examiné cette semaine par la commission des Affaires économique de l’Assemblée nationale, Dominique Charge demande davantage de moyens pour engager les #jeunes dans des projets économiques résilients. Il appelle au renforcement du projet de loi sur deux volets ➡ "un volet compétitivité et un volet accompagnement des transitions, intégrant la sécurisation des moyens de production : l'eau, la génétique végétale, animale, les engrais et les moyens de protéger les cultures". Florence PRADIER Marc Fesneau Ministère de l'Agriculture et de la Souveraineté alimentaire Agnès Pannier-Runacher Olivia Gregoire Roland Lescure Matthieu PASQUIO Hélène Roué Virginie His Thibault Bussonnière Sabri Derradji European Commission Christophe Clergeau Irène Tolleret
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🗞️ Tribune de Arnaud Rousseau, Président #FNSEA | "Il faut plus d’Europe pour les agriculteurs. [...] Votons pour redonner à l'agriculture son rôle central de la construction européenne !" 🚜🇪🇺 Arnaud Rousseau demande aux futurs députés européens d’ériger la souveraineté alimentaire et agricole en enjeu stratégique pour l’UE. Extraits ⤵️ - 🎙️ "L'Europe s'est désarmée sur le plan agricole, alors que le secteur est, depuis l'origine, un axe structurant des politiques européennes et qu'il est, au regard des enjeux actuels, un formidable levier de croissance." […] - 🎙️ "Le #GreenDeal, et sa déclinaison #FarmToFork ont été construits sur des objectifs de décarbonation qui ne prennent pas en compte l'impact sur la production agricole, sur sa sécurité alimentaire et sur sa participation aux grands équilibres géopolitiques mondiaux." […] - 🎙️ "Le #revenu des agriculteurs a été sacrifié sur l'autel des importations et d'accords commerciaux déséquilibrés. Alors que toute l'Europe agricole est confrontée à un important renouvellement des générations, le goût d'entreprendre est asphyxié par une surenchère normative et par des ambitions écologiques plus punitives qu'incitatives." […] - 🎙️ "Pour les 5 prochaines années, nous attendons des inflexions majeures dans le programme de travail des institutions européennes. Nous serons attentifs aux propositions qui font de la souveraineté alimentaire et agricole un enjeu stratégique, accompagnées d'une ambition claire intégrant : 👉 préservation du potentiel agricole, protégé par la réciprocité des normes ; 👉 réhabilitation d’une agriculture de solutions, fondée sur le pragmatisme agronomique et l’innovation ; 👉 protection des agriculteurs, avec des revenus pour tous et du soutient dans le développement de pratiques vertueuses ; 👉 accompagnement et confiance pour investir et œuvrer à l’attractivité du secteur." -- 🔗 A lire sur La Tribune : https://lnkd.in/e5Vz-Npd
« Il faut plus d’Europe pour les agriculteurs » (par Arnaud Rousseau, président de la FNSEA)
latribune.fr
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🇪🇺 [Elections européennes : les 27 propositions des Chambres d'agriculture pour une Europe agricole] Dans un contexte de crise agricole inédite par son ampleur dans toute l’Europe, les Chambres d’agriculture tiennent à apporter leur expertise technique pour éclairer les débats qui façonneront la prochaine mandature du Parlement européen et de la Commission européenne. Plus que jamais, il est nécessaire de revenir aux cinq objectifs fondamentaux de la Politique Agricole Commune (PAC), tels que mentionnés dans le traité de Rome en 1957 : ➡️ accroître la productivité de l’agriculture, ➡️ assurer un niveau de vie équitable à la population agricole, ➡️ stabiliser les marchés, ➡️ garantir la sécurité des approvisionnements, ➡️ assurer des prix raisonnables aux consommateurs. C’est dans cet esprit que l’ensemble du réseau des Chambres d’agriculture s’est mobilisé pour élaborer 27 propositions concrètes visant à : ✅ remettre la production au cœur de la politique agricole européenne, ✅ mieux protéger nos producteurs, ✅ renforcer l’accompagnement des agriculteurs dans les transitions. Découvrez ces 27 propositions 👇 https://lnkd.in/ecKSMUQA
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📣 Audition hier du ministre de l’agriculture, M. Marc Fesneau, en commission des affaires économiques. 🚜 Alors que le secteur agricole fait face à de multiples pressions, j’en ai profité pour alerter le ministre sur les réponses structurelles qu’il est temps déployer pour répondre aux défis du secteur et pour accompagner les agriculteurs. Transmission, accès au foncier, souveraineté alimentaire, concurrence déloyale, reforme du système assurantiel, transition agroécologique toutes ces ambitions doivent s’adjoindre de mesures concrètes. 🌿 Le projet de loi d’Orientation et d’Avenir Agricole qui doit être présenté d’ici la fin du mois doit impérativement comprendre l’ensemble de ces enjeux. #assembleenationale #agriculture #transition #souverainetéalimentaire #agroécologie
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#PAC | Hier après-midi, #MickaelMarcerou, notre vice-président en charge des questions européennes, participait à une table ronde au Sénat sur l’avenir de la politique agricole commune 🤝 L’occasion de rappeler que l’#agriculture doit retrouver sa place stratégique au sein de l’#UnionEuropéenne pour sauvegarder notre souveraineté #alimentaire et préserver notre place sur les marchés internationaux. Nous plaidons pour une PAC forte, grâce à un budget revalorisé, qui assure un revenu décent aux #agriculteurs et maintient la #compétitivité des coopératives face aux défis économiques, sociaux et environnementaux actuels !
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Plus ou moins d'Europe ? Si l’agriculture n’est pas au cœur de toutes les campagnes électorales, la mobilisation des agriculteurs dans toute l’Europe est toujours bien présente comme ces derniers jours entre la frontière espagnole et française. A quelques jours de l'unique scrutin qui dessinera l'avenir de l'Europe, d'après un récent sondage (CEVIPOF), voici les principales attentes des agriculteurs français (sans surprise) : - 57% demandent plus de cohérence voire d'harmonisation entre les réglementations des Etats-membres - 50% souhaitent une protection des marchés nationaux contre la concurrence extra-européenne et intra-européenne - 50% réclament un assouplissement des normes environnementales En synthèse : de la justice et de l'équité, une Europe protectrice et non débridée, du pragmatisme et moins d'idéologie. Alors que 9 millions d'exploitations agricoles couvrent 40% de l'espace Européen et nourrissent près de 500 millions de personnes, l'Europe agricole doit miser sur la justice et la protection, la qualité, la souveraineté, l'économie et la transition agroécologique juste. La souffrance de ceux qui nous nourrissent n'est plus acceptable. Aux urnes citoyens !
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[#LFE décrypte l'UE] Pour Gabriel Attal, mettre l'agriculture « au rang des intérêts fondamentaux de la nation » est désormais une nécessité. Dans son discours, ce mercredi 21 février, le chef du gouvernement annonçait une succession de projets et de mesures relatifs au monde agricole, dont notamment le renforcement de la loi Egalim, afin de subvenir aux besoins des agriculteurs précaires. Car si le revenu moyen des agriculteurs s’est globalement maintenu, voir a progressé entre 1990 et 2020, les inégalités de revenu entre agriculteurs sont importantes et, en particulier, entre types de production. Les subventions actuelles de la politique agricole commune (PAC° ne semblent pas contribuer à réduire ces inégalités. La valeur totale de la production agricole est également en chute, à cause de la baisse du nombre d’agriculteurs et l’augmentation concomitante de la taille des exploitations. Même si ces évolutions sont progressives, elles alimentent le sentiment du monde agricole d’être de moins en moins reconnu, voire marginalisé, au sein de la société française. A l'heure actuelle, en l'absence des subventions de la PAC, l’agriculture française (et également celle de la plupart des pays de l'UE) serait économiquement non viable. La PAC cristallisera donc l'attention à l'issue des prochaines élections européennes, le 9 juin prochain. Pour en savoir plus, découvrez l'éclairage apporté par Bernard Chevassus-au-Louis, Président d’Humanité et Biodiversité, dans la fiche « Politique agricole et alimentaire européenne, une nécessaire refondation » de notre dossier. L'ensemble du dossier est à retrouver ici :⏬ : https://lnkd.in/esbS9Vj9 Heinrich Böll Stiftung Rabat Le Basic Solagro Collectif Nourrir Amelie Poinssot
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#Media | À lire dans Le Télégramme 👉 https://lnkd.in/ezZR2_uR Dominique Charge 💬 "𝐽'𝑎𝑡𝑡𝑒𝑛𝑑𝑠 𝑑𝑢 𝐺𝑜𝑢𝑣𝑒𝑟𝑛𝑒𝑚𝑒𝑛𝑡, 𝑒𝑡 𝑝𝑎𝑟𝑡𝑖𝑐𝑢𝑙𝑖𝑒̀𝑟𝑒𝑚𝑒𝑛𝑡 𝑑𝑢 𝑓𝑢𝑡𝑢𝑟 𝑚𝑖𝑛𝑖𝑠𝑡𝑟𝑒 𝑑𝑒 𝑙'𝐴𝑔𝑟𝑖𝑐𝑢𝑙𝑡𝑢𝑟𝑒, 𝑞𝑢'𝑖𝑙 𝑓𝑖𝑥𝑒 𝑢𝑛𝑒 𝑎𝑚𝑏𝑖𝑡𝑖𝑜𝑛 𝑓𝑜𝑟𝑡𝑒 𝑝𝑜𝑢𝑟 𝑙'#𝑎𝑔𝑟𝑖𝑐𝑢𝑙𝑡𝑢𝑟𝑒 𝑒𝑡 𝑙’#𝑎𝑔𝑟𝑜𝑎𝑙𝑖𝑚𝑒𝑛𝑡𝑎𝑖𝑟𝑒, 𝑎𝑣𝑒𝑐 𝑙𝑎 𝑚𝑖𝑠𝑒 𝑒𝑛 𝑝𝑙𝑎𝑐𝑒 𝑑’𝑢𝑛𝑒 𝘀𝘁𝗿𝗮𝘁𝗲́𝗴𝗶𝗲 𝗰𝗼𝗻𝗾𝘂𝗲́𝗿𝗮𝗻𝘁𝗲 ! 𝐹𝑎𝑐𝑒 𝑎𝑢𝑥 𝑑𝑒́𝑓𝑖𝑠 𝑐𝑟𝑜𝑖𝑠𝑠𝑎𝑛𝑡𝑠 𝑙𝑖𝑒́𝑠 𝑎𝑢𝑥 𝑎𝑙𝑒́𝑎𝑠 𝑐𝑙𝑖𝑚𝑎𝑡𝑖𝑞𝑢𝑒𝑠, 𝑎𝑢𝑥 𝑡𝑒𝑛𝑠𝑖𝑜𝑛𝑠 𝑔𝑒́𝑜𝑝𝑜𝑙𝑖𝑡𝑖𝑞𝑢𝑒𝑠, 𝑎̀ 𝑙𝑎 𝑝𝑒𝑟𝑡𝑒 𝑑𝑒 #𝑐𝑜𝑚𝑝𝑒́𝑡𝑖𝑡𝑖𝑣𝑖𝑡𝑒́ 𝑑𝑒 𝑛𝑜𝑡𝑟𝑒 𝑠𝑒𝑐𝑡𝑒𝑢𝑟, 𝑛𝑜𝑢𝑠 𝑎𝑣𝑜𝑛𝑠 𝑏𝑒𝑠𝑜𝑖𝑛 𝑑’𝑢𝑛 𝑐𝑎𝑝 𝑐𝑙𝑎𝑖𝑟 𝑒𝑡 𝑎𝑚𝑏𝑖𝑡𝑖𝑒𝑢𝑥 𝑝𝑜𝑢𝑟 𝑐𝑜𝑛𝑡𝑖𝑛𝑢𝑒𝑟 𝑎̀ 𝑛𝑜𝑢𝑟𝑟𝑖𝑟 𝑑𝑢𝑟𝑎𝑏𝑙𝑒𝑚𝑒𝑛𝑡 𝑙𝑎 𝐹𝑟𝑎𝑛𝑐𝑒 𝑒𝑡 𝑙𝑒 𝑚𝑜𝑛𝑑𝑒." À l'occasion du SPACE Rennes, notre président a accordé une interview au quotidien breton #LeTélégramme. Il y évoque les priorités stratégiques pour le secteur, notamment l'élaboration d'une nouvelle #PLOA (Politique de Loi d'Orientation Agricole) renforcée. Celle-ci devra mettre l'accent sur la compétitivité, la modernisation des équipements et l'agrandissement des exploitations d'élevage, des facteurs déterminants pour garantir la pérennité des modèles économiques agricoles. Florence PRADIER Michel Barnier Jean Le Borgne Matthieu PASQUIO Anne Haller
Dominique Chargé, président de la Coopération agricole : « Le projet de loi agricole doit être musclé »
letelegramme.fr
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Cette semaine sur #IQSOG / Xerfi Canal Bertrand Valiorgue, professeur à emlyon business school et Directeur de l’Institut français du gouvernement des entreprises (IFGE), explore la crise agricole en France et ses liens avec la Politique Agricole Commune (PAC) de l'Union Européenne. Il aborde cette thématique dans le contexte de son ouvrage "Refonder l'agriculture à l'heure de l'anthropocène" qui examine les défis contemporains de l'agriculture. Bertrand Valiorgue souligne la crise historique traversée par le secteur agricole, marquée par une intensité de mobilisation et de colère inédite parmi les agriculteurs. Il identifie la PAC comme une source majeure de contradictions et de tensions au sein du monde agricole. Cette politique, bien que fondamentale dans la construction européenne, présente selon lui une série d'ambiguïtés et de contradictions, notamment depuis les années 90 avec la libéralisation du marché et l'ouverture au commerce international, ce qui a placé les agriculteurs européens en concurrence directe avec ceux du reste du monde. La PAC a initialement cherché à protéger les agriculteurs européens tout en favorisant la compétitivité internationale. Cependant, cette stratégie s'est révélée problématique au fil du temps, car les agriculteurs non européens ont gagné en compétitivité, mettant en péril la position des agriculteurs européens. Cette dynamique a engendré une pression constante sur les agriculteurs pour augmenter leur productivité et compétitivité, souvent au détriment de la durabilité environnementale. Bertrand Valiorgue pointe également les contradictions croissantes de la PAC depuis les années 2000, avec l'introduction de contraintes environnementales qui exigent une agriculture plus durable. Ces exigences de durabilité, bien que nécessaires, créent des tensions supplémentaires pour les agriculteurs, déjà confrontés à la nécessité de rester compétitifs sur le marché mondial. Selon Valiorgue, cette situation crée un "double bind" ou une injonction paradoxale pour les agriculteurs, qui doivent naviguer entre des objectifs souvent contradictoires de compétitivité et de durabilité. Ce conflit génère une détresse économique et psychologique significative parmi les agriculteurs, contribuant au malaise agricole observé. L'analyse de Valiorgue met en lumière la complexité et les défis du secteur agricole, exacerbés par des politiques qui imposent des contradictions insolubles. Il suggère que la résolution de cette crise passe par une réflexion profonde quant à la manière de concilier les impératifs économiques et environnementaux dans la politique agricole. 🔗 https://lnkd.in/eC5sjxv7
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🌾 𝐋'𝐀𝐠𝐫𝐢𝐜𝐮𝐥𝐭𝐮𝐫𝐞 𝐅𝐫𝐚𝐧𝐜̧𝐚𝐢𝐬𝐞 𝐚̀ 𝐥𝐚 𝐂𝐫𝐨𝐢𝐬𝐞́𝐞 𝐝𝐞𝐬 𝐂𝐡𝐞𝐦𝐢𝐧𝐬 🌦️ Face aux défis climatiques, économiques et sociaux, l’agriculture française, pilier de notre souveraineté alimentaire, traverse une période critique. Des sécheresses répétées aux accords internationaux comme le Mercosur, en passant par la baisse des prix agricoles et la difficulté de transmettre les exploitations, les agriculteurs font face à une tempête sans précédent. 𝐂𝐡𝐢𝐟𝐟𝐫𝐞𝐬 𝐚𝐥𝐚𝐫𝐦𝐚𝐧𝐭𝐬 : 📉 En 2022, -10 à -20 % de rendement moyen pour les cultures céréalières. 🥔 Rendements des pommes de terre au plus bas depuis 30 ans. 📈 Explosion des coûts : engrais, carburant, matériel, et nouvelles technologies. 𝐐𝐮𝐞 𝐟𝐚𝐢𝐫𝐞 ? ♻ Soutenir la 𝐭𝐫𝐚𝐧𝐬𝐢𝐭𝐢𝐨𝐧 𝐚𝐠𝐫𝐨𝐞́𝐜𝐨𝐥𝐨𝐠𝐢𝐪𝐮𝐞 pour des pratiques plus durables. 👨🌾 Promouvoir des circuits courts et des prix justes entre agriculteurs et distributeurs. 👶 Faciliter l'installation des jeunes, avec un meilleur accès au crédit et un accompagnement adapté. 💪 Renforcer la souveraineté alimentaire face à une concurrence internationale parfois déloyale. 🤝 𝐋’𝐚𝐯𝐞𝐧𝐢𝐫 𝐝𝐞 𝐥’𝐚𝐠𝐫𝐢𝐜𝐮𝐥𝐭𝐮𝐫𝐞, 𝐜’𝐞𝐬𝐭 𝐥’𝐚𝐟𝐟𝐚𝐢𝐫𝐞 𝐝𝐞 𝐭𝐨𝐮𝐬. 𝐀𝐜𝐡𝐞𝐭𝐨𝐧𝐬 𝐥𝐨𝐜𝐚𝐥, 𝐬𝐨𝐮𝐭𝐞𝐧𝐨𝐧𝐬 𝐧𝐨𝐬 𝐚𝐠𝐫𝐢𝐜𝐮𝐥𝐭𝐞𝐮𝐫𝐬, 𝐞𝐭 𝐞𝐱𝐢𝐠𝐞𝐨𝐧𝐬 𝐝𝐞𝐬 𝐩𝐨𝐥𝐢𝐭𝐢𝐪𝐮𝐞𝐬 𝐚̀ 𝐥𝐚 𝐡𝐚𝐮𝐭𝐞𝐮𝐫 𝐝𝐞𝐬 𝐞𝐧𝐣𝐞𝐮𝐱. 🌱 Je vous donne un état des lieux dans mon article sur Le Comptoir des Eleveurs 💬 Et vous, quelles sont vos solutions pour préserver notre agriculture et nos campagnes ?
Soutenir l'agriculture française : un enjeu climatique, économique et social
comptoir-des-eleveurs.com
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Vademecum pour les politiques qui souhaiteraient séduire les agriculteurs @fnsea 😉 Voici l'essentiel à retenir des 27 propositions de la FNSEA à l'attention des candidats députés : 01 Fiscalité : une nouvelle ambition pour renouer avec la compétitivité 02 EGALIM : une nouvelle loi 03 Origine : un étiquetage obligatoire 04 Emploi : alléger les charges 05 Agrivoltaïsme : sécuriser et partager la valeur 06 Carbone et services environnementaux : meilleure rémunération 07 PAC : budget à la hauteur des ambitions 08 Eau : accélérer les chantiers, simplifier les règlementations 09 Phytosanitaires : « pas d’interdiction sans solution » 10 Projets agricoles : encadrer les procédures de recours et de contentieux 11 Transmission : allégeant la fiscalité 12 Droit à l’essai : pour prévenir des situations de mésentente entre associés, 13 Foncier : moderniser le statut du fermage. 14 Emploi : faciliter le recours au salariat 15 Souveraineté : inscriptiondans le code rural, dans le code pénal et dans le code de l’environnement 16 Retraite : calcul sur les 25 meilleures années 17 Sanctions : introduire un droit à l’erreur 18 Mal-être : mettre en place un dispositif d’”aide relai” 19 Changement climatique : instaurer une trajectoire d’accompagnement 20 Formation : déploiement de moyens dédiés à la formation et à la reconversion 21 Agriculture biologique et MAEC : Payer dans les délais ! 22 Elevage : pour des mesures de soutien et de reconquête de notre souveraineté : 23 Ruralité : affirmer la vocation productive des territoires et facilitant le vivre ensemble 24 Pastoralisme : diminuer la pression de prédation 25 Agricultures ultramarines : mesures spécifiques, adaptées aux territoires 26 Importations agricoles : imposer les « mesures miroirs » 27“Farm to Fork” : Replaçer l’objectif de souveraineté alimentaire au cœur de politiques européennes
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Agriculteur
7 moisLorsqu’on parle de sécurisation des moyens de productions ….on doit placer en premier l’humain ( qui n’apparaît pas dans la liste ) ….c’est un signe ou volontaire ? Et bien évidement l’énergie ( citée sous le seuil angle de l’engrais qui sera très compliqué à sécuriser ) qui est incontournable dans nos agrosystèmes productifs et très centrés sur cette dépendance ….puisque la population active agricole est très faibl , décroît , ne se renouvelle pas dans tous les territoires de la même manière . Gros chantier en perspective , voir trop gros chantier pour arriver en une seule loi d’orientation agricole à faire évoluer les directions . Mais à force de parler de transitions sans vouloir y aller depuis l’amont à l’aval des filières nous rentrerons en ruptures , et ce ne sera ni compétitif ni durable