Post de La revue de presse du retail

Bonjour à tous les acteurs de la distribution et des produits à la Réunion ! 🇷🇪 Je viens de lire un article de Virginie Pinson dans Les Marchés qui aborde des questions importantes concernant la consommation responsable, le changement des tendances de consommation et la diminution des gammes de produits #Bio. 🌱 L'article souligne un phénomène intéressant : la chute des ventes de produits responsables (bio, équitable, labellisés... Cette diminution est en partie due à une diminution de l'offre en magasin qui affecte directement la visibilité et la disponibilité de ces produits pour les clients. C'est un cercle vicieux qu'il nous faut rompre. 🔄 Il est essentiel que les enseignes de grande distribution repensent leur approche de merchandising pour valoriser davantage les produits locaux dans un contexte où la consommation locale revêt une importance capitale pour notre économie insulaire. 🏪 Voici quelques réflexions à formuler : 1️⃣ - Le concept de « #local » est encore flou et varie d'une marque à une autre. Des critères précis devraient être mis en place afin d'orienter les consommateurs vers les produits locaux. Il serait possible d'explorer une initiative similaire à la rayon Péi impliquant des distributeurs tels que le Mouvement E. Leclerc Réunion. Il est nécessaire de l'installer sur toute l'île. Une charte entre les acteurs économiques locaux est louable pour améliorer la visibilité des produits locaux en rayonnement et limiter l'importation. Quand la charte a-t-elle été signée avec ADIR Association pour le développement industriel de La Reunion en 2021? Quel est le résuiltat aujourd'hui ) 3️⃣ - Les produits locaux sont encore très coûteux et il y a encore peu de communication à ce sujet. Il est essentiel de promouvoir les petites et moyennes entreprises/artisans locaux capables de satisfaire la demande et de remplacer les produits importés. 4️⃣ - Quelle est l'attitude des marques face à la notion de « #local » dans un contexte insulaire ? Est-ce qu'elles ont développé des initiatives spécifiques visant à promouvoir les circuits courts et à soutenir les producteurs locaux ? 5️⃣ - Quel rôle jouent les labels locaux, tels que #centpourcentréunion ou #noulafé, dans la promotion des produits locaux ? Est-ce que ces initiatives peuvent avoir une influence positive sur le marché local ? En fin de compte, notre marché insulaire présente des défis uniques qui nécessitent une réflexion approfondie et des actions concertées. Mettre en avant les produits du terroir réunionnais dans nos rayons est une bonne idée non seulement pour notre budget, mais également pour la nature et le bien-être de notre communauté. 🌴🤝 Dite moi ce que vous en pensez et ce que nous pouvons faire pour favoriser une consommation plus écologique et locale à La Réunion ! 🚀🇷🇪 #IledelaRéunion #ProduitsPéis #GrandeDistribution #ProduitsLocaux #RéunionIsland

La revue de presse du retail : Prix du bio - 9 enseignes passées au crible - Actualité - UFC-Que Choisir: Nous avons effectué 1 300 visites en grandes surfaces pour comparer les efforts de la grande distribution en faveur d'une alimentation saine et ... ==> Abonnez vous à la revue de presse du retail #retail #distribution #commerce

Les hausses de prix ont été plus modérées dans les magasins Bio qu'en GMS en 2022 et 2023. Avec, notamment, des augmentations quasi deux fois plus élevées en GMS pour le lait, les œufs et les jus de fruits. Aujourd'hui, de nombreux produits bio, en magasins spécialisés, ne sont ainsi pas plus chers que les produits non bio en GMS. Alors pourquoi ne pas choisir le Bio 😊🌾 ? 🌿 L'agriculture biologique, c'est moins de pesticides : réduction de l'exposition à des substances potentiellement nocives. 👩🌾 La bio encourage l'agriculture durable : préservation des sols, de l'eau et de la biodiversité. Réduction de la pollution des sols, et moins d'utilisation de produits chimiques. 💡 La Bio soutien de l'agriculture locale : circuits courts et réduction de l'empreinte carbone. 🍊 La Bio c'est aussi le Goût : souvent plus savoureux en raison de méthodes de culture respectueuses. C'est plus de nutriments : certaines études suggèrent une plus grande concentration en vitamines et minéraux. 🐄 L'agriculture Bio favorise également le bien-être animal avec des conditions d'élevage respectueuses : plus d'espace, une alimentation naturelle, pas d'antibiotiques systématiques. 👉 En résumé, en choisissant les produits bio, vous faites un geste pour votre santé, votre commerce local, l'environnement et le bien-être animal. C'est une façon de consommer plus responsable et de soutenir une agriculture durable. #agriculturebiologique #agroecologie #transitionagricole #consommacteurs

La revue de presse du retail : Le Grand Panier Bio : une croissance de 10 % portée par les produits frais: Depuis le début de 2024, Le Grand Panier Bio (19 magasins bio en France) observe une croissance de 10 %, marquée par une forte demande pour les fruits et légumes, les produits frais et bruts. S’il considère que le marché reste fragile, Bertrand Pérot se montre optimiste pour les mois à venir, grâce à une […] ==> Abonnez vous à la revue de presse du retail #bio #commerce #retail

La revue de presse du retail : Pourquoi un magasin bio a intérêt à réaliser un Audit Prix ?: Fabien Hennebo d’Opti-Mix a présenté lors du salon Natexpo sur le Forum des Bio Tendances l’intérêt pour les magasins bio de réaliser un « Audit Prix ».Les consommateurs sont de plus en plus attentifs au prix. Ce phénomène s’est amplifié avec l’inflation. Rappel : pour 65 % des consommateurs bio, le premier critère de choix est le prix pour choisir un produit alimentaire*. Opti-Mix nous explique comment faire pour passer des 20/80 à la gestion des ABC pour affiner votre politique prix magasin ! Aujourd’hui, la plupart des enseignes nationales et régionales des magasins spécialisés bio réalisent des audits prix une à trois fois par an. En revanche, il y a peu de demande de la part des indépendants et groupements d’indépendants. Les principales raisons invoquées sont multiples : « ils n’en voient pas l’intérêt », « ilsne savent pas comment exploiter la donnée », « ils pensent que cela coûte […] Pour accéder à cette publication, vous devez être abonné. https://lnkd.in/e6Wmuy7H. ==> Abonnez vous à la revue de presse du retail #bio #commerce #retail

94% des enseignes bio ont vu en 2023 le chiffre d’affaires du rayon fruits et légumes augmenter, selon l’enquête menée par Bio Linéaires auprès de la distribution spécialisée représentant 1934 points de vente. Il figure désormais en tête des rayons à prioriser pour les magasins bio. Il faut dire que grâce à une inflation contenue en réseau bio et à l’absence d’intrants chimiques de synthèse, le rayon est désormais souvent moins cher que son équivalent (bio) en GMS, comme l’ont confirmé plusieurs relevés comparatifs entre les deux réseaux de distribution. Notre article (en libre accès) 👇 https://lnkd.in/dEmnTsrH philippe DELRAN ANTOINE LEMAIRE Fabien Foulon Bernard Ollié BURKHARD SCHAER

Dans #vendredibio aujourd’hui, nous parlons prix 💶. Et plus précisément, de l’écart de prix entre le bio et le conventionnel 🥦🍅. D’après vous, l’écart de prix entre conventionnel et bio : ⬆️ S’accroît ? ➡️ Se stabilise ? ⬇️ Diminue ? Et pourquoi ? (Vous avez 4 heures 🕓) #épreuvedephilo NB : on parle bien ici du prix de l’étiquette et pas du coût environnemental ou humain. D'après le panel consommateurs Kantar, l'écart de prix moyen d'un article (unitaire) payé par les clients pour un produit bio par rapport au conventionnel se réduit depuis trois ans. Il est passé de 22 % en 2021, à 11 % en 2024*. Cette approche ne prend cependant pas en compte tous les aspects, comme le poids de l'article (le bio privilégiant les plus petits conditionnement), son positionnement (le bio étant comparé ici une offre concurrente qui comporte des premiers prix) et surtout les assortiments (le bio étant présent sur des catégories plutôt valorisées). Cependant, il est je pense révélateur de la tendance. Les chiffres semblent juste minimisés. LINEAIRES dans ses différentes études (qui commencent à dater 😉 Agathe Lejeune) trouvait un écart de prix entre 50 et 70 % (en GMS) sur des codes strictement comparables. *données sur 12 mois arrêtés en juin 2024, tous circuits de distribution et sur les PGC-FLS uniquement.

La revue de presse du retail : Moins d'acheteurs, moins de surfaces : la bio toujours en crise - Reporterre: ... grandes surfaces (-3,8 %) — notamment celles de fruits, dont la présence en rayon a beaucoup diminué. « On espère que la grande distribution ... ==> Abonnez vous à la revue de presse du retail #retail #distribution #commerce

Il y a litre de lait et litre de lait. Il y a transparence et transparence. Du concret pour illustrer le concept. Le vocabulaire "bonne conscience" : - "Ce xxx rémunère au juste prix son producteur" - C'est qui le patron - "Merci" - Intermarché - "Soutenons nos agriculteurs" - Leclerc - "Filière qualité Carrefour" - Carrefour - "Solidaires pour soutenir nos agriculteurs" - Auchan Les slogans vont dans le bon sens, non ? Selon les mots choisis, c'est la bonne voie. Qu'en est-il du réel ? 🔍 J'ai analysé la fiche produit d'un litre de lait 1/2 écrémé 🥛 associée au slogan et vérifié la véracité des mots sur les sites (le consommateur ne devrait pas à avoir à contacter une enseigne pour savoir ce qu'il achète). Ils sont tous origine 🇫🇷. Ouf ! mais est-ce suffisant ? 😰 Il a fallu se retrousser les manches et avoir du temps pour la comparaison : 4h !! (en 2024, c'est toujours galère de trouver l'information). 𝗖'𝗲𝘀𝘁 𝗾𝘂𝗶 𝗹𝗲 𝗽𝗮𝘁𝗿𝗼𝗻 🟢 (1,27€/l => 0,54€ au producteur = 42,5%) Effort de recherche = 0/10 (tout est sur la même page) Transparence absolue (avec une répartition du prix, actualisée, imbattable !). Il est indéniable que le créneau "équitable", par la preuve, les ait projeté à la 🥇 1ère place des marques des 10 dernières années 🥇 . Confiance des consommateurs gagnée. 𝗜𝗻𝘁𝗲𝗿𝗺𝗮𝗿𝗰𝗵𝗲́ 🟠 (1,12€/l => 0,44€ au producteur pour 0,88€/l acheté en 2020 = 50%) Effort de recherche = 4/10 (Une seule page - prix sur le drive uniquement) La page n'est pas à jour depuis 2020. Dommage : l'effort engagé est louable. Il mérite d'être maintenu à la vue du contexte agricole récent. La transparence datant de 2020 induit une inquiétude quant à une juste rémunération en 2024 (maintient des 50% ?). 𝗟𝗲𝗰𝗹𝗲𝗿𝗰 - 𝗖𝗮𝗿𝗿𝗲𝗳𝗼𝘂𝗿 ⚪ (L = 1,05€, C = 1,17€/l => Aucune info de % rém producteurs) Effort = 8/10 (dilué dans plusieurs pages - prix sur le drive) Les deux, même combat. 2~3 chiffres évoqués, 2~3 jolis mots parsemés dans 2~3 paragraphes. Sans remettre en cause leurs démarches, rien de concret à vérifier. Ils ont une stratégie 2~3. 𝗔𝘂𝗰𝗵𝗮𝗻 ⚫ (1,13€/l => Aucune info de % rém producteurs) Effort = 8/10 (surpris de la pauvreté de l'info, j'ai plusieurs fois fouillé avant de constater le vide) C'est le néant : "[...] Marguerite, Noisette, Splendide,... pâturant librement sur les prairies de notre beau pays [...]". J'ai de la peine pour la personne qui s'est fracturée les poignets la veille de l'écriture. En France : consommation de 49kg de lait/an/habitant. Entre le moins cher (Leclerc) et le plus cher (CQLP) : 20% d'écart = 10,78 € sur 49l de lait. Combien pour le producteur ? Seul CQLP nous le dit. Les autres ? impossible de vérifier leurs slogans en 2024. #Transparence #Équitable #Juste #Rémunération --- Illustration personnelle. Toutes les sources en commentaires.