Post de Laetitia Martinet

Refuser de se trahir, même au prix fort. Aujourd’hui, j’ai pris une décision difficile. J’ai refusé une possibilité de mission passionnante – sur la Communication Non Violente, les Risques Psychosociaux, l’Intelligence Émotionnelle – parce qu’elle émanait d’un grand groupe dont la façon de faire son métier piétine mes valeurs de respect du vivant. On m’a dit : "Si personne ne vient changer les choses de l’intérieur, rien ne bougera." Mais voilà, être l’alibi d'une entreprise qui se sert de ces initiatives pour se donner un vernis "de prendre soin", pendant que tout le reste de ses activités ne concourt qu'à la seule recherche de profit, quel qu'en soit le prix pour le vivant ? Non merci. En tant qu'indépendante, ce choix impactera directement mes revenus. Mais je ne me voyais pas aider cette entreprise là, même si derrière le mot "entreprise" il y a toujours des humains. D'autres consultants ou coachs iront à ma place, c'est sur ! (Car tout le monde n'a pas la possibilité de faire mon choix ou ne se pose pas ces questions) Ma démarche vous semblera donc peut être absurde car l'entreprise sera finalement aidée, mais juste pas par moi... Alors, faut-il accepter de faire un compromis ou rester fidèle à ses principes, quitte à en payer le prix ? Je choisis la fidélité à mes valeurs. Et vous, qu’en pensez-vous ? #Valeurs #Ethique #Indépendance #RSE #TransformationProfonde #Changement #Leadership

Le terme “business”, une connotation si négative dans nos contrées 😳 Alors que je n’avais pas pu m’empêcher de défendre, sur une publi Fb, la place du chien en forêt, un fonctionnaire publique me lance un “évidemment on touche à votre business” J’aurais aimé lui répondre que son salaire ne tombait pas des arbres, arbres dont il pense être le seul défenseur légitime, mais je me suis abstenue à poursuivre un débat stérile, cela aurait été l’équivalent d’essayer de faire des longueurs dans ma baignoire 🛁 Mais ce qui est assez dingue dans cette anecdote, c’est que certains prennent en effet l’expression “faire du business” comme quelque chose de négatif, comme une attaque possible à lancer. Et c’est vrai, lorsque j’ai été cible pour la première fois de ce genre de remarque, je dois être honnête… ça a eu son effet. Mais à y réfléchir, POURQUOI devrais-je me sentir mal à l’aise de faire du business ⁉️ ✅J’ai démarré de 0 mon activité qui est devenu rapidement “notre” activité, ✅j’ai créé mon emploi puis de l’emploi à mon échelle et continue à le faire à notre échelle, ✅nous répondons à une demande et un besoin réel du quotidien ✅ nous contribuons à la bonne santé de nos chiens et le bien-etre de ses humains ✅nous assumons tous les aléas des flux économiques comme n’importe quelle entreprise ✅je ne sais jamais vraiment quand je termine de travailler comme beaucoup d’indépendants passionnés ✅je n’ai pas eu de congé de maternité mais je trouve autrement comment profiter de mon rôle de mère tout en assurant les besoins de notre entreprise ✅nous avons tenus durs pendant le covid et tenons bons encore maintenant malgré les dettes que cette période a engendré ✅…. ❌ devrions-nous rougir? ✅ “faire du business” peut être synonyme de la Défense d’une cause Pourquoi chez nous l’échec semble parfois attirer plus l’empathie que la réussite ? Il est temps qu’on évolue ! Et que cela n’en déplaise à certains, si certaines fonctions publiques fonctionnaient parfois un peu plus comme le privé, sûrement gagnerions nous en efficacité 🚀 👉 Oui, je fais du business 👉 Oui, je fais du business et je défends une cause voir plusieurs… Je prône une liberté maîtrisée et équilibrée du chien, dans le partage de tous et de tout et je m’insurge quand on ne respecte pas nos arbres 🌳 ou nos chevreuils 🦌 tout en étant payée par des amoureux du chien 🐶 ✍🏻C’est compatible et c’est d’ailleurs cette passion qui m’anime depuis 14 ans. 🍀 #business #fonctionpublique #politique #entrepreneur #mentalité

Un parfait résumé de notre vie d'entrepreneur ! 👌

On partage tous nos succès sur @linkedin mais parfois c’est dur d’être #entrepreneuse… Derrière une grande liberté 🌟et indépendance de choix, de décisions, il y a aussi la #réalité : des factures impayées des relances épuisantes des négociations musclées avec des partenaires qui ne respectent pas leurs engagements les journées et week-end à rallonge parfois car on ne sort jamais vraiment du bureau quand le bureau c’est nous 👩🏻✈️ les suivis de rdv puis de propal sur mesure qui prennent un temps fou à construire 📝 et qui n’aboutissent pas car « je suis vraiment désolé de vous avoir fait perdre votre temps, en fait je n’ai pas le temps en ce moment » ou « finalement l’économie de l’entreprise ne le permet pas » L’acceptation difficile de ne pas savoir ce que l’on gagnera dans les prochains mois la double énergie à puiser pour : • affirmer sa posture d’experte, maintenir ses limites et conditions, ne pas flancher • prouver sa légitimité de #femme seule face à des hommes plus âgés et de gros organismes qui parfois abusent de leur statut et de leur pouvoir Et ne partager tout cela avec personne ou presque.. (si ! Mon comptable : Emilien Pecoul de Superindep.fr 😅 Merci Emilien) Mais les collègues n’existent pas. car c’est finalement cela être #auto entrepreneur : etre seul responsable de ses victoires comme de ses épreuves. Et… de tout ce qui existe entre les deux. Une liberté. Totale. Pour le pire et le meilleur. - Un de mes prof de théâtre a dit un jour « Rien ne vous coûtera tant que votre #liberté » - C’est tellement vrai… Beaucoup la convoitent. Peu s’y risquent vraiment. Elle est belle cette indépendance electrisante et infinie, je l’a chérie plus que tout. Mais parfois elle est aussi vertigineuse et me fait frissonner. Finalement, sa jouissance est aussi forte que sa difficulté. Plus ça va, plus je crois que la vie est un peu comme une pièce de monnaie 🪙 Qu’on soit #salarié ou #freelance… elle a toujours 2 faces : son bon ☀️ et son mauvais 🌛côté. En faisant un choix, on accepte de vivre les deux. Rien n’est facile et pour personne. On aimerait tous signer uniquement pour le meilleur 😉 La réalité prend des formes différentes mais au fond, elle est la même pour tout le monde. La pièce, on la choisit avec précaution, on la lance, et chaque fois, on espère très fort qu’elle atterrira du bon côté 😉 Parfois ça marche Parfois non La vie n’est jamais qu’une success story. Et c’est OK. Ce qui est certain, c’est que tous les jours, cette pièce ou une autre, on peut faire le choix, de la re-lancer. 💫 - Aujourd’hui, malgré la peur du vide, je choisis encore les montagnes russes. Peut être qu’un jour l’un, l’une d’entre vous me proposera une nouvelle pièce que j’accepterai avec envie. En attendant, il me reste encore de l’energie dans cette montée ci alors… advienne que pourra ! 🎢 💪🏼😅 #entreprendre 🪙

J’ai toujours eu peur de m’associer. Peut être parce que pendant quasi 10 ans j’ai fait des assemblées générales avec moi-même. À la tête de mon agence, je me sentais assez solide, contente d’avoir totalement les rênes, hyper indépendante sur beaucoup de points et surtout peinard pour prendre les décisions. Un choix à faire, c’est simple c’est moi qui décide en finalité. Cela a pourtant ses limites, parce que j’ai vécu des moments de solitude intense et j’ai une petite liste des situations où j’aurai aimé avoir un(e) associé(e) à l’époque : 🔸 En hypercroissance quand j’avais zéro temps de pause même pas le week-end. 🔸 Pour les recrutements. 🔸 Pour vivre les procès juridiques longs et féroces. 🔸 Pour les grandes décisions stratégiques. 🔸 Pour le management. 🔸 Pendant mes grossesses et mes moments de doutes.  🔸 Pour partager les échecs autant que les réussites. ➡️ Tout simplement pour avoir une épaule sur laquelle me reposer et vice versa. Parler le même langage et assumer les mêmes responsabilités. C’est à ce moment qu’Hortense Masson entre en jeu. De cliente à amie, d’amie à associée, il n'y a qu'un pas. En 12 mois elle a pris bien plus de place dans ma vie que certains qui sont là depuis des années. J’avais pourtant tout sauf envie de m’associer et de créer une boite. Alors c’est quoi le déclencheur ? 💣 Elle m’a tendu la main quand j’avais un genou au sol.  Pourtant qui voudrait s’associer avec quelqu’un qui vient « d’échouer » qui n’aurait pas peur sincèrement ? Elle n’y a vu que du positif, et elle m’a gentiment mis un coup de pied aux fesses. Alors on le sait, l’association, c’est un contrat, ça se prépare, ça s’ajuste, ça se réfléchit et ça s’encadre.  Ce sera pas toujours évident, un couple business ça se cultive et ça doit se maintenir dans le temps. C’est pourquoi nous avons mis toutes les chances de notre côté en + de la fluidité de nos ambitions et de notre projet : 🔷 Compatibilité de nos profils et caractères.  🔷 Vision de la société. 🔷 Scop des missions. 🔷 Partage des craintes et des envies de chacune dans ce projet. Nous sommes ce que nous vendons chez Bureau d'Impulsion, c’était donc évident de bien comprendre et encadrer notre association. Je clôturerai ce post en souhaitant à chaque entrepreneur(e) de trouver son/ sa business partner parce que seul on va en effet plus vite mais ensemble on va beaucoup plus loin. 🚀

J’ai appris à ne plus jamais avoir le syndrome de l’imposteur. Quand j’ai créé notre réseau, je n’avais aucun doutes. Je ne me suis jamais demandée si j’allais être à la hauteur, si j’étais légitime. Alors que je le rappelle à qui le veut, j’étais au RSA et j’ai créé un réseau d’entrepreneures…. Oui bien sûr 😅 Quelques années avant, quand j’ai initié et créé le territoire zéro chômeur longue durée de mon territoire c’était pareil. Je n’ai jamais douté de moi 🔥🚀 Alors qu’avant… je passais mon temps à douter. Je n’avais aucun diplôme, aucune expérience dans aucun corps de métier que j’embrassais… et bien sûr rien n’était parfait même si je faisais du mieux possible et je culpabilisais. J’avais une peur terrible de l’échec, des fins de mois, du regard de mes clients… Que s’est il passé entre les deux ? ✅ Je pense que le fait de cumuler, d’échouer souvent, de retenter quand même, m’a « forgée ». La résilience a pris place. ✅ Je pense aussi que mes deux derniers projets ont « réussi» car la cause était plus forte. Ce n’est pas pour moi que je travaillais. Mais pour les autres dans l’expérimentation territoriale qui est en train de créer 300 CDI, et pour toutes mes adhérentes, moi y compris, pour notre réseau d’affaires. Mon objectif était d’apporter aux autres 💛 Mon pourquoi surpassait toutes mes peurs, toutes mes appréhensions. Toute ma procrastination. Il fallait des résultats rapidement. Pour les autres. Et pour moi. La notion de nombre et donc d’ambition joue un jeu là dedans. Plus l’attente était forte, plus le nombre avait de l’importance, plus je redoublais d’efforts pour y parvenir. L’avantage d’avoir du monde autour de soi est double. Il est challengeant, j’adore les challenges et c’est aussi une véritable solidarité collective. Je m’appuie régulièrement sur mes clients comme je le faisais avec mes bénévoles pour grandir et les faire grandir, innover et passer des caps. Nous sommes une force puissante et inébranlable 😎 L’imperfection est la norme et nous apprenons constamment ensemble. Nous nous améliorons au fur et à mesure. Quelques conseils pour fuir le syndrome de l’imposteur : ✅ Remplace le "Je ne suis pas assez compétente" par "J’apprends et je progresse à chaque étape." ✅ Accepte l’imperfection : Le perfectionnisme est souvent un masque pour la peur. Avancer imparfaitement, c’est surtout avancer. ✅ Découvre ta cause puissante et infaillible ✅ Ose être ambitieuse pour redoubler d’efforts. Rappelle toi, si tu vises les étoiles, tu atteindras au moins la lune. Double tes prix, le nombre de tes clients, ta marge, ta zone géographique, multiplie ton pas de porte, crée une franchise ! Ta première formation ! Une marketplace ! VOIS GRAND 🌝💫 Inscris-toi à la newsletter pour être sûre de recevoir mes prochains conseils: https://urls.fr/7eGudK #reseautage #recommandations #reseaufemmesentrepreneures #entrepreneuriat

Nous vivons bien mieux qu’avant, pourtant nous n'avons jamais été aussi insatisfaits.  Bienvenue dans le piège de la méritocratie. Tu as une maison confortable, une carrière qui avance, et pourtant...  Un dîner avec d'anciens camarades suffit à semer le doute.  Ton ami a une maison plus grande, son job semble plus excitant, son statut plus glamour. Tu devrais te réjouir pour lui.  Mais, non, c’est plutôt l’envie qui t’envahit. Ce sentiment, c'est le revers de la méritocratie. On nous répète : "Quand on veut, on peut."  Alors, si on "ne peut pas", on ne l'a juste "pas assez voulu". C’est toi le seul coupable. Cette idée engendre une anxiété de statut dévorante. Elle est alimentée non par les inégalités flagrantes, mais par des différences minimes avec ceux considérés comme tes égaux. Cette comparaison constante nourrit ton insatisfaction. Nous sommes plus riches, plus éduqués, et pourtant...  Nous sommes devenus plus anxieux, plus insatisfaits. La méritocratie, avec sa promesse d'égalité des chances, nous a piégés dans une course sans fin à être et avoir toujours un peu plus. Alors comment mettre un terme à ce jeu destructeur et sans fin ? En déconstruisant certains mythes et en comprenant comment nous fonctionnons. C’est l’objet de la mini-série d’épisode de podcast que j’ai consacré à l’envie : https://lnkd.in/eN4wixm7

🌱Réflexion : ne pas perdre de vue notre valeur professionnelle Cela fait maintenant quelques mois que je suis de retour dans l'arène entrepreneuriale avec Rose sur vert. Et je dois admettre que les dernières semaines ont été remplies de doutes et de questionnements. Je partage cette vulnérabilité avec vous, car je sais que beaucoup d'entre nous se retrouvent dans des situations similaires. Nous nous demandons si la valeur de notre travail se résume au nombre de contrats signés et de clients acquis. Après quelques mois dans cette aventure, j'avais oublié à quel point être travailleuse autonome et posséder sa propre entreprise pouvaient être exigeants. Je suis devenue entrepreneure pour trouver une plus grande liberté, cependant en ce moment, je me rends compte que l'entrepreneuriat nous amène à dépendre des regards extérieurs et de laisser entre les mains des clients potentiels, notre propre valeur comme professionnelle. Ce qui peut-être un piège dans lequel il est facile de s’enliser. J’ai de la valeur si on me porte de l’attention et je sens ma valeur diminuer si on ne me choisit pas. La valeur que l’on se porte ne doit surtout pas être tributaire de l’attention que l’on nous porte. Rapidement, il est facile de croire le contraire. Je prends la plume pour vous rappeler, ce que je fais tous les jours avec moi-même, que notre valeur ne réside surtout pas dans les contrats signés ou les approbations de nos clients ou supérieurs. Certes, cela peut être gratifiant, et payant, mais à mes yeux, j'aime me rappeler que notre vraie valeur se forge avant tout dans la fierté que nous éprouvons à être authentiques, à mettre notre coeur dans ce que nous faisons et à être fidèle à nos valeurs et nos convictions. Une fois que cela est bien ancrée en nous, il est alors, à mon sens, plus difficile de laisser le monde extérieur nous dicter notre propre valeur humaine et professionnelle. Surtout il ne faut pas oublier et c'est ce que je m'efforce de faire au quotidien, qu'il est primorfial de croire en soi avant même que les autres croient en nous. Krystel Marylène 💚 hashtag #entrepreneur hashtag #valeur hashtag #communication

J'ai souvent cette phrase dans ma tête : "Je n'ai peur de rien" Ce qui est vrai 80% du temps : 💥 J'aime la vitesse, 💥 Je monte à cheval dans une discipline plutôt risqué (CCE pour les connaisseurs), 💥 Je me ballade seule à toute heure (accompagnée de mon fidèle malinois) 💥 Je conduis un van avec mon cheval de 500kg derrière 💥 J'ai fait de la boxe thaï et n'ai pas peur des coups 💥 J'ai le courage de dire ce que je pense 👉 Mais en fait c'est ok d'avoir peur de : 💥 Rendez-vous avec 3 interlocuteurs stratégique pour élire le cabinet qui fera la différence sur un contrat annuel 💥 Ne pas faire mon objectif 💥 Que Heup s'arrête un jour 💥 De parler en public devant 30 personnes 💥 De sauter à l'élastique L'important est de vivre avec ses tripes, son authenticité, et sa vrai perso non ? Sans transition, dans le monde de l'Industrie que je cotois chaque jour, ce qui me frappe particulièrement, c'est que les femmes que je rencontre ont souvent cette crainte de ne pas être à la hauteur, de ne pas oser postuler à un poste plus élevé, de ne pas se donner les moyens de réussir : doutent, hésitent, et parfois, cela les empêche d'avancer ! 👉 Pourtant, cette peur, ce doute, ne doit pas être un frein. (Plus facile à dire qu'à faire). Dans mon quotidien c'est 7 femmes sur 10 qui hésitent face à 1 hommes sur 15, incroyable non ? 👊 La peur est normale, mais je pense qu'elle ne doit pas être cultivée. Du coup, je crois profondément que la clé réside dans la confiance en soi. 👉 Ne laissez pas vos peurs vous dicter vos choix. Ce n'est pas parce que vous ressentez de l'incertitude que vous n'êtes pas prêtes ! Bien au contraire : chaque défi, chaque projet un peu audacieux, chaque opportunité est une chance de grandir ! Nous avons souvent tendance à sous-estimer nos capacités, à attendre d'être parfaites avant d'agir. Du coup en tant que recruteuse chez Heup j'aide souvent a affronter cette peur et ça fait de belles réussites ! 🫀 La peur peut être un signal, mais la confiance doit être notre moteur ! #ConfianceEnSoi #LeadershipFéminin #Recrutement #SupplyChain #FemmesDansLeBusiness #DéveloppementPersonnel #Inspiration #OserRéussir #PasDeLimites

Faire de son mieux : une philosophie pour avancer sans s'épuiser. Le 10 décembre 🚀 , j’ai eu l’honneur de participer à la soirée de lancement de MEDEF Occitanie Femme Entrepreneur. Un moment inspirant, mais aussi l’occasion de réfléchir sur les défis que nous rencontrons en tant que femmes dans le monde entrepreneurial et cadres dirigeantes. Merci à toutes pour ce temps d'échanges. Mais soyons claires : je ne me revendique pas féministe. Pourtant, comme beaucoup, j’ai constaté des discriminations, des manques d’écoute, et parfois une banalisation de nos compétences. Pour être prise au sérieux, il faut souvent être meilleure que les hommes et surtout, parfaite. ➡️ Dirigeante exceptionnelle. ➡️ Compagne irréprochable. ➡️ Mère sans faille. Le poids de ces attentes peut devenir une charge mentale écrasante. Pendant longtemps, j’ai essayé de cocher toutes les cases, d’être à la hauteur de cet idéal impossible. Mais aujourd’hui, j’ai choisi un autre chemin : ✅ Être la mère que je peux être, sans culpabilité. ✅ Être la femme que je veux être, libre de mes choix. ✅ Être engagée dans mon travail, en donnant le meilleur de moi-même. Je n’ai pas le droit à l’erreur ? Et bien si, justement. L’erreur fait partie de l’aventure. Ce qui compte, c’est de rester alignée avec soi-même et ses valeurs. Cette soirée m’a rappelé que nous sommes nombreuses à partager ces défis, et qu’il est essentiel de continuer à échanger, à nous soutenir, et à faire évoluer les mentalités. Et vous ? Comment gérez-vous la pression des multiples rôles que vous occupez dans votre vie professionnelle et personnelle ? #entrepreneuriat #LeadershipAuFéminin #authenticité