Post de Réseau d'affaires Pouvoir d'Entreprendre

⏸️Faire un pas de côté … pour prendre de l’élan ⏩ C’est ce que nous avons fait avec Morgane Krau pour notre projet Paye ta charge mentale. Après plusieurs mois d’émulation, de recherches, de rencontres, d’expérimentation, on avait l’impression de ne plus vraiment voir où se situait notre cap. On avait également besoin d’une vision moyen terme, avec pas mal d’incertitudes autour du projet sur les mois à venir. On a donc demandé de l’aide, et c’est Héléna Gilton qui nous a accompagné pour bien redéfinir notre feuille de route à moyen terme. Au menu : ♟️Identifier nos prochaines étapes stratégiques, les décliner jusqu’aux actions concrètes. Gros travail qui prend du temps mais qui est salvateur ! Tout est bien plus clair maintenant. 🗓️Structurer notre organisation interne pour mieux se répartir les sujets en fonction de nos appétences/compétences, et viser davantage d’efficacité et d’autonomie. Le B.A-BA mais plus si évident quand on a la tête dans le guidon. Alors en ce début d’été on est prêtes à tenir le cap et à emmener notre projet vraiment là où on le souhaites. Et ça, c’est pas du luxe🚀 Merci Héléna pour tout ça, n’hésitez pas à faire appel à elle si vous rencontrez le même type de problématiques, ou d’autres en termes de priorisation, stratégie de développement. Et merci La Ruche®️ qui nous a permis de bénéficier de cet accompagnement dans le cadre du programme des Audacieuses✨

J’ai toujours eu peur de m’associer. Peut être parce que pendant quasi 10 ans j’ai fait des assemblées générales avec moi-même. À la tête de mon agence, je me sentais assez solide, contente d’avoir totalement les rênes, hyper indépendante sur beaucoup de points et surtout peinard pour prendre les décisions. Un choix à faire, c’est simple c’est moi qui décide en finalité. Cela a pourtant ses limites, parce que j’ai vécu des moments de solitude intense et j’ai une petite liste des situations où j’aurai aimé avoir un(e) associé(e) à l’époque : 🔸 En hypercroissance quand j’avais zéro temps de pause même pas le week-end. 🔸 Pour les recrutements. 🔸 Pour vivre les procès juridiques longs et féroces. 🔸 Pour les grandes décisions stratégiques. 🔸 Pour le management. 🔸 Pendant mes grossesses et mes moments de doutes.  🔸 Pour partager les échecs autant que les réussites. ➡️ Tout simplement pour avoir une épaule sur laquelle me reposer et vice versa. Parler le même langage et assumer les mêmes responsabilités. C’est à ce moment qu’Hortense Masson entre en jeu. De cliente à amie, d’amie à associée, il n'y a qu'un pas. En 12 mois elle a pris bien plus de place dans ma vie que certains qui sont là depuis des années. J’avais pourtant tout sauf envie de m’associer et de créer une boite. Alors c’est quoi le déclencheur ? 💣 Elle m’a tendu la main quand j’avais un genou au sol.  Pourtant qui voudrait s’associer avec quelqu’un qui vient « d’échouer » qui n’aurait pas peur sincèrement ? Elle n’y a vu que du positif, et elle m’a gentiment mis un coup de pied aux fesses. Alors on le sait, l’association, c’est un contrat, ça se prépare, ça s’ajuste, ça se réfléchit et ça s’encadre.  Ce sera pas toujours évident, un couple business ça se cultive et ça doit se maintenir dans le temps. C’est pourquoi nous avons mis toutes les chances de notre côté en + de la fluidité de nos ambitions et de notre projet : 🔷 Compatibilité de nos profils et caractères.  🔷 Vision de la société. 🔷 Scop des missions. 🔷 Partage des craintes et des envies de chacune dans ce projet. Nous sommes ce que nous vendons chez Bureau d'Impulsion, c’était donc évident de bien comprendre et encadrer notre association. Je clôturerai ce post en souhaitant à chaque entrepreneur(e) de trouver son/ sa business partner parce que seul on va en effet plus vite mais ensemble on va beaucoup plus loin. 🚀

Un an déjà. Une année de doutes, d’efforts, et de renaissance. En décembre 2023, je me posais mille questions. Après 30 ans d’expérience à animer, coordonner et diriger des structures, à dependre d’une gouvernance au-dessus de moi, un nouveau chapitre s’ouvrait. Mais avec lui, tant d’interrogations : • Allais-je retrouver la richesse humaine et professionnelle de ce que j’entreprends depuis trois décennies ? • Réussirais-je à subvenir aux besoins de ma famille ? • Trouverais-je des clients qui croient en moi et en mes idées ? • Serais-je capable de bâtir des relations empreintes de sens et de valeur ? En somme : est-ce que j’allais réussir à m’aligner et m’élever de ce que je quittais? Un an plus tard, je prends un moment pour regarder en arrière. Aujourd’hui, j’ai 10 clients réguliers – certains sur du long terme, d’autres sur des missions plus courtes. Je travaille seul, mais pas vraiment. Je suis “augmenté” par 4 ou 5 assistants IA, comme ChatGPT, que j’utilise au quotidien pour m’aider sur des tâches répétitives, sans jamais lâcher la vigilance humaine. Petit conseil pour ceux qui utilisent l’IA : ne lui déléguez jamais un sujet que vous ne maîtrisez pas déjà. L’IA n’est là que pour vous augmenter, pas pour remplacer votre réflexion et encore moins votre conscience. Et je commence à enclencher des partenariats humains, beacoup plus riches que l’IA d’ailleurs. Aujourd’hui, je vois tout ce chemin parcouru et je ressens une énergie que je n’avais pas connue depuis mes 20 ans. Pourtant, j’en ai 50. Et avec ces 30 ans de distance, je peux dire que je suis probablement l’homme, le mari, le père et le chef d’entreprise le plus heureux au monde. L’entrepreneuriat engagé, c’est ça. Croire en soi quand les doutes s’invitent, avancer pas à pas et redécouvrir chaque jour la richesse des relations humaines et de l’action responsable. Ce ne sont pas que des mots car j’ai réussi à garder mes convictions pour construire mon modèle économique. La chance du réseau ou plutôt la résultante d’un réseau de 30 années, à l’image de mes valeurs. Merci à ceux qui m’accompagnent, me font confiance et partagent cette aventure. Et tous ceux qui n’ont pas crus en moi, je leur dit également merci ! Vous avez consolidé ma résilience ! Vous m’avez obligé à me dépasser ! Un seul mot peut résumer cette année: AMOUR Accompagner Maturité Ouverture Unifier Regarder Prêt pour 2025 et vous ?

« 𝙅𝙚 𝙣𝙚 𝙨𝙖𝙞𝙨 𝙥𝙖𝙨 𝙘𝙤𝙢𝙢𝙚𝙣𝙩 𝙙𝙞𝙧𝙚, 𝙢𝙖𝙞𝙨 𝙖𝙫𝙚𝙘 𝙡𝙖 𝙘𝙧𝙞𝙨𝙚 𝙦𝙪𝙞 𝙣𝙤𝙪𝙨 𝙛𝙧𝙖𝙥𝙥𝙚 𝙙𝙚𝙥𝙪𝙞𝙨 𝙙𝙚𝙨 𝙨𝙚𝙢𝙖𝙞𝙣𝙚𝙨, 𝙙𝙚𝙨 𝙢𝙤𝙞𝙨, 𝙫𝙤𝙞𝙧𝙚 𝙙𝙚𝙨 𝙖𝙣𝙣𝗲́𝙚𝙨, 𝙟’𝙖𝙞 𝙡𝙚 𝙨𝙚𝙣𝙩𝙞𝙢𝙚𝙣𝙩 𝙙𝙚 𝙛𝙖𝙞𝙧𝙚 𝙙𝙪 𝙨𝙪𝙧𝙥𝙡𝙖𝙘𝙚… 𝙈𝙚𝙨 𝗲́𝙦𝙪𝙞𝙥𝙚𝙨 𝙨𝙤𝙣𝙩 𝗮̀ 𝙥𝙡𝙖𝙩. » 👉 Cette phrase, je l’entends malheureusement souvent. Depuis quelque temps, nombreuses sont les entreprises à se débattre : Covid, guerre en Ukraine, contextes politiques tendus ici et ailleurs, crise ... Comment garder la motivation ET le sourire ? 🔑 La clé : 𝗽𝗿𝗲𝗻𝗱𝗿𝗲 𝗱𝘂 𝗿𝗲𝗰𝘂𝗹. La semaine dernière, mon client, 𝘂𝗻𝗲 𝗮𝗴𝗲𝗻𝗰𝗲 𝗶𝗺𝗺𝗼𝗯𝗶𝗹𝗶𝗲̀𝗿𝗲, a osé revisiter ses pratiques avec ses agents indépendants. Ensemble, ils ont revisité des fondamentaux connus, mais mis de côté à cause de la routine ou de croyances limitantes. Pourtant, la formation obligatoire pour renouveler leur carte professionnelle est souvent vue comme une corvée ! 𝗦𝘂𝗽𝗿𝗶𝘀𝗲 : la formation était 𝗽𝗮𝗿𝘁𝗶𝗰𝗶𝗽𝗮𝘁𝗶𝘃𝗲, 𝗲𝗻𝗿𝗶𝗰𝗵𝗶𝘀𝘀𝗮𝗻𝘁𝗲 𝗲𝘁 𝗹𝘂𝗱𝗼𝗽𝗲́𝗱𝗮𝗴𝗼𝗴𝗶𝗾𝘂𝗲 (apprendre en s’amusant, c’est possible !) R͟é͟s͟u͟l͟t͟a͟t͟ ͟:͟ 🎯 Une équipe d’indépendants boostés 🎯 Un responsable d’agence motivé à piloter dans la coopération et la bienveillance. 🎯 Une prise de recul sur leurs pratiques, même après 15 ans de métier. 🎯 Des plans d’actions concrets avec bilan dans 6 mois pour mesurer les progrès. Une leçon qui revient souvent : 𝗢𝗦𝗘𝗥 𝘔𝘦̂𝘮𝘦 𝘱𝘰𝘶𝘳 𝘥𝘦𝘴 𝘱𝘳𝘰𝘧𝘦𝘴𝘴𝘪𝘰𝘯𝘯𝘦𝘭𝘴 𝘢𝘯𝘤𝘳𝘦́𝘴 𝘥𝘢𝘯𝘴 𝘭𝘢 𝘳𝘦𝘭𝘢𝘵𝘪𝘰𝘯 𝘩𝘶𝘮𝘢𝘪𝘯𝘦, 𝘰𝘴𝘦𝘳 𝘱𝘦𝘶𝘵-𝘦̂𝘵𝘳𝘦 𝘶𝘯 𝘧𝘳𝘦𝘪𝘯. 𝗣𝗼𝘂𝗿𝗾𝘂𝗼𝗶 ? Parce que c'est humain. En prenant soin de soi, en écoutant sa petite voix intérieure, on peut dépasser ces blocages et retrouver du plaisir à bien faire son métier. C͟o͟n͟c͟l͟u͟s͟i͟o͟n͟ ͟:͟ Les moments de doute, de difficultés ? Ils se franchissent avec souplesse, tel le chêne devenu roseau face à la tempête 🌳 Et pour ceux à qui cela parle plus, c’est comme attaquer la face nord en tongs… et réussir à franchir le cap ! 🩴 😄 𝗘𝘁 𝘃𝗼𝘂𝘀 ? Si vous aussi vous sentez ce manque d’énergie, que ce soit pour vous ou vos équipes, il est temps d’agir. Contactez-moi pour un bilan et une proposition sur-mesure. 𝙊𝙛𝙛𝙧𝙚𝙯-𝙫𝙤𝙪𝙨 𝙪𝙣𝙚 𝙥𝙖𝙧𝙚𝙣𝙩𝙝𝙚̀𝙨𝙚 𝙦𝙪𝙞 𝙫𝙤𝙪𝙨 𝙥𝙤𝙧𝙩𝙚𝙧𝙖 𝙡𝙤𝙞𝙣 ! 𝗕𝗼𝗻𝘂𝘀 : Grâce à mon partenariat avec Valérie BARRIERE de WIMMO formation des pros de l'immobilier, prise en charge par les organismes financeurs. Pourquoi attendre ? 🎯 👀 𝗩𝗼𝘂𝘀 𝗺𝗲 𝗱é𝗰𝗼𝘂𝘃𝗿𝗲𝘇 ? Je suis Gaëlle Duranton, formatrice-consultante certifiée et fondatrice de CAP IMPACT. J’accompagne les entreprises avec des formations sur mesure en management, développement commercial et relation client. Je transmets les clés de la robustesse grâce à une pédagogie active et des ateliers collaboratifs. Bâtir des compétences solides et durables, c’est mon engagement au quotidien. 💫

Ceci n’est pas un putaclic Ceci n’est pas un dégaine mouchoir ni un attire pitié  L’intention de ce poste est simplement de partager mon état d’esprit du jour. A l’heure où la politique est dans tous les sens, je voudrais juste rappeler ce qu’est la vraie France et la réalité des dirigeants de PME. Il y a 3 ans et demi je créais Minalyon avec l’envie de faire quelque chose de beau, de donner de moi et d’embarquer des gens avec moi. Cette création d’entreprise a été pour moi l’occasion de me dépasser et de faire quelque chose d’encore plus fou que ce que je n’avais jamais imaginé. Mais ces 3 dernières années ont été ponctuées de sacrifices, de bouleversements émotionnels, de nuits blanches, de larmes… Durant ces 3 années j’ai créé des environnements avec la ferme intention qu’ils soient bienveillants et remplis d’humanité, mais aujourd’hui je m’interroge sur la bienveillance envers moi-même. 03 juillet 2024, me voila hospitalisée pour l’après midi pour recevoir un traitement, pendant lequel je traite mes mails, je réponds aux messages des équipes et je tente de faire en sorte que tout roule comme chaque jour de ces 3 dernières années. Parce qu’etre entrepreneur en France c’est créer de l’emploi, contribuer à faire fonctionner la France, être chargé à 44% de sa rémunération et n’avoir droit à aucun jour d’arret maladie, Ah si pardon après 2 mois de carence… Etre entrepreneur c’est H24, 365 jours de l'année. Dernièrement j’ai entendu dire que des salariés pensaient que je me faisais du fric sur leur tete et que j’étais pétée de tunes. J’ai souvent le sentiment que les dirigeants nous sommes des réceptacles à merde dans lesquels n’importe qui peut déverser n’importe quoi… et que la culture veut que quoi qu’il fasse, quoi qu’il dise, le patron est un con et un enfoiré. Je voudrais juste rappeler à la terre entière que tous les dirigeants, les entrepreneurs de ce monde sont des humains, et que derrière les apparences où il faut garder le smile, il y a des hommes et des femmes qui pleurent… et que ce n’est pas parce qu’une poignée d’entre eux se comportent comme des gros nazes que tous les autres sont les mêmes ! Derrières les sourires, y a des hommes et des femmes qui se défoncent la santé pour faire leur part et faire vivre des entreprises. Des hommes et des femmes qui mettent toutes les économies et qui s’endettent jusque par-dessus la tete. Il faut de tout pour faire un monde, des salariés et des entrepreneurs dont il faut prendre soin communément. Alors Big up aux entrepreneurs Voila… C’était tout ce que j’avais à dire. #entrepreneurs #santé #bienveillance #pme #dirigeant

Une révolution de l’intime ! 6 – Un programme exécute ses instructions La spécificité d’un programme s’est d’être répétitif et limité. Il fait toujours la même chose et rien d’autre, dans un environnement donné. C’est pourquoi il est inapproprié de parler de sortir de sa « zone de confort ». Il n’est pas « confortable » pour un délinquant de vivre dans l’adversité, en bravant l’autorité, en remettant en cause des limites et des interdits. Pas plus qu’il serait « confortable » pour un policier d’être celui qui, en toute circonstance, obéit aux règlements et doit faire respecter la loi. L’un comme l’autre se définit et agit à partir de son « connu », c’est-à-dire selon le milieu et, plus spécifiquement, le type de relation fondatrices de son « logiciel de survie ». Il y reste ou y revient non parce que c’est mieux, « confortable », mais parce son organisme a appris à faire avec, « sait » qu’il y est adapté, qu’il peut en sortir vivant, que ça marche. Avec cette stratégie inconsciente, le pire est évitable, puisqu’il a déjà été évité. La « récompense » est accessible, celle à laquelle s’est habitué son organisme et dont il cherche à renouveler les effets, même si les risques à courir ou le prix à payer est important. Souvent, arrivé vers l’âge de 40 ou 50 ans, nous commençons à nous interroger sincèrement sur ces « choix », qui n’en sont pas vraiment, sur ces répétitions, qui font régulièrement échouer nos résolutions, même les plus fermes. Souvent, plutôt que de nous intéresser aux mécanismes qui pilotent ces comportements, nous en restons au stade de l’autocritique, au niveau du désespoir ou de la culpabilité. Difficile, voire impossible, de revisiter ce à quoi nous sommes identifiés, ce qui s’ancre dans nos premiers jours, premiers mois et à partir de nos premières relations. C’est parce que cette période et ces expériences ont précédé notre acquisition et notre maîtrise du langage qu’elles nous échappent et ne font pas corps avec notre récit personnel. Pourtant, elles font bel et bien partie de notre vie, de notre personnalité. Comme les fondations d’une maison, elles sont devenues invisibles et, pourtant, supportent et conditionnent tout le reste, tout ce qui se développe et se construit au-dessus, pour le meilleur comme pour le pire. Comment y accède-t-on ? Comment est-il possible de les reprendre, de les solidifier (car c’est possible !), si besoin ? Un peu de patience ! Nous tenterons d’y répondre !...

Accueillir les larmes alors qu’on fait du conseil en M&A… Quel cadeau que cette confiance accordée ainsi manifestée. Je dis souvent que notre métier c’est 80% de psychologie et 20% de finance,  ça choque toujours un peu, car l’image du financier dépourvu d’émotions, pouvant être troublé par leur émergence inattendue colle encore à la peau ! Pourtant, il n’y a rien de plus précieux que ces moments suspendus où la vague de sentiments étouffés finit par déferler et révèle toute la puissance d’attachement d’un entrepreneur à la société qu’il préside. L’évocation de souvenirs variés ou de perspectives très diverses peuvent les susciter. Hier encore, un de nos clients était débordé par l’émotion à l’idée de quitter le navire de l’entreprise familiale, faute d’enfants désireux de reprendre le flambeau. Inattendu de la part de ce colosse à la poigne ferme, qui préside aux destinées de l’entreprise depuis 40 ans, en étant le premier dans les ateliers à 6h30 du matin.  Ou encore les larmes d’une autre à l’évocation de la transmission subite de l’entreprise au décès tragique de ses parents. Parfois, on perçoit intuitivement que quelque chose de plus profond pèse dans les décisions. Habiter les silences favorise l’expression d’un sentiment qui prend de la place et dont le partage et le dépassement permet d’avancer sereinement dans un projet. En prenant le temps d’écouter, on ouvre le champ d’un échange profond qui autorise l’exploration des freins à la mise en oeuvre d’une transmission et déverrouille sa concrétisation. Voici  3 règles d’or pour y parvenir: 1. Créer les conditions de la confiance Tout commence par la création d'un environnement favorable d’échange où se construit la confiance. Cela implique de poser les bonnes questions, parfois de plusieurs manières différentes,  d’y revenir, et surtout de prendre le temps pour s'assurer que tous les aspects sont bien abordés. Une écoute active et patiente est cruciale. 2. Observer et écouter les silences Il est essentiel d’être très attentif au langage non verbal. Les gestes, les postures, les expressions, la respiration sont révélatrices d’un état intérieur. Ils sont une fenêtre qui souvent nous révèlent  les véritables enjeux émotionnels liés à la transaction. Je prends toujours le temps d'accueillir et de remercier ceux qui partagent leurs émotions personnelles au cours d’un process. Ces cadeaux nous permettent de cheminer ensemble avec plus de justesse ! 3. L’humain au cœur du deal Chaque deal est unique, tout comme chaque histoire personnelle qui l'accompagne. Chez Sevenstones, nous plaçons les dynamiques humaines au cœur de la stratégie M&A, conscient que la finance est indissociable de l'aspect humain et émotionnel des affaires. Le “Good” c’est aussi ces vagues qui nous traversent et qui font notre humanité. Merci à tous nos clients et à vous tous de les partager avec audace et authenticité !

Quel bonheur d'avoir accompagné Julie CHARLES, CEO d'EKKO ! Sa demande: redéfinir la mission de son entreprise EKKO, clarifier sa vision entrepreunariale, retrouver un cap correspondant à ses besoins de déployer ses compétences multiples Le processus que je lui ai proposé: une journée entière de coaching, alliant différentes séquences ajustées à son rythme et ses avancées, du mouvement en évoluant sur 3 lieux (mes bureaux à Saix, et 2 temps de marche à l'extérieur, en ville et à la campagne!), des temps forts de confrontation Le résultat : le fameux "tapis rouge" ! c'est Julie CHARLES qui en parle le mieux...à vous de découvrir son témoignage par ici ⬇️

On partage tous nos succès sur @linkedin mais parfois c’est dur d’être #entrepreneuse… Derrière une grande liberté 🌟et indépendance de choix, de décisions, il y a aussi la #réalité : des factures impayées des relances épuisantes des négociations musclées avec des partenaires qui ne respectent pas leurs engagements les journées et week-end à rallonge parfois car on ne sort jamais vraiment du bureau quand le bureau c’est nous 👩🏻✈️ les suivis de rdv puis de propal sur mesure qui prennent un temps fou à construire 📝 et qui n’aboutissent pas car « je suis vraiment désolé de vous avoir fait perdre votre temps, en fait je n’ai pas le temps en ce moment » ou « finalement l’économie de l’entreprise ne le permet pas » L’acceptation difficile de ne pas savoir ce que l’on gagnera dans les prochains mois la double énergie à puiser pour : • affirmer sa posture d’experte, maintenir ses limites et conditions, ne pas flancher • prouver sa légitimité de #femme seule face à des hommes plus âgés et de gros organismes qui parfois abusent de leur statut et de leur pouvoir Et ne partager tout cela avec personne ou presque.. (si ! Mon comptable : Emilien Pecoul de Superindep.fr 😅 Merci Emilien) Mais les collègues n’existent pas. car c’est finalement cela être #auto entrepreneur : etre seul responsable de ses victoires comme de ses épreuves. Et… de tout ce qui existe entre les deux. Une liberté. Totale. Pour le pire et le meilleur. - Un de mes prof de théâtre a dit un jour « Rien ne vous coûtera tant que votre #liberté » - C’est tellement vrai… Beaucoup la convoitent. Peu s’y risquent vraiment. Elle est belle cette indépendance electrisante et infinie, je l’a chérie plus que tout. Mais parfois elle est aussi vertigineuse et me fait frissonner. Finalement, sa jouissance est aussi forte que sa difficulté. Plus ça va, plus je crois que la vie est un peu comme une pièce de monnaie 🪙 Qu’on soit #salarié ou #freelance… elle a toujours 2 faces : son bon ☀️ et son mauvais 🌛côté. En faisant un choix, on accepte de vivre les deux. Rien n’est facile et pour personne. On aimerait tous signer uniquement pour le meilleur 😉 La réalité prend des formes différentes mais au fond, elle est la même pour tout le monde. La pièce, on la choisit avec précaution, on la lance, et chaque fois, on espère très fort qu’elle atterrira du bon côté 😉 Parfois ça marche Parfois non La vie n’est jamais qu’une success story. Et c’est OK. Ce qui est certain, c’est que tous les jours, cette pièce ou une autre, on peut faire le choix, de la re-lancer. 💫 - Aujourd’hui, malgré la peur du vide, je choisis encore les montagnes russes. Peut être qu’un jour l’un, l’une d’entre vous me proposera une nouvelle pièce que j’accepterai avec envie. En attendant, il me reste encore de l’energie dans cette montée ci alors… advienne que pourra ! 🎢 💪🏼😅 #entreprendre 🪙

Un parfait résumé de notre vie d'entrepreneur ! 👌