Quand le courage de dire non ouvre la porte à l’inattendu Parfois, dans la vie, il faut savoir perdre pour mieux gagner. Perdre une opportunité, une collaboration, une sécurité apparente. C’est exactement ce qui m’est arrivé il y a quelques jours. Depuis quelque temps, j’avais un contrat de copywriting avec un client. Au départ, je m’étais investie avec enthousiasme, prête à offrir des articles percutants pour soutenir sa stratégie. Mais petit à petit, une évidence s’est imposée : la stratégie n’était pas claire. Chaque ligne écrite me semblait flotter dans le vide, manquant de profondeur et d’impact, parce que le cap lui-même manquait de direction. Alors, j’ai pris une décision. Une de ces décisions qui viennent du fond de soi, sans une once de doute ou de peur. J’ai rompu la convention. Non, je n’allais pas écrire sans vision. Non, je n’allais pas continuer à livrer des textes sans âme ni impact. Cette mission, elle ne me ressemblait plus. Et je n’ai pas été en résistance. J’ai libéré cet espace en moi, même si cela impliquait de dire adieu à une rentrée financière. C’était risqué, oui, mais nécessaire. À peine quelques heures plus tard… Alors que je savourais cette légèreté retrouvée, le téléphone a sonné. Un dirigeant d’entreprise venait de me solliciter pour un tout autre projet. Lui, il savait où il voulait aller. Son ambition ? Valoriser la culture de son entreprise en déployant un plan d’actions en interne pour fédérer l’ensemble de son équipe. Il avait compris, dès notre premier échange, que les premiers prescripteurs de son image et de sa notoriété, ce sont ses propres collaborateurs. En répondant de manière stratégique et authentique à leur besoin d’appartenance, il développe une stratégie de communication ambitieuse, fédératrice, partagée et en parfaite cohérence avec les raisons pour lesquelles il a créé cette entreprise, et pas une autre. C’est comme si la place libérée avait instantanément appelé une opportunité bien plus alignée, bien plus authentique. Leçon du jour ? Parfois, garder un espace encombré bloque l’arrivée de ce qui nous est vraiment destiné. En acceptant de perdre quelque chose qui ne faisait plus sens, j’ai laissé la place à une mission en accord avec mes valeurs et mon humanité. Ce n’est pas une question de hasard, c’est une question de choix, d’alignement. De courage. Aujourd’hui, je me sens honorée de pouvoir accompagner des leaders qui, comme moi, croient en une croissance pleine de sens et d’authenticité. Et si cette histoire vous inspire à faire un peu de ménage dans votre propre vie, tant mieux. Ce n’est jamais facile, mais parfois, le courage de dire non est le premier pas vers un oui puissant.
Post de Lauriane RIVIERE
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La peur est un des pires moyens de perdre son temps, et l’expérience que je te raconte juste après en est une preuve de plus. Francis vient me voir à la recommandation d’un contact commun. Il en a marre : « Je passe mes journées à rattraper les c*nneries d’un de mes commerciaux, je suis à bout ». Et en effet, je le sens à bout. Je le fais parler. - depuis combien de temps le commercial est là : plus de dix ans. - comment les consignes sont communiquées, comment les résultats sont validés : pas de red flag dans la méthodo, mais des résultats extrêmement mauvais. Aucune implication, aucune initiative, le strict minimum - comment font les autres commerciaux : mieux, malgré une expérience moindre. Aucune réaction de sa part d’un point de vue de la fierté ou de la séniorité. Et là, Francis s’effondre. « En fait je vais te dire, j’ai la trouille. J’ai la trouille de pas pouvoir le mettre dehors. J’ai la trouille de la réaction des autres si je le garde et j’ai la trouille de la réaction des autres si je le vire. J’ai la trouille de sa réaction, en pensant qu’il y a dix ans c’était mon premier commercial et que c’est grâce à lui si la boite tenait le cap à l’époque. » Pas meilleure illustration de ce que la peur peut provoquer comme non-décision et comme perte de temps. Sans parler de la culpabilité et de l’énergie déployée par Francis pour essayer de compenser le problème avec des numéros d’équilibriste. Au final, il a passé cinq, six ans dans une situation intenable, où il espérait que « l’autre » allait changer, et où en même temps, il craignait de devoir lui-même passer à l’action pour obtenir le changement voulu. Tant d’années bloqué, immobilisé, ça fait beaucoup. Beaucoup trop… Peut-être que Francis avait besoin d’une autorisation : ce n’est pas moi qui lui ait donnée. Par contre, je lui ai donné la possibilité de mesurer, au-delà de la peur, le coût en temps, en énergie, en moyens et en pécuniaire, de cette non-décision. La peur, le perfectionnisme, le besoin de plaire/de faire plaisir et le besoin de contrôle sont quatre générateurs de perte de temps. L’avantage de Francis, c’est qu’il savait précisément par lequel il était concerné : il était juste coincé, sans savoir quoi faire de la situation. A l’heure actuelle, je ne sais pas ce qu’il a décidé mais il a dépassé cette peur, et il a pris une décision rationnelle, pour ne plus subir la situation, et pour ne plus passer son temps à autre chose que son entreprise. Ne pas pouvoir décider, décider par défaut ou accepter une décision qui ne respecte pas tes besoins sont les pires manières de gaspiller ton temps. Alors, sais-tu, toi, quel est ton plus puissant générateur de perte de temps ? Que fais-tu pour réduire son pouvoir sur ton temps ? __ PS : pour aller plus loin, en commentaire le lien vers un article de ma newsletter où je parle de la peur du changement. PS2 : on reparle de la Peur demain avec un carrousel.
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Qui embauchez-vous entre ces deux profils ? - Le premier : Elle a planté sa boite à cause de mauvaises décisions stratégiques. Ses salariés ne l’ont pas non plus aidée à sauver la boite. Puis l’emplacement était mauvais. Elle se retrouve avec une caution personnelle qu’elle va trainer deux ans à peu près. - Le deuxième : Elle a monté une boite à même pas 25 ans. Aujourd’hui elle a décidé de revenir au salariat. Son entreprise a été novatrice dans le domaine de la beauté. Elle a ouvert plusieurs adresses, développé un réseau ultra qualitatif, créée un univers bien à elle. Elle a assuré toutes les fonctions supports et opérationnelles. Avec elle dans une équipe, ça roule tout seul. Elle ne viendra pas vous solliciter toutes les minutes pour savoir si sa présentation est bonne. Elle sait prendre des décisions rapidement, gérer une équipe, coordonner les activités et faire preuve de leadership. Elle a l’agilité d’un entrepreneur et mille idées à la minute. Spoiler : les deux profils sont en réalité la même personne. Le premier profil, c’était avant notre séance de coaching. Le deuxième, après notre séance :) Il y a une réalité mais mille façons de raconter votre histoire. Changer le narratif d’une expérience parfois douloureuse permet de construire sa résilience. C’est ce que je travaille avec mes clients . A changer l’histoire, à se donner un autre rôle que celui de la victime, du loser, du trop timide ou je ne sais quoi. C’est fou comme ça marche. Et vous, c’est quoi votre histoire ? #résilience #coaching
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Brique n°7 Quand la serendipité s’en mêle…. 🤔 J’étais un peu perplexe devant le prompt du jour… Mais le hasard a décidé de me mettre devant une prise de décision qui me donne donc le sujet de ce post. En préambule, je précise - et ceux qui ont lu mon post d’hier sur le Comité du Cœur le savent - les temps sont durs. Que ce soit en tant que comédienne ou en tant qu’auteur, les fins de mois commencent le 15 depuis un peu trop longtemps à mon goût…. 😃 Alors j’étais très enthousiaste qu’on m’appelle aujourd’hui pour me proposer un travail d’adaptation. Je prends tous les renseignements je commence à visualiser quelques journées qui se remplissent dans mon agenda, et je termine par ce que je crois être une formalité. 💶 Le tarif. 😱 Et là mon interlocuteur me propose moitié MOINS que les tarifs pratiqués dans ma corporation. 👎🏼 Je n’ai pas pris le temps de la réflexion. J’ai ri, et j’ai dit « ah ben non, donc! » Mon interlocuteur a dit « je comprends ». Il m’a demandé quel était mon tarif habituel. Je lui ai répondu, et il m’a dit qu’il me rappellerait si un jour il avait un projet avec un budget suffisant. Rien ne dit qu’il le fera, et rien ne dit que j’accepterai, si je sais que son entreprise continue à sous payer des collègues!!! 🤬 Mais il n’y a pas eu de cris, de colère ou de noms d’oiseaux. Juste un refus clair, net, affirmé. Facile. 👉🏼 Oui j’ai besoin d’argent. Mais je connais ma valeur. ✅ La valeur de mon travail. ✅ La valeur de mon temps. ✅ La difficulté de la tâche demandée. Je connais ✅ la valeur du travail de mes camarades ✅ la valeur des combats qui nous permettent de demander aujourd’hui le tarif que l’on demande. 👉🏼 J’ai besoin d’argent, mais j’ai besoin avant tout de pouvoir me regarder dans une glace. 💖 J’ai besoin de m’aimer. Et d’être fière de moi. Quelle que soit votre profession, je crois qu’identifier vos forces, et connaître votre valeur est capital. Je crois qu’il ne faut pas se brader dans l’espoir d’attirer des clients. Des clients qui sous-paient un service n’ont de respect ni pour votre travail, ni pour vous. Et si vous leur donnez raison, vous perdrez à votre tour votre estime de vous-mêmes. Lorsqu’on choisit d’être indépendant, on le fait aussi pour être libre. Et ne pas subir la pression et le manque de reconnaissance d’un employeur. Accepter de se brader, c’est retomber dans une spirale d’auto sabotage. 🚫 Alors il faut apprendre à dire non. A le dire bien. Sans faillir. Avec assertivité. 📢 Travailler sa communication orale pour être capable de le faire au bon moment peut être très intéressant. Pour ça il y a des solutions… et j en ai même quelques unes! On s’en parle? 😉 #jeuxolymbriques #defibriques #touchepasamavf Valentin Decker Killian Talin Léa Clauss
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Hier, un simple appel m'a rappelé une vérité essentielle sur le succès : il ne suffit pas de talent, il faut le faire repérer. J’ai discuté avec Céline Luciani l’une de mes premières stagiaires, 15 ans après notre dernière conversation. Nous avons parlé de nos vies, de nos bébés (nés cette année), et beaucoup de boulot. Elle est devenue décoratrice, a fait une première carrière dans le cinéma. Mais ce milieu est complexe : précarité, déplacements, et une mentalité parfois difficile à gérer. Pourtant, elle est immensément talentueuse, une vraie créative, une signature. Mais voilà, être une signature, c’est un paradoxe : pour signer, il faut être reconnue, et pour être reconnue, il faut d’abord signer. L’éternel problème de l’œuf et de la poule. Alors, elle m’a demandé : Comment trouver des projets, sans se renier ni dévaloriser ce qu’on fait ? Je lui ai partagé ce que j’ai appris : parfois, il faut commencer par le "quoi" et le "comment", avant de déployer le "pourquoi". Le pourquoi reste essentiel. C’est ce qui forge une relation émotionnelle, une identité forte. Mais… il prend du temps à se construire. Le quoi, en revanche, est souvent la porte d’entrée. Une offre claire et spécifique, qui répond à un besoin immédiat, est ce qui vous permet d’être repéré. Le comment ajoute votre touche personnelle : une manière de faire qui vous différencie et attire la confiance. C’est une approche qui reflète mon propre parcours. Deux de mes clients actuels, aujourd’hui partenaires sur des missions stratégiques globales, m’ont d’abord confié… un simple projet vidéo. Ce premier contact était l’occasion de montrer mon expertise, mais surtout ma façon de travailler. Avec le temps, ces relations se sont transformées en collaborations durables et stratégiques. J’ai également insisté sur un dernier point : Ne jamais jouer sur les prix. Quelqu’un sera toujours moins cher que vous. Mais ce qui est "cheap" aujourd’hui restera "cheap" pour toujours, et cette étiquette est impossible à décoller. C’est en proposant des solutions de valeur que vous vous démarquez. Et pour répondre à l'objection dites vous que vos clients n’achètent pas juste un clou, ils achètent l’émotion de ce qui sera accroché. Et vous, comment avez-vous décroché vos premiers contrats ? Partagez vos expériences en commentaire, je serais ravi d’en discuter !
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😡 Manifestement avoir de bonnes intentions est tellement rare de nos jours que cela en devient suspect ! Je propose une animation à une association. Ni coaching, ni conseil. Soir, WE à discuter. Il ne s'agit pas de travailler ou non avec eux car la suite parle d'elle même. 💬 Je partage ici un exemple type des interprétations que font souvent les personnes dans leurs échanges au sein d'un groupe sans vous = conclusions erronées 😡 Ces personnes ont interprété cette idée comme une démarche commerciale déguisée et une utilisation d'une salle mise à disposition gratuitement ! "Nous avons eu des personnes qui se sont servies de nos salles " = j'allais faire de même 👉 C'est à l'opposé de mon intention de départ ! Je ne vais pas partager ici le contexte de ma vie actuelle qui, de facto, élimine leur présupposition = d'autre priorité 🤚 3 choses : - Une remarque intrusive - Un jugement de valeur - Me donner une intention que je n'ai pas Si je suis dans la posture d'entrepreneur 1 - Je fais une proposition commerciale claire et elle aurait porté sur du conseil et du coaching Le coût de la salle aurait été pris en compte dans les tarifs donc là effectivement on sort du champ associatif 3 - Nous pouvons tous distribuer des cartes (qui peuvent dater de 5 ans !) Au même titre qu'un artiste qui distribue ses cartes, ce n'est pas pour autant qu'il vend ses tableaux ! Bien évidemment, je suis pro-active donc je vais : 1- Véritablement prendre en compte, l'idée que se font les personnes de l'entreprenariat et les risques que cela comporte 2- Revoir la façon dont je présente cette idée car nouveau donc je tâtonne en restant dans la joie liée pour le faire 3- Attendre pour avancer une participation/prix même s'ils vous le demandent même si vous précisez ENCORE que vous n'avez pas assez d'éléments et l'utilisation 🤷♀️ Garder en mémoire : Si cette intention n'est pas vôtre, cela se reproduira surtout s'ils campent sur leur position et soyez prêts à voir l'idée de l'idée reprise 😉 🚩 Rester vigilant : la dangerosité est réelle sur le quotidien, votre vie car tout va être noirci 🤚 Cela étant par expérience, j'ai noté, que souvent ceux, qui donnent de mauvaises intentions : - étaient eux-même dans cette façon de fonctionner - travaillaient dans des secteurs ou des milieux où la communication n'est pas claire en raison d'une incongruence entre les valeurs avancées et la réalité économique de fonctionnement - avaient une haute opinion d'eux-mêmes au point de considérer que leur statut (social, travail, etc) les place en position de "sachant" - étaient fermés et privilégient l'entre soi - utilisaient la manipulation pour obtenir des informations et rejoignent ceux qui fonctionnent comme cela précédemment cités. ❤️ Mon intention était de créer du lien. Je n'avance pas masquée ! C'est d'ailleurs plutôt ce qui me joue des tours habituellement. 🌺 Rester sur le "merci, pour ta générosité Sophie" qui fait chaud au coeur de la veille
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🤝Ça ne représente peut-être rien pour vous, mais pour moi ça veut dire beaucoup… ☔️A la base, il y avait un figement de ma part après une proposition commerciale : une forme de perception que le client me demandait à chaque fois de nouveaux remaniements de notre offre, qu’il fallait ajouter plus de services pour le même prix, l’envie de ne plus le croiser de peur qu’il me redemande de nouveaux ajustements, l’incapacité à passer à passer à l’action et à lui demander que nous en parlions autrement « qu’entre deux portes ». ☁️Après 3 semaines de sensation que si « ça n’avance pas, c’est de ma faute », je me décide à en parler à ma boss Agnès CART-LAMY lors d’une de nos réunions « Prendre Soin » (nos fameuses « PDS » dans nos agendas). Elle gribouille sur le paperboard des trucs que je ne comprends pas en m’expliquant des choses que je ne comprends pas trop non plus. Et puis dans ses flèches, je comprends que la situation me fait « changer de niveau ». Je passerais du statut « d’adulte » à celui « d’enfant » qui ne va pas tarder à monter dans les tours parce qu’il n’est pas mis en action (ça, c’est moi qui en rajoute 😜). ⛅️Et puis Agnès m’explique que s’il y a un changement dans ma posture, c’est parce que je ne suis pas dans mon rôle. Par conséquent, lorsqu’à la suite de la proposition commerciale que j’ai faite (j’avais envie d’aller jusque là), il y a eu négociation, je n’étais plus à l’aise. J’avais déjà donné lors de la propal mais là négocier ce n’était plus dans mes compétences. ☀️Et Agnès me dit qu’elle aurait dû prendre le relais à partir de là et prendre en charge la partie commerciale qui lui semble être son rôle. Ce qu’elle a fait de suite après notre échange…. 🌈Je suis revenue dans mon rôle, je me sens en sécurité et écoutée dans mes besoins. Je peux continuer mon travail créatif libérée et entendue. ❔Vous en connaissez vous des dirigeants capables de dire que si t’es dans la difficulté, c’est parce qu’ils n’ont pas fait leur part ? Et que dans la seconde où tu as posé la problématique, ils se mettent en route pour faire avancer le système sans te culpabiliser ? ♥️Moi en tout cas, je suis fière (et en sécurité) de travailler pour Agnès CART-LAMY et Émergence & Co parce que ce qu’on donne comme outils à nos clients, on l’expérimente dans notre agence en toute authenticité. #coaching #coachingdentreprise #systemie #resolutiondesconflits #psychologiesystemiqueintegrative #interqualia
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Bravo à ces avocats qui ont compris que face à une difficulté avec un collab, il est préférable d'accompagner que de sanctionner👏 Quand il y a un os, c'est trop facile de gueuler, d'ignorer son collab ou de s'en séparer. Mais en faisant cela, vous vous tirez une balle dans le pied. Vous perdrez tout le temps que vous aurez investi avant, et vous êtes sûr de creuser encore plus la distance entre vous. La meilleure solution? Investir encore plus sur la personne dont vous doutez. Prendre le temps de l'accompagner encore plus, lui payer une formation ou un coaching. Pourtant, ça peut paraître risqué : pourquoi dépenser encore plus de temps et d'argent, au risque de tout perdre? Parce que si votre collab surnage, ce n'est pas qu'il est nul, c'est qu'il a besoin d'aide. Ce geste n’est pas seulement une preuve de leadership. C’est un vrai choix de humain. Cela montre qu’il est possible de résoudre les problèmes en donnant une seconde chance, de la confiance et de l’espace pour évoluer. Parce qu’on sait que derrière une difficulté, il y a souvent des leviers de croissance à activer. Donc, bravo à ceux qui prennent parfois le risque de mettre tous leurs oeufs dans le même panier. 👉 Et vous, comment abordez-vous une difficulté avec un membre de votre équipe ? Partagez vos réflexions !
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Et si vous preniez conscience du Pouvoir de Dire Non ! Vous êtes-vous déjà forcé à accepter un client parce que « je n'ai pas le choix ! » Avez-vous déjà pensé blanc et dit noir chez un prospect ? « Tu comprends, je ne peux pas lui dire non, on ne se connait pas ! ». Perso, moi oui 😶. STOP ! Osez dire non 🤩 ( oui oui !) Cela pourrait vous sembler contre-intuitif… alors évidemment à utiliser de manière judicieuse ! Voici, selon mon retour d'expérience, pourquoi le non est important et est puissant : -Capitalisez votre énergie et vos ressources : Dire non vous permet de vous concentrer sur les projets qui sont vraiment alignés avec votre vision. Posez vos limites, c'est essentiel pour la suite. -Construire une relation de confiance : vous montrez à vos clients que vous privilégiez la qualité. Et croyez-moi, le client apprendra à aimer vous entendre dire non ! vous influencez. -Affirmez votre expertise : Dire non, c'est aussi encrer votre expertise métier/marché (alors évidemment à accompagner avec de l'argument, n'est-ce pas !) Une fois de plus, le non rassure et votre client fait aussi appel à vous pour cela. C'est vous l'expert, pas lui dans votre domaine ! -Gagnez du respect, gagnez des contrats ;) Une posture de non-négociation sur certaines propositions instaurera un respect mutuel et renforcera votre crédibilité ! N'ayez pas peur de cette "confrontation !" En somme, le "non" bien utilisé peut être une tactique forte afin de renforcer votre stratégie commerciale ( qu'on se le dise, un "non" argumenté et bien placé est aussi libérateur !). PS : Sans transition aucune, je vous avais dit que 2025 je ferais appel à un/une professionnel(le) de la 📷 ! C'est chose faite ! merci à la talentueuse Valérie Servant et évidemment à Maya Caballero ;)
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Combien de fois j’ai lu ou entendu “Si j’avais su…” ou “j’ai eu tort”. Je vais vous raconter une très courte histoire en espérant que vous ne vous reconnaitrez pas en la lisant. Je vais vous parler de Corentin. Corentin est un jeune homme intelligent. Il a développé un talent qui lui est propre et il est vraiment doué ! Son travail est toujours de qualité et ses clients sont satisfaits à chaque fois. Mais Corentin a de grosses difficultés : Il a du mal à trouver des clients Il se méfie de tout et tout le monde Il a peur d’essayer quelque chose de nouveau Il écoute bien plus facilement les commentaires négatifs que positifs Pour résumer, Corentin est un sceptique, un peu flemmard, qui préfère regarder passer les solutions en les critiquant plutôt que les essayer et trouver une solution à sa situation. Et bien souvent, quand il voit la réussite des personnes qui sont passées à l’action il dit “Oui mais c’est une sur 1 million, il a eu de la chance”. Et puis il voit des dizaines de personnes faire la même chose et son argument de la “chance” ne tient plus. Alors il regrette. “Si j’avais su…” et sa situation s’aggrave car les factures continuent d’arriver et d’augmenter. Des Corentin, il y en a beaucoup. Pourtant, il leur suffit souvent de se dire “cette solution pourrait m’aider, je vais aller me renseigner” pour faire la différence et avancer dans la bonne direction. Est-ce que vous êtes comme Corentin ? Si c’est le cas, je vous invite à vous ouvrir. Je ne vous demande pas d’acheter toutes les offres que vous voyez passer. Ça ne serait pas bon pour vous. Ce que je vous propose, c’est simplement d’aller vraiment voir si c’est bon pour vous. Commencez aujourd’hui en utilisant votre place offerte à l’événement de Jody Cavalie. Vous allez y apprendre beaucoup de choses utiles. En plus Max Piccinini et Mohamed Boclet seront présents pour vous apporter encore plus de valeur ! En ce qui me concerne, j’y serai et mettrai à profit chaque minute ! On se retrouve là-bas !
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L'histoire de Brice est bouleversante et tu dois absolument lire ça 👇 Il y a 2 ans, j'ai eu l'occasion de rencontrer un jeune homme brillant et très passionné par le digital. Son seul problème : la peur paralysante de prendre la parole en public. Chaque fois qu'il devait s'exprimer devant une audience, même pour des présentations virtuelles, sa gorge se nouait, ses mains tremblaient, et il perdait totalement le fil de ses idées. Un blocage total. Pourtant, Brice avait des idées novatrices, une énergie débordante et une expertise indéniable dans son domaine. Mais son manque de confiance en lui et sa peur du jugement l’empêchaient de saisir les opportunités qui se présentaient à lui. Brice est venu me voir parce que cette peur commençait à sérieusement freiner sa carrière. Son manager lui avait déjà fait remarquer que, s'il voulait évoluer, il devait apprendre à s'exprimer clairement et avec assurance devant une équipe ou des clients. Mais comment ? Il se sentait complètement bloqué. Nous avons commencé un accompagnement basé sur des techniques pratiques et réalistes. Aucun miracle. Juste de la rigueur, de la persévérance et une approche centrée sur ses besoins. Petit à petit, nous avons travaillé sur ses angoisses, mais surtout, nous avons pratiqué. Encore et encore. Je lui ai montré comment structurer ses idées, comment utiliser sa respiration pour gérer le stress, et comment se préparer efficacement avant une prise de parole. Au bout de quelques semaines, il y a eu un premier déclic. Lors d'une réunion, Brice a pris la parole sans hésitation, a exposé ses idées clairement et, pour la première fois, il a reçu des retours positifs de ses collègues. Ce n'était pas parfait, mais c'était un début. Quelques mois plus tard, Brice a décroché une promotion. Il a pris en charge une équipe de cinq personnes et anime désormais des réunions hebdomadaires sans problème. Ce qu'il pensait être un obstacle insurmontable est aujourd'hui devenu un atout. Des histoires comme celle de Brice, je pourrais t'en raconter plein. Parce que je rencontre au quotidien des professionnels qui se sentent bloqués parce qu'ils ont du mal à réussir leur prise de parole en public. C'est loin d'être une fatalité. Brice en est la preuve. J'en suis moi-même la preuve. Il existe bel et bien des outils concrets qui peuvent t'aider à surmonter cette faiblesse. Est-ce que tu aimerais que je les mette entièrement à ta disposition ? Si oui, écris '' je veux bien m'exprimer'' en commentaire.
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2 moisDire non, c'est parfois pour s'aligner avec le vie que nous voulons avoir Lauriane RIVIERE . Félicitations!