Les prix du gaz naturel et de l’électricité ont cette fois-ci poursuivi leur hausse, portée par des températures froides qui accélèrent la demande. 🔥 Gaz : les températures froides augmentent la demande et impactent durement les stocks de gaz naturel qui sont à un niveau plus faible que l’année dernière à la même époque : 91,26% contre 99,23% en 2023. Cette situation accentue la concurrence au niveau des approvisionnements. ⚡️Électricité : les prix de l’électricité ont suivi la tendance haussière des prix du gaz naturel. Le faible rendement des EnR (éolien) alors que les températures baissent a accentué l’effet de hausse du MWh d’électricité. 🛢️Brent : l'intensification du conflit entre la Russie et l'Ukraine a fait naître des inquiétudes quant à d'éventuelles perturbations de l'approvisionnement. De plus, la demande plus faible en Chine, le plus grand importateur mondial de pétrole, et les prévisions d'un excédent mondial de pétrole ont contribué à entretenir la baisse du baril. Au 15/11/2024, le baril s’échangeait à 71,04 $. ☁️ CO2 : la tonne de CO2 s’échangeait 68€ au 15 novembre. L’augmentation de la production d’électricité à l’aide de ressources fossiles a poussé les prix du carbone à la hausse. ⚫️ Charbon : le prix de la tonne de charbon est resté stable cette semaine mais il devrait augmenter en raison du retour de la saison de chauffe en Europe. Une tonne de charbon valait 141,75 $ au 15/11/2024.
Post de Le Lab' des Énergies
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Hello Team !!! Le prix du gaz provoque la hausse combinée du prix de l'électricité, du charbon et du CO2 : Gaz : +9,2% sur les prix pour 2025 et +10,8% pour les prix de novembre 2024. Le risque pesant sur l'approvisionnement ainsi que la situation géopolitique font craindre une nouvelle remontée forte du prix du gaz. Les acteurs du marché conservent des positions spéculatives haussières à quelques jours du début de l'hiver gazier. Électricité : +5,8% sur les prix pour 2025 et +10,4% pour les prix de novembre 2024. Le prix de l'électricité se retrouve en hausse, poussé par le gaz et dans son sillage, le charbon ainsi que le CO2. Malgré une disponibilité nucléaire élevée (45,8 GW), la hausse du prix des combustibles fossiles et la diminution de la production renouvelable impliquent des prix plus élevés sur le marché de l'électron. CO2 : +7,5% sur le prix des quotas pour décembre 2024. Le prix du CO2 a fortement augmenté, tiré vers le haut par les prix du gaz qui ont fortement rebondi, du fait des nombreux risques actuels qui tendent ce marché. Pétrole : +4,5% sur le prix du pétrole brut. Le prix du brut est remonté sur les marchés sur fond de tensions géopolitiques toujours intenses au Proche-Orient. Au cours du week-end, Israël a lancé une attaque sur l'Iran mais a épargné l'infrastructure énergétique et nucléaire. Cela ne devrait donc pas faire remonter à nouveau les prix, pour le moment.
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L’offre d'électricité et de gaz naturel répond actuellement à la demande. Les prix à court et long terme de l’électricité ont baissé en raison d’une bonne production éolienne. Les prix du gaz naturel à court terme réagissent à la situation au Moyen-Orient qui pourrait avoir des conséquences sur l’approvisionnement de #GNL. 🔥 Gaz Les stocks record de la sortie d’hiver ont freiné la demande à court terme. Les tensions en mer rouge inquiètent les marchés qui estiment que la situation devrait rendre l’énergie plus coûteuse. ⚡️ Électricité La bonne production #EnR et une demande plus faible en raison des conditions météorologiques printanières font baisser les prix malgré une augmentation dite technique des prix du CO2. 🛢️ DRIVERS Pétrole : 85,34$ le baril de #Brent en fin de semaine dernière. La tendance reste à la hausse en raison des risques liés à l’approvisionnement en provenance de Russie et du Moyen-Orient. Le prix de la tonne de #CO2 a augmenté de 8€ entre le 11 et le 18 mars. Ce rebond est dû à une correction technique selon plusieurs experts. Les prix du charbon se stabilisent autour des 130 $/t et restent sensibles à la diminution des exportations russes vers l’Asie. 📊 Tendances La situation géopolitique crée des inquiétudes au niveau des marchés (gaz, charbon, pétrole) et pourrait avoir des incidences sur les prix à court et long terme. À court terme, la réduction de la demande et le retour à des températures printanières maintiennent les prix à la baisse.
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Les marchés du gaz naturel et de l'électricité ont suivi des trajectoires opposées la semaine dernière. L’électricité a reflété une faible demande alors que le gaz naturel a subi les pressions géopolitiques liées à la situation au Moyen-Orient. ⚡️ Électricité : la bonne production nucléaire et EnR a répondu favorablement à la demande en baisse du secteur industriel. De plus, le recul du prix du CO2 a participé à cette tendance baissière. 🔥 Gaz : la réduction de l’offre GNL et les tensions géopolitiques mettent la pression sur les marchés du gaz naturel. L’Agence Internationale de l’Énergies indique par ailleurs que la demande de gaz atteindra un record en 2024. 🛢️ Brent : l’escalade du conflit au Moyen-Orient continue de poser des risques en matière d’approvisionnement et met la pression sur les prix du Brent. Le baril s’échangeait à 78,05$ et la tendance est à la hausse cette semaine. ☁️ CO2 : le secteur manufacturier morose et l’importante production EnR évitant le recours aux énergies fossiles utilisées pour les centrales thermiques a poussé les prix des permis d'émissions de CO2 à un peu plus de 62€ la tonne le 4 octobre dernier. ⚫️ Charbon : la tonne de charbon se rapproche des 150$ en raison d’un net déséquilibre entre l’offre internationale et la forte demande chinoise et d’une augmentation d’environ 15% de la production d'électricité à partir du charbon en Inde la semaine dernière.
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Nous constatons à nouveau une divergence des marchés du gaz naturel et de l’électricité mais cette fois-ci, c’est l’électricité qui subit la hausse. ⚡️ Électricité : malgré une production nucléaire de qualité et des EnR performants depuis le début de l’année 2024, l’électricité a subi la hausse des prix du charbon et du CO2. Tout comme les conditions météorologiques en France et en Europe, l’évolution de la situation au Moyen-Orient risque d’avoir des conséquences sur les prix de l'électricité à court et moyen terme. 🔥 Gaz : la baisse des prix constatée en fin de semaine laisse les prix du gaz naturel à un niveau élevé, proche des 40 €/MWh. Le contexte de tensions géopolitiques accrues au Moyen-Orient maintient la pression sur les prix de l’énergie alors que l’on craint que l’approvisionnement en provenance de cette région clé (importations européennes de GNL en provenance du Qatar). 🛢️Brent : après avoir démarré la semaine à plus de 80$ le baril, puis 76$ en milieu de semaine, le Brent s’échangeait à 79$ le 11 octobre. Les craintes pesant sur l’Iran mettent la pression sur les investisseurs. ☁️CO2 : après être retombés à 60€ la tonne en raison de la faiblesse du secteur manufacturier, le prix des permis d’émissions se sont relevés en fin de semaine en raison de la situation géopolitique au Moyen-Orient qui pourrait avoir des conséquences sur l’approvisionnement en GNL et provoquer une demande accrue des permissions d’émission (charbon vs gaz). ⚫️ Charbon : les déséquilibres persistants entre l'offre et la demande ont propulsé les prix de la tonne de charbon au-delà des 150$. L’économie chinoise et la production électrique indienne boostent la demande et les prix.
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Bonjour TEAM Le prix du gaz se maintient à des niveaux élevés tandis que le prix de l'électricité a pu poursuivre principalement en baisse : Gaz : -1,9% sur les prix pour 2025 et -1,4% pour les prix de novembre 2024. Le prix du gaz a légèrement baissé mais reste dans une zone comprise entre 38 et 40 €/MWh. Les acteurs du marché demeurent confiants sur les fondamentaux mais la situation géopolitique, instable et explosive, implique le maintien d'une certaine prime de risque sur les prix en attendant de plus amples développements. Les prévisions de températures restent également un élément clé que le marché suit de près. Électricité : -4,8% sur les prix pour 2025 et -0,2% pour les prix de novembre 2024. Les prix à court terme sont restés stables en raison de températures plus élevées et d'une diminution à venir de la production éolienne. A plus long terme, le prix a pu profiter d'une baisse plus généreuse grâce à la chute du prix du gaz, du charbon et du CO2. La disponibilité nucléaire reste élevée (41,3 GW) et la demande plutôt faible. CO2 : -3,6% sur le prix des quotas pour décembre 2024. Le prix des quotas de CO2 reprend une trajectoire baissière du fait de la chute du prix des combustibles et de températures qui restent pour le moment plus élevées que la normale. Pétrole : -6,8% sur le prix du pétrole brut. Le prix du pétrole a connu une chute assez forte sur la semaine en l'absence de représailles de la part d'Israël en Iran ainsi que de la poursuite des pourparlers pour un cessez-le-feu dans la bande de Gaza. Côté économie, les annonces faites par la Chine pour soutenir l'investissement, les entreprises et la consommation ne présagent pas, pour le moment, une reprise de la demande en produits pétroliers. En vous souhaitant une bonne semaine.
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Les prix du gaz et de l'électricité remontent à l'approche de l'hiver et d'une situation géopolitique qui demeure tendue : Gaz : +6,6% sur les prix pour 2025 et +10,7% pour les prix de octobre 2024. Malgré des flux norvégiens qui remontent progressivement, le marché reste inquiet concernant l'hiver à venir. En dehors des températures qui devraient rester sous les normales de saison, c'est la situation géopolitique, au Proche-Orient ainsi qu'entre la Russie et l'Ukraine, qui revient sur le devant de la scène. Le marché reste dans l'incertitude concernant le devenir des flux gaziers entre la Russie et l'Europe, qui transitent par l'Ukraine, et sont censés s'estomper au 31 décembre. En cas d'arrêt, l'Europe serait moins bien approvisionnée pour les mois d'hiver restants. Électricité : +5,5% sur les prix pour 2025 et +7,9% pour les prix de octobre 2024. L'électricité n'a pas été épargnée sur le mouvement haussier qui s'est emparé du marché gazier. Dans le sillage du gaz, le prix du CO2 ainsi que du charbon sont remontés, le prix de l'électricité n'y a pas résisté. Dans le même temps, la production renouvelable et nucléaire de la France reste robuste et rassurante, mais les centrales thermiques sont toujours nécessaires. CO2 : +4,6% sur le prix des quotas pour décembre 2024. Les EUA ont suivi la trajectoire haussière des combustibles fossiles et sont remontés au-dessus des 65 €/tonne. Pétrole : -3,5% sur le prix du pétrole brut. Les prix du pétrole ont pu connaître une semaine baissière, malgré l'intensification des frappes au Liban en provenance d'Israël. Les annonces de la Chine pour soutenir et relancer son économie n'ont pas non plus eu un effet haussier majeur sur les prix du pétrole. Dans le même temps, l'OPEP+ a annoncé que la hausse de ses niveaux de production aura bien lieu en décembre 2024, ce qui a logiquement contribué à une diminution des prix et a été l'élément déterminant de cette baisse. En vous souhaitant une bonne semaine.
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Les tensions au Moyen-Orient ont durement impacté les prix du gaz naturel la semaine dernière. L’électricité a suivi la même trajectoire en raison d’une disponibilité en baisse et d’une forte demande. ⚡️ Électricité : la disponibilité du parc nucléaire en baisse en raison de l’arrêt de réacteurs (corrosion sous contrainte et températures trop élevées de l’eau de refroidissement) et les conséquences de la vague de chaleur sur la demande, ont fait grimper les prix. 🔥 Gaz : les marchés ont craint un embrasement de la situation au Moyen-Orient à la suite de l’assassinat du chef du Hamas en Iran. Les prix du gaz naturel en Europe ont grimpé jusqu'à 40 euros le mégawattheure début août, le plus haut depuis près de huit mois, dans un contexte de menaces croissantes sur l'approvisionnement. 🛢️ Pétrole : les craintes de récession aux États-Unis, premier consommateur mondial de pétrole, l'emportent sur les risques d'approvisionnement liés aux tensions géopolitiques au Moyen-Orient. Le baril de Brent s’échangeait à 76,81$ le 2 août dernier. ⚫️ Charbon : selon l'Agence internationale de l'énergie, la croissance significative de la demande d'électricité dans les principales économies suggère que la consommation mondiale de charbon restera relativement stable cette année et l'année prochaine. Les importations chinoises de charbon par voie maritime ont augmenté de 11 % sur un an entre janvier et juin 2024. La tonne de charbon s’échangeait à 144,1$ au 2/08/2024. ☁️ CO2 : le coût des permis d’émission de CO2 a augmenté toute la semaine dernière pour finir à plus de 70€ la tonne (70,4€/t au 2/08) notamment en raison de l'épisode de grosse chaleur en Europe.
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Les marchés de l'électricité et du gaz naturel ont convergé à la hausse la semaine dernière. Le contexte géopolitique et l’augmentation de la demande ont largement participé à la poussée des prix. ⚡️ Électricité : les prix de l’électricité ont suivi la tendance haussière du gaz naturel, du charbon et du CO2. La baisse de la production photovoltaïque a accentué la hausse des prix de l’électron. 🔥 Gaz : malgré des bons stocks (94% en UE) et le retour progressif du flux gazier norvégien, les marchés craignent les conséquences de l’arrêt du flux gazier russe via l’Ukraine. De plus, la concurrence exacerbée sur le marché du GNL ajoute plus de pression sur les prix. 🛢️ Brent : les contrats à terme sur le pétrole brut Brent ont augmenté lundi à environ 72,4 dollars le baril, en raison des inquiétudes concernant les perspectives de ruptures d'approvisionnement dans un contexte d'escalade des tensions au Moyen-Orient. ☁️ CO2 : la hausse de la demande et les incertitudes sur l’offre commencent à exercer une pression à la hausse sur les prix des permis de carbone. 66,33 €/t au 27 septembre 2024 ⚫️ Charbon : après avoir atteint un plus bas de sept semaines (137$/t), les contrats à terme sur la tonne de charbon ont rebondi à 140 dollars. Les prix ont été soutenus par une production chinoise réduite..
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📈 NEWSLETTER ENERGIE | La baisse du prix du gaz entraîne dans son sillage les prix du CO2 et l'électricité : 🔥 #Gaz : -9,1% sur les prix pour 2025 et -9,5% pour les prix de décembre 2024. Les fondamentaux ont repris le dessus sur les risques géopolitiques. L'offre importante et une consommation plutôt faible ont entraîné le marché à la baisse. Une rumeur de négociation entre l'Azerbaïdjan et la Russie sur un accord de transit du gaz russe a accéléré ce mouvement. ⚡#Électricité : -8,5% sur les prix pour 2025 et -4,5% pour les prix de décembre 2024. Le prix de l'électricité ont baissé poussés par la baisse du prix du gaz et dans son sillage le charbon et le CO2. La disponibilité nucléaire reste toujours élevée à 46 GW, A court terme, la baisse de production renouvelable a été compensée par des températures plus clémentes qu'estimées. 🏭 #CO2 : -4,6% sur le prix des quotas pour décembre 2024. Le prix du CO2 a subi une prise de bénéfices des investisseurs institutionnels couplée à une baisse des prix du gaz. La dernière enchère confirme un niveau de prix de 64€. 🛢️ #Pétrole : -4,3% sur le prix du pétrole brut. Le prix du brut a baissé sur fonds de baisse des tensions géopolitiques entre Israël et l'Iran. De plus, la faiblesse de la reprise de l'économie chinoise, premier importateur de mondial de pétrole, met toujours une pression baissière sur le prix du brut. 👉 Retrouvez la newsletter d'OMNEGY complète en commentaire.
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