Post de Le Lab' des Énergies

Les prix de l’électricité et du gaz naturel convergent à court terme, mais divergent à plus longue échéance. Les prix à court terme reflètent une demande estivale modérée. Les prix du gaz naturel sont de leurs côtés poussés à la baisse en raison d’une demande décroissante et d’un approvisionnement solide (norvégien + GNL). ⚡️ Électricité : la capacité nucléaire et la bonne production EnR répondent favorablement à la demande à court terme qui est freinée par des bonnes conditions météorologiques. Cependant, les marchés restent tendus en raison des différentes trajectoires politiques qui seront mises en place au niveau national (dispositif et prix post-Arenh) mais aussi européen. 🔥 Gaz : les marchés n’ont pas réagi aux potentielles indisponibilités des terminaux GNL américains (freeport notamment) à la suite de l'ouragan Beryl. L’approvisionnement conséquent, des stocks abondants et la diminution de la concurrence asiatique à court terme sur le GNL ont poussé tous les prix à la baisse. 🛢️ Pétrole : la situation au Moyen-Orient reste floue autour du cessez-le-feu entre Israël et le Hamas. Les marchés suivent de près l’évolution des différents conflits et celle de l’économie chinoise. Le baril de Brent s’échangeait à 85$ en fin de semaine. ⚫️ Charbon : les prix bas vont sans doute augmenter l’intérêt du charbon pour la production d’électricité. Les États-Unis prévoient d'ailleurs d’augmenter son utilisation en raison des prix plus élevés du gaz naturel. La tonne de charbon était évaluée à 133,85 $ le 12 juillet 2024. ☁️ CO2 : le carbone est repassé au-dessous des 70€ la tonne (69,35€/t au 12/07) mais une hausse est à prévoir notamment en raison de la baisse des prix du charbon et de son usage.

La hausse des prix du gaz en Europe, induite notamment par l’escalade des tensions entre la Russie et l’Ukraine, coïncide avec une baisse de l’excédent record de gaz accumulé par les pays européens, durant l’hiver.

La hausse des prix du gaz en Europe, induite notamment par l’escalade des tensions entre la Russie et l’Ukraine, coïncide avec une baisse de l’excédent record de gaz accumulé par les pays européens, durant l’hiver.

Le risque géopolitique s’atténue, mais les marchés restent attentifs à l’évolution des différents conflits. On observe des prix du gaz en baisse et des prix de l'électricité qui suivent la même tendance, sauf pour les contrats à échéances plus lointaines. ⚡ Électricité Les prix de l’#électricité suivent les tendances du gaz et du CO2 tout en profitant d’une disponibilité nucléaire en hausse et d’une production éolienne consistante. On constate cependant un manque de confiance sur les prix à long terme qui se traduit par une hausse des prix sur les contrats CAL26 et CAL27. 🔥 Gaz Malgré l’arrêt de la principale usine de liquéfaction de #GNL en Norvège suite à une fuite de gaz et les tensions géopolitiques au Moyen-Orient et en Europe, les prix du gaz naturel ont enregistré une baisse significative sur toutes les échéances. Les bons niveaux de stocks de #gaz européens suffisent à rassurer les marchés. 🛢️ Drivers Le baril de #Brent se rapproche de la barre des 90 dollars le baril et évolue au rythme des évolutions du conflit au Moyen-Orient. La faible demande de la part du secteur industriel et manufacturier pousse les prix de la tonne de #CO2 à la baisse (67,51€). Le charbon enregistre une baisse d’environ 7€ en une semaine en raison d’une forte diminution de la demande en Europe. 

📈 NEWSLETTER ENERGIE | Le froid et l'avenir incertain ont tiré les prix vers la hausse :   🔥#Gaz : +7,4% sur les prix pour 2025 et +8,5% pour les prix de décembre 2024. Les risques géopolitiques ont repris le dessus. La contre-offensive russe située au seul point d'approvisionnement du gaz russe en Ukraine, et la future attitude de Donald Trump vis-à-vis de l'Iran et du Venezuela ont apporté beaucoup d'inquiétude sur le marché. En effet, une attitude agressive envers ces deux pays exportateurs pourrait entraîner une baisse des flux disponibles sur le marché.   ⚡#Électricité : +8,5% sur les prix pour 2025 et +10,3% pour les prix de décembre 2024. Le prix de l'électricité a progressé suite à l'augmentation du prix du gaz, du charbon et du CO2. En effet, la baisse des températures, couplée à une production renouvelable en berne, a poussé les producteurs à utiliser le gaz et le charbon en compensation.   🏭 #CO2 : +3,6% sur le prix des quotas pour décembre 2024. Le prix du CO2 a connu une hausse du fait de l'utilisation du charbon pour la production électrique, et une vague acheteuse des différents intervenants financiers du marché.    🛢️ #Pétrole : -2,25% sur le prix du pétrole brut. Le prix du brut a baissé car la #Chine peine toujours à se sortir du marasme économique qu'elle subit depuis plusieurs mois. Par ailleurs, la vision de #Trump pro hydrocarbure est le prélude à une forte progression de la production #US de pétrole.  👉 Retrouvez la newsletter complète d'OMNEGY en commentaire.

La semaine passée, l'électricité a connu un forte hausse pendant que le gaz naturel est resté relativement stable. ⚡️ Électricité À court terme, les prix ont été poussés par la hausse du CO2 et une production EnR en baisse. Les prix à long terme ont, quant à eux, subi un rebond jugé technique par différents analystes. 🔥 Gaz naturel L'Europe a rempli ses stocks de gaz à un rythme record alors que les acheteurs asiatiques se retirent. Cette situation ne fait que renforcer la stabilité des marchés malgré un nouveau pack de sanctions envers le GNL russe. 🛢️ Pétrole : Le Brent est resté au-dessus des 85$ en raison d'une crainte d'extension du conflit au Moyen-Orient. De plus, un pic de la demande estivale de carburant entraîne un déficit de l'offre pendant que l'OPEP+ prévoit une prochaine réduction de son offre. ⚫️ Charbon : Après avoir connu des prix élevés au début du mois, la tonne de charbon s’est stabilisée aux alentours de 133$. La baisse des demandes chinoises et indiennes ont fait retomber la pression sur les prix. ☁️ CO2 : Les prix se rapprochent des 70€ la tonne. Le recours à la production d'énergie décarbonnée et les perspectives manufacturières positives ont orienté les prix du CO2 à la hausse.

Les marchés de l'électricité et du gaz naturel ont convergé à la hausse la semaine dernière. Le contexte géopolitique et l’augmentation de la demande ont largement participé à la poussée des prix. ⚡️ Électricité : les prix de l’électricité ont suivi la tendance haussière du gaz naturel, du charbon et du CO2. La baisse de la production photovoltaïque a accentué la hausse des prix de l’électron. 🔥 Gaz : malgré des bons stocks (94% en UE) et le retour progressif du flux gazier norvégien, les marchés craignent les conséquences de l’arrêt du flux gazier russe via l’Ukraine. De plus, la concurrence exacerbée sur le marché du GNL ajoute plus de pression sur les prix. 🛢️ Brent : les contrats à terme sur le pétrole brut Brent ont augmenté lundi à environ 72,4 dollars le baril, en raison des inquiétudes concernant les perspectives de ruptures d'approvisionnement dans un contexte d'escalade des tensions au Moyen-Orient. ☁️ CO2 : la hausse de la demande et les incertitudes sur l’offre commencent à exercer une pression à la hausse sur les prix des permis de carbone. 66,33 €/t au 27 septembre 2024 ⚫️ Charbon : après avoir atteint un plus bas de sept semaines (137$/t), les contrats à terme sur la tonne de charbon ont rebondi à 140 dollars. Les prix ont été soutenus par une production chinoise réduite..

Bonjour TEAM ­­Le prix du gaz se maintient à des niveaux élevés tandis que le prix de l'électricité a pu poursuivre principalement en baisse :  Gaz : -1,9% sur les prix pour 2025 et -1,4% pour les prix de novembre 2024. Le prix du gaz a légèrement baissé mais reste dans une zone comprise entre 38 et 40 €/MWh. Les acteurs du marché demeurent confiants sur les fondamentaux mais la situation géopolitique, instable et explosive, implique le maintien d'une certaine prime de risque sur les prix en attendant de plus amples développements. Les prévisions de températures restent également un élément clé que le marché suit de près.    Électricité : -4,8% sur les prix pour 2025 et -0,2% pour les prix de novembre 2024. Les prix à court terme sont restés stables en raison de températures plus élevées et d'une diminution à venir de la production éolienne. A plus long terme, le prix a pu profiter d'une baisse plus généreuse grâce à la chute du prix du gaz, du charbon et du CO2. La disponibilité nucléaire reste élevée (41,3 GW) et la demande plutôt faible.    CO2 : -3,6% sur le prix des quotas pour décembre 2024. Le prix des quotas de CO2 reprend une trajectoire baissière du fait de la chute du prix des combustibles et de températures qui restent pour le moment plus élevées que la normale.     Pétrole : -6,8% sur le prix du pétrole brut. Le prix du pétrole a connu une chute assez forte sur la semaine en l'absence de représailles de la part d'Israël en Iran ainsi que de la poursuite des pourparlers pour un cessez-le-feu dans la bande de Gaza. Côté économie, les annonces faites par la Chine pour soutenir l'investissement, les entreprises et la consommation ne présagent pas, pour le moment, une reprise de la demande en produits pétroliers.   En vous souhaitant une bonne semaine.  

Les prix du gaz et de l'électricité ont connu une hausse en fin de semaine. La nouvelle demande de GNL de la part de l’Asie et de la Chine en particulier a sans doute exercé une certaine pression sur les marchés. ⚡️ Électricité Les prix de l'#électricité ont suivi la hausse de ceux du gaz naturel malgré une bonne disponibilité nucléaire de 45,5 GW pour le mois de février. Le retour des températures hivernales pour ce début de mois de mars ne devrait pas affecter durablement les prix. 🔥 Gaz La nouvelle demande de #Gaz Naturel Liquéfié de la part de la Chine et de l'Asie a mis la pression sur les prix à court et long terme (+11,4% J-7 pour le CAL 24). Cette hausse des derniers jours peut apparaître paradoxale, car tous les facteurs sont au vert avec des stocks confortables, un approvisionnement abondant et un hiver relativement doux qui freine la demande. 🛢️ Drivers Le baril de #Brent est repassé au-dessus des 80$ en raison d’une coupe dans la production d’un million de barils/jour de la part de l'Arabie saoudite qui devrait être suivie par tous les membres de l’OPEP+. Le prix de la tonne de #CO2 a connu un pic en fin de semaine (60€) avant de redescendre autour des 55€. La tonne de charbon est repassée au-dessus des 130$ en raison d’une demande accrue du côté de la Chine, du Japon et de la Corée du Sud. 📊 Tendances Les prix devraient retrouver une trajectoire baissière grâce à de bons fondamentaux. Cependant cette tendance reste à nuancer en raison d’une récente annonce de la baisse de la production de gaz naturel de la part des producteurs américains #EQT et cie.

Les prix de l'électricité et du gaz naturel sont repartis à la hausse à J-7. Les évolutions géopolitiques et les fortes chaleurs attendues cette semaine devraient maintenir la pression sur les prix. ⚡️ Électricité : les hausses simultanées du CO2 et du charbon ont fait grimper les prix de l’électricité sur tous les produits à terme. La vague de chaleur en France prévue pour cette semaine pousse à la hausse la demande et les prix à court terme afin de répondre aux besoins de climatisation. 🔥 Gaz : les stocks confortables et l’approvisionnement norvégien stable n’ont pas empêché la hausse des tarifs. Les craintes liées à l'approvisionnement en gaz naturel (GNL et gazoducs) et à la concurrence accrue sur les marchés à terme ajoutent un peu plus de pression sur les marchés. 🛢️ Pétrole Brent : les incertitudes liées à la demande et à la conjoncture mondiales ont maintenu les prix autour des 80$ le baril. Les décisions qui seront prises lors de la réunion de l’OPEP prévue cette semaine et les tensions géopolitiques orienteront les prix. Prix au 26 juillet : 81,13$ le baril. ⚫️ Charbon : en raison d’une augmentation de la production d'électricité à base de charbon et d’un regain d'intérêt de la part des USA, la tonne de charbon a augmenté la semaine passée (+3,14%). La tonne de charbon s’échangeait à 139,25 $ au 26/07. ☁️ CO2 : La tonne de CO2 s’est rapprochée des 69€ après l’annonce de prévisions de prix à la hausse pour les années 2024 - 2026 de la part de différents analystes. Au 26 juillet, la tonne de CO2 s'échangeait à 67,71€.