Post de LE PAIN DU GONE

💻Les PME choisissent ello communications pour se digitaliser. Damien Dubois 🎤 «La qualité du réseau est aujourd’hui devenue pour moi une question aussi importante que la qualité de ma farine. Sans lui, il n’y a plus de commandes, plus de paiements, et par conséquent plus de boulangeries.» Pour Damien Dubois, à la tête des deux boulangeries Conrad du Landeron et de La Neuveville, la digitalisation est devenue une nécessité pour: 👉 Avoir des chiffres précis concernant son entreprise 👉 Suivre au plus près les étapes de production 👉 Simplifier sa communication interne 👉 Mieux piloter son activité Pourquoi Damien Dubois a choisi ello communications ? ✔ Parce que nous venons chez lui ✔ Parce que nous comprenons son activité ✔ Parce que Fouad Abouz est son interlocuteur et qu'il le connaît personnellement Lire l’interview sur notre blog ⤵ https://lnkd.in/eQ2jDHBs

Ils rendent tout cela possible ! 💫   L’objectif de la coopérative est de soutenir le développement des entreprises de nos artisans et renforcer leur compétitivité. Mais l’histoire n’est possible que parce qu’ils décident de l’écrire au quotidien en consommant et entreprenant autrement. Aujourd’hui, la coopérative stocke et propose à la commande des milliers de références, elle dispose d’une flotte de 9 véhicules PL et grues afin de livrer directement sur les chantiers de nos artisans (sans frais supplémentaires). Leur consommation régulière porte la coopérative et favorise son développement. La pérennité de la coopérative et celle des entreprises artisanales sont liées. Par son adhésion, son implication et son action, chaque artisan est acteur. Plus la coopérative se développe, plus elle dispose de moyens à mettre au service de ses adhérents et de leur propre réussite. C’est un cercle vertueux. 🔁

Nous sommes très heureux de collaborer au quotidien avec la Caisse de dépôt et placement du Québec (CDPQ) pour poursuivre notre belle croissance. Découvrez-en plus dans cet article

🍞 La Case à Pains et Colombus obtiennent un sursis ! 🕰️Une bouffée d'oxygène pour ces enseignes emblématiques de La Réunion. Voici les points clés : 📊 Contexte économique difficile :Hausse des coûts (matières premières, énergie) Tensions avec un partenaire ⚖️ Décision du tribunal : 6 mois supplémentaires accordés Poursuite du plan de restructuration 🔄 Mesures de redressement en cours :Arrivée d'un manager de transition expérimenté Centralisation de la production Semaine de 4 jours pour les salariés Lancement de nouvelles gammes de produits 💼 Enjeux stratégiques : Transition vers un "mode de gestion industriel au service d'une production artisanale péi" Optimisation de l'expérience client Conquête de nouveaux marchés Cette prolongation est cruciale pour La Case à Pains et Colombus. Elle leur permettra de finaliser leur restructuration et d'assurer leur pérennité. #economie #finance #business #businessintelligence #strategie #entreprise #laréunion #defaillances #redressement #risque

Pensez à nos souvenirs à la cantine avec les verres DURALEX et soutenez cette belle entreprise française et ses salariés , en signant cette petition ! Oui à la coopérative Duralex ! Le 17 juillet, deux offres de reprise de l'entreprise Duralex, seront examinées au tribunal de commerce d'Orléans, après la mise en redressement judiciaire de l'entreprise. Les Duralex, 228 salariés, fabriquent des verres ou encore des contenants pour la conservation des aliments, utiles pour éviter les déchets d'emballage et le plastique. Une offre de reprise est présentée par une holding familiale Tourres et Cie, Financée par les pouvoirs publics via la BPI de Rouen à hauteur de 7 millions d'euros, cette offre prévoit 49 licenciements. Et maintenant ? Allons-nous continuer par les reprises qui n'apportent pas de solutions durables ? Une autre offre émane des salariés eux-mêmes, y compris le directeur du site. Ils connaissent leur entreprise, leurs clients, leurs outils de travail, leurs métiers sur le bout des doigts. Et ils souhaitent créer une SCOP (société coopérative de production ou société coopérative et participative) pour développer leur activité, sans licencier et sans perdre des emplois. Cette SCOP, soutenue par les élus locaux, est une nouvelle entreprise sociale et solidaire qui appartiendrait à ceux qui créent vraiment la valeur dans une entreprise : les ouvriers. Il faut se rappeler du slogan des LIP en 1973 : "C'est possible, on fabrique, on vend, on se paie". Il est capital que nous soutenions cette proposition. Elle est un modèle de l'économie que nous voulons pour l'avenir : Locale, participative, inclusive. Ce projet devait être soutenu par la BPI et le ministère de l'économie et des finances, par une garantie de 3 millions d'euros. C'est pourquoi nous demandons : - Aux organismes de financement de s'engager auprès de la future coopérative pour soutenir son développement. - Aux distributeurs de produits ménagers (supermarchés, magasins spécialisés, ...) de prendre des engagements de commande auprès de la future coopérative. - Aux pouvoirs publics et aux collectivités locales, via leur marché public pour les cantines scolaires, de s'engager à commander chez Duralex. - Aux citoyens d'acheter du Duralex : des verres, des contenants et tous les autres produits utiles à notre vie quotidienne que fabriquent cette belle entreprise. Grâce à vous la pétition a une chance d'être entendue. Pour la création d'une SCOP DURALEX qui permettra à l'ensemble du personnel de s'approprier le projet Signez et partagez cette pétition, n'hésitez pas à la diffuser à tout votre entourage https://lnkd.in/eMBR4AnY Maxime notre fils est le DRH de Duralex Il compte sur vous Philippe https://chng.it/PpJkDCDQFc

🤝 Coopérer : au service d’un projet de société et/ou au service des coopérateurs/adhérents/sociétaires ? 🤝 Je vous partage une réflexion suite à un échange avec Pierre Liret sur la coopération dans le monde du commerce et au sein de Biocoop. Je suis curieux de vos opinions et retours d’expérience. La coopérative est un très souvent un projet de coopération d’entrepreneurs associés (commerçants, paysans, pharmaciens, etc.) qui partagent une vision de leur métier et des intérêts communs. Pour performer sur le marché, ils investissent ensemble, mutualisent des outils et font corps pour défendre leurs intérêts (par exemple lors des négociations avec les fournisseurs dans le cadre d’une coopérative de commerçants). Dans le commerce de détail, ça fonctionne ! Quand on voit que SYSTEME U, E.Leclerc et Intermarché ont le vent en poupe en comparaison avec les intégrés des Carrefour, Auchan Retail et Groupe Casino. Même l'intégré Lidl France n'a pas profité de la crise de pouvoir d'achat. C'est certainement dû le projet commun de défense du pouvoir d'chat pour Leclerc, du lien avec l'amont pour Intermarché et de la défense d'un commerçant de proximité pour U. Projet qu'on perçoit moins pour les intégrés hormis celui de rémunérer les propriétaires/actionnaires. Mais ne peut-on, ne doit-on pas aller plus loin? 💡Selon moi, et sans jugement de valeur, la coopération (et l’Economie Sociale et Solidaire), ce n’est pas seulement optimiser une chaîne de valeur, c’est donner du sens au collectif. 💡 Ce n’est pas seulement structurer un marché, c’est faire émerger un projet de société commun qui peut être militant, radical voir controversé. Dans un monde où les logiques individuelles dominent souvent, je reste persuadé que la coopération est un levier puissant pour voir émerger une vision partagée des coopérateurs (autour de notre alimentation et notre économie dans le cas de la Coopérative Biocoop). C’est la diversité d’intérêt des sociétaires qui permet de construire une vision de long-terme. Mais cette croissance et cette diversité peut rétrécir le commun et donc le projet politique accepté et défendu par tous. Ce commun pouvant se réduire aux simples intérêts de ses membres, voir de la partie prenante majoritaire. 🌍💬 Comment percevez-vous le rôle de la coopération aujourd’hui ? Est-elle un simple outil ou un projet en soi ? L’entreprise doit-elle défendre un projet de société au-delà de ses intérêts économiques ? Si oui, est-il toujours possible de défendre cette radicalité quand la coopérative grossit et accueille de plus en plus de membres ? #Coopération #Bio #EntreprendreAutrement #CommerceResponsable #EngagementCollectif

Rachète-nous si tu le peux ! Depuis quelques années déjà, nous assistons à un phénomène de centralisation du marché de la distribution de boissons. De plus en plus, les petites structures indépendantes se font racheter par des industriels et les gros acteurs nationaux, ce qui tue l’indépendance des distributeurs. De notre côté, on s’oppose à ce principe ! Bières des Régions c’est une SCIC soit une Société Coopérative d’Intérêts Collectifs. Par nature, elle ne peut être rachetée parce qu’elle appartient aux sociétaires. De ce fait, notre modèle est par essence indépendant. En vue du contexte économique actuel qui se durcit, notre modèle économique prend tout son sens puisque nous donnons à nos bénéficiaires la garantie de l’indépendance et de notre dévouement pour la cause brassicole artisanale. Les salariés, les brasseurs, les clients, les acteurs de la filière et les bénéficiaires de cette structure portent notre vision et la gouvernance de la coopérative. Il n’y a pas de lucrativité sur le capital de l’entreprise, il est donc impossible que des actionnaires avec des ambitions financières démesurées prennent les rênes. Au contraire, les sociétaires sont des personnes qui travaillent pour et avec cette filière. Pour nous c’est ça l’indépendance. Travailler avec nous, c’est s’assurer de travailler avec une structure indépendante. Pour nous, l’indépendance, c’est aussi faire vivre une équipe et des brasseries qui travaillent avec et pour ce modèle.

Devenir actionnaire salarié peut transformer la façon dont on perçoit son travail en donnant davantage de sens à son action, en renforçant l'engagement et la fidélité envers l'entreprise. Bien que le pouvoir de l’actionnaire salarié soit limité, c’est une expérience « enrichissante » ;-) et motivante dans le cadre professionnel. #OneCérélia #Investissement #Finance #SalariésInvestisseurs #ActionnaireSalarie #EpargneSalariale

Le saviez-vous ? Le groupe Groupe COFAQ se hisse dans le Top 100 des entreprises coopératives 2024 qui génèrent un chiffre d’affaires de 286 milliards d’euros. COFAQ pèse plus de 10% du marché national de la quincaillerie. Et en prime, elle occupe la place très honorable : la 31ème. En haut de ce classement, nous retrouvons des enseignes connues de notre quotidien. Citons en quelques-unes parmi les autres : ACDLEC Leclerc, U Enseigne, Intersport, Gedex, Big Mat, Weldom, Sport 2000, Atol, Yoplait, Banque Populaire, Caisse d’Epargne, Terrena.... C'est une excellente nouvelle pour nos adhérents et nos salariés spécialistes du marché du bricolage de proximité pour les professionnels et le Grand public, investis par des valeurs communes depuis 70 ans. Parmi tous nos derniers indicateurs et résultats qui sont au beau fixe, je suis particulièrement fier de cette reconnaissance attribuée au groupe COFAQ par Coop FR, les entreprises coopératives, l’organisation représentative des entreprises coopératives françaises. L’objectif 🎯 de devenir le 1er acteur du secteur approche progressivement et sûrement grâce au courage, à la persévérance, à l’adaptabilité des acteurs mobilisés dans un contexte de marché en perpétuelle mutation. Quel est le point en commun avec la grande majorité des autres coopératives ? Le siège social du groupe COFAQ est délibérément implanté à Poitiers, en dehors de la région Ile-de-France. Pour retrouver le classement de cette étude confiée à l’Observatoire national d’ESS France, je vous invite à télécharger le Top 100 des entreprises coopératives 2024 ici 👉 https://lnkd.in/eZyvZn7q Pour mieux comprendre le classement de cette étude, retenez les chiffres clés présentés de manière synthétique dans ce carrousel. #indépendance #démocratie #transparence #qualitéetexcellence #innovation #proximitéserviceclient #responsabilitésocialeetenvironnementale #égalitéetéquité #solidarité