LA VAGUE présente : Projection du film LES TERRES DE CÉCILE + 3 films courts de La Vague Suivi d'une rencontre avec le réalisateur Florian Geyer et l'artiste Cécile Nduhirahe mercredi 15 mai 2024 de 18:00 à 21:00 Fondation EspAsse - Nyon Route de l'Etraz 20 B Avec le soutien de : Ville de Nyon, Région de Nyon Un évènement du dispositif LE SISMOGRAPHE LA VAGUE Avec sa série de podcasts natifs radiophoniques, ses portraits filmés et son exposition itinérante, LA VAGUE se propose d’aller à la rencontre des acteur·rice·s de la culture et de ceux et celles qui la vivent sur le territoire du Grand Genève. En suivant "La Vague", nous souhaitons découvrir et cartographier les différentes formes de politique culturelle, d’initiatives inclusives, d’action de contre-culture ainsi que les attentes et les propositions des habitant·e·s et usagers, et ainsi sensibiliser l’ensemble du territoire transfrontalier lémanique tout en valorisant sa diversité. Un débat qui nourrira la réflexion pour une politique culturelle qui doit prendre en compte l’ensemble de sa population et qui, pour ce faire, doit en connaitre les appétences et les ressources. Les deux thématiques principales qui sont explorées : - Faire société à travers l’art et la culture (référence au principe des Droits culturels). - Quelle politique culturelle pour la métropole du Grand Genève ? (l’existant, les usages, les besoins, les idées et les rêves).
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Ceci semble passionnant.
[ 📣 Journée d'étude] "MILITER AU MUSÉE : ACTIONS POLITIQUES DANS LA SPHÈRE PATRIMONIALE" Dans ce clair-obscur où deux militantes écologistes de Just Stop Oil ont été condamnées à des peines de prison ferme de 20 et 24 mois pour avoir jeté de la soupe sur le tableau Les Tournesols de Van Gogh pendant que Lady Gaga dessine au rouge à lèvres sur la vitre de la Joconde au Louvre pour faire la promotion du film Joker... Nous vous invitons, avec Anne Bessette, sociologue (CERLIS), et Anne Lafont, historienne de l'art (CRAL-CEHTA /EHESS - École des hautes études en sciences sociales) à une journée de réflexion et de discussions sur les actions militantes décoloniales et écologistes dans la sphère patrimoniale. 📍 RDV à l'Institut national d'histoire de l'art 📆 mercredi 9 octobre de 8h45 à 17h 👉 Le programme détaillé de la journée : https://lnkd.in/dg4CFMkV 📝 Résumé : Ces dernières années, nous avons assisté à un déplacement et une transformation des formes de militantisme politique dans le domaine décolonial et écologique : de la manifestation sous la forme de marches collectives, ou bien de la dénonciation d’un immobilisme politique sous la forme de tribunes publiques dans les journaux, nous sommes passés à des interventions dans les musées ou encore à des entames du patrimoine public ayant pour objectif de réveiller les consciences, quant à une histoire conflictuelle transmise sans égard à ses méfaits (pour ce qui concerne l’histoire coloniale et plus encore l’histoire de la traite transatlantique et de l’esclavage) ou pour ce qui concerne la frilosité et l’inaction, voire le cynisme des pouvoirs publics face à l’urgence climatique. Cette journée d’études rassemblera des chercheur•ses, des artistes et des militant•es engagé•es dans l’action et dans l’étude de ces mobilisations d’un nouveau genre et tentera de comprendre non seulement à quel point les pratiques des décoloniaux et des écologistes se croisent et s’imitent, mais aussi, comment elles signent une nouvelle ère du patrimoine comme espace privilégié de l’action politique. JOELLE LE MAREC, François Mairesse, Sylvie Ollitrault, Rodolphe Solbiac, Camille Kaiser, Julie Marquet, Emmanuelle Sibeud, Institut national du patrimoine, Ministère de la Culture, ICOM FRANCE, International Council of Museums (ICOM), Centre de recherche et de restauration des musées de France (C2RMF), Ecole du Louvre, Musée du Louvre
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Une occasion exceptionnelle de souligner que la diversité culturelle est une caractéristique inhérente à l’humanité. Consciente que la diversité culturelle constitue un patrimoine commun de l’humanité et qu’elle devrait être célébrée et préservée au profit de tous. Sachant que la diversité culturelle crée un monde riche et varié qui élargit les choix possibles, nourrit les capacités et les valeurs humaines, et qu’elle est donc un ressort fondamental du développement durable des communautés, des peuples et des nations. Rappelant que la diversité culturelle, qui s’épanouit dans un cadre de démocratie, de tolérance, de justice sociale et de respect mutuel entre les peuples et les cultures, est indispensable à la paix et à la sécurité aux plans local, national et international. Célébrant l’importance de la diversité culturelle pour la pleine réalisation des droits de l’homme et des libertés fondamentales proclamés dans la Déclaration universelle des droits de l’homme et dans d’autres instruments universellement reconnus. Soulignant la nécessité d’intégrer la culture en tant qu’élément stratégique dans les politiques nationales et internationales de développement, ainsi que dans la coopération internationale pour le développement, en tenant également compte de la Déclaration du Millénaire de l’ONU (2000) qui met l’accent sur l’éradication de la pauvreté. Considérant que la culture prend diverses formes dans le temps et dans l’espace et que cette diversité s’incarne dans l’originalité et la pluralité des identités ainsi que dans les expressions culturelles des peuples et des sociétés qui constituent l’humanité. Reconnaissant l’importance des savoirs traditionnels en tant que source de richesse immatérielle et matérielle, et en particulier des systèmes de connaissance des peuples autochtones, et leur contribution positive au développement durable, ainsi que la nécessité d’assurer leur protection et promotion de façon adéquate. Reconnaissant la nécessité de prendre des mesures pour protéger la diversité des expressions culturelles, y compris de leurs contenus, en particulier dans des situations où les expressions culturelles peuvent être menacées d’extinction ou de graves altérations. Soulignant l’importance de la culture pour la cohésion sociale en général, et en particulier sa contribution à l’amélioration du statut et du rôle des femmes dans la société. Consciente que la diversité culturelle est renforcée par la libre circulation des idées, et qu’elle se nourrit d’échanges constants et d’interactions entre les cultures. Rappelant que la diversité linguistique est un élément fondamental de la diversité culturelle, et réaffirmant le rôle fondamental que joue l’éducation dans la protection et la promotion des expressions culturelles.
A Rabat ce soir pour le lancement de la programmation culturelle France-Maroc 2024-2025 sur le thème "le Vivant". Pour explorer ensemble la complexité et le champ infini de ces relations invisibles qui définissent cette manière d'habiter la terre en commun. https://lnkd.in/ebwauA8F A Fès nous avons démarré la saison avec une création de danse contemporaine "Pas le temps pour le temps" du chorégraphe Said El Haddaji, et poursuivons à compter du 4 octobre avec une exposition dérivée de l’œuvre « Le Monde sans fin », fruit de la rencontre entre Jean-Marc Jancovici et Christophe Blain, explorant leur dialogue engagé sur les thèmes cruciaux de l’énergie et du changement climatique. Venez nombreux la découvrir dans le hall de l'antenne de l'institut français de Fès
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[Ils parlent de nous 📰] Qui dit fin d'une nouvelle expo, dit début d'une nouvelle ! 🤩 Plus que deux semaines avant le début de notre nouvelle exposition "Faisons Corps". 💞 Une thématique mettant au centre le corps de sa partie la plus fondamentale et naturelle, aux défis sociétaux du présent, en passant par l'identité intime ou collective 💡 Pour l'article de Sortiraparis.com, c'est par ici👇🏼 https://lnkd.in/eY9Fxbk8
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Je vous partage cet article fort intéressant (et documenté) de Noemie Giard sur les rapports entre le musée et la société. Paru en mars 2024 dans la Revue Esprit.
Cheffe du service des publics du Musée Carnavalet - Histoire de Paris / Crypte archéologique de l'île de la Cité
J'ai le plaisir de partager ici le texte complet de l'article que j'ai eu la chance de publier récemment dans la Revue Esprit : "Des musées socialement vifs". Issu d'un travail mené dans le cadre du DU Delphine Lévy (dirigé par Yaël Kreplak), il est nourri d'échanges avec d'autres actrices et acteurs du monde muséal. C'est un sujet qui me semble important pour les années qui viennent, et que je souhaite continuer à explorer en l'enrichissant toujours de nouvelles rencontres et discussions.
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"Nous sommes pris en étau entre un besoin d’activité, un désir social très fort, et des moyens limités." "Pour les politiques, la culture n’est pas pensée comme un endroit structurant des politiques publiques. A quelques exceptions près, comme Stéphane Troussel, le président du département de Seine-Saint-Denis, qui envisage la culture non pas comme un segment de l’action publique, mais comme un élément qui traverse et irrigue tous les autres. C’est une réflexion intéressante, porteuse d’avenir, notamment sur les enjeux d’interculturalité auxquels nous allons devoir faire face de plus en plus. Il ne s’agit pas de revendiquer un endroit pour privilégiés, tout ce discours que l’on nous ressasse depuis longtemps déjà, celui de l’élitisme qui a bon dos, et de l’autocentrage. Qui ne correspond en rien à ce que j’observe : les artistes sont sur le terrain, les institutions aussi. On continue à nous opposer des arguments frelatés pour ne pas rentrer dans le vif du sujet : celui d’un sursaut politique où la culture serait envisagée comme le poumon ou le cœur d’une société, c’est-à-dire la manière dont elle se représente elle-même et se projette. C’est quand même par l’art que la société se donne une image d’elle-même et nous permet de nous penser. On le voit bien, ces temps-ci, avec la représentation de la banlieue ou de la ruralité, et les conséquences qu’entraîne ce sentiment éprouvé par une partie de la population d’être invisibilisée. Tout cela vaut plus que 0,8 % du budget de l’Etat, à mon avis" https://lnkd.in/e8xp7MQU
Hortense Archambault, directrice de la MC93 : « Le secteur du spectacle vivant est pris dans un étau » | Revue de presse théâtre
scoop.it
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[Journées Nationales de France urbaine] #JNFU2024 France urbaine lance ses Journées nationales par une masterclass #culture, associant les élus de la Commission culture et les associations et syndicats du spectacle vivant. 🗣 Des échanges à l’aube de débats budgétaires particuliers, qui doivent susciter des actions collectives pour faire valoir le #financement des services publics de la culture, en tant qu’action de proximité 💡 Des réflexions sur les gouvernances locales de la culture, afin de mieux considérer les réalités de chacun et donner une lisibilité territoriale auprès des acteurs culturels, dans le cadre de coopérations importantes pour les politiques de transition des territoires. ⏹ Une (re)mise en perspective des acteurs artistiques et culturels dans un contexte de fortes tensions qui polarise la société et nourrit un profond rejet des institutions : comment la culture peut renforcer la mise en lien des habitants ? ⏹ Entre mobilisation nationale, travaux de plaidoyer et contribution aux mutations artistiques et culturelles, quel est l’état de santé du secteur du spectacle vivant ? Olivier Bianchi I François de Mazières I Ministère de la Culture I Audrey HENOCQUE I Gregory Doucet I Bruno Bernard I Cédric Van Styvendael I Syndeac - Syndicat national des entreprises artistiques et culturelles I Association Française des Orchestres I Réunion des Opéras de France I Syndicat National des Scènes Publiques (SNSP) I Les Forces Musicales, SMA - Syndicat des Musiques Actuelles I Association des Maires Ruraux de France - AMRF I Ville de Lyon I Métropole de Lyon I
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La Métropole de Lyon, future place forte du #rap 𝗵𝗲𝘅𝗮𝗴𝗼𝗻𝗮𝗹 ? C'est ce qu'espèrent le jeune artiste 𝗠𝗮𝗹𝗶𝘅 et 𝗧𝗵𝗶𝗯𝗮𝘂𝗹𝘁 𝗔𝗸𝗽𝗹𝗼𝗴𝗮𝗻, activiste #HipHop au service de cette #culture depuis de longues années. Et si derrière l'émergence de 𝘁𝗮𝗹𝗲𝗻𝘁𝘀 𝗹𝗼𝗰𝗮𝘂𝘅 se cachaient des enjeux impliquant l'ensemble du #territoire, tels que le 𝘀𝗲𝗻𝘁𝗶𝗺𝗲𝗻𝘁 𝗱'𝗮𝗽𝗽𝗮𝗿𝘁𝗲𝗻𝗮𝗻𝗰𝗲 ou le 𝗿𝗮𝘆𝗼𝗻𝗻𝗲𝗺𝗲𝗻𝘁 𝗲𝘅𝘁𝗲́𝗿𝗶𝗲𝘂𝗿 ? 🦁 🎤 🎛 #MusiquesUrbaines #Musique #CulturesUrbaines #CohésionSociale https://lnkd.in/e-eG-iGE
Rap lyonnais : du Bronx à la place des Terreaux, histoire d’une acculturation
millenaire3.com
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Omondo, un media global d'information Notre genèse : Une naissance dans le creuset du savoir Omondo a vu le jour dans les amphithéâtres de la Sorbonne, fruit de l'esprit fertile d'un groupe de chercheurs et d'enseignants visionnaires. Sous la houlette de Christian Sabba Wilson, ces intellectuels ont posé un constat sans appel : notre monde s'épuise dans des conflits stériles, nos dirigeants manquent cruellement de vision, et les médias ont perdu leur audace d'antan. Face à ce paysage médiatique en berne, Omondo veut se dresser comme un phare, promettant d'apporter des voix nouvelles et plurielles dans un océan d'uniformité. Notre mission : Façonner un avenir radieux Tels des architectes du futur, nous avons embrassé une mission ambitieuse : changer le monde. Nous avons fait nôtre le rêve d "Imagine "de John Lennon, notre muse éternelle, qui imaginait un monde de paix, de fraternité et de progrès. Cette vision, nous la portons comme un étendard, fermement convaincus de son bien-fondé. Notre plume se fait outil d'éducation, semant les graines de la paix, du progrès et de la fraternité, tout en combattant les ténèbres de la haine. Notre charte : Le prisme de la vérité Omondo et ses médias satellites, tels qu'Omondo Universes ou OBO Business, sont les gardiens d'une information juste, plurielle et équilibrée. Telles des vigies de l'information, nous ciselons chaque mot, chaque phrase, pour offrir à nos lecteurs un miroir fidèle de notre monde complexe. Notre indépendance farouche, illustrée par notre refus de céder aux sirènes des investisseurs, est le socle sur lequel repose notre intégrité journalistique. Nos engagements : Peindre un monde meilleur Nous nous voulons les hérauts d'un monde plus beau, les artisans d'un avenir radieux. Les sciences, les technologies et les intelligences artificielles sont autant de couleurs sur notre palette pour dessiner cet avenir. Nous croyons fermement que ces outils, maniés avec sagesse et humanité, peuvent transformer notre monde en un havre de paix et d'accomplissement pour toute l'humanité. C'est cette vision d'un futur lumineux que nous nous efforçons de partager, jour après jour, article après article, dans l'espoir d'inspirer et de guider nos lecteurs vers cet horizon prometteur. Vous y croyez, Rejoignez nous.
OMONDO FAITS DIVERS - Un tableau de Van Gogh volé retrouvé dans une valise à Amsterdam
omondo.info
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Une scène artistique vivante à l'épreuve des réseaux sociaux en 2024. 🎥 Et s'il ne s'agissait finalement pas de clivage quant aux opinions, mais plutôt de la maîtrise de codes culturels, et de l'(in)aptitude à distinguer la représentation figurée du contenu théologique ? Bruit, polémique, explications éclairantes, suspicion sur les réseaux sociaux, emballement, préemption du débat et regard "cadré" par "des associations d'extrême droite", se positionnant en défense de la "sensibilité heurtée". L'historienne de l'art Isabelle Saint-Martin, dans Le Monde, rappelle que la représentation de la Cène par Léonard De Vinci a déjà subi de nombreux détournements contemporains (merci pour ce florilège culturel ! ), même si c'est le tableau de Jan Harmensz van Bijlert (référence au Festin des dieux de l’Olympe) qui sort grand gagnant de cette agitation médiatique. "La réaction dépend aussi de l’aptitude à distinguer une représentation figurée, aussi canonique soit-elle, et son contenu théologique, c’est-à-dire à inscrire l’image dans une culture visuelle. En cela, ce spectacle qui se veut inclusif suppose la maîtrise de codes culturels loin d’être partagés par tous." Sa tribune : https://lnkd.in/eQHntQNQ Enfin, il apparaît que selon un sondage Harris, 86 % des Français ont considéré la cérémonie "réussie", 81% estiment qu’elle a donné une "bonne image de la France" et 80% qu’elle "respecte les valeurs de notre pays". Et combien sur les réseaux sociaux ? Certainement cela dépendra de si on prend la mesure avant ou bien après le filtre anti-bruit...
Isabelle Saint-Martin, historienne de l’art : « “La Cène” de Léonard de Vinci a fait l’objet d’innombrables détournements contemporains »
lemonde.fr
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