Post de Lionel Lecoeuvre

[AVIS DE « GRAND FRAIS! »] Taxe de solidarité sur les billets d’avion… Distorsion de compétitivité en bande organisée ou comment demander au Pavillon français (déjà lourdement taxé & non subventionné Groupe SNCF 😉) de courir un 100 m avec des « boulets »fiscaux aux pieds!…#E4FC Avec plus de 40% du prix du billet représentés en taxes diverses, ce n’est pas de nouveaux prélèvements confiscatoires dont notre industrie et notre pavillon français ont besoin pour se battre à armes égales avec leurs concurrents mais plutôt d’investissement pour sécuriser et réussir leur trajectoire vers la transition écologique! Cohérence?… L’Histoire à contre-temps, à contre-courant Europe for Fair Competition #E4FC par guy dutheil FNAM (Fédération Nationale de l'Aviation et de ses Métiers) Pascal de Izaguirre GIFAS - Groupement des Industries Françaises Aéronautiques et Spatiales Stéphane Fort François DUROVRAY Vincent Capo-Canellas

Le groupe RETHMANN envisage de prendre le contrôle de TRANSDEV. C'est donc le 4ème acte de l'histoire de notre groupe qui se prépare. La création puis la filialisation à la fin des années 80, par essaimage des activités transport de la SCET (Société Centrale pour l'Equipement du Territoire, CDC), enfin la fusion laborieuse avec la branche transport de VEOLIA, en mars 2011. Augustin de Romanet, alors DG du groupe Caisse des Dépôts, posait comme conditions prélables de ce rapprochement, qu'il soit "créateur de valeur, créateur d'emplois, et qu'il emporte l'adhésion du management". En réalité, le bilan de l'opération montra qu'aucune de ces trois conditions ne fut respectée. Le point essentiel qui captera notre attention se résume à l'affectio societatis, l'envie de faire projet commun avec notre entreprise, de s'y impliquer. Cet affectio societatis de la CDC qui nous a parfois tant manqué. surtout lorsque l'EPIC SNCF apporte désormais dans les appels d'offres un soutien totalement décomplexé à sa filiale KEOLIS, autant d'ailleurs que l'EPIC RATP à sa filiale privée RATP DEV. L'affectio societatis devra également et prioritairement se manifester à l'égard de la partie prenante salariée, et de ses mandataires. Si l'on peut lister les écueils de l'opération VEOLIA-TRANSDEV, il y a cependant une réussite que l'on ne peut contester, qui est la richesse du dialogue social qui a accompagné le processus de rapprochement, et qui constitue désormais un étalon. https://lnkd.in/eVngihWC

L’action d’Air Canada a clôturé en hausse de près de 14 % vendredi après l’annonce d’un programme de rachat d’actions, d’un profit supérieur aux attentes et de perspectives de bénéfices revues à la hausse.

J’avoue que j’ai été surpris par les propos du nouveau Député #LFI, berenger cernon, Cheminot, Conducteur de trains, Elu #CGTCheminots en #CSE SNCF Voyageurs à PARIS qui veut « Re nationaliser la #SNCF ! … » Sauf erreur de ma part, la SNCF a été créée le 1er janvier 1938 par la fusion des anciennes Compagnies (PLM / Compagnie du Nord / de l’Est / Paris Orléans / du Midi). Son STATUT a évolué : - 1938 : Création de la SNCF en société anonyme d'économie mixte, pour une durée de 45 ans, l'État possédait 51 % du capital, les 49 % restant appartenant aux actionnaires des sociétés financières ayant succédé aux anciennes compagnies ; - 1982 : la LOTI (Loi d’Orientation de Transports Intérieurs) la transforme en EPIC (Établissement Public Industriel et Commercial) porté par l’Etat ; - 2020 : SNCF redevient une Société Anonyme, en réalité 5 S.A. ( Groupe SNCF / SNCF Voyageurs / SNCF Réseau / SNCF Gares & Connexions / Fret SNCF) détenues à 100% par l’Etat et dont les actions ne sont pas cessibles ! … Sophie Binet ; Jean-Luc Mélenchon ; Jean-Pierre Farandou https://lnkd.in/eBFduCha

🔴 Hausse de la TSBA : la connectivité des territoires en première ligne L’augmentation programmée de la taxe de solidarité sur les billets d’avion (TSBA) menace directement la connectivité et le développement économique et social des territoires. Les aéroports régionaux, dont 60% à 100% du trafic repose sur les compagnies low-cost, subiraient un exode de ces transporteurs, à l’image de Ryanair, qui prévoit de quitter 10 aéroports en France dès 2025 si la hausse de la TSBA était maintenue. Conséquences : ✈️ Suppression de vols et connectivité réduite dans les régions françaises 💼 Plans sociaux dans les aéroports et impact économique désastreux sur les territoires 🏨 Affaiblissement de l’industrie touristique en région Thomas Juin, Président de l’UAF, alerte : « Le gouvernement va détruire en quelques semaines ce que les aéroports régionaux ont mis 20 ans à construire au bénéfice des territoires » Nous appelons le gouvernement à reconsidérer cette décision pour éviter un désastre économique et social dans nos territoires.

✉️ [Lettre ouverte] Sur la loi de #finances 2025 et le projet de hausse de la #Taxe de solidarité sur les billets d’avion (TSBA) ✈️ Par cette lettre ouverte, nous souhaitons exprimer notre soutien total aux compagnies aériennes et aux gestionnaires d’aéroports, particulièrement régionaux, face à la hausse envisagée de la Taxe de solidarité sur les billets d’avion (#TSBA) dans le cadre du projet de loi de finances 2025. Cette augmentation, brutale et disproportionnée, pèsera lourdement : 🚶♂️ Sur les #passagers, en augmentant le coût des déplacements ; ✈️ Sur les #entreprises du secteur aérien, déjà fragilisées ; 📉 Sur l’#attractivité économique et touristique de nos territoires. Elle constitue une menace directe pour la connectivité des Pyrénées-Orientales, essentielle à notre 💼 dynamisme économique et à l’👷♀️ #emploi local. En particulier, les lignes régionales 🛫, vitales pour la mobilité et le désenclavement de notre #territoire, risquent de disparaître sous le poids de cette #fiscalité accrue. De plus, nous alertons sur le déséquilibre financier imposé aux exploitants d’aéroports régionaux par la Taxe sur les services de sécurité (#T2S). Cette taxe fragilise leurs capacités 💰 d’investissement et compromet leur modernisation 🚧, pourtant essentielle à la #compétitivité de nos infrastructures 🏗️. Face à ces mesures jugées injustes et pénalisantes, nous appelons solennellement les députés et sénateurs des Pyrénées-Orientales à s’y opposer et à défendre un modèle fiscal ⚖️ équilibré et ♻️ soutenable pour nos infrastructures régionales. Il en va de l’🌍 avenir de nos territoires, de la 🚗 mobilité de nos concitoyens, et de l’📊 équilibre économique de notre région. Cosignataires : - Laurent Gauze, Président de la CCI Pyrénées-Orientales - Guy Durand, Président du MEDEF Pyrénées-Orientales - Brice Sannac, Président de l’UMIH66 - Frédéric Malquier,Président de la FNAIM des Pyrénées-Orientales - Paul Bessoles, Vice-président de la Fédération de l'Hôtellerie de Plein Air Occitanie, en charge des Pyrénées-Orientales (@20minutes)

C'est vrai ça ? Merci! ✅ C’est vrai ! Le coût de la SNCF pour l’Etat en 2022 : En 2022, l’Etat, les régions et IDF mobilités, ont financé les activités de la SNCF. Voici comment cette facture, qui s’élève à 20 milliards d’euros, se décompose. 1. Les dépenses de fonctionnement des trains régionaux et locaux : 10,1 milliards d’euros Les régions et IDF Mobilités ont contribué à hauteur de 6,8 milliards d’euros pour assurer le fonctionnement des TER et du Transilien. À cela s’ajoutent 3,3 milliards d’euros déboursés par l’État pour couvrir les coûts d’exploitation du réseau de proximité, des trains Intercités et du fret. 2. L’Etat a subventionné les investissements de la SNCF à hauteur de 6,2 milliards d’euros. Ces financements permettent de moderniser les infrastructures ferroviaires et de développer de nouveaux projets. 3. Le coût des dettes et les dividendes : un impact de 0,4 milliard d’euros de récupération. À ce stade, le coût net pour l’Etat atteint déjà 16,8 milliards d’euros, contre 15,2 milliards en 2021. 4. Enfin, l’État a versé une subvention d’équilibre de 3,2 milliards d’euros pour le régime spécial de retraite des cheminots, portant le coût total supporté par l’Etat à 20,0 milliards d’euros. https://cvc.li/rffMJ

Vendre la SNCF, quelle idée ? A priori il s'agirait de vendre une partie de la SNCF, qui serait le plus facile à vendre, donc la plus rentable à court terme. Et laisser les autres parties, moins rentable, aux mains de l'ETAT. Mais alors quelle SNCF ? - SNCF Réseau ? avec ses importants besoins de capitaux pour entretenir et développer le réseau, générateur de dettes à long terme ? Cela permettrait à l'Etat (unique actionnaire) de faire des économies, mais qui voudra investir dans une SA dont le résultat d'exploitation est tout juste à l'équilibre ? - SNCF Gares & Connexions ? voilà une belle pépite, une entité qui réalisait avec 3.000 salariés, le même résultat que l'Infrastructure (avec 55.000 salariés) mais avec un chiffre d'affaires divisé par 10 ! ! C'est une des sources de revenus du groupe SNCF. - Rail Logistique Europe (RLE) ? dont fait partie FRET SNCF qui est en cours de division en deux entités distinctes. L'amélioration des résultats sur les dernier exercices pourrait inciter des investisseurs à prendre des parts dans une entreprise de logistique ferroviaire qui devrait connaitre un essor dans le futur ? - SNCF Voyageurs ? l'opérateur historique ferroviaire français, celui qui fait rouler les trains en France et en Europe. La solution, découper le réseau de 27.000 Km en lignes qui ne seront plus interconnectées, ou les correspondances deviendront longues, très longues surtout avec une multitude d'opérateurs en concurrence. Alors oui certaines lignes sont rentables, celles sur lesquelles se jettent tous les autres opérateurs (RENFE ; TRENITALIA ; Le train ; Proxima ; ...) : les lignes à grande vitesse (LGV) et le mass transit qu'elles permettent. Les lignes de TER, largement subventionnées par les Régions et qui attirent des opérateurs gourmands. L'avenir nous dira bientôt s'ils arriveront à bien digérer ! Mais sur les autres lignes, les dessertes fines du territoire, qui viendra y faire rouler ses trains ? Qui assurera des liaisons peu ou pas rentables ? Dans tous les cas, ces cessions se feront au détriment du groupe SNCF dans son ensemble, le privant ainsi de ressources importantes à l’image du scandale des concessions autoroutières et de l'Etat. Certains prennent pour exemple France Télécom ou Renault pour démontrer le bien fondé de cette idée, en soulevant l'aspect positif pour l'épargne populaire, tout en évitant, bien entendu, de rappeler l’échec d’Eurotunnel avec les centaines de milliers de petits épargnants lésés. Sans parler du retour en arrière de nos voisins Anglais, qui après la privatisation de leur réseau ferroviaire, rétropédalent pour revenir vers un réseau unique et nationalisé ! ➡ Vous appréciez mes publications ? N’hésitez pas à liker, commenter, partager, ce post. ➡ Pour rester informé, cliquez sur “Suivre” Et sur la 🔔 de mon profil pour être prévenu de mon prochain post ! ➡ Si vous souhaitez aborder un sujet particulier de manière informelle 🔏, ajoutez moi sur LinkedIn 😉. A bientôt.

🚨 PLF 2025 : Le SNPL se mobilise contre la volonté du Gouvernement de prélever un milliard supplémentaire sur l’aérien 🚨 Le Syndicat National des Pilotes de Ligne (SNPL) s’insurge contre l’idée du Gouvernement de prélever de manière pérenne 1 milliard supplémentaire par an sur le secteur aérien. Le SNPL appelle tous les pilotes de ligne à se mobiliser le 14 novembre prochain, avec l’ensemble des salariés du secteur de l’aérien. Dans le cadre du volet recettes du projet de loi de Finances pour l’année 2025, le Gouvernement a introduit, via un amendement, une augmentation irrationnelle de la Taxe de Solidarité sur les Billets d’Avions (TSBA ou Taxe Chirac). Cet amendement prévoit une multiplication par 3 de cette taxe, sans consultation des acteurs du secteur ni réalisation d’une étude d’impacts pour analyser les conséquences économiques et sociales de cette mesure ! Le SNPL et les autres organisations syndicales du secteur aérien ont interpellé le Gouvernement pour demander le retrait de cette mesure, jugée catastrophique pour le secteur aérien français. Malheureusement, le Gouvernement entend maintenir cette ponction supplémentaire sur notre secteur d’activité au seul motif de l’objectif budgétaire de réduction des déficits et de maîtrise de la dette de l’État, demeurant sourd aux mises en garde de l’ensemble des acteurs du secteur (compagnies, aéroports, organisations patronales et organisations syndicales de tous les salariés). Aujourd’hui, alors que de nombreux acteurs du secteur aérien se remettent à peine des effets prolongés de la crise de Covid-19, cette imposition supplémentaire entraînera à terme des dizaines de milliers de suppressions d’emplois en France ! Ce désastre social ira de pair avec l’affaiblissement des opérateurs français ou opérant de manière régulière en France vis-à-vis de leurs concurrents européens et internationaux, avec un risque réel de diminution de l’attractivité économique et touristique de notre pays. Confronté à la position dogmatique du Gouvernement qui refuse de prendre en compte les effets dévastateurs de cette augmentation non réfléchie de la TSBA, le SNPL n’a d’autre choix que d’appeler l’ensemble des pilotes à se mobiliser, avec l’ensemble des salariés du secteur de l’aérien, dans un premier temps le 14 novembre 2024, pour demander le retrait ou la suppression de l’amendement gouvernemental prévoyant cette énorme augmentation de la taxe sur les billets d’avion, afin de préserver les emplois et la compétitivité du secteur aérien français ! Ne coupez pas les ailes de l’aviation française ! ✈️ https://lnkd.in/eBNzdWwW #StopTaxe #InjusticeSociale Karine Gély Patrick A. eric masdupuy Vincent G. Antoine Godier Hervé GUICHARD Thierry Thierry Oriol Vivien Rousseau SNPL France ALPA - Syndicat National des Pilotes de Ligne

Vrai ou faux ? La Caisse des dépôts envisagerait de céder tout ou partie de ses parts dans Transdev. Par cette décision qui n’est pas confirmée, l’Etat mobiliserait des ressources (ramener sa participation dans le transporteur public sous les 50 %). Reste à savoir quelles seraient les intentions de l’allemand Rethmann, qui détient actuellement 34 % du capital. Si on en croit la Cour des comptes, Transdev est plutôt une affaire solide. Cour des compteshttps://www.ccomptes.fr › filesPDFTransdev Cour des compteshttps://www.ccomptes.fr › filesPDFTransdev. Depuis 2018, date à laquelle le Groupe Rethmann a annoncé son intention d’acquérir la participation de Veolia dans le capital de Transdev, l’entreprise s’est retrouvée dans une situation assez particulière. L’Allemand n’est pas un actionnaire symbolique (il détient actuellement 34 % du capital de l’entreprise). De facto, Rethmann s’est diversifiée dans une logique d’activités de proximité. RETHMANNhttps://lnkd.in/gREMM5Rf › ...RETHMANN. Il s’agit en effet d’une société-mère de trois branches d'activité autonomes, Remondis (recyclage et traitement de l’eau) Rhenus (logistique) et Saria (de l’alimentation aux applications pharmaceutiques) *** Influence ? Lobbying ? A quoi sert le lobbying ? Chacun a son idée, et si les cabinets spécialisés n’hésitent pas à nous informer sur leurs commanditaires, ils nous disent rarement comment ils procèdent. Ce n’est pas une activité illicite; elle est même encadrée : https://lnkd.in/gAs6GZzg Au fond, ce sont surtout les commanditaires qui demeurent très discrets. Ce que l’on peut dire ici, c’est qu’il y a deux approches au moins de cette activité qui requiert tact, compétences et réseaux. Celle qui mise sur une spécialisation: chaque secteur a ses caractéristiques et par conséquent, pour être efficace, il est difficile d’être généraliste (modulo la sous traitance auprès de spécialistes justement). Celle qui à l’inverse, parce qu’elle croise les réseaux et les interactions qui s’y nouent, est plus ou moins généraliste. L’influence, c’est autre chose. Elle mise sur la notoriété de « l’influenceur », activité elle même à définir https://lnkd.in/gKA2UvTM ou, de manière plus précise, sur les thématiques qu’il traite et la façon qu’il a de les traiter. Report modal, décarbonation des modes de transport, territoires en transition, industries, services, innovations… Eric Ritter