Post de Maintenant Aix-Marseille

🌍🍩 Intégrer le DONUT de Kate Raworth dans notre réflexion systémique ! Ne vous méprenez pas, il n’est pas question de pâtisserie mais bien de développement durable ! Kate Raworth a introduit un concept de développement durable avec le DONUT économique, un modèle qui vise à équilibrer les besoins humains tout en respectant les limites planétaires. 🌱🌐 Lors de la CEC, notre objectif était de décrypter cette approche de manière approfondie et de s’en inspirer. Nous avons ainsi cherché à intégrer progressivement cette vision dans notre stratégie, en tenant compte de ses nuances et de ses implications réelles. 💪 Ce DONUT économique n'est pas une solution miracle, mais plutôt un cadre de réflexion pour aborder de manière accessible et significative des défis complexes tels que la durabilité environnementale et l'équité sociale. Découvrez-en davantage ici : https://lnkd.in/dPEKc9wh Nous vous invitons également à lire son livre : https://lnkd.in/db_McH2z #SML #DonutEconomics #KateRaworth #DéveloppementDurable #Visionnaire

Pourtant impactés de plus en plus souvent dans nos vies privées et professionnelles, nous continuons à entretenir des schémas délétères pour tous les êtres vivants. En septembre 2023, seules les trois dernières limites n’avaient pas été franchies. Avec six limites franchies sur neuf, la planète se trouve aujourd’hui bien au-delà de l’espace de fonctionnement sûr pour l’humanité. https://lnkd.in/ew3cemFs "Le Donut (ci-dessous) permet d’illustrer deux frontières à ne pas franchir pour conserver les conditions d’un « bien vivre » : une frontière « intérieure » qui représente les besoins humains de base définis comme « plancher social », et une frontière « extérieure » qui symbolise la préservation de l’environnement comme « plafond environnemental »." #donutconcept #developpementdurable #GES #transition #societe #limitesplanetaires #planchersocial #plafondenvironnemental #changement #societé #present #avenir #politique #societe #attitude #consommation #etudes #recherche

#Hello #la #famille, J'espère que ce message vous trouve en excellente forme. Je m'appelle #Fèmi #Ginette #TOCHOEDO, béninoise, ingénieure passionnée des questions liées à la sauvegarde de notre environnement et spécialiste de la valorisation des déchets liquides et solides. J’ai une nouvelle passionnante à partager avec vous ! Et devinez quoi ? Je suis l'une des nominées dans ma catégorie du meilleur projet de la jeune fille pour la toute #première #Édition des #AfricanladiesAwards. La dégradation de l'environnement est fondamentalement liée aux activités anthropologiques. Il est alors nécessaire de trouver des solutions durables pour garantir un avenir meilleur aux générations futures. Ces activités humaines produisent d'énormes déchets. Mais nous oublions que nous pouvons faire de merveilles avec ce dernier. C'est dans cet ordre d'idée j'ai porté mes réflexions sur #le #recyclage des #huiles de #vidangeusagées. Ensemble, nous pouvons créer un impact positif significatif sur nos écosystèmes fragiles et promouvoir une #économieplusdurable. #Vos votes et vos partages peuvent vraiment faire la différence. Soutenez-moi par les votes et likes. Les liens sont en commentaire, il suffit juste de voter (first lien) et liker ma photo (second lien) #l'avenir est #féminin : #Inspirez, #Innovez, #Entreprenez!

✨ Troisième session de la CEC (Convention des Entreprises pour le Climat) : un voyage inspirant ! Ces 2 jours passés avec #CECHautsDeFrance ont été une véritable bouffée d’air frais ! Nous avons partagé des moments forts, mais aussi pris le temps de nous reconnecter avec le vivant… d’une manière inattendue. Imaginez une balade contée dans les dunes de Leffrinckoucke, où l'on parcourt 4,6 milliards d’années d’histoire de la Terre (#Ecotopia). Quelle expérience ! D’un côté, l'émerveillement face à la beauté de la vie, de l’autre, la prise de conscience de notre petite taille face à l’immensité de la planète… mais aussi de l'impact que nous pouvons avoir. Deux réflexions nous ont particulièrement marqués : ❎ Le castor, ce régénérateur incompris 🦫 : longtemps vu comme un perturbateur d'écosystèmes, il est aujourd’hui reconnu comme un acteur essentiel dans la préservation des zones humides. Parfois, nous nous disons que notre Entreprise Adaptée est un peu comme ce castor. Notre valeur sera pleinement reconnue lorsque le regard changera. ❎ Le Monopoly collaboratif : saviez-vous que les premières règles du Monopoly étaient collaboratives ? Pourtant la version retenue aujourd'hui valorise la performance individuelle et le succès au détriment des autres joueurs. Et si notre économie revenait à un modèle où le collectif triomphe plutôt que l’individu. Une belle réflexion pour notre avenir, non ? Merci à tous pour ces moments passionnants et inspirants 🙏 . Ensemble, continuons à bâtir un futur plus collectif et inclusif. ❓ Et vous, quelle leçon du vivant vous inspire le plus ? #Urbilog #CEC #Inclusion #EconomieCollaborative #Accessibilité

Poursuivons. Les derniers mois m'ont amené à regarder davantage la joute. Constat : le recul permet de voir la forêt. Il est encourageant de vous lire et constater qu'il y a une diversité de gens engagés (et engageants !) au Québec avec - ou à portée de main - des approches et solutions innovantes pour relever les défis sociaux qui nous interpellent toutes et tous collectivement. Poursuivons.

Un bel exemple pour faire grandir l'entreprise dans son rapport au vivant. 🏃♂️➡️ Intégrer "Mère Nature" au conseil d'adminsitration ! Et pas besoin d'un lien évident entre son activité et la nature pour se lancer. D’autres options existent et peuvent progressivement amener les entreprises à mieux intégrer la nature dans leur stratégie mais dans tous les cas " si l’entreprise fait de la maximisation du profit son seul objectif, cela ne marchera pas, quelle que soit l’organisation mise en place et l’on versera alors dans le greenwashing" 👏 Bravo norsys pour ce bel exemple ! « Nous n’avons pas de lien direct avec le vivant et nous n’avions pas forcément l’expertise mais nous sommes à un moment où l’on doit vraiment prendre en compte la question de la dépendance de notre économie au vivant, donc nous avions envie de muscler le jeu en passant à une soutenabilité forte », explique Thomas Breuzard, directeur permaentreprise de Norsys

Merci à Atosca, son dirigeant, de nous offrir la panoplie quasi complète de l'enfumage et même du foutage de gueule dans leur version actuelle, la main sur le cœur de l'engagement responsable, à dénoncer les radicaux, ces empêcheurs de sauver notre monde bitumé. L'A69 est un chantier - maintenant à ciel plus ouvert - de construction d'un nouveau green ou social washing, quand des politiques de proximité, avec leurs services et moyens, même classés à gauche - dans le camp des donneurs de leçons écologiques et démocratiques - s'associent à la savante stratégie. Grosse désillusion, les "gens" peuvent s'avérer largement moins cons que ce que ces intelligents, "responsables", peuvent penser. Consultation des parties prenantes, respect scrupuleux des procédures, des Lois, études d'impacts, engagements sociaux et environnementaux, ... le décor planté semblait pourtant solide, à la pointe même de l'enfumage tel qu'il s'impose aujourd'hui, avec la communication pleine de ces raccourcis qui sont jugés suffisants - c'est bien le mot - pour alimenter les ânes que nous sommes, pas toujours prêts à "avancer". La carotte, avant le bâton qui a suivi. Cette propension visiblement naturelle, mais contre la nature, à considérer que faire beaucoup plus qu'avant dans les mesures de compensation environnementales et sociales est un argument définitif - et même un exploit de désenclavement à saluer - a dérappé sur de nouvelles réalités, ici les emmerdes d'écureuils (grand merci à elles et eux de montrer qu'il ne faut pas se faire d'illusions sur les glands). La leçon est importante mais ne sera certainement pas suffisante, à commencer pour empêcher cette autoroute au final. Les "intelligents" - qui eux bien sûr connaissent les règles économiques, les questions d'équilibre - ont toujours l'intention de nous expliquer la vie, en chiffres, KPIs et autres raccourcis. Leur attitude face aux résultats de leurs insuffisances le montre. Ils ou elles ne se démontent pas. La connerie est précisément le moteur toujours alimenté de cette attitude.

Comment vous est venu votre engagement pour l'environnement ?

🌱 Moi, c’était au passage à l’an 2000. J’avais 25 ans et, depuis la Suisse, je rentrais en Bretagne pour réveillonner. 
 Je suis arrivée dans une Bretagne noire.
⚫️ Un silence épais. Des milliers d’oiseaux agonisant dans du mazout. Peut-être vous en rappelez-vous 👇🏼 En décembre 1999, l'Erika, un pétrolier battant pavillon maltais s’est échoué au large des côtes bretonnes 🚢 Plus de 10 000 tonnes de fioul ont été déversées sur 400 km de côtes. Je me souviens encore avoir aidé à nettoyer des oiseaux englués au lieu de célébrer le nouveau millénaire… Pendant les mois qui ont suivi, j'ai traversé une crise personnelle. Aujourd'hui on la désignerait comme de l'éco-anxiété. Quelques années plus tard, l’océan avait « cicatrisé ».
 Des milliers de mains ont contribué à démazouter les côtes, des ingénieurs ont développé des technologies pour limiter les dégâts en cas de marée noire, il y a eu une jurisprudence : la première prise en compte du préjudice écologique, J'étais redevenue optimiste quant à notre capacité à apprendre, réparer et nous améliorer 🙏🏼 C’était sans compter le naufrage du Prestige près des côtes de Galice en 2002… Là, j’ai dit au revoir à ma naïveté. Ces événements ont été des signaux forts pour moi : j’ai compris que l’enjeu de notre siècle serait de réinventer la relation de notre économie avec l'écosystème. Et j’ai mis du temps à accepter ma possible contribution. Depuis, mon approche consiste à transformer l'économie en outil de guérison environnementale et sociale. Restaurer l'individu dans la société, promouvoir un usage responsable de l'argent, éloigner ou influencer les entreprises sans valeurs. La créativité et l'innovation nourrissent ma foi en un progrès basé sur des systèmes durables et porteurs d'opportunités pour l'évolution planétaire. Entre opportunité et désastre, quelques grammes de conscience peuvent faire la différence 🙏🏼

Les éléphants blancs. Coulisse de projet. Vue de mes yeux…. Au détour d‘une piste, un château d’eau géant, rouillé. Plus loin un « dispensaire » au milieu de rien. Pas de toubib, ni médocs. Ici un pseudo « stade » et des gosses malnutris en haillons. les éléphant blanc sont des réalisation qui s’avère en définitive inutilisées Car mal pensées en amont. Souvent plus coûteuse que bénéfique Et dont l’exploitation ou l’entretien devient impossible pour les bénéficiaires Sur le terrain en brousse nous y faisons très attention. Car nous voulons : 🔶 Avoir de l'impact. 🔶 Des actions actionnables simple pour tous. 🔷 Qui ne perturbent pas le quotidien sociétal. Que diriez-vous si on installait chez vous une activité inaccessible ? Nous ne faisons pas n'importe quoi. Nous Co-construisons doucement. Une anecdote ? Un des derniers forage que nous avons mis en place n'a pas été utilisé. Avant une cérémonie par les autorités coutumières. Cela peut paraître stupide mais c'est 𝗮𝗯𝘀𝗼𝗹𝘂𝗺𝗲𝗻𝘁 𝗶𝗻𝗱𝗶𝘀𝗽𝗲𝗻𝘀𝗮𝗯𝗹𝗲 dans certains villages. Donc au-delà même de l'aspect « matériel » des projets, L'environnement 𝗮𝗻𝘁𝗵𝗿𝗼𝗽𝗼 𝘀𝗼𝗰𝗶𝗮𝗹 est pour nous absolument 𝑖𝑛𝑑𝑖𝑠𝑝𝑒𝑛𝑠𝑎𝑏𝑙𝑒 . C'est pour cette raison 𝗲𝘀𝘀𝗲𝗻𝘁𝗶𝗲𝗹𝗹𝗲 que je préfère toujours recruter. Des gens issus des communautés locales pour travailler avec nous. Ils ont absolument tous les diplômes et toutes les compétences fines que nous ne pourrions pas intégrer réellement rapidement. En vrai une structure élephants blancs c'est très moche .. Et surtout du fric dépensé pour rien. Restons simple et accessible. Vous pouvez nous rejoindre. Nous recrutons. Des donateurs. https://lnkd.in/dGFXBbzv L’O.N. G qui vous aide à attirer et fidéliser vos talents à travers votre RSE en défiscalisant à 60 % et retour en CA. Un don en l'humanitaire qui boostera votre image de marque. Possibilité de faire du terrain., de la politique environnementale, de financer les programmes humanitaires en défiscalisant et en augmentant votre CA (sous conditions). PS : Je m'appelle réellement Valerie Passeport

Comment réussir à mettre en place un gouvernement en s’inspirant des principes du vivant ? Ce que nous apprend l’observation de la nature, c’est que compétition et coopération n’ont de cesse de coexister. Prenons l’exemple d’une forêt. Côté compétition, les arbres en forêt se livrent à une course acharnée à la croissance pour parvenir le premier à capter les rayons lumineux dès qu’un vieux congénère tombe. Le processus est si marqué que l’activité reproductrice (produire des graines) est amoindrie pour favoriser le développement du tronc. Côté coopération, les arbres ont la capacité de tisser des liens au niveau de leurs racines avec des champignons mycorhiziens formant un réseau. Ceux-ci permettent la mise en place de processus d’entraide : des arbres plus à l’ombre reçoivent par ce biais un peu des sucres des individus placés au soleil. Cependant, il est également montré que des conditions difficiles favorisent souvent l’entraide, en limitant l’impact de la compétition (winner takes all) et en valorisant les effets de protection. En altitude, où le milieu est plus rude, la coopération est ainsi davantage de mise qu’en plaine. Revenons-en à l’actualité. En l’espace de 15 jours, nous sommes passés d’une alliance inattendue des forces de gauche les menant jusqu’à une victoire (relative) des élections législatives à une quasi-implosion au moment de proposer une personne pour gouverner. Or, ce qui a poussé un tel élan de coopération à la veille des élections, c’est une menace identifiée par tous les membres de ce bloc : un risque fort de l’accession du Rassemblement national au pouvoir. Depuis, le risque est (momentanément) passé et la gauche s’en est retournée à une forme de compétition classique dans une situation plus « normale ». Dès lors, comment se sortir d’une telle impasse ? Fort du principe évoqué plus haut, peut-être en rappelant que la situation est en réalité critique : une partie grandissante de la population se sent déclassée et craint pour son pouvoir d’achat alors même que la dette explose, le dérèglement du climat et la biodiversité n’ont de cesse de nous emmener dans des zones de danger grandissant et la confiance dans nos institutions a globalement disparu. La période me semble trop importante pour que des guerres de chapelles prennent le pas sur l’impératif de la coopération. Avis à ceux qui se disent républicains, si donc vous avez un doute, partez donc faire un tour en montagne… et inspirez-vous-en ! PS : cette réflexion a largement été inspirée du livre « Nature et préjugés » de Marc-André Selosse, dont je vous recommande chaudement la lecture.