Post de Marie Gabrielle DOMIZI

🍽️ 𝐕𝐢𝐚𝐧𝐝𝐞 : 𝐍𝐨𝐧, 𝐥𝐞𝐬 𝐅𝐫𝐚𝐧𝐜̧𝐚𝐢𝐬 𝐧’𝐞𝐧 𝐦𝐚𝐧𝐠𝐞𝐧𝐭 𝐩𝐚𝐬 « 𝐦𝐨𝐢𝐧𝐬 𝐦𝐚𝐢𝐬 𝐦𝐢𝐞𝐮𝐱 » Contrairement aux idées reçues, les Français ne mangent pas moins de viande. Mathieu Désolé, agroéconomiste à l’Itavi, Institut Technique de l'Aviculture, Pisciculture et Cuniculture, révèle une consommation stable de 84,3 kg par personne en 2023, avec une préférence accrue pour la volaille, notamment le poulet. La transformation et la consommation hors foyer sont en hausse, augmentant les importations et la standardisation de la viande sur le marché. Par Virginie Pinson Découvrez l'analyse complète sur l'évolution des habitudes de consommation de viande en France en cliquant ci-dessous ! ⬇️ #Consommation #Viande #France #Agroalimentaire #Transformation #RHD #Importations #Alimentation

🥩 Moins mais mieux, le leitmotiv flexitarien des années 2010 sur l’évolution de la consommation de viande, pour la planète, la santé, les agriculteurs, a fait long feu. Les Français ne mangent pas moins de viande, et ils ne sont pas montés en gamme. C'est ce qu'expliquait Mathieu Désolé de l'Itavi, Institut Technique de l'Aviculture, Pisciculture et Cuniculture avant les vacances. Ce qu'il faut retenir, c'est que si les Français mangent certes moins de bœuf, ils ne mangent pas pour autant moins de viande. De plus, comme la part consommée hors foyer augmente, les importations en profitent ! A lire en accès libre sur Les Marchés - by Réussir https://lnkd.in/eiMfRtKk

🐷 Consommation de viande porc en France en 2024 : état des lieux et perspectives 🐷 📊 Un pilier dans l’assiette des Français • 32 kg/hab en 2024 (augmentation de 1,6% au premier semestre 2024) • 75 % est consommé sous forme de produits transformés (charcuterie), le reste en viandes fraîches. • Viande n°1 consommée devant le poulet et le bœuf, grâce à son accessibilité économique face à l’inflation 🏭 Production & export • 1,1M tonnes/an transformées en charcuterie • Exportés vers l’Europe et des pays tiers comme la Chine. 🔮 À horizon 2025 • Consommation en baisse (-1 à -2 %/an)  • Accessibilité prix, local et qualité au cœur des attentes. • Enjeux sur l’empreinte écologique et le bien-être animal. 💡 Pour + d’infos consultez les rapports FranceAgriMer, OCDE/FAO.

Affichage de l'origine des #viandes dans la #restauration : aux côtés d’Inaporc et d'Interprofession ANVOL, INTERBEV déplore une réglementation encore incomplète et insuffisante.   Malgré l'obligation pour les restaurants, y compris en vente à emporter et livraison, de signaler désormais l'origine des viandes utilisées comme ingrédients dans les préparations de viande, les fournisseurs ne sont pas tenus de leur transmettre cette information. De plus, les points de vente (#GMS) n’ont plus l’obligation d’indiquer l’origine des viandes incorporées dans les produits transformés.   Les trois interprofessions demandent donc à Marc Fesneau et au Ministère de l'Agriculture et de la Souveraineté alimentaire de : -            Étendre l'obligation d'affichage de l'origine des viandes à tous les circuits de consommation. -            Mettre en place un dispositif d'information et de sensibilisation pour les professionnels. -            Assurer le contrôle de l'application de ces mesures par la DGCCRF - Ministère de l'Économie.   La mise en œuvre de ces mesures est nécessaire pour répondre aux enjeux de #transparence due à nos consommateurs, et favorisera la reconquête de notre #SouverainetéAlimentaire. ➡ https://lnkd.in/edda3V6Y

📢 Nouvelle actu de la Place des Marchés sur le repli de la #consommation 🛒 de #porc 🐷 en Europe en 2023 L'#inflation 📈 des produits du porc est restée soutenue en Europe en comparaison avec #viande bovine 🐮 . Plus accessible, le porc 🐷 a vu sa consommation diminuer plus modérément (-6,1 %) que celle du bovin 🐮 (-8,0 %), pour s’établir à 39,9 kg éq. carc. par habitant et par an. La plupart des pays voient leur consommation reculer, à l’exception de l’Allemagne et l’Italie. La montée de la précarité alimentaire et l’adoption de produits prêts à consommer sains et frais avec peu d’efforts, participent à expliquer ce recul 📉 de consommation. Retrouvez la totalité de l'article en cliquant sur le lien ci-dessous sur abonnement. Valérie Diot Elisa Husson Michel Marcon Crédit photo : Ifip - Yannick Le Bihan https://lnkd.in/eZYD-szj

La production française de viande et de volaille ne cesse de reculer depuis 15 ans, toutes espèces confondues. Cette tendance, accentuée depuis 2021, touche même la volaille, dont la production de poulet avait connu une croissance entre 2009 et 2015. En 2023, les abattages de poulets sont près de 20 % inférieurs à leur niveau de 2009. Seuls les canards à rôtir ont résisté jusqu'en 2019, avant de connaître une chute rapide. La situation est encore plus alarmante pour les dindes et les lapins, dont les abattages n'ont cessé de baisser ces 14 dernières années. Ce recul de la production s'explique en partie par l'évolution des habitudes alimentaires des Français. La part des dépenses consacrées à l'alimentation dans le budget des ménages est passée de 24 % en 1960 à 12 % en 2022. Cette évolution s'explique notamment par la part croissante du budget consacrée au logement et au transport. Au sein du budget alimentaire, la viande a également perdu de son importance, passant de 30 % à 23,1 % des dépenses. Cette baisse profite aux produits laitiers et, dans une moindre mesure, aux produits de la mer. Paradoxalement, la demande en viande ne baisse pas aussi rapidement que la production. En poulet notamment, la demande est même tonique. Cette situation profite aux importations, qui ont augmenté de manière significative ces dernières années. En moyenne sur la période 2000/2004, la France était excédentaire sur son commerce extérieur de viande. Mais depuis 2005, le solde est devenu déficitaire. La viande est d'ailleurs la seule catégorie de produits alimentaires à avoir connu ce basculement depuis le début des années 2000. La situation actuelle des filières animales françaises est préoccupante. La baisse de la production, combinée à une demande stable, fragilise les éleveurs et met en danger l'équilibre du commerce extérieur. L'avenir dépendra de la capacité à s'adapter aux nouvelles habitudes alimentaires et à reconquérir des parts de marché sur le plan national et international. L'infographie ci-jointe présente l'évolution de l'abattage en France depuis 2009 (base 100) ♻️ Abonnez vous à notre page Syndicat de la Volaille et du Gibier pour ne pas manquer notre actualité !

📊 Le marché de la viande est en pleine transformation ! 🌍🍽️ Chez FOODINNOV , nous suivons de près les tendances et défis qui redéfinissent ce secteur clé : ➡️ Consommation de viande en baisse légère en volume (-1,4% en France en 2023), mais une valeur en hausse grâce à l'inflation. ➡️ Flexitarisme en croissance : 24% des Français adoptent une consommation réduite de viande. ➡️ Alternatives à la viande : une dynamique complexe à maintenir, mais encore pleine de potentiel ! ➡️ Impact environnemental : des différences marquées selon les types de viande et les modes d’élevage. 🌱 Les enjeux pour les entreprises sont clairs : innover ou disparaître. 💡 Découvrez l'article complet de Vincent LAFAYE 🍏 FOODINNOV pour en savoir plus sur l'évolution du marché https://lnkd.in/eafrTKUn #Agroalimentaire #Innovation #Viande #Flexitarisme #Durabilité #R&D

💡 Nouvelle note FranceAgriMer Ministère de l'Agriculture et de la Souveraineté alimentaire sur la "baisse de la #consommation de #viande en France en 2023" : ✔ En 2023, la consommation apparente totale de viande , calculée par bilan (consommation à domicile + consommation hors domicile), est en repli, après deux années consécutives de hausse : - 1,4% sur un an, et - 1,7% en moyenne par habitant. ✔ La consommation totale de viande de #boucherie diminue (-3,7%), notamment celle de viandes #bovine, porcine et ovine. Au contraire, celle de viande de #volaille et de lapin est en hausse (+ 3,3%), en lien avec le dynamisme de la consommation de viande de poulet et la reprise de la filière canard après les épisodes d’influenza aviaire. ✔ Les #importations de viande diminuent au même rythme que la consommation (- 1,4%) ; elles restent néanmoins élevées : elles représentent en moyenne plus de 30% de la consommation totale de viande, et la moitié ou plus de la consommation de viandes ovine et de poulet. ✔ En 20 ans, la consommation moyenne de viande par habitant a reculé de 5,8%. En ce qui concerne spécifiquement les achats des ménages de viandes et volailles pour leur consommation à domicile, l’érosion du total des volumes de viande consommés s’est poursuivie en 2023 (-1,5%). ✔ Si les achats de viandes de volailles fraîches et surgelées, et d’élaborés de volaille, connaissent une reprise en 2023 (+1,5%), et retrouvent des niveaux proches de ceux de 2019, il n’en est pas de même pour les achats de viandes de boucherie (y compris élaborés et surgelés), les jambons et les charcuteries, qui sont en net recul (-2,9%). https://lnkd.in/e7wBDgCv

🔴 C'est probablement la filière qui a été le plus secouée par la crise du bio : le porc. 🐖 En effet, conventionnel et bio, en porc, les modes d'élevage n'ont rien à voir, et ça s'en ressent sur le coût de production. Les prix de vente ont effrayé une partie des consommateurs déjà touchés par l’inflation. Arrêts, quotas, l’amont a baissé sa production au point que, désormais, le marché se retourne et les opérateurs rapportent un manque de viande de porc bio. Une bonne nouvelle ? Oui certes, mais il faut raison garder, ce n'est pas la demande qui grimpe, c'est vraiment la production qui a drastiquement chuté. 😶🌫️ Et pour les éleveurs, prendre la décision de produire plus, au risque de subir de nouveau une crise et déclassement, ce n'est pas facile. « Pour faire un cochon bio, de la gestation à l’abattage, il faut un an. Comment sera le marché dans un an, c’est compliqué de se projeter » nous résume un éleveur. Merci à BVB - Bretagne Viande Bio et UNEBIO https://lnkd.in/e3ejW23F

Dans les années 60 on a commencé par calibrer certains fruits et légumes pour l'export. Mais, cette #standardisation est également devenue la #norme pour la vente en France. Ceci à donné naissance à un système ubuesque : 30% de la #production de fruits et légumes sont jetés en France tous les ans. Et il faut bien se l'avouer, en tant que #consommateurs, nous sommes tellement habitués à ces petites carottes parfaitement formées et à ces tomates toutes rouges et rondes, que notre oeil a encore du mal a être attiré par ces fruits et légumes un peu imparfaits, ceux qu'on appelle les "légumes moches". Ils font moins rêver... Et pourtant en cette journée internationale de sensibilisation aux pertes et gaspillages de #nourriture, prenons conscience des avantages de ces fruits et légumes parfois un peu moins attrayants : - ils ont souvent subi moins de traitements chimiques, - ils sont moins chers d'environ 30% en général. Karim Vincent-viry, Fondateur de finisterestes 29 se bat contre le #gaspillage #alimentaire et récupère ces fruits et légumes qui ne répondent pas aux normes pour les revendre. L'entreprise prépare environ 3 000 paniers par jour, distribués dans 80 points-relais. Un panier coûte 5,99€ pour au minimum 5kg de fruits et légumes. Chaque année, près de 200 000 tonnes de légumes sont jetées en Bretagne parce qu’ils ne répondent pas aux standards de la grande #distribution. Citation : “Ce qui me scandalise, ce n'est pas qu'il y ait des riches et des pauvres : c'est le gaspillage.” Mère Thérésa