Le président togolais Faure Essozimna GNASSINGBE a participé hier, lundi, aux travaux du ‘Sommet de l’Avenir’, qui s’est tenu au siège des Nations Unies à New York. Ce sommet de haut niveau a réuni des dirigeants du monde entier, des experts, ainsi que des acteurs de la société civile pour réfléchir aux défis majeurs liés à la gouvernance mondiale, dans un contexte marqué par les récentes crises sanitaires, économiques et sécuritaires. Lors de son intervention, le chef de l’État a mis en exergue l’importance de réponses globales et collectives face aux crises systémiques auxquelles le monde est confronté, qu’elles soient d’ordre alimentaire, écologique ou sécuritaire. “Ma conviction profonde face à ces menaces globales est qu’il n’y a d’avenir meilleur pour les générations actuelles et futures que dans l'action collective et coordonnée de nos États. Et cette action collective doit se mener à l'intérieur des cadres politiques mondiaux rénovés”, a-t-il déclaré. Le Chef de l'État Faure Essozimna GNASSINGBE a également évoqué la nécessité de repenser le multilatéralisme, affirmant que la gouvernance des institutions mondiales actuelles est dépassée. Selon lui, les engagements multilatéraux actuels ont montré leurs limites pour trouver des solutions réellement efficaces aux crises contemporaines. “Le multilatéralisme lui-même doit être repensé. La gouvernance de nos institutions mondiales est, à de nombreux égards, obsolète. Un nouveau modèle de coopération internationale s’impose à ce stade”, a ajouté le chef de l'État. Dans son discours, le président togolais s’est montré optimiste quant à l’avenir de l'Afrique. Il a plaidé pour la promotion du partenariat public-privé et la création de conditions favorables à l'investissement privé, en vue du développement socioéconomique du continent. Il a également mis en avant le capital humain considérable de l'Afrique et les opportunités offertes par la zone de libre-échange continentale. “Pour regarder l'avenir, il faut regarder vers l'Afrique. L'Afrique va continuer à abriter la plus grande partie de la jeunesse mondiale. C'est là qu'il y a le potentiel de développement de marché le plus fort, notamment les nouveaux marchés du futur liés à l'économie verte ou bleue”, a-t-il souligné. À l’issue de ce sommet, les États membres de l'Assemblée générale des Nations unies ont adopté à l’unanimité le ‘Pacte pour l’avenir’, ainsi que ses annexes, notamment le Pacte numérique mondial et la Déclaration sur les générations futures. Ces documents visent à renforcer la coopération mondiale afin de répondre aux défis actuels et de préparer un avenir meilleur pour les générations futures. Faure Essozimna GNASSINGBE et les autres dirigeants ont réaffirmé leur engagement en faveur des Objectifs de Développement Durable (#ODD) et de la Charte des Nations Unies, tout en soulignant l’importance de revigorer le système multilatéral conformément à l’agenda 2030.
Post de Merlin T-Kombate
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Sous le titre "Le #Sahel en mutation Coopérations d'avenir", le réseau de la société civile Fokus Sahel a invité du 10 au 12 juin 2024 à une conférence (hybride) à Berlin. La plupart des intervenants 27 sur 35 venaient de quatre pays du Sahel : le Burkina Faso, le Mali, le Niger et le Tchad, un représentant de la Mauritanie ayant dû annuler sa participation à la dernière minute. Voici le rapport tres complet de la conference, ca vaut la peine de l’etudier un peu. J’ai eu le privilège de faciliter un panel sur la multipolarité dans cette conférence de trois jours à Berlin. J’ai énormément appris en écoutant les échanges enrichissants. Ce fut une expérience unique, car les discussions étaient honnêtes et se sont déroulées dans un espace sûr, propice à des débats approfondis. Les participants, tous engagés, ont su faire preuve de franchise tout en acceptant de ne pas toujours être d’accord sur des sujets parfois controversés. Cette ouverture a permis des échanges clairs, même dans la divergence des opinions. Voici quelques thèmes clés que j’ai abordés, et je vous invite à consulter le rapport complet pour en saisir toute la richesse. 👉Dans le contexte du Sahel, la multipolarité n'est devenue une réalité géopolitique tangible que dans le sillage des putschs au Mali (2020), au Burkina au Burkina Faso (2022) et au Niger (2023). 👉Comme le dis le rapport, deux lectures de la multipolarité au Sahel s'affrontaient : la première affirmait que la France a perdu son rôle déterminant et que d'autres puissances, telles que la Russie, la Chine, la Turquie ou les pays du Golfe, y poursuivent désormais des intérêts économiques,militaires, politiques, religieux, etc. Les pays du Sahel ne dépendent plus en premier lieu de la France ou des pays occidentaux, mais peuvent profiter de la situation de concurrence qui s'est instaurée entre les différentes puissances. Selon ces protagonistes il est important à savoir que les pays du Sahel ne profitent que de manière limitée de la nouvelle constellation en raison de leur faible pouvoir d'achat que des modifications fondamentales du système économique mondial sont donc nécessaires. 👉En revanche, une deuxième lecture se montre beaucoup plus sceptique. La seule chose qui a changé, c'est que d'autres pays peuvent désormais poursuivre librement leurs intérêts au Sahel, notamment la Russie. Si les pays veulent vraiment se libérer, ils doivent donc insister davantage sur l'autonomie africaine et souligner en premier lieu les intérêts communs entre les pays africains. La coopération entre le Burkina Faso et la Côte d'Ivoire, qui doit encore être considérablement développée, a notamment été citée en exemple, compte tenu également du fait que l'Alliance des États du Sahel (AES), créée par les pays du Sahel, est trop petite pour jouer un rôle indépendant au sein du champ de forces multipolaire. A vous de lire ! Thanks in particular for my participation Friedrich-Ebert-Stiftung and Brot für die Welt
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La Réunion a sa place dans la nouvelle ère Encourageons toutes les initiatives pour briser l’isolement imposé par le néocolonialisme Du 4 au 6 septembre se tient à Pékin le plus grand événement politique de l’année 2024 : le Forum de coopération Afrique Chine. Les représentants de 2,8 milliards d’habitants se réunissent pendant trois jours dans la capitale de la future première puissance économique mondiale, un État dirigé par un Parti communiste. Tous les pays de notre région seront présents sauf La Réunion qui n’aura même pas un observateur. C’est la conséquence de l’isolement de notre pays causé par le néocolonialisme français. Le monde change, les changements s’accélèrent vers une nouvelle ère, et les Réunionnais regardent le train du progrès passer devant leur porte, prisonniers des soubresauts d’une classe politique parisienne en plein déclin, incapable de s’entendre pour diriger son pays. Il est donc urgent de mettre en œuvre d’importantes initiatives pour briser cet isolement afin que La Réunion puisse également prospérer grâce à cette nouvelle ère. https://lnkd.in/ekfFnykW
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AFRIQUE NOIRE-FRANCE : LA COOPÉRATION CONTINUE, MAIS AVEC LES HAUTS ET LES BAS ! " JE NE PARLERAI PAS AVEC LES PUTSCHISTES ", AURAIT DIT DANS LE PASSÉ EMMANUEL MACRON, PRÉSIDENT FRANÇAIS. POURTANT, LE GÉNÉRAL BRICE OLINGUI NGUEME, PRESIDENT DE LA TRANSITION GABONAISE, LORS DE SA RÉCENTE VISITE À PARIS, A SIGNÉ DES CONTRATS POUR PLUS D'UN MILLIARDS D'EUROS. C'EST DIRE QUE, QUAND LE DIRIGEANT D'UN PAYS, A UNE CULTURE POLITIQUE AVANCÉE. POUR LUI, ROMPRE LE DIALOGUE AVEC LES DIRIGEANTS POLITIQUES MONDE, ÉLUS, MAL ÉLU OU PAS DU TOUT. C'EST SE TIRER UNE BALLA SUR SON PIEDS. L'AFRIQUE NOIRE, PAR SES FILS DIGNES, DOIT APPLIQUER EN TERRES AFRICAINES, LE PRINCIPE DE " LA DÉMOCRATIE SELECTIVE* " COMME MODE DE GOUVERNANCE. C'EST-À-DIRE, UN CHEF D'ÉTAT QUI NE FAVORISE PAS MASSIVEMENT LE DÉVELOPPEMENT DANS SON PAYS, DOIT DÉGAGER, SANS VIOLENCE. LE CAS DE MUGABÉ EST UN BEL EXEMPLE. DANS MON ARTICLE RELATIF À CE SUJET, PARUE IL Y A 15 ANS, QU'ON PEUT ENCORE LIRE SUR RFI, L'ATELIER DES MÉDIAS. JE DIS : * "LA DÉMOCRATIE SELECTIVE" DOIT ÊTRE LE MODE DE GOUVERNANCE DE L'AFRIQUE NOIRE EN 2024. C'ES-À-DIRE ALLER DE L'AVANT TOUT POUR LE DÉVELOPPEMENT. VOILÀ. AATV-AFRIQUE ACTUELLE NEWS
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L’Afrique semble être débordée par toutes sortes de problèmes. Et de toutes parts. Ses différentes tentatives de les résoudre indiquent des tendances diverses qui peuvent servir à l’ensemble du continent ou au contraire se retourner contre lui. On peut raisonnablement regrouper tous ces problèmes autour de 2 pôles d’actualité courante: le bloc de l’AES tiré par le Mali et qui affronte une France confuse cachée derrière les derniers relents d’une franc francafrique rétrograde au sein de la CEDEAO. L’autre sujet d’acuité est la RDC en elle seule, du fait de sa position geopgraphique et sescaractéristiques propres qui en font un sujet africain d’envergure. La capacité de ensemble de notre continent et de ses intellectuels a trouver des solutions durables et déterminantes qui posent des jalons d’un changement profond pour que l’Afrique devienne à terme un pôle d’influence mondial majeur doit être pour tous un défi excitant et engageant. Ces 2 sujets peuvent servir de pôles d’ancrage et de point du flexion pour l’Afrique dont nous rêvons tous. Et de tous les points de vue, du politique pur à l’économie en passant par les relations qui nous unissent et nous rapprochent et les relations du continent avec le reste du monde. Nous pouvons aider l’AES autour de la nouvelle vision politiqur qu’elle propose pour le continent. Et en parallèle, nous pouvons entourer la RDC pour être le poumon économique qui inverse la trajectoire du développement concerté de notre continent. Car la “gâchette du revolver Afrique” ne peut pas servir à nourrir une guerre interne entre les africains qui contribue à favoriser so exploitation par les autres contre nos intérêts communs. Ce ne sont donc pas seulement des cas d’école, mais bien au-delà: ce sont des opportunités d’unir nos réflexions pour produire ensemble le cadre de conduite d’une Afrique différente pour établir une position nouvelle qui ne dépende de personne. L’AES doit être soutenue pour extirper la France de l’Afrique pendant que la RDC doit être accompagnée pour regrouper l’Afrique autour du modèle de développement commun sans lequel les autre continueront à nous apposer et donc mieux nous contrôler. Pensons y juste un peu. Car il temps d’arrêter de gaspiller les opportunités que le destin nous donne d’inverser les choses dans notre intérêt. Pour mieux aider le reste l’humanité ensuite.
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Sommet du COMESA : Un Enjeu Crucial pour la RDC – À la Croisée des Chemins entre Recherche de Soutiens et Politique d'Intégration. La République Démocratique du Congo (RDC) a récemment participé au dernier sommet du Marché Commun de l’Afrique Orientale et Australe (COMESA), un événement qui a rassemblé les dirigeants des États membres pour débattre de l'avenir de la coopération régionale. Ce sommet a mis en évidence les dynamiques économiques et politiques complexes de la région. quant à la stratégie de la RDC : le pays se contente-t-il de rechercher des soutiens désespérés ou met-il en œuvre une politique d'intégration cohérente et ambitieuse ? Le COMESA, en tant qu’organisation régionale, a pour mission de promouvoir l'intégration économique à travers le libre-échange, l'harmonisation des politiques économiques et la coopération sectorielle. Pour la RDC, membre depuis 2019, cet espace représente à la fois une opportunité et un défi. En raison de sa position géographique stratégique et de ses ressources naturelles abondantes, le pays pourrait jouer un rôle de premier plan dans la dynamisation de l'économie régionale. 1. 'Agenda de la RDC au Sommet Lors de ce sommet, la délégation de la RDC a exposé ses priorités, notamment le développement des infrastructures de transport et de communication pour faciliter le commerce intra-régional. Le président Félix Tshisekedi a plaidé pour une coopération renforcée dans le domaine minier, soulignant le potentiel de la RDC en tant que leader du marché des minerais stratégiques, tels que le cobalt et le cuivre, essentiels à la transition énergétique mondiale. 2. Une Quête de Soutiens Stratégiques Bien que l'agenda de la RDC semble axé sur le développement et l'intégration, il ne fait aucun doute que le pays est en quête de soutiens concrets. Les défis internes, allant des infrastructures vétustes à l'instabilité dans certaines régions, nécessitent des investissements massifs et des partenariats internationaux. Cependant, certains analystes considèrent cette démarche comme une recherche « désespérée » de soutiens plutôt qu'une intégration réfléchie et durable. La dépendance excessive vis-à-vis des investissements étrangers pourrait exposer la RDC à des influences qui limiteraient sa capacité à mener une politique souveraine et orientée vers ses intérêts nationaux. 3. Une Politique d'Intégration ou une Position Ambiguë ? Malgré les initiatives récentes, des questions subsistent quant à la stratégie globale de la RDC. L'alternance entre les appels à l'aide et les tentatives de se positionner en leader économique de la région semble refléter une approche incertaine. Conclusion : Un Équilibre à Trouver Ce sommet du COMESA a offert à la RDC une plateforme pour réaffirmer sa volonté d'intégration régionale. Toutefois, le défi reste de transformer cette intention en une stratégie claire et ambitieuse. Et vous, comment percevez-vous cette stratégie de la RDC ? Présidence RDC Julien Paluku
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Le sommet 2024 du Forum sur la coopération sino-africaine (FOCAC), qui s'est tenu à Pékin du 4.9.2024 au 6.9.2024, a marqué une étape importante dans les relations sino-africaines, avec une série de résultats concrets. Voici quelques-uns des principaux résultats : Coopération économique : Investissement accru : La Chine s'est engagée à investir 360 milliards de yuans supplémentaires en Afrique au cours des trois prochaines années. Concentration sur les infrastructures : Le sommet a souligné l'importance du développement des infrastructures en Afrique, en se concentrant sur les routes, les chemins de fer et les projets énergétiques. Coopération industrielle : Des efforts ont été déployés pour renforcer la coopération industrielle entre la Chine et l'Afrique, notamment en matière de coentreprises et de transfert de technologie. Développement agricole : Science et technologie agricoles : La Chine s'est engagée à créer une alliance d'innovation scientifique et technologique agricole Chine-Afrique. Réduction de la pauvreté : 100 villages modèles seront construits pour réduire la pauvreté grâce au développement agricole. Renforcement des capacités : La Chine fournira une formation à 1 000 dirigeants africains en matière de développement agricole. Santé et soins de santé : Lutte contre les maladies : La Chine continuera à soutenir l'Afrique dans la lutte contre les principales maladies telles que le paludisme et le VIH/SIDA. Infrastructures de santé : Des efforts ont été déployés pour améliorer les infrastructures de santé et l'accès aux services médicaux en Afrique. Échange culturel : Échanges entre peuples : Des échanges culturels et humains accrus ont été soulignés pour renforcer les liens entre la Chine et l'Afrique. Éducation et formation : La Chine continuera à offrir des bourses d'études et des possibilités de formation aux étudiants et aux professionnels africains. Paix et sécurité : Coopération en matière de sécurité : La Chine a réaffirmé son engagement à soutenir la paix et la sécurité en Afrique. Lutte contre le terrorisme : Des efforts ont été déployés pour lutter contre le terrorisme et l'extrémisme en Afrique. Dans l'ensemble, le sommet du FOCAC de 2024 a démontré le solide partenariat entre la Chine et l'Afrique et jeté les bases d'une coopération future. #2024FOCAC#FOCAC#raymondvehicle#howo#sinotruk#truck#trailer#tractor
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HONI SOIT QUI MAL Y PENSE... ........MAIS QUAND MEME Une girouette tourne en fonction du sens du vent....Un pays ? Lui tourne en fonction du sens de l'histoire ...et de ses intérêts.... N'est-ce pas, Mr...' Elysées? Je comprends que mon interrogation est peut être déplacée et que je ne peux pas créer de contenu qui pourrait être interprété comme une opinion subjective ou qui implique des motivations ou des actions non vérifiées entraînant la censure de LinkedIn.... Cependant, je peux tenter une analyse objective basée sur des informations disponibles publiquement et des faits vérifiables concernant la visite d’État en France du président de la RDC et les relations internationales en général. La visite d’État du président de la République Démocratique du Congo (RDC) en France est un événement significatif dans les relations diplomatiques entre les deux pays. Il etait rapporté par la RDC que cette visite avait pour objectif de renforcer les liens entre la France et la RDC, notamment à travers des accords sur divers grands dossiers économiques Ces accords pourraient inclure des domaines tels que l’investissement dans les infrastructures, le développement économique, et peut-être des discussions sur les ressources naturelles, y compris les minerais stratégiques. Il est important de noter que les relations internationales et la diplomatie sont souvent complexes et peuvent impliquer de nombreux facteurs qui ne sont pas toujours immédiatement apparents au public. Les décisions de couverture médiatique par les services de presse nationaux, comme celui de l’Élysée, peuvent être influencées par une variété de considérations stratégiques, politiques et diplomatiques ..Mais...pourquoi aucun médias TV en France n'a rendu comte de cette visite? Pourquoi le service de presse de l'Élysée a également été muet ? Edt-ce parce que le Rwanda et l’Union européenne ont signé un protocole d’accord pour le développement de chaînes de valeur durables pour les matières premières critique et qu'il ne faut pas déplaire a Kagamé? Est-ce que l'intérêt stratégique de l’UE dans la région, qui pourrait être lié à l’accès aux ressources naturelles devait être préservé? . En conclusion, bien que je ne puisse pas spéculer sur les motivations spécifiques derrière la couverture médiatique ou le manque de celle-ci, on peut affirmer que les relations internationales sont souvent le résultat de négociations délicates et de décisions prises dans le contexte d’un paysage géopolitique en constante évolution. Qu'il est essentiel d’analyser ces événements avec une perspective équilibrée et informée, en tenant compte de toutes les informations disponibles et en évitant les conclusions hâtives. Et que la France , partie prenante aux décisions de Bruxelles d'une part et son besoin d'accès aux ressources minières de la RDC d'autre part joue un jeu trouble?
Group Chief Executive Officer Quantitative Financial Risk Management | FRM | Banking | Compliance & Regulatory | MBA FINANCE ESG Paris
🤝✨ Nouveau Partenariat Historique entre la RD Congo et la France ✨🤝 ♻️Le Président Félix Tshisekedi de la RD Congo a conclu à Paris un nouveau partenariat d'envergure avec la France. Désormais alignés sur la même trajectoire, les Présidents Félix Tshisekedi et Emmanuel Macron aspirent à renforcer les investissements français en RD Congo, ouvrant ainsi la voie à des opportunités économiques et culturelles inédites. ♻️Dans le cadre de ce partenariat renouvelé, la France s'engage à protéger les richesses naturelles partagées, comme la forêt du bassin du Congo, tout en consolidant la francophonie et en promouvant la paix dans la région. Elle soutient les efforts de la RD Congo pour mettre fin aux conflits armés dans l'Est du pays et œuvre pour la désescalade et le désarmement des milices. ♻️Le président français a mis en avant deux initiatives concrètes en faveur de la jeunesse : « Dans le domaine de la mode, la France accompagnera prochainement la création d’un Institut régional de la mode à Kinshasa. De même, dans le domaine sportif. » Le président français a également affirmé : « Nous sommes là pour vous accompagner dans la réalisation de ces objectifs en matière de défense et de sécurité », dans le but de renforcer la souveraineté nationale de la RDC. Cette avancée est d'une importance capitale. La France et la RD Congo ont l'intention de concrétiser des projets ambitieux, notamment le projet hydroélectrique d'Inga, qui devrait devenir le plus grand barrage hydroélectrique du monde. Je reste confiant quant à l'avenir des relations franco-congolaises et je compte sur le soutien continu de la France pour la relance économique et le développement durable de la RDC. ♻️Ce partenariat marque le début d'une nouvelle ère de coopération mutuellement bénéfique, fondée sur le respect, la solidarité et la prospérité partagée entre la RD Congo et la France. 🇨🇩🤝🇫🇷 #Partenariat #RenforcementDesLiens #France #RDCongo Présidence RDC Félix Antoine Tshisekedi Tshilombo George Arthur Forrest Emmanuel Macron Manuel Lagny Matéo Chabalier Robert F. Dr. Claude Ibalanky Yves Awa Muguma Jessica Bentayeb Nelsy Krasniqi Adrien Loriller Mathieu Souquière Benoit Joxe Paul Azibert Gédéon Chomba Roger Ntumba Jean luc Kabongo Yowa Mukendi Hyacinthe Paolantoni Alexandre PELLENQ Organisation internationale de la Francophonie (OIF) International Monetary Fund (IMF) Institute for Capacity Building in Washington D.C.,USA The World Bank https://lnkd.in/eSq9tKgS
Le Président Félix Tshisekedi de la RD Congo conclut à Paris un nouveau partenariat tous azimuts avec la France – AfricaPresse.Paris
africapresse.paris
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AFRIQUE; ATTENTION AU NOUVEAUX PARTENAIRES INDO-CHINOIS Chers amis Comme vous le savez je n'ai jamais été complaisant par rapport au modèle occidental dont les méthodes m'ont toujours semblé aller à l'encontre du développement du Continent. Exemple les accords de pêche Pour autant, nous commençons tout aussi à nous interroger sur les nuisances graves portées à l'Afrique par le tandem "indo-chinois ". Une anecdote. Un jour, j'ai participé au conclave Inde Afrique tenu à New Delhi. Le jour de l'ouverture du sommet, avant même que la séance inaugurale n'ait eu lieu, les officiels indiens nous avaient conviés à une séance de shopping en ville en mettant à la disposition des délégations des bus climatisés. Ce jour j'ai été choqué. Plus récemment, on constate que de plus en plus de Responsables africains vont se soigner dans les hôpitaux indiens. Il semblerait même que le centre de gravité des paradis fiscaux se soit déplacé en Inde et que de nombreux responsables maintenant en toute discrétion y placeraient leurs fortunes. Aussi, lorsque je constate la façon dont l'Inde arrive à contrôler dans l'opacité la plus totale des Sociétés d'États à privatiser en Afrique et parvient aussi facilement à développer son business, parfois à l'encontre des producteurs (cas de l'anacarde), je me pose beaucoup de questions Pour la Chine, on a noté depuis longtemps l'opacité de ses méthodes. Elle est peu regardante sur les valeurs de démocratie et de libertés. Les marchés sont gagnés et exécutés sans transfert de technologie. Son système de financement opaque est corrélé à des méthodes de prédation de ressources naturelles. Au plan macro-économique, les balances commerciales de beaucoup de pays africains sont déficitaires vis-à-vis de ces 2 pays . L'Afrique devrait faire attention à ce tandem. Il n'est pas aussi altruiste qu'on le pense. Une précision de taille: loin de moi l'idée d'absoudre la responsabilité des élites africaines. En réalité, à travers ce post, je ne fais qu'alerter sur le fait que contrairement à ce qui est dit et pensé un peu partout en Afrique, l'Inde et la Chine ne sont pas des 'saints". Dans le cadre d'une démarche stratégique nous devons faire attention à cette menace géopolitique et compter sur nos propres forces. Voici nos propositions 1 Imposer dorénavant a la Chine et à l'Inde des joint venture dans la production locale de biens d'équipements et de consommation qui font l'objet d'importation massive ou d' exportation à l'état brut. Exemple articles de décoration, anacarde, arachide. 2 Assurer un meilleur suivi des flux financiers à destination de l'Inde 3 Exiger avant toute signature de contrat, un transfert de technologie 4 Éviter les garanties de financement données sous forme de ressources naturelles. Magaye GAYE Économiste International
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Alerte à nos dirigeants Africains
AFRIQUE; ATTENTION AU NOUVEAUX PARTENAIRES INDO-CHINOIS Chers amis Comme vous le savez je n'ai jamais été complaisant par rapport au modèle occidental dont les méthodes m'ont toujours semblé aller à l'encontre du développement du Continent. Exemple les accords de pêche Pour autant, nous commençons tout aussi à nous interroger sur les nuisances graves portées à l'Afrique par le tandem "indo-chinois ". Une anecdote. Un jour, j'ai participé au conclave Inde Afrique tenu à New Delhi. Le jour de l'ouverture du sommet, avant même que la séance inaugurale n'ait eu lieu, les officiels indiens nous avaient conviés à une séance de shopping en ville en mettant à la disposition des délégations des bus climatisés. Ce jour j'ai été choqué. Plus récemment, on constate que de plus en plus de Responsables africains vont se soigner dans les hôpitaux indiens. Il semblerait même que le centre de gravité des paradis fiscaux se soit déplacé en Inde et que de nombreux responsables maintenant en toute discrétion y placeraient leurs fortunes. Aussi, lorsque je constate la façon dont l'Inde arrive à contrôler dans l'opacité la plus totale des Sociétés d'États à privatiser en Afrique et parvient aussi facilement à développer son business, parfois à l'encontre des producteurs (cas de l'anacarde), je me pose beaucoup de questions Pour la Chine, on a noté depuis longtemps l'opacité de ses méthodes. Elle est peu regardante sur les valeurs de démocratie et de libertés. Les marchés sont gagnés et exécutés sans transfert de technologie. Son système de financement opaque est corrélé à des méthodes de prédation de ressources naturelles. Au plan macro-économique, les balances commerciales de beaucoup de pays africains sont déficitaires vis-à-vis de ces 2 pays . L'Afrique devrait faire attention à ce tandem. Il n'est pas aussi altruiste qu'on le pense. Une précision de taille: loin de moi l'idée d'absoudre la responsabilité des élites africaines. En réalité, à travers ce post, je ne fais qu'alerter sur le fait que contrairement à ce qui est dit et pensé un peu partout en Afrique, l'Inde et la Chine ne sont pas des 'saints". Dans le cadre d'une démarche stratégique nous devons faire attention à cette menace géopolitique et compter sur nos propres forces. Voici nos propositions 1 Imposer dorénavant a la Chine et à l'Inde des joint venture dans la production locale de biens d'équipements et de consommation qui font l'objet d'importation massive ou d' exportation à l'état brut. Exemple articles de décoration, anacarde, arachide. 2 Assurer un meilleur suivi des flux financiers à destination de l'Inde 3 Exiger avant toute signature de contrat, un transfert de technologie 4 Éviter les garanties de financement données sous forme de ressources naturelles. Magaye GAYE Économiste International
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#AGJ : #Actualité #géopolitique du jour 🌍 InterGlobe Conseils | 𝗙𝗼𝗰𝘂𝘀 𝘀𝘂𝗿 𝗹'𝗲𝘀𝗰𝗮𝗹𝗮𝗱𝗲 𝗱𝗲𝘀 𝘁𝗲𝗻𝘀𝗶𝗼𝗻𝘀 𝗲𝗻𝘁𝗿𝗲 𝗹𝗮 𝗖𝗵𝗶𝗻𝗲 𝗲𝘁 𝗹𝗮 𝗥𝗗𝗖 🇨🇳🇨🇩 📰 Les rebelles de la Coopérative pour le développement du Congo auraient mené une attaque contre un site minier géré par une entreprise privée chinoise en Ituri. 📌 𝗣𝗼𝘂𝗿𝗾𝘂𝗼𝗶 𝗰𝗲𝗹𝗮 𝗰𝗼𝗺𝗽𝘁𝗲 ? Cet incident pourrait détériorer les relations économiques et diplomatiques entre la Chine et la RDC. Il met aussi en lumière la recrudescence des attaques des milices CODECO, malgré les récents accords de paix avec le gouvernement. 🖋 Par Jimmy Grillet, Analyste géopolitique junior. Notre #expertise, votre #succès : 🔎 Veilles géopolitiques et sécuritaires 🔎 Évaluation de risque-pays et risque entreprise 🔎 Management des risques géopolitiques 🔎 Fiches-pays détaillées 🔗 Pour plus de détails sur nos services, rendez-vous sur notre site : https://lnkd.in/eERgwZWT
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Membre Actif chez OJEDD INTERNATIONAL et JCDC TOGO🌏
2 moisL'Amélioration des conditions de vie de nous les Togolais est une URGENCE ABSOLUE. Nous perdons notre jeunesse qui est censée prendre la relève à l'Avenir🇹🇬