Post de Roddy Mulumba, PMP

Quand le COMESA réunit les 21 pays pour parler de l'avenir de l'Afrique, il faut s'y préparer. Pour le Président Congolais: "voyons l'Afrique comme un réseau de partenaires. La paix et la sécurité constituent la fondation d'une intégration économique réussie." " Il ne suffit pas d'avoir un marché, faut-il encore avoir des produits à vendre, sinon on est phagocyté par les économies puissantes" ( Evariste NDAHISHIMIYE) Du forum commercial du COMESA tenu le 28 octobre 2024 , qui a reçu la visite du Président Burundais S.E Evariste NDAHISHIMIYE , à la participation du Président Congolais S.E Félix Antoine TSHISEKEDI TSHILOMBO au sommet des Chefs d'État du COMESA ce 31 octobre2024, il ya une leçon à retenir: l'Afrique se mobilise pour créer ses propres chaînes de valeur. Pour cela, il faudra promouvoir ou créer suffisamment des Banques d'investissement afin de financer les infranstructures qui structurent les économies africaines. Un des brillants hommes avait dit " c'est l'infrastructure qui détermine la superstructure ". L'Afrique devrait quitter les sentiers bâtis pour que chaque pays définisse sa trajectoire vers le développement intégral dans une logique d'intégration économique régionale. Le copier-coller en matière de développement du continent ayant montré ses limites, il faut tropicaliser la démarche. SÉCURITÉ, INFRASTRUCTURES, ENERGIE, AGRICULTURE constituent des piliers de la renaissance africaine( JPK). SE Julien PALUKU KAHONGYA, Ministre du Commerce Extérieur RDC

HONI SOIT QUI MAL Y PENSE... ........MAIS QUAND MEME Une girouette tourne en fonction du sens du vent....Un pays ? Lui tourne en fonction du sens de l'histoire ...et de ses intérêts.... N'est-ce pas, Mr...' Elysées? Je comprends que mon interrogation est peut être déplacée et que je ne peux pas créer de contenu qui pourrait être interprété comme une opinion subjective ou qui implique des motivations ou des actions non vérifiées entraînant la censure de LinkedIn.... Cependant, je peux tenter une analyse objective basée sur des informations disponibles publiquement et des faits vérifiables concernant la visite d’État en France du président de la RDC et les relations internationales en général. La visite d’État du président de la République Démocratique du Congo (RDC) en France est un événement significatif dans les relations diplomatiques entre les deux pays.  Il etait rapporté par la RDC que cette visite avait pour objectif de renforcer les liens entre la France et la RDC, notamment à travers des accords sur divers grands dossiers économiques Ces accords pourraient inclure des domaines tels que l’investissement dans les infrastructures, le développement économique, et peut-être des discussions sur les ressources naturelles, y compris les minerais stratégiques. Il est important de noter que les relations internationales et la diplomatie sont souvent complexes et peuvent impliquer de nombreux facteurs qui ne sont pas toujours immédiatement apparents au public. Les décisions de couverture médiatique par les services de presse nationaux, comme celui de l’Élysée, peuvent être influencées par une variété de considérations stratégiques, politiques et diplomatiques ..Mais...pourquoi aucun médias TV en France n'a rendu comte de cette visite? Pourquoi le service de presse de l'Élysée a également été muet ? Edt-ce parce que le Rwanda et l’Union européenne ont signé un protocole d’accord pour le développement de chaînes de valeur durables pour les matières premières critique et qu'il ne faut pas déplaire a Kagamé?  Est-ce que l'intérêt stratégique de l’UE dans la région, qui pourrait être lié à l’accès aux ressources naturelles devait être préservé? . En conclusion, bien que je ne puisse pas spéculer sur les motivations spécifiques derrière la couverture médiatique ou le manque de celle-ci, on peut  affirmer que les relations internationales sont souvent le résultat de négociations délicates et de décisions prises dans le contexte d’un paysage géopolitique en constante évolution. Qu'il est essentiel d’analyser ces événements avec une perspective équilibrée et informée, en tenant compte de toutes les informations disponibles et en évitant les conclusions hâtives. Et que la France , partie prenante aux décisions de Bruxelles d'une part et son besoin d'accès aux ressources minières de la RDC d'autre part joue un jeu trouble?

En fait, une #ZoneDeLibreEchange ne se décrète pas par des annonces ou des déclarations ou la conclusion de traités qui s’avèrent difficiles à mettre en œuvre. Malgré son importance la #ZLECAF n’est pas suffisante en soi pour intégrer l’Afrique et ne peut pas ignorer les processus régionaux et sous-régionaux ainsi que les initiatives régionales et sectorielles, qui peuvent réduire les barrières aux échanges, notamment celles liées aux #Infrastructures qui s’avèrent des plus difficiles à surmonter en particulier dans les domaines de la logistique, du transport et de l’énergie. Lire la suite => https://lnkd.in/eucG8mMY #Maroc #Sahel #OceanAtlantique #NasserBourita #AbdoulayeDiop #Cedeao #UnionAfricaine #MohammedVI #AssimiGoita #AbderahameneTiani #IbrahimTraore #Logistique African Union ECOWAS CEDEAO UEMOA

🌍 Les économies sahéliennes en voie d’intégration mondiale grâce à l'Initiative Atlantique du Maroc ! Le Maroc s'engage à désenclaver les économies sahéliennes en ouvrant une voie vers l’océan Atlantique. Malgré les défis, dont le retrait du Mali, du Niger et du Burkina Faso de la CEDEAO, cette initiative vise à stimuler les échanges commerciaux et à accroître la compétitivité internationale. 🔸 « En 2024, il est crucial de ne pas dresser de nouvelles frontières. L'avenir du Sahel et du monde en dépend », a déclaré Leila Benali, PhD., ministre de la Transition énergétique, lors du 7ème Morocco Today Forum. Le projet inclut des investissements majeurs comme le nouveau port de Dakhla et un projet de gazoduc, visant à renforcer les infrastructures et à promouvoir le développement durable. Ministère de la Transition Energétique et du Développement Durable - Royaume du Maroc LE MATIN Mohammed Haitami #AfriqueAtlantique #DéveloppementDurable #ÉconomieSahélienne #Maroc #InclusionRégionale #CommerceInternational #Dakhla

Le FOCAC peut-il s’adapter aux priorités de l’Afrique ? Au FOCAC, qui se tiendra du 4 au 6 septembre, les accords bilatéraux entre la Chine et les pays africains doivent s’aligner sur les objectifs de l’#Agenda2063, garantissant qu’ils ne serviront pas uniquement les intérêts géopolitiques de la Chine. Cette nouvelle approche pourrait favoriser des liens durables et mutuellement bénéfiques. 𝘐𝘚𝘚 𝘛𝘰𝘥𝘢𝘺 par Jana de Kluiver https://lnkd.in/dpwrCS_F

La 9e édition du Forum sur la coopération sino-africaine (FOCAC) s’est ouverte à Beijing ce 4 septembre, et, comme on pouvait s'y attendre, une avalanche de chefs d’État africains, membres de gouvernement, et autres acteurs économiques a déferlé sur la capitale chinoise. En tête de ce cortège, Denis Sassou-N’Guesso, président de la République du Congo, déjà sur place depuis le 2 septembre. Visiblement, il n’a pas voulu manquer une seule miette de ce grand banquet diplomatique, d’autant plus qu’il endosse désormais la prestigieuse casquette de coprésident du FOCAC pour la période 2024-2027. Cette responsabilité stratégique offre au Congo l'occasion de prendre part activement aux discussions cruciales visant à renforcer les relations bilatérales entre la Chine et l'Afrique, tout en plaçant le pays au cœur des décisions stratégiques pour les trois prochaines années. Ah, mais ce n’est pas tout ! Outre sa casquette de coprésident, Denis Sassou-N’Guesso s’apprête à honorer la Chine d’une visite d’État à partir du 6 septembre. Une démarche qui, à n’en pas douter, débouchera sur de grands discours et des accords prometteurs, comme on en a l'habitude lors de ces échanges sino-africains. On y parlera probablement d’industrie, d’infrastructure, d’éducation, bref, de toutes ces choses qui vont moderniser l’Afrique… un jour peut-être. En tout cas, le Congo, fort de sa nouvelle position privilégiée au sein du FOCAC, espère bien se tailler une belle part du gâteau chinois. Espérons simplement que cette modernisation "inclusive et durable" ne se résume pas à quelques routes et ponts, mais qu'elle contribue véritablement au développement du pays, et pourquoi pas, à l’amélioration du quotidien de ses citoyens. Mais ça, seul l’avenir nous le dira...

#BURUNDI : Le #COMESA affiche ses ambitions pour dominer l’intégration économique africaine Le 23e sommet du COMESA, tenu à Bujumbura, a réuni les 21 États membres dans une dynamique d’accélération de l’intégration économique régionale. Sous le thème « Accélérer l'intégration régionale par le développement de chaînes de valeur dans l'agriculture, l'exploitation minière et le tourisme résilients au changement climatique », l’organisation se positionne comme un modèle face aux défis actuels de la CEDEAO, notamment les divergences politiques et les crises sécuritaires en Afrique de l’Ouest. Le Secrétaire général, Chileshe Mpundu Kapwepwe, a présenté un rapport mettant en lumière les progrès réalisés, notamment l’amélioration des douanes au Burundi, la simplification des procédures de dédouanement et la numérisation des instruments commerciaux. https://lnkd.in/dJXqqVHR #COMESA #IntégrationRégionale #ÉnergieDurable #ÉconomieAfricaine #AfriqueDeLEst #SommetCOMESA #DéveloppementAfricain #TourismeDurable #IndustrialisationAfrique #Agenda2063 #ChaînesDeValeur #AccèsÀLEnergie #TransitionÉnergétique

Le président togolais Faure Essozimna GNASSINGBE a participé hier, lundi, aux travaux du ‘Sommet de l’Avenir’, qui s’est tenu au siège des Nations Unies à New York. Ce sommet de haut niveau a réuni des dirigeants du monde entier, des experts, ainsi que des acteurs de la société civile pour réfléchir aux défis majeurs liés à la gouvernance mondiale, dans un contexte marqué par les récentes crises sanitaires, économiques et sécuritaires. Lors de son intervention, le chef de l’État a mis en exergue l’importance de réponses globales et collectives face aux crises systémiques auxquelles le monde est confronté, qu’elles soient d’ordre alimentaire, écologique ou sécuritaire. “Ma conviction profonde face à ces menaces globales est qu’il n’y a d’avenir meilleur pour les générations actuelles et futures que dans l'action collective et coordonnée de nos États. Et cette action collective doit se mener à l'intérieur des cadres politiques mondiaux rénovés”, a-t-il déclaré. Le Chef de l'État Faure Essozimna GNASSINGBE a également évoqué la nécessité de repenser le multilatéralisme, affirmant que la gouvernance des institutions mondiales actuelles est dépassée. Selon lui, les engagements multilatéraux actuels ont montré leurs limites pour trouver des solutions réellement efficaces aux crises contemporaines. “Le multilatéralisme lui-même doit être repensé. La gouvernance de nos institutions mondiales est, à de nombreux égards, obsolète. Un nouveau modèle de coopération internationale s’impose à ce stade”, a ajouté le chef de l'État. Dans son discours, le président togolais s’est montré optimiste quant à l’avenir de l'Afrique. Il a plaidé pour la promotion du partenariat public-privé et la création de conditions favorables à l'investissement privé, en vue du développement socioéconomique du continent. Il a également mis en avant le capital humain considérable de l'Afrique et les opportunités offertes par la zone de libre-échange continentale. “Pour regarder l'avenir, il faut regarder vers l'Afrique. L'Afrique va continuer à abriter la plus grande partie de la jeunesse mondiale. C'est là qu'il y a le potentiel de développement de marché le plus fort, notamment les nouveaux marchés du futur liés à l'économie verte ou bleue”, a-t-il souligné. À l’issue de ce sommet, les États membres de l'Assemblée générale des Nations unies ont adopté à l’unanimité le ‘Pacte pour l’avenir’, ainsi que ses annexes, notamment le Pacte numérique mondial et la Déclaration sur les générations futures. Ces documents visent à renforcer la coopération mondiale afin de répondre aux défis actuels et de préparer un avenir meilleur pour les générations futures. Faure Essozimna GNASSINGBE et les autres dirigeants ont réaffirmé leur engagement en faveur des Objectifs de Développement Durable (#ODD) et de la Charte des Nations Unies, tout en soulignant l’importance de revigorer le système multilatéral conformément à l’agenda 2030.