Colloque : Matérialité textile au premier âge moderne Exhibés sur les corps des princes et des prélats, enserrant quelque précieuse matière ou encore recouvrant murs et sols, les textiles traversent toute la culture matérielle de la première modernité (XVe–XVIIIe siècle). ➡️ Nécessitant des connaissances techniques spécifiques, l’étude de la matérialité des œuvres a longtemps été l’apanage des conservateurs-restaurateurs textiles et de quelques rares « textilologues » (Cardon 1999), avant que le material turn n’irrigue ces dernières années le champ de l’histoire de l’art et ne révèle l’importance d’un retour à l’objet-matière. ➡️ L’objectif de ces deux journées d’étude est de faire se rencontrer ces différentes approches en faisant dialoguer les recherches consacrées à (l’histoire de) la technique et la conservation, ainsi que celles portant sur les propriétés médiales et les sens que revêt le textile lorsqu’il est exposé, porté ou manipulé. 📍 Du 25 au 26 septembre, de 9h à 17h 📍 Auditorium du Monceau, Musée L ➡️ Informations et réservation : https://lnkd.in/ebyJ7_cq Une organisation du GEMCA - Caroline Heering (UCLouvain), Roxanne Loos (F.R.S.-FNRS/UCLouvain) et Hélène Malice (F.R.S.-FNRS/UCLouvain)
Post de Musée L - Musée universitaire de Louvain
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#Colloque 💡 Comment le château de Versailles nous parle-t-il, à chacun et à tous, et en particulier aux créateurs ? C’est le sujet du colloque organisé par le centre de recherche de CY Cergy Paris Université qu’accueille le Campus ces jeudi et vendredi. En plus des conférences, un atelier d’écriture et une performance artistique au Potager du Roi sont proposés ⬇️
📅 #Colloque « Quelles créations pour quels Versailles » | 24 et 25 octobre 2024, au Campus Versailles. Organisées par Chantal Lapeyre et Anabelle Machou, ces journées visent à établir une première cartographie des gestes de création mobilisés dans les œuvres nées de Versailles dans la période contemporaine, échos peut-être de cette voix amuïe, pour en mesurer les enjeux d’abord, mais aussi pour approcher de plus près la fabrique des œuvres dans sa dimension la plus concrète. Informations et programme : https://url-r.fr/bUXnM CNRS, Ministère de la Culture, CY Cergy Paris Université, Campus Versailles, Fondation des sciences du patrimoine #Recherche #SHS #Littérature #création #patrimoine
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Un colloque enrichissant a eu lieu hier dans les murs de l’Institut national d'histoire de l'art. 💡 Ce colloque organisé par l’Institut Art et Droit et dont la direction scientifique était assurée par le professeur Françoise Labarthe avait pour thème : « La provenance dans le marché de l’art : de la théorie à la pratique ». 👍 Il est intéressant de voir à quel point la question des #provenances est devenue centrale pour l’ensemble des acteurs actuels du marché de l’#art (les chercheurs, les marchands d’art, les musées mais aussi les douanes) et les difficultés que cette question peut engendrer dans les pratiques de ces acteurs. Françoise Labarthe a dit, en introduction du colloque, que « la provenance a fait valoir sa nécessité » ces dernières années. En effet, dans la première moitié du XXe siècle, connaître la provenance d’un objet d’art était surtout un moyen d’accroître sa valeur, comme l’avait bien compris le célèbre marchand d’antiquités chinoises, C.T. Loo, qui mettait en avant la provenance d’une œuvre d’art dès qu’elle était prestigieuse. Aujourd’hui, les enjeux ont pris une autre dimension : il s’agit non seulement de prouver l’authenticité et la licéité de l’œuvre mais aussi de se mettre à l’abri de toute demande de #restitution.
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Chaque création d’un artisan d’art est une histoire. Un geste précis, un outil bien choisi, une vision qui prend forme. Aux Archives Aubertin, nous avons une mission : préserver ces récits d’exception. Car derrière chaque œuvre, il y a une mémoire. Un savoir-faire unique. Un héritage à transmettre. Prenons l’exemple de Bernard Aubertin, l’un des plus grands facteurs d’orgues de notre époque. Son œuvre ne se limite pas aux majestueux instruments qui résonnent dans les cathédrales ou les salles de concert. Elle est un hommage à la maîtrise du geste, à la recherche de la perfection sonore, et à l’art d’unir tradition et innovation. 🎵 Pourquoi cette mission est-elle cruciale ? Parce que chaque geste de l’artisan est une passerelle entre le passé et l’avenir. Lorsque nous plongeons dans les archives de Bernard Aubertin, nous retrouvons : La précision des plans dessinés à la main. Les esquisses des instruments qui allaient voir le jour. Les traces des recherches acoustiques qui ont redéfini le son des orgues modernes. Nous ne sauvegardons pas seulement des documents ou des objets. Nous préservons une vision, celle d’un homme qui a marqué son temps. 🌟 Mais ce n’est pas tout. En archivant les gestes, les techniques et les œuvres des maîtres artisans, nous transmettons bien plus qu’un métier. Nous transmettons l’âme de ces créateurs, leur dévouement, et leur capacité à sublimer la matière pour toucher l’intangible : l’émotion. Découvrez notre grand projet sur aubertinarchives.com 👉 Et vous ? Quel geste, quel métier ou quelle œuvre d’exception aimeriez-vous voir préservés pour les générations futures ? 📩 Partagez votre réflexion avec nous. Parce qu’ensemble, nous pouvons faire vivre ces trésors de savoir-faire et d’humanité.
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Premières images officielles de mon exposition au Lycée Washington-Touchard, Le Mans (jusqu'au 20 novembre) : DIVERSES CONFLUENCES ou le devenir-mariée des célibataires, 2023 MAQUETTE DE LA MAQUETTE diverses confluences ( projection² ), 2023 MÉGALOPOLE, 2024 COULEUR HABITAT, 2022 ANTHROPOLOGIES FICTIVES, 2023-2024 EXTENSION CIRCONSCRITE D'UNE EMPREINTE ALÉATOIRE DE PINCEAU, 2024 ÉTOILE DÉCHUE (étoile filante intoxiquée par l'ingestion d'hydrocarbures), 2024 @Jean-Arneau Filtness, 2024 À travers une production plastique protéiforme, Jean-Arneau Filtness pose les bases d'un travail à l’entrecroisement permanent de deux plans : celui de la recherche pure (parfois froidement expérimentale) et celui de la prospection poétique (sensible, solaire et lumineuse). Ces pôles cependant sont unis par des analogies plus précises et plus fondamentales encore : un certain sens de la poésie qui traverse ces deux plans et le choix du titre des œuvres. Renonçant à la répétition du même, fonctionnant par ricochets, tentatives et allers-retours – et, en raison de l’apparent foisonnement des expressions et des formes –, ces recherches sont une tentative de refléter parfois absurdement le monde à la fois terrible et merveilleux, sensible et théorique, intelligible, juste et discordant jouant librement avec les frontières, interrogeant nos repères, s’intéressant moins aux choses qu’à leurs relations.
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APPEL A CONTRIBUTION Perspective actualité en histoire de l’art Anachronismes, nº 2025 – 2 Longtemps pensé comme un « péché mortel » des sciences historiques, l’anachronisme fait pourtant partie des pratiques courantes en histoire de l’art, souvent de manière inconsciente, à travers l’usage de catégories et de notions forgées au 19e siècle en Europe. Parallèlement, d’autres pratiques de l’anachronisme ont émergé depuis une trentaine d’années, où il est utilisé comme une méthode qui permet de faire émerger de nouvelles questions, de nouveaux objets, de nouveaux récits. Ce numéro de la revue Perspective fait le point sur ces pratiques involontaires ou revendiquées de l’anachronisme en histoire de l’art.
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Appel à communication : "Le Vrai, le faux", thème du FHA25 En 2024, la région autrichienne du Salzkammergut porte le titre de Capitale européenne de la Culture, le mentionnant, d’une part pour montrer qu’au-delà de Vienne, Linz ou Salzbourg, l’Autriche recèle de culturels lieux en faisant le pays invité de cette 14e édition du Festival de l’histoire de l’art (FHA), mais d'autre part parce que cette région abritant le village d’Hallstatt. Ce charmant bourg de près de 800 âmes s'inscrit sur la liste du patrimoine mondial (<https://lnkd.in/eSZWv6CX>) de l’Organisation des Nations unies pour l'éducation, pour la science et pour la Culture ("United Nations Educational, Scientific and Cultural Organization" = UNESCO <www.unesco.org/fr>), un classement ne l’empêchant pas de se reconstruire à l’identique (lac inclus !) en province de Guǎngdōng ("廣東"), dans le sud-ouest de la Chine ("五矿·哈施塔特"), parler simplement d’Hallstatt ayant-il encore un sens ? Ne vaille-t-il pas mieux préciser "Hallstatt en Autriche" et "Hallstatt en Chine" ou bien faille-t-il dire "Hallstatt l’originale", y ayant-il alors une "vraie Hallstatt" et une "fausse Hallstatt" ? Le village construit en Chine n’est-il pas aussi réel que le village construit en Autriche et, si répondant à cette question par la négative, quels arguments convoquer : l’origine géographique, l’antériorité temporelle, l’authenticité ?... https://lnkd.in/eBAjVPVN
Appel à communication : "Le vrai, le faux", thème du FHA25 - Festival de l'Histoire de l'Art
festivaldelhistoiredelart.fr
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Premières images officielles de mon exposition au Lycée Washington-Touchard, Le Mans (jusqu'au 20 novembre) : DIVERSES CONFLUENCES ou le devenir-mariée des célibataires, 2023 MAQUETTE DE LA MAQUETTE diverses confluences ( projection² ), 2023 MÉGALOPOLE, 2024 COULEUR HABITAT, 2022 ANTHROPOLOGIES FICTIVES, 2023-2024 EXTENSION CIRCONSCRITE D'UNE EMPREINTE ALÉATOIRE DE PINCEAU, 2024 ÉTOILE DÉCHUE (étoile filante intoxiquée par l'ingestion d'hydrocarbures), 2024 @Jean-Arneau Filtness, 2024 À travers une production plastique protéiforme, Jean-Arneau Filtness pose les bases d'un travail à l’entrecroisement permanent de deux plans : celui de la recherche pure (parfois froidement expérimentale) et celui de la prospection poétique (sensible, solaire et lumineuse). Ces pôles cependant sont unis par des analogies plus précises et plus fondamentales encore : un certain sens de la poésie qui traverse ces deux plans et le choix du titre des œuvres. Renonçant à la répétition du même, fonctionnant par ricochets, tentatives et allers-retours – et, en raison de l’apparent foisonnement des expressions et des formes –, ces recherches sont une tentative de refléter parfois absurdement le monde à la fois terrible et merveilleux, sensible et théorique, intelligible, juste et discordant jouant librement avec les frontières, interrogeant nos repères, s’intéressant moins aux choses qu’à leurs relations.
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Premières images officielles de mon exposition au Lycée Washington-Touchard, Le Mans (jusqu'au 20 novembre) : DIVERSES CONFLUENCES ou le devenir-mariée des célibataires, 2023 MAQUETTE DE LA MAQUETTE diverses confluences ( projection² ), 2023 MÉGALOPOLE, 2024 COULEUR HABITAT, 2022 ANTHROPOLOGIES FICTIVES, 2023-2024 EXTENSION CIRCONSCRITE D'UNE EMPREINTE ALÉATOIRE DE PINCEAU, 2024 ÉTOILE DÉCHUE (étoile filante intoxiquée par l'ingestion d'hydrocarbures), 2024 @Jean-Arneau Filtness, 2024 À travers une production plastique protéiforme, Jean-Arneau Filtness pose les bases d'un travail à l’entrecroisement permanent de deux plans : celui de la recherche pure (parfois froidement expérimentale) et celui de la prospection poétique (sensible, solaire et lumineuse). Ces pôles cependant sont unis par des analogies plus précises et plus fondamentales encore : un certain sens de la poésie qui traverse ces deux plans et le choix du titre des œuvres. Renonçant à la répétition du même, fonctionnant par ricochets, tentatives et allers-retours – et, en raison de l’apparent foisonnement des expressions et des formes –, ces recherches sont une tentative de refléter parfois absurdement le monde à la fois terrible et merveilleux, sensible et théorique, intelligible, juste et discordant jouant librement avec les frontières, interrogeant nos repères, s’intéressant moins aux choses qu’à leurs relations.
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Nouvelles images de mon exposition au Lycée Washington-Touchard, Le Mans (jusqu'au 20 novembre). DIVERSES CONFLUENCES ou le devenir-mariée des célibataires, 2023 MAQUETTE DE LA MAQUETTE diverses confluences ( projection2), 2023 MEGALOPOLE, 2024 COULEUR HABITAT, 2022 ANTHROPOLOGIES FICTIVES, 2023-2024 EXTENSION CIRCONSCRITE D'UNE EMPREINTE ALÉATOIRE DE PINCEAU, 2024 ÉTOILE DÉCHUE (étoile filante intoxiquée par l'ingestion d'hydrocarbures), 2024 @Jean-Arneau Filtness, 2024 À travers une production plastique protéiforme, Jean-Arneau Filtness pose les bases d'un travail à l'entrecroisement permanent de deux plans : celui de la recherche pure (parfois froidement expérimentale) et celui de la prospection poétique (sensible, solaire et lumineuse). Ces pôles cependant sont unis par des analogies plus précises et plus fondamentales encore : un certain sens de la poésie qui traverse ces deux plans et le choix du titre des œuvres. Renonçant à la répétition du même, fonctionnant par ricochets, tentatives et allers-retours - et, en raison de l'apparent foisonnement des expressions et des formes -, ces recherches sont une tentative de refléter parfois absurdement le monde à la fois terrible et merveilleux, sensible et théorique, intelligible, juste et discordant jouant librement avec les frontières, interrogeant nos repères, s'intéressant moins aux choses qu'à leurs relations.
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Nouvelles images de mon exposition au Lycée Washington-Touchard, Le Mans (jusqu'au 20 novembre). DIVERSES CONFLUENCES ou le devenir-mariée des célibataires, 2023 MAQUETTE DE LA MAQUETTE diverses confluences ( projection2), 2023 MEGALOPOLE, 2024 COULEUR HABITAT, 2022 ANTHROPOLOGIES FICTIVES, 2023-2024 EXTENSION CIRCONSCRITE D'UNE EMPREINTE ALÉATOIRE DE PINCEAU, 2024 ÉTOILE DÉCHUE (étoile filante intoxiquée par l'ingestion d'hydrocarbures), 2024 @Jean-Arneau Filtness, 2024 À travers une production plastique protéiforme, Jean-Arneau Filtness pose les bases d'un travail à l'entrecroisement permanent de deux plans : celui de la recherche pure (parfois froidement expérimentale) et celui de la prospection poétique (sensible, solaire et lumineuse). Ces pôles cependant sont unis par des analogies plus précises et plus fondamentales encore : un certain sens de la poésie qui traverse ces deux plans et le choix du titre des œuvres. Renonçant à la répétition du même, fonctionnant par ricochets, tentatives et allers-retours - et, en raison de l'apparent foisonnement des expressions et des formes -, ces recherches sont une tentative de refléter parfois absurdement le monde à la fois terrible et merveilleux, sensible et théorique, intelligible, juste et discordant jouant librement avec les frontières, interrogeant nos repères, s'intéressant moins aux choses qu'à leurs relations.
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