📚🌍 Aujourd'hui c'est La Journée sans achat, une journée suivie dans plus de 65 pays pour réfléchir à nos habitudes de consommation et leurs impacts. C'est aussi une occasion pour repenser notre rapport à la lecture. Et si acheter moins de livres devenait une opportunité d’explorer plus ? En empruntant des livres plutôt qu’en les achetant, vous : ✅ Réduisez l’impact environnemental lié à la production et au transport. ✅ Favorisez l’accès au savoir pour tous grâce aux bibliothèques et plateformes collaboratives comme MyBlio. ✅ Soutenez une consommation responsable tout en enrichissant vos connaissances. ✅ Montrez à vos collègues que vous êtes toujours à la page. ✅ Faites des économies. 💡 En cette journée sans achat, engageons-nous ensemble pour une lecture durable et partagée. 👉 Et vous, êtes-vous prêt·e à adopter cette habitude écoresponsable ? #JournéeSansAchat #BlackFriday 📷 Photo de Monica Yu sur Unsplash
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Connaissez-vous l’affaire Cdiscount VS ADEME ? En 2018, le site de vente en ligne sort une campagne publicitaire incitant clairement à la surconsommation. À coup de slogans tel que « Mon matelas est assez grand… mais à 32 ans, je n’ai pas encore fini de grandir », Cdiscount invite explicitement les consommateurs à renouveler prématurément l’achat de certains produits. Une publicité qui ne passe pas auprès de l’ADEME, qui saisit le Jury de déontologie publicitaire de l’ARPP sur ce dernier motif. L’ARPP va pourtant débouter par deux fois l’ADEME : ➡ D’abord au motif que cette campagne avait lieu durant la période des soldes ➡ Puis en précisant que ces publicités n’incitaient pas au gaspillage, ne valorisaient pas des modes de consommation excessifs et ne discréditaient pas les principes en matière de développement durable. ❌ « Des pubs qui ne pourraient plus passer aujourd’hui », m’explique Thierry Libaert, Conseiller au Conseiller Économique et Social Européen et professeur des Universités, dans ce nouvel épisode de À CHAUD. Si l’on s’en réfère à l’actualité, le secteur de la #publicité a effectivement évolué depuis cette affaire : La Haye vient par exemple de supprimer les affichages publicitaires pour les produits et services fortement émetteurs de GES. L’allégation à la neutralité carbone est aussi désormais interdite. « Pour autant, le message principal est toujours le même : le bonheur passe par la consommation de biens et de services », ajoute Thierry Libaert. Mais comment changer une industrie dont la fonction principale est l’incitation permanente à la consommation ? « En imaginant de nouveaux récits qui n’associent plus bonheur et possession de biens ». Alors, pourquoi le secteur de la publicité a-t-il pris tant de retard dans la lutte contre le dérèglement climatique ? Quels sont les impacts de la publicité sur l’environnement ? Les enjeux de la création de nouveaux récits ? Et les solutions pour une publicité plus conformes aux objectifs climatiques et de sobriété. Toutes les réponses à ces questions dans cet épisode passionnant ! Belle écoute ! NB : lien de l'épisode et du site internet du podcast en commentaire #podcast #climat #transitionecologique
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Je pense que je suis capable d’aller chercher 1M$ de ARR juste à #Longueuil. Restaurants, physiothérapeutes, courtiers hypothécaires, cafés, boutiques, fleuristes… J’ai des clients dans presque tous les types de commerces de proximité. Et il y en a des milliers juste à Longueuil. Notre produit fonctionne pour tous ces clients-là. Depuis notre lancement en septembre, on a rapidement décidé de nous concentrer sur les commerces locaux. Pourquoi ce choix ? Parce qu’avec nos utilisateurs, on a réalisé que c’est beaucoup plus facile de prendre en photo un produit qu’un service. Tout simplement. Ce n’est pas que le besoin est différent, mais notre produit est plus facile à utiliser pour les commerçants qui vendent des produits physiques. On travaille évidemment sur une solution pour régler ce défi, mais pour l’instant, cette approche est celle qui fonctionne le mieux. Et ça marche ! Ce mois-ci, notre taux de désabonnement des nouveaux clients est de… 0 %. On commence aussi à recevoir des références de clients grâce à nos propres clients. Et souvent, quand je donne des exemples, on me répond : « Ah oui, je la connais, elle ! » On met également en place des partenariats vraiment intéressants pour renforcer notre présence à Longueuil. De belles synergies à venir. Je pense que c’est la bonne approche. C’est peut-être moins "glamour" que de dire que j’ai des utilisateurs partout dans le monde, comme avec Wittycloud. Mais honnêtement, je m’en fous. Je n’ai rien à prouver à personne. Si ça fonctionne ici, on pourra le faire ailleurs. En attendant, ça me permet de visiter mes clients à vélo. Bon, il commence à faire un peu froid, alors maintenant j’y vais en voiture, mais vous comprenez l’idée. J’arrête aussi parfois à l’improviste chez mes clients, juste pour m’assurer que tout roule avec Marketing Express. Et c’est tellement génial de pouvoir encourager mes clients tous les jours ! Ils m’aident, je les aide. C’est ça, une vraie communauté. Merci, Longueuil !
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Les matinales de la DGCCRF | Avec le contexte inflationniste que la France connait depuis plusieurs mois, et en raison d’une sensibilité accrue des consommateurs à l’impact écologique de leur consommation, les offres dites de seconde main ou d’occasion se multiplient tant entre particuliers que via des professionnels. 📅 Dans le cadre de la Semaine européenne du développement durable, nous vous donnons rendez-vous vendredi 4 octobre 2024 à 10h pour suivre notre matinale sur «le marché de la seconde main : quelles opportunités pour les consommateurs et les professionnels ?». Ce marché n’est certes pas nouveau : les ressourceries, les magasins solidaires ou les pratiques informelles entre particuliers existent depuis longtemps, mais il se trouve renouvelé par l’arrivée des plateformes numériques dédiées et par l’intérêt grandissant des acteurs traditionnels du commerce qui proposent des offres de seconde main. Le potentiel économique de ce marché semble important, mais les contraintes qui pèsent sur son développement le sont aussi. 🎤 L’événement sera animé par Muriel Bourgeois responsable éditoriale à la DGCCRF et coordonné par Sabine Desvaux, Professeure à la Faculté de droit, d’économie et de gestion de l’Université d’Angers et Ambroise PASCAL, délégué à la transition écologique à la DGCCRF. Pour en savoir plus 👉 https://bit.ly/4gG6xv8 Sabine Desvaux Ambroise PASCAL Alice Chonik @Rémy Park Diane Blanchard @Jean-Yves Mano Camille Rognant Sébastien Muller Caroline Penn Jousselin Olivier Gosset Charlotte KENJE Amandine de Souza Clément Reix
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Cibler ses clients, prospecter, réussir ses entretiens de vente, vendre à un groupe de décideurs, négocier, fidéliser… Dans la Boîte à outils du commercial, vous trouverez toutes les clés pour préparer et réussir vos actions commerciales. Dans cette quatrième édition (DUNOD), avec mon co-auteur Stéphane Mercier (HUMAN AURA 17), nous avons souhaité mettre l’accent sur les enjeux de la RSE dans la vente. Par conviction personnelle, d’abord : nous souhaitons contribuer, dans la mesure de nos moyens, à laisser à nos enfants une planète plus verte qu’elle ne l’est aujourd’hui. Et aussi parce que cette préoccupation va devenir (le plus rapidement possible, nous l’espérons !) un incontournable de la vente : 👨💼👩💼 En B to B, les acheteurs sont désormais obligés, depuis la mise à jour du décret BEGES en janvier 2023, de tenir compte de l’impact écologique de l’activité de leur entreprise, en amont (choix des fournisseurs) et en aval (de l’utilisation à la destruction des produits). 👨👩👧👦 En B to C, les consommateurs ont envie de faire bouger les lignes. Selon le baromètre publié en septembre 2022 par Greenflex-ADEME, 76 % d’entre eux se mobilisent en faveur d’une consommation plus responsable : pour 60% d’entre eux, il s’agit de réduire leur consommation et ne plus consommer de produits ou services superflus. 34% souhaitent consommer autrement (des produits écolabellisés, certifiés éthiques, moins polluants, etc.). 💣 Cependant, 84% des consommateurs ne croient pas les marques qui communiquent sur leur engagement pour la planète : 31 % les soupçonnent d’utiliser ces arguments pour vendre plus, 53 % affirment simplement avoir besoin de preuves tangibles. La fonction commerciale a donc de beaux jours devant elle : explorer les besoins du client, lui conseiller des achats adaptés et responsables, lui apporter les preuves de l’engagement RSE de son entreprise. 🌎 Une démarche de vente éthique au service du client et de la planète. Nous remercions chaleureusement GAELLE MENIN, responsable de l'expertise Performance Commerciale chez Cegos France, d'avoir alimenté notre réflexion sur ce sujet crucial. Et vous ? Que pensez-vous de la vente responsable ? GAELLE MENIN, sara tucker, Sarah HADDAD, Stéphane BEAU #vente #techniquesdevente #negociationcommerciale #livre #venteresponsable #RSE
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😨 Mon dieu mais c’est quoi cette pub de BIC ? Achetez moins ? Est-ce que c’est un appel à la décroissance, mais où va-t-on ? Bic indique que ce stylo écrit « jusqu’à 2 fois plus qu’un stylo à bille similaire ! » « 3 km d’écriture en moyenne ». Donc si plus de parents achètent ce type de stylo, ils vont finir par en acheter 2 fois moins ? Si les stylos concurrents qu’ils achetaient avant étaient fabriqués en France, alors c’est mauvais pour le PIB de la France ! Et oui cela fera 2 fois moins de production de stylos en France, 2 fois mois d’achats de stylos en France, c’est catastrophique en termes de PIB et de croissance… ! Devons nous accepter ce principe de décroissance ? La logique économique actuelle serait plus favorable a ce que plus de stylos soient produits, achetés (et jetés). Voici des idées assez simples à mettre en œuvre : 👉 Diminuer la quantité d’encre par stylo (un stylo pour écrire 1 km par exemple, mais avec un prix de vente au même tarif) 💵 👉 Créer des nouvelles couleurs (au lieu d’acheter uniquement les stylos bleu noir, rouge et vert, il faut pour être à la page acheter aussi les stylos orange, magenta, jaune citron , etc..) 🌈 Avec ces 2 leviers de conception les parents d’élèves achèteront en France plus de stylos. Plus de stylos seront fabriqués en France, ce qui participera à l’augmentation du PIB de la France, la création de richesses monétaires pour investir, payer les retraites, payer la dette française, etc… Et vous, vous en pensez quoi de cette pub ? Est-ce bien sérieux de prôner la décroissance ?
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🤔 "Boom du seconde main, arrivée des services de réparation dans les grandes enseignes…avec l’arrivée de nouvelles offres et une meilleure prise de conscience écologique, l’heure de la consommation responsable est-elle arrivée ?" 📉 "« Produire autrement ne suffit plus, il faut consommer moins ». C’est ce que déclarent 73% des consommateurs français" 🔄 "Mieux : 65% déclarent changer de magasin pour se tourner vers des options plus engagées comme les producteurs locaux ou les magasins bio mais aussi la seconde main et l’occasion." 📈 "Et pour 80%, toutes les entreprises doivent opérer la bascule de la sobriété en « changeant de modèle pour ne pas chercher la croissance économique à tout prix ». " 👍 "les consommateurs sont de plus en plus conscients que la sobriété est nécessaire tant pour les entreprises que pour eux-mêmes. Ils sont prêts à la consommation responsable »" 😳 "Ca, c’est en théorie ou du moins c’est ce que les consommateurs expliquent vouloir faire quand ils sont interrogés pour des sondages. Car dans la pratique, c’est un peu plus compliqué" 😵💫 "C’est ce que l’on appelle le paradoxe du consommateur responsable." 😮💨 "l’un des freins majeurs est le manque d’offre : « si le produit n’est pas en rayon, il n’achète pas ». " 🤑 "la « perception du prix joue aussi un rôle important, y compris pour les personnes à plus haut revenus »," 🔎 "Autre facteur qui peut peser sur la consommation responsable: le doute sur la « crédibilité des annonces »," 👍👎 "Côté face : les consommateurs se méfient des offres « plus vertes que vertes » proposées et mises en avant par les entreprises. Côté pile, ils vont privilégier les marques et entreprises dans lesquelles ils ont confiance…et se détourner des autres. " 😉 « Le consommateur est aujourd’hui bombardé d’offres mais il est aussi très averti et plus exigeant…voire même militant » 🔃 "Et de fait, cette polarisation risque d’entraîner les entreprises dans la même voie avec des engagées qui travaillent de plus en plus sur leur décarbonation et/ou la production de valeur sociale et d’autres qui misent sur le low cost & low quality." 👌 « Les consommateurs ont du mal à rester optimistes sur l’évolution de la société. Mais la bonne nouvelle, c’est que plus les consommateurs sont mobilisés, plus ils sont engagés et font des choses et plus ils croient dans le changement. Donc si les entreprises arrivent à engager les consommateurs, c’est un cercle vertueux qui est lancé » #RSE #PME #durable
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A lire pour comprendre la sociologie française !
La France vue et vécue depuis les caisses, les rayons et les comptoirs des hyper et supermarchés SYSTEME U : dans une enquête réalisée pour Le 1 hebdo, George(s). met en lumière "une France qui compte - parfois à quelques centimes près - et a l'impression de ne compter pour personne, d'être comme ballottée au gré d'événements qu'elle subit sans toujours en comprendre l'origine". C'est un plaisir d'avoir pu participer à ce numéro spécial à travers un long entretien avec Patrice Trapier. La France vue du supermarché est le parfait miroir de la France des classes figées. Les 9 Français sur 10 qui font leurs courses régulièrement dans les grandes surfaces rencontrent au quotidien des problématiques communes d’empêchement concernant la consommation, les déplacements, le logement, la relation au travail. Leur capacité à réagir face aux crises, aux risques et aux incertitudes s’est fortement dégradée. L’horizon des classes figées se rétrécit : « Le monde s’étrique », comme l’a écrit Boris Vian dans L’Écume des jours. Merci à George(s). pour leur confiance. Dominique Levy Edouard Lecerf Dominique Schelcher COMPASS LABEL Elsa Guippe Jean-Christophe MENARD https://lnkd.in/ezKdzdEb
Dominique Levy sur LinkedIn : En première ligne | 29 commentaires
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Demain c’est vendredi...et plutôt que de voir la vie en « black », que diriez vous d’un B I S O U ? BISOU, c’est l'acronyme pour économiser vos € et les ressources de la planète. BISOU, ce sont les questions à se poser avant d’acheter (pour soi ou pour son entreprise) : B - A-t-on réellement BESOIN de faire cet achat ou est-ce uniquement pour faire comme les voisins ou les concurrents … ? I - A-t-on besoin de faire cet achat IMMEDIATEMENT ? S - N’aurions nous pas déjà quelque chose de SEMBLABLE qui pourrait répondre au besoin ou cette envie ? O - Quelle est l’ORIGINE de ce produit / service, respecte-t-il mes valeurs ou mes engagements en terme d’origine ? U - Cet objet / ce service va-t-il être concrètement UTILE ou peut-on trouver une autre solution ? (Renoncer, louer, partager, …) Et pour celles et ceux qui aiment savoir pourquoi le BISOU est un bon remède je vous invite à la lecture de cet article publié par The Conversation France qui parle de l’impact des retours de colis chez Amazon. "Le processus de retour, avec le transport et l’emballage, a également généré en 2022 environ 24 millions de tonnes d’émissions de dioxyde de carbone réchauffant plus encore l’atmosphère." #tousensemlble #tousresponsables https://lnkd.in/e6h-_yWy
La face cachée des retours produit d’Amazon
theconversation.com
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📣 Re-cultivons notre confiance mutuelle ! Dans la relation commerciale, la confiance n'est pas un luxe, c'est une nécessité. Dans le monde du retail vélo, le terme "partenariat" semble avoir perdu de sa sincérité. C’était un symbole de collaboration et de confiance mutuelle. C’est devenu pour beaucoup synonyme de calcul stratégique où chaque partie cherche à maximiser son gain. La crise est passée par là, sanitaire et économique, implantant durablement les germes de la méfiance et de l’attentisme. La faute à un emballement incontrôlé (et incontrôlable ?) du marché du cycle, de la production, de la livraison. Surchargé de stock jusqu’à la nausée, de nombreux points de ventes de vélos ont perdu l’appétit de leur commerce et par la même occasion leur confiance en ce marché et ses acteurs. Cette évolution à parfois entraîné une dégradation de la relation entre les vélocistes et les commerciaux (en tant que représentant de marques), transformant ce qui devrait être un partenariat équilibré en un simple jeu de pouvoir. Des tensions se sont installées, les négociations sont devenues bien plus âpres et une certaine amertume à parfois fait son apparition. 🥇 Il y a pourtant tant à gagner pour tous à opérer une reconnexion et à rétablir une relation commerciale saine, fondée sur la confiance et le respect mutuel. ❗ Ce n'est pas une vision naïve, mais une approche pragmatique. Et si nous replacions la confiance au cœur de nos interactions ? Ne gagnerions nous-pas un temps précieux sur un marché ou la réactivité est devenue vitale ? Le fameux concept du "win-win" n'est pas une utopie, mais une réalité que nous devons tous viser. C'est un aspect simple, mais fondamental qui permet d’établir des relations commerciales durables et efficaces. ✅ Cultivons la confiance pour des partenariats durables et gagnants-gagnants. ------------------------------------------------------------------------------- 🚀 Avec B2B Bike, je sélectionne et commercialise des vélos Européens auprès des professionnels du cycle. Chaque semaine je vous propose ma vision, à hauteur d’homme (ou de femme), du marché du vélo (avec ou sans roulettes 😀).
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Comment conjuguer consommation avec considération écologique ? C'est l'exercice auquel s'est prêté Enrique Martinez - CEO de Fnac Darty dans un livre plein de bon sens et d'optimisme pour réconcilier ces deux volontés qui paraissent contradictoires et qui pourtant sont tout à fait possibles. Un ouvrage utile à lire 👏 PS : Je ne pensais pas retrouver une mention à la DSP2 dans le livre. Comme quoi, le paiement est vraiment partout 😉 #livre #consommation #RSE #achat #commerce #transition #responsable #responsabilité #economiecirculaire #secondemain #réparation #industriels #magasins #ecommerce #paiement
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