Post de Nadjati SOIDIKI

🌍 L'Afrique : un continent en pleine transformation ! 🌍 L'Afrique, souvent perçue à travers le prisme des défis, connaît une véritable dynamique de progrès. Cet article du #Devoir explore les avancées économiques, sociales et technologiques qui redéfinissent l'avenir du #continent. Découvrez comment l'#Afrique, avec sa jeunesse dynamique et ses innovations, se positionne comme un acteur clé du développement #global.

À l’aube de 2050, où elle est destinée à devenir le #géantdémographique du monde, l’#Afrique se dessine comme un #pivotstratégique dans le paysage #mondial des #investissements. Une récente #enquête intitulée « #Afrique2050 », menée par l’Institut Choiseul, a sondé près de 300 #dirigeantsafricains et révèle des #perspectives nuancées sur les #partenariatséconomiques d’un continent qui #favorise les #investissementsdirectsétrangers (#IDE) internationaux (62%). L’#Europe dispose d’une #imagefavorable * En 2022, l’#afflux d’#IDE en Afrique a subi un net #ralentissement, captant 45 milliards de dollars, * contre 80 milliards l’année précédente. Cette #diminution traduit les #ajustements du #marchéinternational dans le contexte d’une #reprise #postpandémique. Dans cette #atmosphère d’#incertitudeéconomique, l’#Europe a #maintenu, et continue de maintenir, sa #position d’#investisseur de #premierplan en Afrique. L’enquête révèle que 53% des #dirigeantsafricains placent l’#UnionEuropéenne au sommet de leurs #choix comme #partenairecommercial de #prédilection pour les futures décennies. L’intérêt se porte notamment sur des #acteursclés tels que * l’#Allemagne (pour 69% des répondants) et * la #France (61%), qui se distinguent comme les #partenairescommerciaux de #prédilection.  Cette préférence est particulièrement prononcée parmi les #paysfrancophones, bien que la bataille pour l’influence économique se durcisse, opposant l’Europe à des #puissances comme  * la #Chine (16%) et * les #ÉtatsUnis (11%). L’influence #chinoise #recalibrée Le programme « #GlobalGateway » de l’UE, envisagé comme un #contrepoids au #projet chinois des « #Nouvellesroutesdelasoie », reçoit un accueil positif, avec plus de la moitié des répondants le percevant comme une #initiative « #prometteuse ». Ce plan, qui prévoit d’#injecter 150 milliards d’euros en Afrique, vise à renforcer les #infrastructures essentielles. Voila pourquoi je suis content d’établir des fondements et des diagnostics, afin de contribuer à l'identification et à la formulation de la partie Afrique centrale de l'initiative "Mesures de facilitation du commerce et du transport sur les corridors" le long des axes stratégiques "Libreville-Douala/Kribi-N’Djamena" et "Douala/Kribi-Kampala". ll s’agit donc de l’identification et de la formulation les actions soft sur les corridors stratégiques ciblés, ce qui commence la semaine prochaîne... Ce projet est financé par l'Union Europeenne European Commission

Hier, j'ai eu une discussion intéressante avec un Sénégalais sur la situation actuelle de l'Afrique. Ces échanges, de plus en plus nombreux, me confortent dans l'idée que l'Afrique est à l'aube d'un essor économique comparable à celui de la Chine il y a quelques décennies. Et je ne suis pas le seul à le penser : il suffit de regarder l'énergie présente sur le terrain. Là où l'Europe peine parfois à se réinventer, l'Afrique avance, forte de sa jeunesse. Cette vitalité démographique est un défi, mais c'est aussi l'un des plus grands atouts du continent : une jeunesse ambitieuse, intelligente, bien formée, qui veut et peut construire, innover et transformer. Pour moi, cette réalité représente une opportunité à saisir. Le potentiel de collaboration est immense. Concrètement, cela signifie créer des passerelles entre l'innovation numérique, la tradition entrepreneuriale et les besoins locaux pour bâtir ensemble un futur gagnant-gagnant. En Europe, les défis économiques et sociaux s'intensifient, et le poids des générations précédentes crée une pression croissante sur les jeunes actifs. Mais l'Afrique, avec son dynamisme et sa richesse culturelle, possède un potentiel immense. Et nous voulons être là, non comme de simples observateurs, mais comme des acteurs engagés dans ce renouveau. C'est pourquoi j'ai du mal à comprendre les processus migratoires actuels. Des jeunes quittent un continent prometteur pour un continent en fin de cycle, où les défis économiques et sociaux s'accumulent. Notre présence va s'accentuer par une augmentation des effectifs et une collaboration toujours plus forte avec des acteurs locaux. Nous croyons fermement au potentiel de ce continent et souhaitons contribuer, de manière active et constructive, à son développement.

L’Afrique n’est plus un continent d’avenir mais définitivement un ensemble d’opportunités du présent.  Plusieurs analyses présentent l’Afrique à tort comme un continent relativement homogène. Depuis 2022, nous observons une croissance africaine de plus de 3% globalement soutenue malgré un ralentissement de l’économie mondiale. Nous présentons l’Afrique et ses opportunités économiques sous un prisme qui se veut optimiste mais rigoureux. Notre expertise nous amène à présenter l’Afrique avec ses particularités hétérogènes. L’Afrique se compose de 54 pays sur une superficie continentale de plus de 30 millions de km². Au-delà de l’immense mosaïque culturelle et sociale, de Dakar au Sénégal à Addis-Abeba en Éthiopie et de Tunis en Tunisie à Pretoria en Afrique du Sud, nous attirons l’attention sur les atouts économiques singuliers de plusieurs pays africains en matière de transformation industrielle. L’approche continentale globalisante dilue et ostracise la perception sur l’ensemble des pays africains. En Afrique subsaharienne, les perspectives économiques pour des pays comme le Sénégal, la Côte d’Ivoire, le Ghana, le Nigéria, le Cameroun, le Gabon, la République démocratique du Congo, l’Angola, le Kenya, l’Éthiopie, la Tanzanie et le Botswana pour ne citer que ceux-là sont dignes d’intérêt. Ces pays appellent des investissements industriels et structurels multisectoriels à forte rentabilité. Les données auxquelles nous avons accès précisent des taux de rentabilité annuels dans la transformation industrielle supérieurs à 15% et pour certaines niches spécifiques allant au-delà de 20%. La Chine investit massivement et se positionne fortement pour profiter de ce contexte favorable dans ces pays africains, tandis que les pays de l'OCDE semblent restreindre leurs investissements en Afrique. Est-ce le ralentissement économique structurel de l’Europe depuis quelques années qui explique cette tendance ? Notre contribution perfectible a pour but de susciter, débat et échanges constructifs. Antoine MAHAILET

Réinventer l'Afrique pour une nouvelle ère de prospérité. Prenons un moment pour réfléchir à notre continent, à ses défis et à ses opportunités. L'Afrique est riche en ressources, en talents et en cultures, mais nous devons encore surmonter de nombreux obstacles pour atteindre notre plein potentiel. Comment pouvons-nous réinventer l'Afrique pour la faire prospérer dans l'univers ? Voici quelques questions à nous poser : - Comment pouvons-nous exploiter nos ressources naturelles de manière durable et équitable ? - Comment pouvons-nous développer nos infrastructures pour faciliter le commerce et l'innovation ? - Comment pouvons-nous renforcer nos systèmes éducatifs pour former les leaders de demain ? - Comment pouvons-nous promouvoir la paix et la stabilité pour attirer les investissements et les talents ? La réponse à ces questions nécessite une réflexion profonde et une action collective. Nous devons nous unir pour relever les défis de notre continent et créer un avenir meilleur pour nous-mêmes et pour les générations à venir. Partagez vos idées et vos réflexions dans les commentaires ci-dessous. Ensemble, nous pouvons faire la différence et réinventer l'Afrique pour une nouvelle ère de prospérité. #RéinventerLafrique #Prospérité #Développement #Innovation #Éducation #Paix #Stabilité

900 emplois créés en France grâce à l’Afrique : comment ce marché redéfinit les relations bilatérales ? Le forum Ambition Africa, qui a débuté aujourd'hui à Bercy, rassemble une mosaïque d’acteurs économiques venus de France et d’Afrique. Avec plus de 1 800 participants confirmés, cet événement dépasse le cadre d’une simple rencontre : il se positionne comme un levier stratégique pour rapprocher deux continents autour d’intérêts communs. L’enjeu principal reste de mettre en lumière les opportunités et de renforcer des partenariats économiques durables. https://lnkd.in/eMS_C7Dt

900 emplois créés en France grâce à l’Afrique : comment ce marché redéfinit les relations bilatérales ? Le forum Ambition Africa, qui a débuté aujourd'hui à Bercy, rassemble une mosaïque d’acteurs économiques venus de France et d’Afrique. Avec plus de 1 800 participants confirmés, cet événement dépasse le cadre d’une simple rencontre : il se positionne comme un levier stratégique pour rapprocher deux continents autour d’intérêts communs. L’enjeu principal reste de mettre en lumière les opportunités et de renforcer des partenariats économiques durables. https://lnkd.in/e33EvR3d

Choiseul Africa "ENQUÊTE AFRIQUE 2050 En partenariat avec L’Afrique de demain vue par celles et ceux qui la feront" - "En 2050, plus de la moitié de la population africaine aura moins de 25 ans. Le continent aura passé la barre des deux milliards d’habitants. De fait, l’Afrique se trouve dès aujourd’hui au carrefour des défis mondiaux en cours et à venir. Pourtant, peu d’études font l’état des projections des africains sur ces nouveaux enjeux. Comment les dirigeants voient-ils l’Afrique à horizon 2050 ? Quelles sont leurs ambitions pour le continent ? Quel regard portent-ils sur les dynamiques économiques, le numérique, la transition énergétique, les relations commerciales avec le reste du monde ? Depuis plus de dix ans, Choiseul est engagé en Afrique pour valoriser le parcours de ces décideurs économiques et favoriser entre eux les opportunités d’échanges et de partenariats. Nous fédérons aujourd’hui une communauté de plus de 700 dirigeants représentant 51 pays sur les 54 que compte le continent, et œuvrant dans une multitude de secteurs. Fort de ce réseau panafricain unique, sans équivalent, tourné prioritairement vers la jeune génération, nous avons souhaité donner la parole à celles et ceux qui font et feront l’Afrique de demain. Nous avons ainsi interrogé près de 300 dirigeants économiques de premier plan issus de l’écosystème Choiseul Africa pour essayer de comprendre leur vision et leurs projections pour le continent. Ces personnalités représentatives anglophones, arabophones, francophones et lusophones, ont exprimé les idées et initiatives qui parcourent actuellement l’Afrique. Les résultats inédits que nous révélons aujourd’hui offrent des éléments de compréhension éclairants pour quiconque s’intéresse aux dynamiques africaines, à la relation qui unit l’Afrique et l’Europe, et au reste du monde de façon plus large. Cette étude unique va souvent à rebours de nos idées reçues. Vous y découvrirez que ces élites souhaitent, dans leur grande majorité, que l’Union européenne redevienne le premier partenaire commercial de l’Afrique en 2050, bien plus que la Russie ou la Chine, même si des variations existent en fonction des géographies interrogées. Que l’Africanité, ce sentiment mutuel d’appartenance à une communauté qui va au-delà des frontières des différents États africains, est une valeur croissante et partagée avec optimisme par les dirigeants économiques du continent, alors que 97 % des répondants appellent de leurs vœux la création d’un véritable marché continental. Ou encore que la présence de la France en Afrique est perçue de manière favorable par une large majorité des dirigeants interrogés. C’est à un véritable parcours dans la vision qu’ont les dirigeants africains de l’avenir de leur continent que nous vous convions à travers cette enquête sans équivalent." Pascal Lorot Institut Choiseul https://lnkd.in/erUXQwsw

Vision réductrice de la #mobilité internationale des africains ! Il nous faut déconstruire l'idée selon laquelle la mobilité des Africains serait une forme de fuite ou de perte pour le continent. En réalité, la liberté de circuler et d’échanger est une force motrice pour l’innovation et le développement, et non un affaiblissement. Elle permet de créer des ponts, d’acquérir des compétences, et de bâtir des collaborations internationales qui profitent directement à l'#Afrique et au monde. Le véritable piège serait de penser que le développement africain doit uniquement se jouer à l'intérieur de nos frontières. Le monde entier prospère grâce aux échanges, et se limiter à un cadre strictement national ou sous régional, nous réduirait à de simples consommateurs sur les marchés mondiaux, freinant ainsi notre potentiel d'innovation. Des nations comme l'Inde ou la Chine ont su tirer parti de leur #diaspora (je déteste ce mot en réalité) pour accélérer leur essor, tout en devenant des acteurs pleinement bénéfiques pour les nations d'accueil. Pourquoi pas nous ? L'innovation, c’est aussi la capacité de nouer des relations autant avec le Canada, les États-Unis, la France qu'avec le Ghana, le Kenya...ou encore la Pologne si ça nous chante. Ces échanges doivent être libres pour les citoyens, afin de permettre de créer des synergies autour de visions partagées et de ressources complémentaires... c'est absolument nécessaire pour renforcer la compétitivité de l’Afrique sur la scène internationale, dans tous les domaines. C'est pourquoi nous devons dénoncer les discours qui marginalisent la mobilité africaine. Encourager nos citoyens à explorer, à apprendre, à innover au-delà des frontières, c’est renforcer la capacité de notre continent à jouer un rôle de premier plan dans l'économie mondiale. Nos gouvernants doivent soutenir cette vision en adoptant des politiques inclusives et en développant une #diplomatie forte pour garantir que nos droits à la mobilité soient respectés partout dans le monde... à défaut, essayer !!!! ------------- #LibreCirculation #DroitsHumains

“J’entends souvent dire que l’Afrique est un continent de conflits et d’instabilité économique, mais la réalité est bien différente.” 💬 Les investisseurs hésitent souvent à s’engager en Afrique en raison de perceptions erronées et de préjugés. Voici quelques-uns des préjugés les plus courants et les réalités positives qui les contredisent, basées sur des faits récents et des chiffres clés de 2023 et 2024. ❌ L’Afrique est économiquement instable 📉 ✅ En 2023, la croissance économique en Afrique subsaharienne a atteint 3,8 % et est prévue à 4,0 % pour 2024. Des pays comme le Rwanda 🇷🇼 (10,1 %), l’Éthiopie 🇪🇹 (7,4 %) et le Sénégal 🇸🇳 affichent des taux de croissance parmi les plus élevés au monde. En comparaison, des économies occidentales comme les États-Unis 🇺🇸 (2,1 %) et la France 🇫🇷 (1,3 %) sont bien en deçà. ❌ Les infrastructures sont insuffisantes 🌐 ✅ De nombreux pays africains investissent massivement dans leurs infrastructures : • Kenya 🇰🇪 : Le projet de chemin de fer Mombasa-Nairobi a révolutionné le transport. • Nigeria 🇳🇬 : Des projets énergétiques majeurs comme des parcs solaires. PIB de 432 milliards de dollars. • Afrique du Sud 🇿🇦 : Développement de villes intelligentes et expansion des infrastructures numériques. PIB de 329 milliards de dollars. ❌ L’Afrique manque de ressources humaines qualifiées 💡 ✅ L’Afrique est un continent de jeunes talents dynamiques : • Nigeria 🇳🇬 : Hubs technologiques à Lagos. • Kenya 🇰🇪 : Nairobi, plaque tournante des innovations en fintech. • Afrique du Sud 🇿🇦 : Cape Town, écosystème de startups technologiques. En 2023, plus de 1 milliard de dollars d’investissements ❌Les risques politiques et climatiques sont trop élevés 🌍 ✅ De nombreux pays mettent en place des réformes pour améliorer la stabilité politique et économique : • Rwanda 🇷🇼 : Bonne gouvernance et faible corruption. • Ghana 🇬🇭 : Stable politiquement avec des élections régulières. • Botswana 🇧🇼 : Stabilité politique et bonne gestion des ressources. • Sénégal 🇸🇳 : Modèle de démocratie stable en Afrique de l’Ouest. • Comores 🇰🇲 : Pays politiquement stable et en paix. L’Afrique offre un potentiel immense pour les investisseurs avec des perspectives économiques positives, des réformes structurelles et un engagement vers un développement durable. • En 2023, la croissance économique en Afrique subsaharienne a atteint 3,8 % et est prévue à 4,0 % pour 2024, contre une croissance de seulement 1,6 % en moyenne en Europe • Plus de 60 % de la population africaine a moins de 25 ans. • Ressources naturelles abondantes. • Hubs technologiques comme Nairobi 🇰🇪, Lagos 🇳🇬 et Cape Town 🇿🇦. Ne vous fiez pas aux désinformations de masse et aux préjugés des médias. Cherchez à mieux vous informer, faites des due diligences et encouragez vos confrères à démystifier ces idées reçues et à changer ce discours. 🌟