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Envol Immersif : L'Épopée Écologique du Démoussage de Toiture par Drone 🌿🚁 Suite à ma dernière publication, plusieurs personnes ont manifesté un vif intérêt en me contactant pour en savoir plus. C'est pourquoi, aujourd'hui je vous propose d'embarquer avec moi dans une expérience immersive au cœur du démoussage de toiture par drone. 🌐🚀 Au-delà de la vue offerte par la caméra embarquée, cette vidéo révèle les coulisses de ce type de prestation. Tandis que le drone s'élève avec agilité, les produits biodégradables à 95% sont appliqués avec précision, garantissant une action en douceur, préservant l'écosystème et accélérant le processus de nettoyage. 🌍💧 À cet instant précis, vous imaginez-vous mon drone évoluant au-dessus de votre bien immobilier ? À quand remonte votre dernier démoussage de toiture ? Si l'éventualité d'une intervention humaine implique des risques, seriez-vous prêt à opter pour une solution par drone ? Je serai ravi de partager cette aventure avec vous ! 🏡🤝💚 Si vous souhaitez en savoir plus ou planifier une prestation, contactez-moi et discutons-en dès aujourd'hui. Entrez vous aussi dans la préservation environnementale à travers la technologie. 🌿🤖 #DémoussageParDrone #NettoyageÉcologique #DroneEnAction #SolutionsDurables #ToiturePropre

Très beau… et en + intéressant. Un chercheur hongrois a mis au point un modèle mathématique qui reflète avec précision l'atterrissage collectif des volées d'étourneaux sansonnets. Cette étude a eu lieu dans le cadre du projet STARFLAG. L’étude étudie le vol de groupes d'oiseaux comptant environ 200 étourneaux sansonnets. Afin de décrire numériquement le mouvement et l'atterrissage des oiseaux, elle a créée un modèle des interactions complexes se produisant chez les étourneaux durant l'atterrissage collectif (les quelques secondes séparant le vol horizontal de l'atterrissage). «Outre leur beauté aérienne, ces volées sont bien coordonnées, leurs changements de direction presque instantanés, font appel à des manoeuvres collectives sophistiquées pour éviter les prédateurs, et leur déploiement aérien ainsi que leur atterrissage collectif est étendu et surprenant. Toutes ces caractéristiques ont constitué des difficultés auxquelles il a fallu faire face en vue d'établir un modèle fondamental et phénoménologique», peut-on lire dans l'étude. La position des oiseaux, la direction qu'ils prennent, la vitesse, la densité, l'ordre et la forme du groupe sont tout autant de facteurs qu'il faut prendre en compte pour établir un modèle du mouvement de ces oiseaux. Les chercheurs ont avancé l'hypothèse de l'attraction sur de longues distances (pour créer le groupe) et de la répulsion sur de courtes distances (pour éviter les collisions). Les modèles existants, qu'ils soient bidimensionnels ou tridimensionnels, se sont surtout intéressés aux mouvements de la volée en réponse à la présence d'un prédateur, mais sans tenir compte des aspects liés au paysage environnant. Le modèle du Dr Daruka a été étoffé d'observations sur le terrain expliquant le processus délicat de l'atterrissage collectif de ces oiseaux, en tenant compte des caractéristiques de l'environnement. Son étude est la première à présenter un modèle quantitatif et une description de l'atterrissage collectif de ces volées. «Ce phénomène de groupe, extrêmement riche et diversifié, et présente un terrain fertile pour davantage de modèles physiques et de descriptions biologiques», explique-t-il. Le projet STARFLAG, financé par l'UE à hauteur d'un million d'euros, a cherché à créer des modèles mathématiques tridimensionnels décrivant les modèles de mouvement de groupes adoptés par les animaux, en privilégiant ceux des volées d'étourneaux sansonnets. L'objectif visé était de comprendre le mouvement collectif des volées d'étourneaux par rapport au comportement individuel de ces oiseaux. Réaliser l'importance biologique de cette relation pourrait apporter de nouvelles informations sur le comportement en groupe des hommes. Les modèles mathématiques développés par le projet pourront être appliqués à l'étude des choix économiques collectifs des êtres humains…. 😉 https://lnkd.in/eeZyaQGs

Quand des étudiants de la Haute école des arts du Rhin ajoutent un défi à une prestation drone... 😮 Ah, les joies de la photogrammétrie* verticale ! Qui aurait pensé que faire voler un drone autour d'un bâtiment ancien pourrait être aussi intense ? Avec des élèves profitant des températures printanières et des zones de vol plus étroites qu'une ruelle médiévale, une mission dans le quartier des universités à Strasbourg devient une véritable aventure ! 🏰✈️ Imaginez-vous en train de piloter un drone avec : - un œil sur l'appareil évoluant à 50 cm d'une façade, - un 2e œil sur le retour vidéo, - un autre œil sur l'environnement de la zone de vol pour être sûre qu'aucun tiers ne passe les limites de la zone (en réalité des yeux supplémentaires m'accompagnaient, impératif en plein centre) ! 📷 - les deux oreilles aux aguets pour surveiller la zone au sol mais aussi dans les airs ! Mais soyons honnêtes, c'est ce qui rend chaque journée sur le terrain si palpitante, n'est-ce pas ? 😉 Heureusement que la zone près de chaque façade a été vérifiée et revérifiée avant les vols puisqu'il a fallu débusquer des étudiants malicieux cachés dans un recoin pour être tranquilles ! Pas de chance, j'ai les yeux partout ! 🎓😂 Et pas de programmation des vols ! 🤯 On pourrait penser qu'un simple clic sur un bouton suffirait, mais non ! Pour les photogrammétries verticales, ce sont uniquement des manœuvres manuelles pour capturer chaque photo avec précision. 💪🚁 Et des photos il y en a eues ! Plus de 2500 photos de la toiture et de 3 des façades ont été nécessaires pour obtenir la précision minimale de 5 mm/pixel demandée par le client. Oui, vous avez bien lu, 2500 ! 📸💡 Alors, la prochaine fois que vous verrez un drone voler autour d'un bâtiment, rappelez-vous que derrière chaque vol opéré par un professionnel, il y a tout un travail préparatoire et de la rigueur. * Technique permettant de constituer une image en trois dimensions en assemblant des photographies.

L'expérientiel dans les années 30 : quand le frisson était roi 🎡 Ah, les années 30... Une époque où les parcs d'attractions étaient des terrains de jeu remplis d'émotions fortes et de sensations inoubliables. Jetez un œil à cette vidéo vintage du Coney Island Rides en action : le Loop-O-Planes, le Flying Scooter, le Boomerang, l'Octopus, et bien sûr, le célèbre Lindy Loop. 😱 C'était une époque où la sécurité était un concept un peu flou. Mais où l'adrénaline était garantie à chaque virage. Qui a besoin de harnais de sécurité quand on peut voler librement dans les airs ou tournoyer à une vitesse folle, n'est-ce pas ? 😂 Mais au-delà de l'amusement pur et simple, cette immersion dans le passé nous rappelle quelque chose d'essentiel : la quête intemporelle d'émotion chez les humains. Nous cherchons toujours à ressentir quelque chose de nouveau et de palpitant. Et c'est là que la magie opère. Que ce soit dans les attractions sensationnelles des années 30 ou dans les expériences muséographique et retail d'aujourd'hui actuelles. Faire vivre des émotions, c'est l'essence même de ce que nous faisons. #Expérientiel #Vintage #ConeyIsland #Émotionnelle

🚀🌍✈️ Passionnés d'imagerie aérienne et de préservation de la beauté naturelle, chez Dronar, nous fusionnons notre amour pour l'aventure avec notre expertise technologique. Nos drones ne se contentent pas de capturer des images techniques depuis les airs, ils nous accompagnent aussi dans nos randonnées, témoins de la majesté fragile de notre environnement. 🌿🌊 La nature nous inspire, mais elle nous rappelle également sa vulnérabilité. Chaque cascade, chaque paysage est une œuvre d'art éphémère, façonnée par des forces qui dépassent notre compréhension. Chez Dronar, nous croyons en la responsabilité de préserver ces merveilles pour les générations futures. 💡🌱 Nous mettons notre technologie au service de cette mission. Chaque vol, chaque cliché est guidé par notre engagement envers la préservation de notre environnement. Notre expertise en inspection thermographique des panneaux solaires offre un avantage considérable. En détectant les anomalies précoces, nous contribuons à maintenir l'efficacité énergétique des installations, assurant ainsi une production durable et rentable tout en réduisant l'empreinte carbone. De plus, notre technologie s'étend à l'inspection des bâtiments, favorisant une meilleure gestion de l'énergie et une amélioration de l'isolation, réduisant ainsi les pertes d'énergie et contribuant à des environnements intérieurs plus durables. #Dronar #ImagerieAérienne #Environnement #Nature #Aventure #Drones

Imaginez une hélice de bateau conçue pour imiter les mouvements gracieux d'une baleine à bosse. C'est exactement ce que propose BlueNav avec sa dernière invention révolutionnaire. #hélice #Bateau #biomimétisme

🚀🎥 Cette semaine je vous propose une réalisation exclusivement aérienne. Les prises de vue ce sont étalées sur plusieurs semaines et sur plusieurs sites pour bénéficier de la meilleure lumière et proposer de la belle image 😍 Du site d'extraction à la production : le parcours des granulats ⬇ MAGGIONI PENNEQUIN Spécialiste en images aériennes depuis 2013 🚀🚀🚀 N'hésitez pas à faire appel à mes services.

Bienvenue dans l’ère des spectacles de drones écoresponsables !! ♻ Cet article explique que le milieu du spectacle fait face à un nouvel enjeu : l’écoresponsabilité. Une prise de conscience salutaire ! Matériaux de décor plus respectueux de l’environnement, recyclage plutôt que déchets… C’est l’un des grands atouts des spectacles de drones : évidemment, on ne les jette pas après utilisation ! 😋 Les shows n’émettent en outre aucune nuisance ni pollution et, chez Odonata, nous pensons nos spectacles dès la conception des drones pour que les impacts sur l’environnement soient les plus faibles possible. Les spectacles de drones sont des nouveaux venus écoresponsables dans le monde de l’événementiel ! 😎

💥 On a conçu une méthode pour analyser le risque de collision avec des animaux sur les infrastructures de transport, en s’appuyant sur l’IA. 📰 On vous explique tout ça dans un article à paraître très bientôt dans la revue Nature Conservation, écrit sous la houlette de Léa Pautrel, Sylvain Moulherat et Guillaume DEBAT, et dont voici les grandes lignes. 📷 L’objectif de cette démarche méthodologique est de pouvoir identifier les zones à plus forte probabilité de présence d’animaux (et donc de risque de collision) grâce à l’utilisation d’images de #capteurs photo analysées par apprentissage profond (deep learning). 🗺️ Pour y parvenir, il s’agit de cartographier l’abondance des #espèces, c’est-à-dire la densité d’animaux en différents lieux du territoire étudié. On utilise pour cela des modèles spécifiques, reconnus pour leur robustesse, qui permettent d’estimer l’abondance partout sur un territoire à partir de données collectées en certains points seulement de ce territoire (dans notre cas, grâce à un nombre limité de capteurs photo). 📍 La première question qui se pose est donc celle de la localisation des capteurs. Où faut-il les installer pour évaluer correctement le risque de collision à large échelle ? Etape 1️⃣ : on commence par évaluer à quel endroit les animaux sont les plus susceptibles de passer, en simulant leurs déplacements probables grâce à un logiciel de #modélisation écologique (au hasard, notre simulateur SimOïko 😇). Etapes 2️⃣ et 3️⃣ : on conçoit le scénario d’implantation optimal de manière itérative, en testant plusieurs options jusqu’à identifier la bonne. On commence donc par imaginer un premier plan de déploiement de capteurs photos. En s’appuyant sur la simulation réalisée à l’étape 1, on calcule combien de passages d’animaux seraient susceptible d’avoir lieu devant chaque capteur. ⚖️ Ces données sont ensuite injectées dans un modèle d’abondance, et l’on compare les résultats produits par ce modèle avec ceux obtenus lors de l’étape 1. Le scénario d’implantation est jugé pertinent si les résultats du modèle d’abondance sont proches de ceux obtenus par simulation en étape 1. Vous suivez ? On sait donc maintenant où il faut installer nos capteurs photo. On peut passer à la suite. Etape 4️⃣ : une fois les capteurs en fonctionnement, l’objectif est d’analyser la très grande quantité d’images qu’ils collectent. C’est là que l’#IA entre en jeu. On s’appuie sur des algorithmes de deep learning pour détecter les espèces photographiées (en utilisant par exemple notre logiciel en ligne Ocapi 💁). Etape 5️⃣ : les #données de terrain collectées par les capteurs et analysées par IA sont entrées dans un modèle d’abondance, qui va produire la carte finale. Vous avez encore du mal à y voir clair ? 👉 N’hésitez pas à lire la version preprint de l’article (avant corrections mineures) ici : https://lnkd.in/d6T7id8e. 💬 Et vous pouvez aussi nous écrire en commentaire pour en savoir plus !

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