Post de Olivier Dauvers

[ 📢 Actualité / Consommation] : Le 13 mars, sous les « ors » de Bercy, Olivia Gregoire, Ministre de la #Consommation, lançait la démarche #OrigineInfo. Une démarche que les marques comme les enseignes sont appelées à rejoindre volontairement (la « coercition » sur le sujet n’est pas Bruxelles-compatible). Depuis, l’enthousiasme du premier jour (toutes les parties prenantes avaient donné un accord de principe) s’est émoussé. L’enjeu est pourtant majeur. Le constat est connu… La #souveraineté alimentaire est moins affirmée qu’elle ne l’était, la Ferme France voit ses positions reculer, sur son marché intérieur, comme à l’export. Et une menace supplémentaire plane : le non-renouvellement des générations d’exploitants agricoles, faute d’attractivité (notamment financière) du métier. Le principal levier d’action l’est aussi (connu) : la compétitivité-coûts. Si la Ferme France perd des positions, c’est d’abord faute de compétitivité. La transparence sur l’origine des produits alimentaires est un chemin. A minima aider les consommateurs à aider les agriculteurs par leurs achats. Aujourd’hui, la revendication de l’origine des ingrédients n’est qu’intéressée : surjouée lorsque française, masquée (voire dévoyée) lorsque non-française. Voilà pourquoi la démarche initiée par Olivia Gregoire doit être soutenue. A ceux qui en doutent, la transparence a des vertus. En premier lieu, elle est en résonnance avec l’époque, bien au-delà du seul sujet alimentaire. La transparence est un vecteur majeur de confiance. Or pas de commerce sans confiance ! Seconde vertu : la transparence éclairera le choix des consommateurs. Objectif : que ceux qui le veulent / le peuvent intègrent cette information d’origine dans leur décision d’achat. Ce qui, par ricochet, influencera le sourcing des industriels. Au bénéfice (même partiel ou modeste) de la Ferme France. C’est tout l’enjeu de la démarche Origine-Info. Reste ensuite à imaginer l’incarnation de l’Origine-Info. D’où la proposition du Collectif En Vérité… Un outil simple, répartissant les matières premières agricoles composant le produit en trois sous-parties : France, UE et hors UE. Un outil intégrant aussi le lieu de fabrication car la valeur sociale d’un produit va au-delà des seuls ingrédients pour inclure évidemment l’usine et ses salariés. Voilà pourquoi la proposition du Collectif En Vérité est le bon outil pour une bonne démarche. Pour les #consommateurs (qui seront mieux éclairés). Pour les distributeurs (dont l’intérêt est la vente de produits les plus valorisés possibles). Pour les #industriels (dont les bonnes pratiques d’approvisionnement seront plus facilement repérables). Pour les #agriculteurs (qui seront plus aisément « aidés » par les consommateurs). Le rendez-vous est historique. Donc à ne pas manquer. #soutenezlaction Think Tank Agroalimentaire Les Eclaireurs #EGALIM #transparence #redonnerconfiance #alimentation

Désolant… C’est le sentiment que j’ai ressenti quand j’ai lu un courrier émanant d’un restaurant administratif à ses fournisseurs et producteurs partenaires. Ce courrier affirme que depuis la crise agricole de début d’année, la volonté politique est de travailler sur des approvisionnements très restrictifs. On pourrait s’en réjouir si cette proposition visait à soutenir les filières agricoles françaises. Malheureusement, l’objectif unique est de cocher une case, la case administrative #Egalim ! Même si aujourd’hui, les produits Bleu-Blanc-Coeur entrent dans Egalim et pourraient bénéficier de ce type d’opportunité, je suis persuadée qu’il faut élargir le scope et viser plutôt un 100% de produits de qualité (avec un mélange de produits bio, label rouge, Bleu-Blanc-Cœur, locaux, français…). Car, cette qualité administrative risque de nuire aux producteurs locaux : « chers partenaires, certains d’entre vous feront peut-être les frais de ces changements ». On standardise, on décide que la qualité de notre assiette n’est plus celle du produit mais dépendant d’une case à cocher dans un formulaire. Elle encourage aussi l’alimentation à 2 vitesses, la fracture sociale et nuit à toutes les démarches de qualité basées sur le bon sens; car heureusement la qualité est autant une affaire de cahiers des charges que de savoir-faire; celui de l’éleveur, de son empirisme, de son sens de l’observation et du bon sens paysan…   Quels choix s'offrent aux collectivités… - Approche de qualité #globale, construite sur un objectif de 100% de produits de qualité et rendue possible par un travail sur l'assortiment des produits (en travaillant le sourcing, les équilibres matières, les plans de menus, les partenariats avec les producteurs, le savoir-faire en cuisine…); - Approche #administrative : vous achetez plus cher 30 à 50% des produits haut de gamme, vous cochez Egalim (bravo) et vous faites l’ajustement sur le prix des 50% des produits restant (en faisant l’impasse sur vos exigences de qualité et en ouvrant bien évidemment la porte aux produits importés…) A force de raisonnement de la sorte, nos producteurs français auront de plus en plus comme seul point de mire la performance économique. Evidemment, ils ne seront pas compétitifs à ce jeu là face aux producteurs européens (ou mondiaux), et c’est donc la pérennité de leurs exploitations, la #souveraineté alimentaire de notre pays et évidement la qualité de nos assiettes qui seront menacés… !    Bien sûr, ce courrier est une position personnelle d’un responsable mais, sur un papier à en tête, elle pourrait se lire comme comme une position officielle. Même s’il n’en est rien, c’est une lecture, étriquée mais possible de la loi Egalim et c’est vraiment désolant. Contre l’alimentation à deux vitesses, pour la reconnaissance des efforts des producteurs engagés et pour une alimentation de qualité accessible à tous… le combat continue et nous sommes fiers d’en être un acteur incontournable.

La revue de presse du retail : Communication gouvernementale face au recul des produits bios - L'Humanité: Mais le recul de leur pouvoir d'achat les oriente vers les «premiers prix» dans les magasins de la grande distribution. ... surface agricole biologique ... ==> Abonnez vous à la revue de presse du retail #retail #distribution #commerce

#LeChiffre 🌍 Dans son décryptage, Ophélie Petiot décrit les freins au développement du marché des produits locaux, tant du point de vue des producteurs, que des consommateurs. Les résultats sont là : l'offre des produits locaux ne représente que 2,2% du chiffre d'affaires des produits de grande distribution en France. 🇫🇷 En effet, une majorité des consommateurs français se dit vouloir consommer davantage de produits locaux et serait même prête à payer ces produits plus cher. Malgré cette tendance, le prix reste le premier critère de sélection des consommateurs. Face à la concurrence faite par les produits importés qui sont moins soumis à des normes sanitaires et environnementales, les agriculteurs français ne peuvent pas s’aligner sur les prix du marché et ne parviennent pas à conquérir des parts de marché conséquentes. ⚠️ Par ailleurs, Ophélie Petiot se pose également la question des limites de ce marché, souvent désigné comme étant le plus éco-responsable. Elle explique notamment que consommer des produits de saison et diminuer la consommation de viande sont des leviers fondamentaux pour diminuer son impact environnemental, sans lien avec la provenance des produits. Pour en savoir plus, (re)lisez le Décryptage n°47 : "L’alimentation locale : atouts et limites" d’Ophélie Petiot. ➡️ https://lnkd.in/ewzUr-Kb

Éthique responsable ou posture marketing et "démagogique" ? Deux géants de la grande distribution ont récemment pris des positions fortes, présentées comme éthiques et responsables : - Intermarché, qui renonce à vendre fraises et cerises hors saison pour réduire l’empreinte carbone et soutenir les producteurs locaux. - Carrefour, qui refuse de vendre de la viande issue des pays du Mercosur, invoquant des préoccupations environnementales et un soutien à l’élevage français. Ces annonces, bien qu'encourageantes, soulèvent une question essentielle : s’agit-il de véritables engagements ou de décisions sans risques financiers ? Analyse éthique et stratégique Ces démarches s’inscrivent dans un contexte où les consommateurs attendent davantage d’alignement entre les valeurs affichées des marques et leurs actions concrètes. Cependant, plusieurs points méritent réflexion : 1️⃣ Risques limités ? Le refus d’Intermarché de vendre des fruits hors saison concerne moins de 1 % de son chiffre d’affaires. Un impact économique négligeable pour l’enseigne, mais une portée symbolique forte. Carrefour, qui se targue de vendre 96 % de viande d’origine française, ne semble pas sacrifier une part significative de ses revenus en renonçant aux viandes du Mercosur. Cette décision cherche à consolider son image auprès des agriculteurs français. 2️⃣ Et les autres produits ? Ces décisions ciblent des produits spécifiques, mais qu’en est-il de l’agneau néo-zélandais, du raisin sud-africain ou encore des pommes chiliennes ? L’alignement éthique doit s’étendre à d’autres segments si l’objectif est réellement de réduire l’empreinte écologique et de soutenir les producteurs locaux. 3️⃣ Vers une transition durable ou une posture marketing ? Ces initiatives permettent aux enseignes de se positionner en champions de l’éthique, mais elles doivent s’accompagner de mesures plus globales et transparentes pour éviter le sentiment de "greenwashing" et de "communication vertueuse à moindre coût". Le soutien aux circuits courts, l’optimisation des chaînes logistiques et une éducation accrue des consommateurs sur l’importance de la saisonnalité pourraient transformer ces engagements en véritables leviers de changement. Un enjeu collectif : éthique, commerce et responsabilité Face à ces annonces, la question reste ouverte : comment distinguer les engagements sincères des stratégies de communication ? Ces choix symboliques, même s’ils sont parfois limités, peuvent-ils inspirer des changements systémiques dans la grande distribution ? Je salue ces initiatives tout en espérant une amplification de ces démarches. Les enseignes de grande distribution ont le pouvoir de guider des millions de consommateurs vers des pratiques plus responsables, mais cela implique de sortir des décisions "sans péril" pour s'engager pleinement dans une transition durable. Et vous, qu'en pensez-vous ? #Éthique #ConsommationResponsable #TransitionEcologique #GrandeDistribution #CircuitsCourts

🌍 🛒 Dans Le Monde du 16/11 : "Il nous paraît souhaitable d’introduire des quotas de produits locaux sur les rayonnages de la grande distribution" Dans un contexte de fortes tensions dans le monde agricole, exacerbées par le futur accord de libre-échange entre l’UE et le Mercosur, j’ai eu l’opportunité de partager ma réflexion dans un article publié dans Le Monde. Face aux inquiétudes croissantes sur l’avenir de notre agriculture et de notre souveraineté alimentaire, cet article propose une piste concrète : introduire des quotas de produits locaux dans les rayons de la grande distribution. Une mesure qui, au-delà de soutenir nos producteurs, pourrait aussi répondre à des attentes fortes des consommateurs en faveur d’une alimentation de proximité, durable et éthique. 👉 Pour découvrir l’article : https://lnkd.in/eug7h5Wh Vos avis, retours ou expériences personnelles sur ce sujet m’intéressent ! N’hésitez pas à commenter ou partager autour de vous. ✍️ Cet article est basé sur la recherche conduite avec christine G. et Amina D. publiée dans Recherche et Applications en Marketing https://lnkd.in/eqtgKKfC IAE Paris-Est Université Paris-Est Créteil (UPEC) Institut de Recherche en Gestion Institut du Marketing Social AFM - Association Française du Marketing Patricia Gurviez Silvy AUBOIRON Sylvie Arzelier lucie Sirieix Margot Dyen Carolina Werle Dr. Jacqueline Boysselle Dr. Nawel Fellah-Dehiri Boris Chapoton Ophélie MUGEL

"vraie-origine-info" pourrait-on préciser... ...sans rentrer dans une relation de défiance ou d'hyper-surveillance, il y a des éléments à prendre en compte pour réduire le risque de "moindre loyauté" 🙄 quant aux déclarations d'origine dans le monde des jus et purées de fruits (qui sont par nature totalement "mélangeables") En particulier, c'est le nombre d'intermédiaires en amont qu'il faut connaître. Pour prendre deux exemples précis: - en Turquie, où il y a beaucoup de producteurs de jus, il n'est pas rare que des exportateurs soient eux-mêmes des acheteurs de jus à leurs confrères, pour réaliser des assemblages. Ils laissent ainsi à d'autres le soin de vérifier l'origine des fruits avant leur pressage... danger! Notre partenaire Tunay Gıda n'achète QUE des fruits, jamais de jus: ils savent vraiment que ces grenades dont ils produisent un pur jus bio ne viennent pas d'Iran ou d'Azerbaïdjan! - en Inde, la grande majorité des mangues sont collectées auprès des petits producteurs par des marchés locaux, les mandis, où s'approvisionnent la plupart des usines de pressage... pas chez nos amis Galla Foods et Excel Foods Private Limited, qui achètent presque exclusivement aux agriculteurs directement, avec une vraie connaissance de l'origine (et, au-delà, des pratiques, rémunération etc.) D'une manière générale, la démarche #balancetonorigine élargit la question au-delà du simple "#quoi" (qu'est-ce que cet ingrédient) en incluant le "#où", il faut aussi aller plus loin en découvrant le "#comment" il a été produit.

“Origine-Info”, vous saurez (presque) tout sur le fruit ! 🔎 📆 C’est un jour historique puisque s’est tenue ce matin une sorte de réunion de lancement d’une démarche de transparence qui semble à ce stade assez prometteuse. La ministre déléguée à la consommation Olivia Gregoire a en effet réuni différents acteurs pour entériner le lancement d’un indicateur d’origine des ingrédients (principaux) des produits alimentaires. Le fait que la démarche est volontaire est un point intéressant : traditionnellement les démarches volontaires ne semblent être assumées que lorsque le message est vertueux 🤔 est-ce que par défaut les marques qui choisiront de ne pas communiquer laisseront entendre que l’origine réelle des ingrédients n’est pas de nature à plaire aux consommateurs? 🤫 Ou même qu’elles ne la connaissent pas? 🫣 C’est le moment de féliciter et remercier le Collectif En Vérité qui a œuvré en rassemblant des marques justement volontaires sur cette démarche, et des agitateurs bienveillants comme Olivier Dauvers qui a mis son poids médiatique dans la cause. 👏 Nous applaudissons, mais voyons déjà quelques limites : - il faut rappeler qu’une origine un peu plus éloignée ne présente pas toujours un plus mauvais impact global (ne serait-ce que sur l’environnement puisque les pratiques agricoles comptent plus que le transport final, sans parler du comportement social pas nécessairement plus vertueux ici que là-bas). Connaître l’origine, ce n’est pas connaître les pratiques. - il y a des contraintes de sourcing dont il faut tenir compte: aléas de récolte, incidents politiques/sécuritaires, les acheteurs sont rompus à l’exercice de la diversification pour stabiliser leurs approvisionnements, il n’est donc pas toujours réaliste de désigner une seule origine précise, et en indiquer 2 ou 3 n’est pas forcément signe d’abus vis à vis du consommateur. - afficher une origine, c’est recopier ce que déclare le fournisseur (ou, le plus souvent, son distributeur : agent, trader, broker). Est-ce pour autant certain, est-ce vérifiable objectivement ? 🔬 Il faut savoir que la confirmation par l’analyse de l’origine géographique d’un produit est techniquement possible en comparant certains paramètres du produit, avec des bases de données de référence. Donc on dépend de la taille des bases de données du labo, c’est à dire de la “popularité” du produit. Confirmer qu’un jus d’orange vient d’Espagne et pas d’Afrique du Sud, oui, les bases de données sont pleines de résultats sur l’orange. Distinguer un pruneau turc d’un pruneau chilien… non, les chimistes ne savent pas faire. Seule parade: bien connaitre les producteurs, les visiter, leur être fidèle 🤝 💡 Petite suggestion vis à vis de ces trois limites: impliquer des importateurs et distributeurs dans ces démarches. ☝ Authentifruits est volontaire pour déployer la #transparence et la #vérité dans les filières, et pourquoi pas adhérer au Collectif ! (qui pour l’instant n’accueille que les marques)

Ce mercredi 28 février à 18h30, je ferais une conférence Salle « San Subra » 2 rue San Subra à Toulouse COMMENT S’Y RETROUVER DANS LES LABELS ET SIGNES DE QUALITÉ POUR UNE ALIMENTATION SAINE ET DURABLE ? Les labels se sont progressivement développés depuis la Seconde Guerre mondiale pour informer et rassurer le consommateur alors que l’industrialisation du système alimentaire l’a fortement éloigné des producteurs. Le consommateur dispose donc d’une masse considérable d’informations accessibles au travers de logos (le label, la marque) ou de scores. Mais cette massification introduit de la confusion. On montrera à quelles conditions ces labels et scores permettent à chacun d’avoir une alimentation saine et durable. https://lnkd.in/gr6qt-b8 un faible impact environnemental, tout en étant sûre, abordable, équitable, et culturellement acceptable.

Origine-Info : les distributeurs seraient-ils... "petit bras" ? Parce que mon p'tit doigt s'informe, il doit reconnaître sa déception. La montagne "Origine Info" va peut-être accoucher d'une souris. Malgré les soutiens de la réunion initiale avec Olivia Gregoire le 13 mars à Bercy. Malgré les déclarations publiques des enseignes. Malgré une forme d'évidence qu'être transparent avec les consommateurs, c'est aider ceux qui le peuvent/veulent à aider les agriculteurs par leurs achats. A l'origine (sans mauvais jeu de mot), était sur la table une idée simple, efficace, "Bruxelles-compatible" : la répartition des ingrédients (la totalité hein, pas juste ce qui arrange) en trois sous-parties, France, UE et Hors UE. Simple, donc. Compréhensible, aussi. Et pour intégrer les contraintes industrielles, une base de calcul annuelle (parce que l'appro peut varier, y compris pour de bonnes raisons). Désormais, se trame un accord a minima : l'affichage de l'origine des matières premières agricoles certes, mais sans "quantification" (et avec le "travers" de la multi-provenance pour certains éléments de la recette). Alors oui, c'est vrai, c'est déjà un premier pas. Et pour qui milite pour l'affichage depuis longtemps (#bibi), c'est pas neutre. Mais pourquoi s'arrêter en chemin ? Pourquoi ne pas répartir simplement les ingrédients en trois sous-parties et basta ? Parce que la transparence fait peur. Classique. Alors, amis distributeurs, passez de la parole aux actes. Vous aimez les paysans 🇫🇷 , c'est vous qui le dites. Montrez-le. Démontrez-le en affichant ET quantifiant l'origine des ingrédients de vos MDD. De manière harmonisée, comme proposée par le Collectif En Vérité. L'occasion est là. Sur la table. Devant vous. Votre mouvement engagera l'ensemble de la filière alimentaire parce que, comme pour le NutriScore, vous êtes les prescripteurs du changement. Qu'attendez-vous ? Si le premier "fait d'arme" de la Fédération du Commerce et de la Distribution réunifiée est de torpiller le projet Origine-Info dans sa version la plus ambitieuse c'est : 1/ à pleurer ; 2/ à regretter l'ancienne configuration avec les enseignes non réunies 😉 Alexandre Bompard Michel-Edouard Leclerc Dominique Schelcher Michel Biero Benoît Clerc Guillaume DARRASSE Philippe Palazzi Sylvain Ferry Patrick RIBOT & co EDITIONS DAUVERS Inspirer le retail Caroline BAZIN Florent Vacheret Benoît Merlaud