Post de Orientation-Vaud

Connaissez-vous vraiment l´histoire de la Tour de Pise ? Cet édifice italien majestueux qui depuis des siècles défie toutes les lois de la gravité. Haut de 55 mètres et orné de plus de 200 colonnes en marbre pour un poids total de 14 500 tonnes, le campanile de Pise est d´une rare envergure. Pour comprendre les raisons de son inclinaison, il faut plonger sous la tour et explorer le sous-sol sur lequel elle est posée depuis plus de 8 siècles. Alors que d´autres tours médiévales se sont effondrées sans raison apparente, les efforts des experts internationaux ont permis à Pise de réussir l´impossible car ce cylindre de marbre s´incline, se courbe mais ne rompt pas. Aujourd´hui, stabilisée et même redressée, la Tour de Pise reste un édifice inébranlable dont nous vous révèlerons en exclusivité tous les secrets de fabrication. https://lnkd.in/ed3kGpSV

💡 5 bonnes raisons de mettre de la #radio dans vos #événements… et 1 nouveau format à découvrir au passage 🎉 On détourne le bon vieux concept de la F.A.Q… version #audio ! Et qui mieux que Reyda Messaoudi pour ce nouveau format qui veut apporter des réponses aux questions que vous vous posez sur VO2X Fabrique de l'audio ? 👨🏻🏫 Eh bien personne. Donc, ni une ni deux, on monte un petit set-up façon studio d’enregistrement au bureau, la lumière “ON AIR” incontournable, au cas où il vous ait échappé qu’on bosse dans l’univers de la #radio, 🎤 JULIEN VIGIER 🎧 en souffleur hors champ et c’est parti ! 𝟑𝟎 𝐬𝐞𝐜𝐨𝐧𝐝𝐞𝐬 𝐩𝐨𝐮𝐫 𝐭𝐨𝐮𝐭 𝐛𝐢𝐞𝐧 𝐜𝐨𝐦𝐩𝐫𝐞𝐧𝐝𝐫𝐞 𝐬𝐮𝐫 𝐧𝐨𝐬 𝐚𝐜𝐭𝐢𝐯𝐢𝐭𝐞́𝐬. Bon, celle-ci fait une minute, mais difficile de faire plus court avec tant de choses à dire sur la première thématique ! 𝐈𝐥 𝐞𝐬𝐭 𝐪𝐮𝐞𝐬𝐭𝐢𝐨𝐧 𝐝𝐞 𝐥𝐚 𝐫𝐚𝐝𝐢𝐨 𝐞́𝐯𝐞́𝐧𝐞𝐦𝐞𝐧𝐭𝐢𝐞𝐥𝐥𝐞. On vous en parlait d’ailleurs déjà dans notre dernier article → https://lnkd.in/eWUjSPJ3 On adore faire ça et on adorerait faire ça pour vous ! Pour découvrir les 𝟓 𝐛𝐨𝐧𝐧𝐞𝐬 𝐫𝐚𝐢𝐬𝐨𝐧𝐬 𝐝𝐞 𝐦𝐞𝐭𝐭𝐫𝐞 𝐝𝐞 𝐥𝐚 𝐫𝐚𝐝𝐢𝐨 𝐝𝐚𝐧𝐬 𝐯𝐨𝐬 𝐞́𝐯𝐞́𝐧𝐞𝐦𝐞𝐧𝐭𝐬, c’est juste ici (après) 👇 Et pour échanger ensemble sur vos projets, c’est par là (sur notre site) → https://lnkd.in/ecMA2TQX

Merci à Coralie Claude et Mehmet Gultas de m'avoir donné autant de temps pour parler de l'évolution du métier de photojournaliste dans Forum hier soir. J'avais aussi prévu d'apporter quelques notes d'espoir, mais le temps est passé trop vite (et je suis tellement bavard 🥲) alors je les mets ici: 1️⃣ C'est pas parce que les journaux vont mal que le photojournalisme va mourir. Il change de supports: livres (y.c. auto-édition), festivals, galeries. Son financement se modifie aussi. Bourses, prix, mécénats, crowdfunding, patreon etc. Ces dernières années, tous les gros projets personnels que j'ai réalisé étaient auto-financés. Je mets des sous de côté grâce à des mandats rémunérateurs (souvent dans le corporate). Une approche d'investisseur: souvent les projets perso m'apportent des nouveaux clients. C'est pas pour trouver des clients que je fais ces projets, mais le fait de raconter ce qui nous intéresse et de présenter son regard permet à des spectateurs de se dire "tiens, on veut cette touche chez nous". 2️⃣ C'est pas parce que certains médias précarisent à fond les freelances que tous le font. Depuis 2022, j'ai eu l'occasion de faire 4 reportages pour L'illustré en commande en Ukraine. C'est des projets coûteux et je les remercie d'avoir pris ce risque avec moi. 🙏 Hélas, cela devient rare. Les médias web ont beaucoup moins de ressources à déployer dans de la production. Donc ce que la presse ne peut plus financer ne sera propbablement pas couvert par leurs équivalents web (excepté certains pure players comme Republik Magazine . 3️⃣ Avec l'érosion du reportage "presse", c'est aussi les écritures qui évoluent. Allez voir des festival comme Images Vevey (dès ce weekend), les nuits de la photo à la Tchaux, IPFO à Olten ou les Les Rencontres de la photographie, Arles pour voir comment on peut raconter le monde autrement. Faire du photoreportage, c'est pas uniquement montrer des morts, des pauvres et de la misère. C'est aussi utiliser un langage artistique pour parler d'enjeux sociétaux parfois moins spectaculaires, mais souvent plus proches de nous. ➡️ Donc non, le photoreportage n'est pas mort! Il a une longue histoire et un bel avenir, mais ça implique d'adapter nos modèles économiques et nos canaux de diffusion. C'est probablement pas un métier où on devient millionnaire, mais ça reste un des plus passionnants. En tout cas, allez voir tous les super festivals dédiés à la photographie à commencer par Visa pour l'Image - Perpignan cette semaine. Voir plusieurs de ces festivals est l'occasion de constater de la variété dans le secteur.

Faut-il vraiment prendre des risques et se mettre en danger? Sans conteste, la réponse est oui. Scènes connectées, est née de ma volonté d'accompagner les porteurs de projet artistique dans leur prise de risque. Car créer, c'est avant tout se lancer dans l'inconnu, avec toute la passion et l'audace que cela implique. Chez Scènes connectées, nous comprenons les défis auxquels vous êtes confrontés au quotidien : contraintes budgétaires, réseautage, limitations techniques et administratives... et nous sommes là pour partager ces préoccupations avec vous, mettre notre expertise à votre service, afin de développer vos œuvres et les faire briller le plus largement possible. Dans cette optique, je suis ravi de citer le spectacle "Il faudra que tu m'aimes le jour où j'aimerai pour la première fois sans toi", actuellement à l'affiche au théâtre Paris Villette. Portée par la talentueuse Alexandra Cismondi, cette pièce brille par son ingéniosité et son avant-gardisme. Avec des performances remarquables d'Anne-Elodie Sorlin, Christophe Paou, Lou Chauvain, et Alexandra Cismondi, le spectacle traite avec finesse de sujets nombreux et contemporains. La mise en scène est inventive, les lumières sont magnifiques et la musique envoûtante.. Tout cela contribue à créer une atmosphère unique qui résonne parfaitement avec l'esprit et l'énergie de la pièce. Nous croyons fermement que la prise de risque est essentielle pour avancer. C'est avec cette conviction que Scènes connectées se positionne comme votre partenaire privilégié dans l'aventure créative. Benoît Olive Le Liberté scène nationale — Toulon Scènes connectées

Les industries culturelles sont sous pression. Face à la raréfaction des fréquences hertziennes, l’avenir de la création de contenus reste incertain, alors que la demande explose et que les exigences de qualité sont de plus en plus élevées. Comment éviter que l’écosystème culturel ne s’approche d’un point de bascule qui serait à terme préjudiciable aussi bien pour les producteurs de contenus que pour les opérateurs de réseaux ? Guillaume Mascot nous livre son analyse d’une situation susceptible d’impacter fortement l’industrie du divertissement telle qu’on la connaît aujourd’hui si rien ne change. Merci Les Echos de nous permettre de faire entendre cet appel à une prise de conscience collective. #Shure #livesound https://lnkd.in/gqueJHmW

RADIO NOSTALGIE 😍😍😍🚀🚀🚀🚀🚀 Une vidéo éclairante sur l'ADN de Nostalgie #NOSTA MACON #NOSTA LYON #NOSTA GRENOBLE #NOSTA THONON LES BAINS #NOSTA BOURG EN BRESSE #NOSTA LEMAN / ANNEMASSE

Chargé de diffusion un métier en transformation ? Depuis quelques années le métier de chargé de diffusion change, les méthodes d’envois de mails massif, de relances et de coup de téléphone semble ne plus portés leur fruits, faute à des programmateur de plus en plus surchargé de mails, de sollicitation, de nouveau projets, mais aussi à des finances de la culture de plus en plus faible, avec de moins en moins d’ouvertures public… face à cette réalité comment s’adapter ? Inviter sur les spectacle ? Pas le temps. Demandez des rendez- vous ? Priorité aux compagnie / artistes déjà connus du programmateur ou dont le bouche à oreille a déjà fonctionner. Alors que faire ? Ou aller ? Notre métier est il destiné à s’arrêter ? Être remplacer par de la production pur et dur et de l’entretient de réseau ? Ce sujet est vaste, compliqué, sensible, la réalité du monde du spectacle aujourd’hui fait froid dans le dos, quel est la place de la culture pour demain ? Quel seront les budgets, les envies, les attentes ? Tant de questions auxquels nous n’avons pas la réponse ! Et vous, comment diffusez vous vos spectacle / groupes ?

Vous vous posez la question de nos métiers et ce que font au quotidien nos agents? découvrez le film qui retrace les missions du SDDEA et sa Régie.

Depuis 24 ans, nous sommes aux manettes des conférences de presse et des cérémonies du Festival International de la Bande Dessinée d'Angoulême . En plus d'être présent sur leur communication digitale au sens large, cet événement nous pousse dans nos retranchements. Pourquoi ? Un événement d'une telle ampleur et importance demande trois qualités : • De la technique digitale : avec la conception d'un support de présentation, mêlant des vidéos et des animations. • De l'agilité : avec un live diffusé en temps réel, en gérant les transitions et la synchronisation des intervenants ainsi que la coordination des techniciens. • De la concentration : avec un suivi du prompt, avec le respect strict prévu dans le script pour avoir une prise de parole claire pour tous. Voilà les coulisses d'une conférence pour un événement d'ampleur internationale. Et vous, vous aimez être en coulisses comme ça ?

A l'heure où j'écris, le documentaire d'Inox dépasse les 16 millions de vues YouTube en moins de 48h. Après 300 000 entrées au cinéma en France vendredi soir, des niveaux normalement atteints pour un 1er jour par des immenses cartons comme Supermario ou Vice Versa 2, le film d'Inoxtag Corp trouve également son audience sur YouTube, avec une couverture sur les jeunes avoisinant les 100%, puisque d'après l'Insee, les - de 20 ans sont 16M en France (en partant du principe que ce sont eux qui sont en majorité à avoir cliqué sur "play" sur la plateforme vidéo) Ce n'est pas la 1ère fois qu'Inoxtag "casse" internet ces derniers jours, chez AlloCiné nous l'avons appris à nos dépens :) résumé des épisodes précédents : > Inoxtag Corp s'est lancé un défi fou : gravir l'Everest en 1 an. Il raconte son histoire dans Kaizen, un documentaire disponible en avant-première au cinéma le 13 septembre, et sur sa chaîne YouTube le lendemain, dans le cadre du YouTube Cinéclub by mk2. > Après un blackout des réseaux depuis avril dernier, Inoxtag révèle le teaser de Kaizen samedi 31 août. En 48 heures, la vidéo dépasse les 50 millions de vues en cumulé sur les plateformes Instagram, TikTok Tok, Twitter X et YouTube.  > Le site dédié à l’événement ouvre un compte à rebours pour l’ouverture de la billetterie cinéma, et cumule 1,2M de sessions en 3 jours. > A l’heure prévue, le site événementiel redirige vers les pages séances d’ AlloCiné, qui pointe vers les différentes billetteries cinéma en France : Pathé Cinémas, UGC, CGR Cinémas, Kinepolis… > Suite à l’afflux simultané de connexions, la plupart de ces sites sont “fortement ralentis” sur le reste de la journée, certains seront même temporairement indisponibles (la rançon du succès ;). L’audience d’AlloCiné sur la page du film et ses séances cumule 500 000 Visiteurs Uniques entre 17h30 et minuit. > Toutes les séances sont sold-out en seulement quelques heures, avec un volume record de billets vendus sur ce genre d'opérations. « Cela fait 40 ans que je suis dans le cinéma et je n'avais jamais vu ça" explique par exemple un gérant de cinéma sur France Inter. > La suite vous la connaissez : des audiences jamais vues au cinéma pour un contenu disponible le lendemain sur YouTube d'après le distributeur du film en salle mk2, et "l'un des meilleurs lancements de l'histoire" sur YouTube en France. Le raz de marée culturel est sans précédent : les commentaires sur YouTube, ou les interviews filmées dans les cinémas vendredi dernier, sont dans l'écrasante majorité très positives, et font écho au ton du documentaire qui mêle un enthousiasme sincère, passion de la découverte, dépassement de soi...et se paye le luxe de parler déconnexion...Un paradoxe que seule cette génération sera à même de résoudre. Bravo à toutes les équipes qui ont travaillé sur le projet, à Inoxtag d'avoir fédéré un si large public, d'avoir accompli son rêve, et de nous le faire partager de si belle manière (c'est le fan de montagne qui parle)