20 mai 2024 : Ce que j’en dis… le doctorat ? et avant ?! les parties prenantes… #chroniques #doctorat #partiesprenantes Rappel ! présentation personnelle rapide et carte heuristique disponibles… J’avais un oncle paysan qui me disait souvent « aujourd’hui nous sommes pressés allons doucement !!! » il m’énervait mais il avait raison !!! le doctorat est un marathon, il se parcourt de manière régulière et organisée… organiser son projet d’avenir se prépare dès le premier jour de thèse même si d’autres priorités semblent majeures !!! L’identification des « parties prenantes » est une troisième étape importante à structurer… Les parties prenantes sont toutes les personnes et les structures qui sont directement impliquées dans la thèse en cours… La première liste cible le déroulement de la thèse… Ce qui m’a toujours le plus surpris quand la question était sur la table, était que PERSONNE pendant toutes ces années de formation n’a dit spontanément « ben la plus importante partie prenante c’est moi ! » … oui, le porteur de projet est LA personne centrale… cela signifie qu’elle a OBLIGATION de se protéger… par exemple, garder ses passions intactes (sport, lecture, cinéma, famille…) car le jour où les soucis deviennent majeurs, les passions protègent l’avenir… Le directeur de thèse est le second, puis viennent les personnes qui participent au niveau technique, puis l’école doctorale elle-même etc… l’intérêt de cette liste est qu’elle permet de préparer la communication concernant la thèse, j’en parlerai demain. La seconde liste cible l’après thèse… Elle est issue des rencontres, lectures et informations reçues au fil du temps et elle regroupe les noms des personnes, des laboratoires ou des entreprises où l’on aimerait être APRES la thèse… Si l’avenir est encore incertain, deux listes de 4 ou 5 noms de la sphère publique et de la sphère privée sont construites et modifiées au fil du temps (la carte heuristique est alors très utile !!). En ayant travaillé avec de nombreux doctorants sur ces listes, j’ai pu constater qu’elles obligent à réfléchir aux raisons qui expliquent les choix des noms, qu’elles évoluent au cours du temps et surtout qu’elles font apparaître des questions simples du genre « je m’intéresse à X ou Y mais pourquoi s’intéressaient-ils à moi ? » ! Ce que j’en dis
Post de Patrick D.
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🍀 Cette année, j’ai pris une décision radicale : affirmer haut et fort que la formation des chercheurs est catastrophique en master. Cela fait trois ans que j’accompagne les jeunes chercheurs. J’ai vu des situations que vous ne pouvez même pas imaginer. En 2024, l’écart continue de se creuser entre les formations en sciences dures et celles des sciences humaines et sociales. Avec des formations en masters de recherche qui laissent des centaines d’étudiants à l’abandon pour le rendu des mémoires et qui : 👉 N’abordent à aucun moment le sujet de la poursuite en doctorat 👉 N’enseignent pas le fonctionnement de la recherche française 👉 Ne préparent pas les étudiants aux candidatures qui les attendent 👉 Ne contiennent aucun cours sur le financement et la valorisation de la recherche J’aimerais bien savoir qui a décidé qu’à l’université, il y aurait un choix à faire entre le « parcours professionnel » et le « parcours recherche ». La recherche n’est pas un métier ? 🍀 Clamer sur les réseaux sociaux que le doctorat est une expérience professionnelle, c’est bien. Mais graver dans l’esprit des étudiants de master qu’on les forme à un vrai métier, ce serait mieux. Problème : il serait alors plus difficile d’exploiter les milliers de doctorants qui travaillent chaque année pour les laboratoires publics sans aucune rémunération. Et de plus en plus compliqué d’expliquer qu’à ce jour, aucune solution n’a été trouvée concernant le problème colossal de l’insertion professionnelle des docteurs en France. 🍀 Que fait l’université ? Le trou est béant entre la formation des masters et la formation doctorale. Cette dernière fait des progrès, quoi qu’elle demeure très inégale, et elle est trop tardive à bien des égards. 🍀 La faute est sans cesse rejetée sur des directeurs et directrices qui seraient censés former les étudiants à tous les aspects professionnels de la recherche. Mais quand ? Pendant les vacances d’été ? Les soirs de pleine lune ? Et avec quels moyens ? Trois ans que je parle quotidiennement avec l’ensemble des acteurs, et que chacun se renvoie la balle avec des réponses vagues. 🍀 En septembre dernier, j’ai donc décidé de créer moi-même la formation à la recherche dont j’aurais dû bénéficier avant d'entrer en doctorat. Celle qui doit permettre à tout étudiant sérieusement impliqué de comprendre les enjeux de la recherche dès le master, de sorte à pouvoir penser lui-même un projet qui soit porteur pour sa carrière. C’est l’Académie 🍀 Elle est gratuite et ouverte à toute personne souhaitant démarrer ou consolider sa formation en recherche. Le but ? Qu'un véritable parcours d'excellence soit possible en recherche, et ce partout en France. La recherche n’est pas une voie de garage, et il est grand temps que la formation évolue. 🍀 Pour rejoindre l’Académie : 👉 Like ce post 👉 Commente « Académie » Tes accès te seront envoyés directement en messagerie.
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à lire pour faire bouger les choses.
🍀 Cette année, j’ai pris une décision radicale : affirmer haut et fort que la formation des chercheurs est catastrophique en master. Cela fait trois ans que j’accompagne les jeunes chercheurs. J’ai vu des situations que vous ne pouvez même pas imaginer. En 2024, l’écart continue de se creuser entre les formations en sciences dures et celles des sciences humaines et sociales. Avec des formations en masters de recherche qui laissent des centaines d’étudiants à l’abandon pour le rendu des mémoires et qui : 👉 N’abordent à aucun moment le sujet de la poursuite en doctorat 👉 N’enseignent pas le fonctionnement de la recherche française 👉 Ne préparent pas les étudiants aux candidatures qui les attendent 👉 Ne contiennent aucun cours sur le financement et la valorisation de la recherche J’aimerais bien savoir qui a décidé qu’à l’université, il y aurait un choix à faire entre le « parcours professionnel » et le « parcours recherche ». La recherche n’est pas un métier ? 🍀 Clamer sur les réseaux sociaux que le doctorat est une expérience professionnelle, c’est bien. Mais graver dans l’esprit des étudiants de master qu’on les forme à un vrai métier, ce serait mieux. Problème : il serait alors plus difficile d’exploiter les milliers de doctorants qui travaillent chaque année pour les laboratoires publics sans aucune rémunération. Et de plus en plus compliqué d’expliquer qu’à ce jour, aucune solution n’a été trouvée concernant le problème colossal de l’insertion professionnelle des docteurs en France. 🍀 Que fait l’université ? Le trou est béant entre la formation des masters et la formation doctorale. Cette dernière fait des progrès, quoi qu’elle demeure très inégale, et elle est trop tardive à bien des égards. 🍀 La faute est sans cesse rejetée sur des directeurs et directrices qui seraient censés former les étudiants à tous les aspects professionnels de la recherche. Mais quand ? Pendant les vacances d’été ? Les soirs de pleine lune ? Et avec quels moyens ? Trois ans que je parle quotidiennement avec l’ensemble des acteurs, et que chacun se renvoie la balle avec des réponses vagues. 🍀 En septembre dernier, j’ai donc décidé de créer moi-même la formation à la recherche dont j’aurais dû bénéficier avant d'entrer en doctorat. Celle qui doit permettre à tout étudiant sérieusement impliqué de comprendre les enjeux de la recherche dès le master, de sorte à pouvoir penser lui-même un projet qui soit porteur pour sa carrière. C’est l’Académie 🍀 Elle est gratuite et ouverte à toute personne souhaitant démarrer ou consolider sa formation en recherche. Le but ? Qu'un véritable parcours d'excellence soit possible en recherche, et ce partout en France. La recherche n’est pas une voie de garage, et il est grand temps que la formation évolue. 🍀 Pour rejoindre l’Académie : 👉 Like ce post 👉 Commente « Académie » Tes accès te seront envoyés directement en messagerie.
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19 mai 2024 : Ce que j’en dis… le doctorat ? et avant ?! #chroniques #doctorant Pour compléter la chronique d’hier, quelques informations !!! La présentation orale qu’il est raisonnable d’avoir en tête permet en quelques secondes ou minutes de se présenter à un interlocuteur quelconque rencontré au hasard d’un congrès, d’une conférence mais aussi dans la rue, le train… une opportunité n’est valorisée que si tout est prêt pour la valoriser !! La présentation en chapeau est de règle et cette règle s’applique aussi à toutes les présentations, orale, écrite, courte ou longue… Elle consiste à commencer en s’adressant « à des enfants » puis à monter le niveau jusqu’à ce que seuls des spécialistes du domaine comprennent puis finir en revenant au niveau des enfants du début !!! (souvenez-vous des professeurs invivables qui commençaient leur cours en vous perdant immédiatement avec des concepts trop difficiles…) La carte heuristique est un outil merveilleux pour aider à réfléchir et structurer son projet !!! les idées sont « jetées » puis on peut construire et déconstruire l’organisation et le déroulement de son projet !!! les outils les plus élaborés permettent de lier des supports périphériques à la présentation !! un outil qui devrait être OBLIGATOIRE pour tous les doctorants !!!!! (je plaisante… en souvenir de Coluche et de son sketch sur le pinard … pour rappel je viens du millénaire dernier comme on me l’a gentiment rappelé il y a peu… Je plaisante encore…) Demain je continuer le parcours… ça me donne un bon coup de jeune donc je vais me faire plaisir… Avec ces deux premiers outils, les choses peuvent se concrétiser enfin !!! Le centre de la carte heuristique… ben c’est le titre de la thèse, car pour qu’un un projet soit précis sur son avenir il doit avoir u nom… La présentation en chapeau…ben elle décrit simplement le passé et l’avenir aux deux bouts et le projet en cours au milieu Ce que j’en dis…
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Bonsoir cher réseau. Vous allez bien j'espère. Demain, à l'université Félix Houphouet Boigny d'Abidjan -Cocody a lieu la finale nationale du mythique concours " Ma thèse en 180 secondes". Ce concours allie art oratoire et aptitudes à la recherche scientifique. En clair, il faut savoir parler et bien parler d'une part et d'autre part, savoir partager la quintessence de son travail de recherche en un temps record sans le dénaturer. Imaginez-vous essayer de rendre un travail d'au moins 300 pages en 3 minutes. C'est là qu'intervient tout le génie. Vous voulez voir des prouesses? venez demain. La seule ombre au tableau pour moi est de ne pas voir plus de jeunes ivoiriens doctorants en droit y prendre part. A ce jour, je reste la seule juriste à y avoir participé. Pourtant, nous sommes connus pour aimer l'oralité, pour démontrer et expliquer... Pourtant nous avons des universités qui regorgent de doctorants avec des thèses originales et utiles. Ou alors, est-ce le temps imparti qui nous effraie? Quoi de mieux que ce temps limité pour enfin apprendre à être précis, concis et clair? Au delà, c'est un concours qui vous aide également à vendre votre thèse en tant que projet professionnel. Et au plan humain, c'est une belle aventure qui vous pousse au dépassement de soi. Alors, amis doctorants en droit, préparez- vous pour l'an prochain si vous remplissez les conditions. C'est une aubaine. À tous les autres doctorants également, ne laissez plus passer cette occasion. Inscrivez-vous. Jetez- vous dans le bain. À nous tous, rendez-vous demain pour célébrer la recherche scientifique. Bonne soirée à tous. Sandrine ADON. Future Docteure. Finaliste nationale "Ma Thèse en 180 S" 2021.
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Je n’ai pas pour objectif de vous vendre le doctorat. Ni de vous dégoûter d’en faire un. Je le précise d’ailleurs dans le tout premier épisode de Thèse ? Antithèse ? Synthèse ! J’essaye simplement de vous transmettre mon ressenti sur cette expérience, Ainsi que le ressenti provenant d’autres doctorants avec qui j’ai l’occasion de discuter. Le but étant de donner assez d’informations à chacun pour faire son propre choix. Un choix qui implique un engagement sur plusieurs années et qui doit être réfléchi. Alors oui, il m’arrive de faire des posts polémiques qui dérangent certains. Mais je ne me tairais pas. J’ai très rapidement compris ma chance d’avoir un sujet qui me passionne et surtout, d’être tombé sur une très bonne équipe d’encadrants. Tout le monde n’a pas cette chance, et ça s’explique en partie par le manque d’informations récoltées par les étudiants (Est ce que ce sujet me semble vraiment motivant ? Est ce que cette équipe de recherche est sérieuse et disponible ? Qu’en disent les anciens doctorants ? Est ce que ce serait pas mieux une CIFRE ?) C’est ça mon objectif, permettre à chacun de faire un choix réfléchi pour garantir la meilleure expérience post-études possible. Qu’il n’y ait aucun regrets de ne pas avoir fait de thèse, Et aucun regret d’en avoir fait une. Il m’est donc impossible de fermer les yeux sur des expériences plus négatives rencontrées par mes confrères/consœurs, surtout quand ils ne sont pas anecdotiques. Plus nous sommes au courant de ces dérives, moins elles se répéteront !!
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Appel à publications : Revue Orientation Scolaire et Professionnelle "Construction identitaire professionnelle des doctorant·es et vulnérabilité" Dead line : 30 septembre 2024 La thèse de doctorat constitue un moment, un passage tout à fait particulier dans l’itinéraire des jeunes chercheurs. À la fois dispositif d’apprentissage de la recherche validé par le titre de docteur et première étape dans un parcours professionnel de recherche et/ou d’enseignement supérieur, le parcours doctoral présente différents enjeux pour celles et ceux qui s’y engagent.... https://lnkd.in/eiYJSF4j
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🍀 Cela fait trois ans. Trois ans que j’aide les candidats au doctorat SHS à passer la procédure d’inscription. La plupart sont des professionnels qui n’ont jamais oublié leur rêve de faire de la recherche. Ils aiment leur job, mais il leur manque un ingrédient important : la stimulation intellectuelle. Pourtant, sauter le pas leur fait peur. Pourquoi ? Parce qu’à chaque fois qu’au détour d’une matinée calme au bureau, ils tentent de se renseigner, ils tournent à nouveau en rond. 🍀 Quand on veut se lancer en thèse en France, on se heurte à des informations vagues et contradictoires. Dans les disciplines les plus attractives, on découvre l’existence de DBA et de CIFRE, et l’affaire vire au cauchemar terminologique. Ça change quoi ? Qu’en est-il des laboratoires, et où sont les offres bon sang ? La recherche impose rigueur et méthode, mais l’université en manque cruellement lorsqu’il s’agit d’informer les futurs chercheurs. C’est dommage, car la France ne manque pas de talents. Les jeunes et les professionnels veulent faire de la recherche, mais ils veulent aussi que leur travail ait du sens. Et c’est là que ça coince. Parce qu’aujourd’hui, plus personne n’a l’intention de sacrifier son talent sur l’autel des institutions. Alors on va voir ailleurs, on patiente, mais quelque chose nous manque. 🍀 Avant de venir vers moi, mes clients ont souvent refait un master ou un DU de recherche, pour « remettre un pied dedans ». Ils en sont sortis diplômés, mais toujours pas formés sur : - la méthodologie du projet de thèse - la recherche de financements - le montage des candidatures Alors en 2022, j’ai fait le pari un peu fou de créer la solution qui permet d’aborder la recherche et le parcours doctoral avec confiance. 🍀 Le premier programme d’accompagnement à l’inscription en doctorat SHS est né : c’est le programme Lauréats. Le besoin était urgent et des profils expérimentés étaient dans les starting-blocks. Et vous savez quoi ? La plupart de mes Lauréats sont partis dans un esprit combattif, prêts à en découdre. Mais en fin de compte, ils ont été surpris de constater que les directeurs sérieux sont nombreux et qu’il est possible de faire une thèse dans de bonnes conditions. Simplement, un projet de cette envergure requiert de comprendre ce qu’on fait pour que les choses deviennent fluides, et qu’elles aient un avenir. 🍀 Les portes du programme Lauréats sont ouvertes jusqu’au 11 octobre. Qui nous rejoint cette année ?
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🍀 Quand on voit mon CV, on peut croire que mon parcours a été riche et que tout s’est bien passé pour moi. Mais c’est tout le contraire. Chaque ligne de mon CV académique est un souvenir douloureux. J’ai d'ailleurs achevé ma thèse entre deux hospitalisations dans des états graves. 🍀 Je ne suis pas la seule à avoir vécu une expérience désastreuse. Tout projet de haut niveau nécessite une vision et des informations claires. Et les conditions dans lesquelles se déroule l’inscription en doctorat SHS en France ne sont pas adaptées. La semaine dernière, une jeune chercheuse de master que j’ai rencontrée m’a dit : « Il devait y avoir une réunion d’information sur le doctorat, mais elle a été annulée car nous ne sommes que trois. » 🍀 L’université n’entend pas le concept de personnalisation. Alors que justement, il n’existe pas deux parcours doctoraux identiques. L’entrée en thèse requiert un accompagnement rapproché en SHS. Car contrairement aux disciplines des sciences « dures », il revient aux candidats SHS de rédiger eux-mêmes le projet de thèse pour accéder à leur inscription administrative. Or, c’est sur la base de ce document que le jeune chercheur engage toute sa carrière. 🍀 Ce système engendre des catastrophes. Puisque personne ne forme les candidats à la rédaction de ce document, à ses enjeux, et à ceux de la recherche professionnelle. Les candidats ignorent tout des logiques économiques inhérentes à leur secteur professionnel à la sortie du master. Et la plupart, comme moi à l’époque, ignorent que les financements sont nécessaires pour la suite. 🍀 Alors en 2021, j’ai créé l’accompagnement adéquat pour les candidats qui veulent se préparer. J’enseigne tout ce que j’aurais dû savoir pour faire le même parcours de Lille à Yale, sans sacrifier ma santé et mettre en péril ma carrière. Mes Lauréats sont connus de tous les acteurs de leur secteur avant leur inscription en doctorat. Ils créent un projet qui se distingue et réussissent à trouver les voies parallèles pour placer leur dossier. Alors qu’ils partaient de zéro. 🍀 N’allez pas en thèse sans vision claire ni stratégie. On dira que je prêche pour ma paroisse, et c’est bien le cas : Je pense que tous les candidats devraient rejoindre le programme Lauréats. Car toutes les semaines, il me faut expliquer à des doctorants à bout de souffle que je ne peux plus rien faire pour les sortir de cette galère. 🍀 C’est par l’éducation qu’on change le monde. Et c’est par l’Agence Conseil aux jeunes chercheurs qu’on transformera la recherche SHS.
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Journal d'un doctorant - Semaine 5 Le doctorat est une aventure à durée variable. En théorie, le programme est conçu pour une période de quatre ans en continu. Ceci indique donc que je devrais terminer en août 2028 et me rendre à 208 publications comme celle-ci. En réalité, plusieurs facteurs peuvent venir allonger la durée ce projet: - La disponibilité des cours - La complexité de la recherche - L'obtention des bourses nécessaires - Les mandats extérieurs à la rédaction - Les périodes de procrastiation - La santé mentale ou physique - L'attente des approbations et de la correction - Les pivots dans le sujet de recherche - Tous les autres facteurs externes De mon côté, je ne souhaite pas me mettre trop de pression, mais j'aimerais bien terminer à la fin de cette décennie. Peu importe le temps que cela prendra, le but ultime sera toujours de terminé. C'est mon marathon à moi!
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Si vous vous demandez quel chemin prendre après votre thèse, ce post va vous intéresser! Bravo Muriel MAZET 🌻! #jerédigemathèse #doctorat #thèse #carrière
PhD, Consultante en évolution de carrière post-universitaire👩🏼🎓 Conseils et Accompagnements après l'université ⇢ Masters et Docteurs, Activez vos talents 🌻
Tu as le droit d’avoir un plan B et de te créer ton propre chemin ! 🛤 Il reste 6 mois à Julie pour finir sa thèse en neurosciences. En regardant en arrière, Julie se dit qu’elle a été chanceuse : Equipe de recherche au top ! Son sujet a roulé avec de très bons résultats ! Elle est en train d’écrire sa deuxième publication 📚 Son chef, qui d’ailleurs est un super encadrant, est très satisfait de son travail et il lui a proposé de contacter des labos en Angleterre pour un post doc. Son avenir semble tout tracé à Julie : ➡ Soutenance de thèse ➡ 1 voir 2 post doc à l’étranger ➡ Retour dans le labo ➡ Préparation au concours ➡ Poste de chercheur 👏 👏 Mais Julie est perdue et ne sait plus ce qu’elle veut vraiment faire, Julie doute… Est-elle vraiment faite pour la recherche? A t-elle vraiment envie de bosser comme une folle et de passer encore des heures au labos, à la paillasse, à écrire des publications, des projets de recherche, à rechercher des financements? A t-elle envie de partir loin de sa famille, de son copain? Elle n’ose pas dire à sa famille qu’elle doute… Elle n’ose pas le dire à son chef…. Même aux personnes de son équipe…Les gens du labo ne comprendraient pas… Elle se souvient d'une doctorante de l'équipe voisine qui a été questionnée lors d'une réunion pour sa décision de quitter le milieu académique, suscitant ainsi une interrogation générale : "Pourquoi avoir entrepris une thèse si vous n'avez pas l'intention de poursuivre une carrière de chercheur ?" Tu sais quoi Julie, tu as le droit de douter, de te poser des questions! 💫 de réfléchir à une autre voie que la recherche publique 💫 de prendre du recul sur ton parcours et de relire tes expériences passées 💫 de redonnez du sens à ce que tu as fais et ce que tu veux faire Je croise fréquemment des personnes comme Julie. Certaines choisissent de poursuivre dans la recherche, réalisant que c'est vraiment leur passion et qu'elles n'ont pas encore tout donné. D'autres optent pour des postes de recherche dans le secteur privé. Enfin, il y en a qui se lancent dans de tout nouveaux projets professionnels. Alors oui, plusieurs chemins sont possibles après la thèse et il est légitime de se poser des questions et de réfléchir à d’autres possibilités ! Si toi, tu es comme Julie, Contactes moi, 🌻je t’accompagne dans tes périodes de doute et dans le développement de ton projet professionnel ! #PhD #These #Transition #Université #Recrutement #Accompagnement #postdoc #transitionprofessionnelle
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Administratrice
7 moisValable également pour l'entreprise Partie prenante et RSE (Responsabilité Sociale des Entreprises) La prise en compte des parties prenantes constitue un enjeu fondamental. En effet, lorsqu’une entreprise souhaite améliorer les impacts de ses activités, elle doit d’abord prendre en compte la façon dont ses parties prenantes perçoivent ces activités et les enjeux qui lui sont liées. C’est pour cette raison que les politiques de RSE s’accompagnent généralement d’un dialogue parties prenantes permettant de mieux identifier les enjeux importants pour les principales parties prenantes de l’entreprise. Dans le cadre des stratégies de gouvernance participative et de responsabilité sociale, de plus en plus d’entreprises intègrent les parties prenantes élargies à leurs comités de direction, afin de donner plus de pouvoir de décision à ces acteurs indispensables de la vie de l’entreprise.