Ce que demandent les PME au Père Noël? De la stabilité… https://lnkd.in/eXtRRA_u
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Bonjour, Information aux salariés d'entreprises de - de 30 personnes : En cette fin d'année qui approche, le pouvoir d'achat est plus que jamais d'actualité 👀 Vous êtes salarié(e) d'une petit entreprise, dans la situation économique actuelle, je vous vois mal aller réclamer une augmentation à votre patron, surtout quand on sait ce que ça coûte en final à l'entreprise. 😕 Mais allez lui demander une augmentation de 3 €, ça c'est faisable non ? Grâce à notre partenariat avec Hello CSE, c'est ce que ça lui coûtera pour vous affilier à notre CE et ainsi avoir votre pouvoir d'achat augmenté de 100 € par mois en moyenne. 🤩 Pour rappel, les solo-entrepreneurs et TPE n'ont pas l'obligation légale d'avoir un Comité d'Entreprise... Mais ils ont le droit d'en avoir un ! 😎 Access Avantages est la seule Association dédiée à rétablir l'égalité sociale en proposant le CE pour tous. + d'infos sur https://lnkd.in/dimi9ayc Affiliation sur https://lnkd.in/d9ZYQk9t #ce #comitedentreprise "egalitesociale #pouvoirdachat #augmentation
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Les agences, cabinets et ESN, c’est comme quand l’Education Nationale achète une lampe : - C’est plus cher - Il y a mieux ailleurs - Il y a des pièges comme les ampoules à 48€ l'unité Les intermédiaires sont la nouvelle peste du 21ème siècle. On doit l'éradiquer avant qu’elle concentre toute la richesse à quelques privilégiés. Ainsi, on pourrait acheter une lampe : - Moitié prix - De meilleure qualité - Sans être obligé d'acheter une ampoule à 48€ chez le même fournisseur Les économies permettraient de mieux rémunérer les artisans, fonctionnaires, freelances et salariés. Quand est ce que les décisionnaires vont comprendre que lancer un appel d'offres pour référencer des boites, ce n'est pas faire des économies ? C'est se tirer une balle dans le pied.
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“𝐍𝐨𝐭𝐫𝐞 𝐩𝐫𝐞𝐦𝐢𝐞𝐫 𝐬𝐮𝐣𝐞𝐭, 𝐜’𝐞𝐬𝐭 **𝐥𝐞𝐬** 𝐜𝐨û𝐭𝐬 𝐝𝐮 𝐭𝐫𝐚𝐯𝐚𝐢𝐥“ Les entrepreneurs veulent avant tout pouvoir développer leurs entreprises. Et en plus des frais directs, les coûts indirects pèsent aussi très lourd. 𝐋𝐞 𝐬𝐨𝐧𝐝𝐚𝐠𝐞 𝐟𝐚𝐢𝐬𝐚𝐢𝐭 𝐫𝐞𝐬𝐬𝐨𝐫𝐭𝐢𝐫 𝐞𝐧 1è𝐫𝐞 𝐚𝐭𝐭𝐞𝐧𝐭𝐞 (87% 𝐝𝐞𝐬 𝐫é𝐩𝐨𝐧𝐝𝐚𝐧𝐭𝐬) : “𝐒𝐢𝐦𝐩𝐥𝐢𝐟𝐢𝐜𝐚𝐭𝐢𝐨𝐧 𝐚𝐝𝐦𝐢𝐧𝐢𝐬𝐭𝐫𝐚𝐭𝐢𝐯𝐞”. J'avais lancé ce sondage pour mon interview sur franceinfo sur “les attentes des entrepreneurs du nouveau gouvernement” (merci aux participants ! Lien en commentaire). J’imagine que beaucoup de monde, en particulier d’entrepreneurs, vont se retrouver dans ma remarque. Avec Raphael Ebenstein, j’ai évoqué les lourdeurs administratives et des changements législatifs fréquents. Et la multitude de coûts indirects. Notre entretien de 45 min a été écourté à quelques phrases, c’est le jeu de ce type d’interview ! **𝐋𝐞𝐬** 𝐜𝐨û𝐭𝐬 𝐝𝐮 𝐭𝐫𝐚𝐯𝐚𝐢𝐥, 𝐩𝐚𝐫𝐜𝐞 𝐪𝐮’𝐢𝐥 𝐧’𝐲 𝐚 𝐩𝐚𝐬 𝐪𝐮𝐞 𝐥𝐞𝐬 𝐜𝐨û𝐭𝐬 𝐝𝐢𝐫𝐞𝐜𝐭𝐬 𝐞𝐧 𝐞𝐮𝐫𝐨𝐬 (je ne rentre pas dans ces le sujet est touffu). Si je simplifie, voici ce que je vois : 𝐋𝐞𝐬 𝐜𝐨û𝐭𝐬 𝐥é𝐠𝐚𝐮𝐱 Directs : conseils, avocats, frais de justice Indirects : les risques liés à ce droit du travail d’une complexité incroyable et aux prud’hommes surchargés, aux jugements assez stupéfiants parfois. 𝐋𝐞𝐬 𝐜𝐨û𝐭𝐬 𝐚𝐝𝐦𝐢𝐧𝐢𝐬𝐭𝐫𝐚𝐭𝐢𝐟𝐬 Directs : essayez de comprendre le calcul d’une fiche de paie ! Même les spécialistes font régulièrement des erreurs (nous avons vécu un cas rocambolesque où PayFit et l’URSSAF n’arrivaient pas à se mettre d’accord sur un calcul)… ça se retrouve dans le prix pour générer une fiche de paie (en moyenne c’est ~20-25€/ fiche de paie en France). Les diverses déclarations font mal au crâne. Indirects : ici aussi, beaucoup de difficultés sur des changements législatifs incessants, et pas toujours faciles à comprendre. 𝐋𝐞 𝐩𝐫𝐨𝐛𝐥è𝐦𝐞 𝐝𝐞𝐬 𝐚𝐫𝐫ê𝐭𝐬 𝐦𝐚𝐥𝐚𝐝𝐢𝐞 Les arrêts maladie, en plus de générer des désorganisations, ne sont souvent remboursés que très partiellement par l'assurance maladie (dépendant des conventions collectives). Je suis stupéfait du peu de personnes qui le savent. Et il y a le sujet de la facilité à en obtenir. … et les 𝐦𝐮𝐥𝐭𝐢𝐩𝐥𝐞𝐬 𝐩𝐫𝐢𝐬𝐞𝐬 𝐞𝐧 𝐜𝐡𝐚𝐫𝐠𝐞 𝐨𝐛𝐥𝐢𝐠𝐚𝐭𝐨𝐢𝐫𝐞𝐬, dont la prise en charge par l’employeur est un débat qui devrait avoir lieu. Je distingue bien le sujet de la prise en charge de "quel acteur" le prend en charge. Tous ces sujets pourraient être “assis” sur d’autres critères que l’emploi, et payés par d'autres acteurs que les employeurs. Prise en charge de la mutuelle ? Prise en charge des frais de transport ? Médecine du travail ? Si je comprends que c’est pertinent pour certains métiers, nous sommes nombreux à penser que ces visites sont totalement inutiles (et coûteuses) pour beaucoup. Il me semble qu’ici une remise en cause est nécessaire. Qu’en pensez vous ?
REPORTAGE. Gouvernement de Michel Barnier : "Notre premier sujet, c'est le coût du travail", souligne un entrepreneur
francetvinfo.fr
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👉 C’est le printemps🌼 et on en profite pour découvrir une enquête pertinente : D’après les derniers chiffres publiés par l’Observatoire de l’emploi des entrepreneurs, 51 555 chefs d’entreprise ont perdu leur emploi en 2023. Un chiffre en augmentation de 33,3% sur un an, et qui touche particulièrement les commerçants, mais aussi l’hôtellerie/restauration et les agents immobiliers! La mauvaise conjoncture économique actuelle, marquée par une #inflation toujours soutenue (+3% en février 2024), impacte particulièrement les chefs d’entreprises. c’est 12 800 femmes et hommes de plus qu’en 2022! Hausse des taux d’intérêt, surendettement des entreprises, fin des aides Covid et du moratoire de l’Urssaf en sont les déclencheurs! Ce sont principalement les chefs entreprises de petites structures qui sont les plus touchées et les entreprises de moins de 5 salariés créée en moyenne il y a 9 ans! Les commerçants sont très touchés (+30,8%), ( surtout le textile et l’habillement ).Le secteur de l’hébergement, restauration et débit de boissons connait aussi des difficultés. Aucun territoire n’est épargné et La hausse des pertes d’emploi est également supérieure à la moyenne nationale en Auvergne-Rhône-Alpes (+38,7%)! #entreprises #économie Mouvement des Entreprises de France France Travail Maxim Lepachelet Mathieu Ragonneau Malika ATOUI Urssaf Caisse nationale UNEDIC #commerces Lamia BEKKAOUI Régis DELAUNAY BELLEVILLE Nathalie Miquel Frédéric Sienko #emplois Apec - Association Pour l'Emploi des Cadres
Près de 19 000 commerçants ont perdu leur emploi en 2023 ! - L'echommerces
https://lechommerces.fr
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Info de dernière minute : sur BFM TV Matin, aujourd'hui, Sophie BINET, Secrétaire Générale de la CGT, réclame au Gouvernement que DYNABUY devienne obligatoire dans les petites et moyennes entreprises ! 🦾 Au cours de cette interview, elle fait quelques remarques pertinentes : 1/ Les salariés des petites et moyennes entreprises sont moins bien traités que ceux des grandes structures, car ils n'ont pas accès aux avantages sociaux des CSE, notamment, réduction sur les courses, les vacances, cinémas, parcs d'attraction... 2/ Les petites et moyennes entreprises payent tout plus cher, car ils n'ont pas les capacités de négociation des grandes entreprises. Gaëtan L'Honnen et Geoffroy L'HONNEN ont trouvé la solution à ces deux problématiques avec DYNABUY AVANTAGES. 😛 Ils proposent de réduire les coûts d'achats professionnels avec Avantages Entreprises, augmenter le pouvoir d'achat des salariés (et du chef d'entreprises) avec Avantages Privés, et en plus, le bonus avec Rencontres Dirigeants, il est possible d'augmenter de façon qualitative le CA de l'entreprise !🍾🥰 Plus d'informations en contactant Dynabuy - Le Mans - Sarthe - Pays de la Loire. 🫵 ---------------- Philippe GOUHIER Le remède pour la rentabilité des entreprise et le bonheur des salariés 😉 Centrale d'achats, CSE mutualisé, Créateur de CA 07-56-89-56-46 pgouhier@dynabuy-a.fr Claire GOUHIER-LECOCQ Loane Menard Mila Garot Jean-Luc Catanzaro Jean Pierre Fabre Fabienne Malhaire-Boulanger Jean-Luc Ourcoudoy Isabelle LETESSIER CPME nationale CPME SARTHE MEDEF Sarthe Jeune Chambre Economique du Mans CCI Le Mans Sarthe Cabinet du Premier ministre Le Mans Ville et Métropole INTERCLUB LE MANS METROPOLE Serge BRUNEAUD Cédric MALZAT Jean-Francois Perrin Philippe Houdayer Cédric LE FLAHEC Guillaume BONNIN (Sarl G Bon Conseil)
"On est au pied du mur": Sophie Binet demande "un plan d'urgence" face à la vague de licenciements
bfmtv.com
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📣 Les TPE : un facteur essentiel de stabilité en temps de crise N’en déplaise à notre gouvernement démissionnaire, notre économie est malade. 🤧 Nous réserverons pour l’instant l’usage du mot « crise » à des temps plus difficiles encore dont il faut espérer qu’ils n’adviennent pas, bien que ce terme puisse manifestement s’appliquer à ce jour au secteur du bâtiment et de l’immobilier en général. Au regard des données compilées par l'Institut Terram en juillet 2024, il convient avant tout de rappeler le poids de nos TPE dans l’économie globale : - 82% des entreprises employeuses ; - Jusqu’à 60% des emplois de certains territoires ; - Par définition, 100% des salariés de l’artisanat ; - 20% des salariés du commerce ; - 30% des salariés des activités immobilières ; - 35% des salariés de la construction ; - 39% des salariés de l’hébergement-restauration ; - 38% des emplois salariés et non-salariés du secteur privé. Les TPE représentent l’économie dite « présentielle », celle qui consomme, emploi et commerce de façon prépondérante sur son bassin de vie, participant de ce fait activement à son dynamisme ainsi qu’à la stabilisation de ses habitants. Alors que les TPE se développent par elles-mêmes, les entreprises moyennes et grandes assurent leur développement par le biais d’acquisitions d’entreprises existantes accompagnées des inévitables restructurations. En conséquence, alors que les TPE ont un solde net de création d’emplois positif, les entreprises de plus grandes tailles détruisent au total plus d’emplois qu’elles n’en acquièrent. Ce phénomène est d’autant plus vrai en périodes de crise durant lesquelles les grandes entreprises acquièrent à bas coût des structures prometteuses à l’assise financière fragilisée tout en accélérant les restructurations de personnels. 👉 Face à ces constats et un automne qui s’annonce difficile pour nos entreprises, la question est de savoir si les futurs pouvoirs publics seront en capacité de saisir l’opportunité TPE pour amortir le choc de la hausse des défaillances des PME et redonner un élan à nos territoires, nos villes petites et moyennes, comme aux grandes agglomérations. Avec votre soutien, le SDI s’y attèle d’ores et déjà en préparant ses interventions auprès du futur gouvernement à l’appui de propositions concrètes à intégrer dans le prochains projet de loi de finances. #PLF2025 Nous comptons sur vous à la rentrée afin que, ensemble, nous puissions défendre les intérêts des TPE ! ✊
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🏗️ Les bâtisseurs de l’économie locale On accuse souvent les employeurs de tous les maux : profits excessifs, manque de reconnaissance des salariés... Mais savez-vous que derrière chaque PME, il y a souvent un dirigeant qui fait des choix douloureux pour maintenir son entreprise à flot ? 👉 Chez nous, les salaires de l'équipe passent avant le nôtre. Nous investissons nos nuits, nos weekends, et parfois nos économies personnelles pour faire vivre des familles. 🔹 Une PME, c'est un acteur local, un soutien pour l'économie réelle. Reconnaissons le travail de ceux qui créent, innovent et prennent des risques pour l'avenir. E2TS Errahman GOURARI PROTEOS Rachid NAJMAOUI
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Les chefs d’entreprises essaient d’imaginer le mode d’emploi d’une France qui serait ingouvernable, faute de majorité claire. Dans l’attente d’un deuxième tour qui pourrait accoucher d’un gouvernement sans majorité, les chefs d’entreprise essaient déjà d’imaginer comment la France pourrait alors fonctionner avec une administration sans pouvoir politique. Le monde de l’entreprise et des affaires représente en France près de 5 millions de responsables, managers ou chefs d’entreprise. Beaucoup sont des petites et moyennes entreprises, et même des micro-entreprises. Mais toutes ensemble constituent la colonne vertébrale du pays qui lui permet de tenir debout. Un secteur dont dépend plus de 21 millions de salariés. La fonction du chef d’entreprise est en effet d’assurer la création de richesses et d’emplois. Sans création de richesse, rien n’est possible : pas de salaires, pas de consommation, pas d’impôts, pas de services publics, pas de fonctionnaires, pas de moyens pour assurer la sécurité et l’ordre public. Le ressort principal des chefs d’entreprise, c’est la liberté de s’organiser et d’optimiser leur intérêt dans un monde de concurrence qui les oblige à progresser et dans un État de droit qui leur permet de sécuriser leur activité. Avec des partenaires et des contre-pouvoirs que sont leurs salariés, leurs actionnaires ou banquiers et surtout leurs clients. Aujourd’hui et depuis presque un mois, ce système de production s’est mis au ralenti. Les décisions d’investissement et d’emplois ont été suspendues ou retardées parce que ce monde de l’entreprise a évidemment été surpris par la décision aussi brutale de la dissolution de l’Assemblée nationale. La campagne électorale a montré que les solutions alternatives n’étaient pas évidentes avec des programmes de gouvernements assez peu cohérents et surtout dominés par des promesses très démagogiques et par conséquent très coûteuses en dépenses sociales et en fiscalité. Cela étant, les chefs d’entreprises comme les marchés (c’est-à-dire tous ceux qui prêtent de l’argent) n’ont pas paniqué. Ni en France, ni en Europe. Pourquoi ? Parce que les résultats du premier tour, les débats et les tractations entre les deux tours ont semblé indiquer que le risque d’une majorité d’extrême gauche (dominée par LFI) était écarté. Quant au risque d’une majorité d’extrême droite, il paraissait moins dangereux dans la mesure où le programme de gouvernement du RN a été très édulcoré…. https://lnkd.in/eMPM25EX
Les chefs d’entreprises essaient d’imaginer le mode d’emploi d’une France qui serait ingouvernable, faute de majorité claire
atlantico.fr
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Cher(e)s Ami(e)s Députés, Sénatrice, Sénateurs, Le discours de défense de notre territoire charentais maritime doit être le même ici qu’à Paris ! Et aux paroles ce sont des actes dont nous avons besoin maintenant ! Nous entendons déjà les premières fermetures d’entreprises, licenciements …Nous risquons de les entendre encore plus dans les prochaines semaines si le gouvernement réduit les allègements de charges pour les entreprises. L’heure est grave. 📢 Plus d’impôts ou plus d’emplois : il faut choisir ! Alors que le chômage repart à la hausse, le gouvernement envisage d’augmenter les impôts et de réduire les allègements de charges pour les entreprises. Une décision lourde de conséquences sur l’emploi et la croissance 👉 Les allègements de charges ne sont pas des cadeaux : ce sont des outils essentiels pour investir dans l’emploi et la compétitivité. Ils permettent aux entreprises, notamment les plus petites, d’embaucher, former et maintenir des postes. ⚠️ Un surcoût d’environ 20 milliards d’euros, cela correspond aux salaires chargés de 400 000 emplois. Cette décision risque de transformer une reprise fragile en véritable crise de l’emploi. Au moment où la France fait face à des défis majeurs, est-ce vraiment le choix le plus raisonnable ? 🔴 Il n’est pas trop tard pour agir. Le Parlement a encore la possibilité de réorienter cette mesure pour éviter un choc économique et social. Protéger l’emploi et les entreprises, c’est protéger nos territoires et notre avenir. 📌 Le choix est clair : plus d’impôts ou plus d’emplois. Les entreprises et leurs salariés méritent mieux. Cher(e)s Ami(e)s à vous de choisir ! #CréerOuPayer #Emploi #Compétitivité #Entreprises #AllègementsDeCharges #MEDEF#PatrickMartin
𝐇𝐚𝐮𝐬𝐬𝐞𝐬 𝐝’𝐢𝐦𝐩𝐨̂𝐭𝐬 𝐨𝐮 𝐜𝐫𝐞́𝐚𝐭𝐢𝐨𝐧𝐬 𝐝’𝐞𝐦𝐩𝐥𝐨𝐢𝐬, 𝐢𝐥 𝐟𝐚𝐮𝐭 𝐜𝐡𝐨𝐢𝐬𝐢𝐫 ! Les entreprises de France ont – à raison – la désagréable impression en suivant les débats budgétaires en cours, d’être dans une fable de La Fontaine : la poule aux œufs d’or. Elles qui se mobilisent pour l’emploi, qui créent de la richesse, la partagent, l’investissent, se retrouvent ciblées par près de 20 milliards d’impôts et de charges supplémentaires ! Or, tuer la poule aux œufs d’or n’a jamais rien rapporté, si ce n’est se priver de sa plus grande richesse. C’est exactement ce qui risque de se produire si ce budget était voté dans les termes actuels : 8 milliards d’euros d’impôts sur les sociétés, 5 milliards d’euros de réduction des allègements de charges, 2,3 milliards transférés de l’Assurance Maladie aux complémentaires santé, 1,2 milliard d’économies sur les aides à l’apprentissage et 800 millions de versement mobilité qui viennent alourdir d’autant le coût du travail. Derrière ces ordres de grandeur qui donnent le tournis, ce ne sont pas moins de 400.000 emplois qui de ce fait ne pourraient être créés. Avant même que le couperet ne tombe, nous connaissons déjà l’issue funeste qu’aurait une telle peine : les entreprises arrêteraient de recruter, ne pourraient plus répondre aux attentes légitimes de leurs salariés en matière d’augmentation, se tourneraient vers l’étranger et feraient bénéficier de leur contribution à l’intérêt général à d’autres pays, bien plus dynamiques, attractifs, ayant compris que leur intérêt et celui des entreprises ne faisait qu’un. Face à ce scénario catastrophe que nous devons collectivement éviter le Mouvement des Entreprises de France, avec la responsabilité et la légitimité que lui confère son statut de première organisation patronale, lance une mobilisation d’ampleur : 𝐇𝐚𝐮𝐬𝐬𝐞𝐬 𝐝’𝐢𝐦𝐩𝐨̂𝐭𝐬 𝐨𝐮 𝐜𝐫𝐞́𝐚𝐭𝐢𝐨𝐧𝐬 𝐝’𝐞𝐦𝐩𝐥𝐨𝐢𝐬, 𝐢𝐥 𝐟𝐚𝐮𝐭 𝐜𝐡𝐨𝐢𝐬𝐢𝐫 ! C’est pourquoi j’appelle solennellement nos 119 MEDEF territoriaux et régionaux, partout dans l’hexagone et les Outre-mer, à se mobiliser et faire entendre plus encore la voix de nos 200.000 entreprises qui ne demandent qu’une chose : qu’on leur fasse confiance et qu’elles puissent participer à la réussite du pays et l’ensemble de ses territoires ! Ensemble, faisons entendre raison à des débats qui sont saturés de propositions attrayantes sur le papier par leur facilité et leur rapidité d’exécution mais qui seraient tout bonnement catastrophiques pour notre économie, ses entreprises, leurs salariés : les Français ! Ensemble, martelons – je l’ai encore fait jeudi et vendredi en présence du Premier ministre Michel Barnier et des ministres Antoine Armand et Marc Ferracci – que la réussite de la France ne pourra se faire qu’au travers de celle de ses entreprises ! Soyons courageux, ne cédons pas à la facilité en nous trompant de cibles, cela condamnerait notre pays. #BilletDuDimanche
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Total soutien à Patrick Martin, président du Mouvement des Entreprises de France ! Dans un contexte de concurrence mondiale, il est impératif de cesser d'alourdir la fiscalité des Français et des entreprises. Ces lourdes taxations freinent notre compétitivité et nuisent à la création d'emplois. L'État doit se réformer en profondeur, se remettre en question, réaliser des économies substantielles et réduire significativement ses effectifs. La priorité doit être donnée à la satisfaction des citoyens, en mettant en place des politiques publiques plus efficientes et adaptées aux grandes mutations de notre société.
𝐇𝐚𝐮𝐬𝐬𝐞𝐬 𝐝’𝐢𝐦𝐩𝐨̂𝐭𝐬 𝐨𝐮 𝐜𝐫𝐞́𝐚𝐭𝐢𝐨𝐧𝐬 𝐝’𝐞𝐦𝐩𝐥𝐨𝐢𝐬, 𝐢𝐥 𝐟𝐚𝐮𝐭 𝐜𝐡𝐨𝐢𝐬𝐢𝐫 ! Les entreprises de France ont – à raison – la désagréable impression en suivant les débats budgétaires en cours, d’être dans une fable de La Fontaine : la poule aux œufs d’or. Elles qui se mobilisent pour l’emploi, qui créent de la richesse, la partagent, l’investissent, se retrouvent ciblées par près de 20 milliards d’impôts et de charges supplémentaires ! Or, tuer la poule aux œufs d’or n’a jamais rien rapporté, si ce n’est se priver de sa plus grande richesse. C’est exactement ce qui risque de se produire si ce budget était voté dans les termes actuels : 8 milliards d’euros d’impôts sur les sociétés, 5 milliards d’euros de réduction des allègements de charges, 2,3 milliards transférés de l’Assurance Maladie aux complémentaires santé, 1,2 milliard d’économies sur les aides à l’apprentissage et 800 millions de versement mobilité qui viennent alourdir d’autant le coût du travail. Derrière ces ordres de grandeur qui donnent le tournis, ce ne sont pas moins de 400.000 emplois qui de ce fait ne pourraient être créés. Avant même que le couperet ne tombe, nous connaissons déjà l’issue funeste qu’aurait une telle peine : les entreprises arrêteraient de recruter, ne pourraient plus répondre aux attentes légitimes de leurs salariés en matière d’augmentation, se tourneraient vers l’étranger et feraient bénéficier de leur contribution à l’intérêt général à d’autres pays, bien plus dynamiques, attractifs, ayant compris que leur intérêt et celui des entreprises ne faisait qu’un. Face à ce scénario catastrophe que nous devons collectivement éviter le Mouvement des Entreprises de France, avec la responsabilité et la légitimité que lui confère son statut de première organisation patronale, lance une mobilisation d’ampleur : 𝐇𝐚𝐮𝐬𝐬𝐞𝐬 𝐝’𝐢𝐦𝐩𝐨̂𝐭𝐬 𝐨𝐮 𝐜𝐫𝐞́𝐚𝐭𝐢𝐨𝐧𝐬 𝐝’𝐞𝐦𝐩𝐥𝐨𝐢𝐬, 𝐢𝐥 𝐟𝐚𝐮𝐭 𝐜𝐡𝐨𝐢𝐬𝐢𝐫 ! C’est pourquoi j’appelle solennellement nos 119 MEDEF territoriaux et régionaux, partout dans l’hexagone et les Outre-mer, à se mobiliser et faire entendre plus encore la voix de nos 200.000 entreprises qui ne demandent qu’une chose : qu’on leur fasse confiance et qu’elles puissent participer à la réussite du pays et l’ensemble de ses territoires ! Ensemble, faisons entendre raison à des débats qui sont saturés de propositions attrayantes sur le papier par leur facilité et leur rapidité d’exécution mais qui seraient tout bonnement catastrophiques pour notre économie, ses entreprises, leurs salariés : les Français ! Ensemble, martelons – je l’ai encore fait jeudi et vendredi en présence du Premier ministre Michel Barnier et des ministres Antoine Armand et Marc Ferracci – que la réussite de la France ne pourra se faire qu’au travers de celle de ses entreprises ! Soyons courageux, ne cédons pas à la facilité en nous trompant de cibles, cela condamnerait notre pays. #BilletDuDimanche
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