« J’ai le sentiment que, aujourd’hui, plus le problème est grave, plus le déni est fort. » « Le principe de l’agroécologie est de répondre aux problèmes posés par la nature par des solutions fondées sur la nature. [...] Scientifiquement validée et techniquement possible, cette transition demande une transformation globale. Se contenter d’interdire le glyphosate est absurde. Il faut changer tout notre modèle agricole. » Retrouvez l’entretien avec le philosophe, romancier et essayiste Gaspard Kœnig dans Le Monde : https://lnkd.in/evAHBqTt
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Agrobio35 a fait un point sur les Parlementaires et la bio en Ille-et-Vilaine. Celles et ceux qui ont soutenu par leur écoute et par leur action une agriculture plus respectueuse de la planète et de la santé humaine et ceux qui ont eu moins l'occasion (ou l'envie 😉) de le faire. https://lnkd.in/eiaW6QWf Concernant les positions des partis politiques plus globalement, nous nous sommes basé sur les constats de la FNAB : https://lnkd.in/eFqS-7ux Rappelons-nous à toutes fins utiles que si nous ne savons pas agir pour préserver la vie humaine sur notre planète, alors, les questions de financement des retraites, les questions géopolitiques, les avis des agences de notation sur le budget de tel ou tel État, et les peurs des uns ou des autres, ne seront plus vraiment importants 😅 Rozenn GUENNEUGUES Quentin Vazeille Fédération Nationale d'Agriculture Biologique (FNAB) Fédération Régionale des Agrobiologistes de Bretagne Armelle LÉNA Nadine HERBELIN Bernard Ollié bernard pouvreau
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Zéro phyto : accompagner la transition agro-écologique 🌽 De nombreuses études et expérimentations montrent que la transition agroécologique est non seulement possible, mais aussi économiquement viable à long terme. Des fermes pionnières démontrent que les systèmes agroécologiques peuvent réduire les coûts liés aux intrants tout en augmentant la résilience face aux aléas climatiques et aux fluctuations des marchés. 🚜 Cette transition nécessite néanmoins un soutien en termes de formation, d’investissementinitial, et un accès facilité à des circuits courts pour mieux valoriser les productions. 🥛 Pour plus d'informations 👀 : https://lnkd.in/etdTHN-a
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Une étude de l'Institut de l'agriculture et de l'alimentation biologique (Itab), basée sur 800 articles scientifiques, confirme les nombreux bienfaits de l'agriculture biologique pour le climat, les ressources naturelles et la santé. Elle met en avant : ■Climat : Réduction des émissions de gaz à effet de serre par hectare, avec une baisse de 50 % pour le CO2 et l'azote grâce à l'absence de fertilisants de synthèse. Toutefois, l'élevage bio peut produire plus de méthane, mais sa contribution globale pourrait être moindre. ■Sols et biodiversité : Amélioration des sols dans 70 % des cas, augmentation de 23 % de la diversité des espèces et de 32 % du nombre d'individus sur les parcelles bio. ■Santé : Corrélation possible avec une réduction des risques d'obésité, de diabète ou de cancer. L'étude survient dans un contexte difficile pour la filière, confrontée à des défis économiques et à des décisions politiques défavorables, comme la suppression de crédits pour l'Agence bio par le Sénat. https://lnkd.in/gc_epQJU
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Des transitions radicales et structurelles sont effectivement nécessaires: « sortie des énergies fossiles, baisse drastique des usages de pesticides et d’intrants azotés, sobriété des modes de consommation, baisse de la consommation de protéines animales… » Plus que jamais nous avons besoin de chercheurs compétents et indépendants !
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🌱 L'agriculture de demain sera-t-elle libérée des énergies fossiles ? Ce sera probablement plus proche de la privation que de la libération......c'est pour cela que nous devons nous y préparer! De plus, l'#agriculture est une des seules activités capable de capter et stocker l'énergie solaire. Grâce à la photosynthèse. 🌍 A Karbon Ethic, nous pensons que réfléchir pour anticiper le bon usage des ressources dans un monde bas carbone est indispensable. 🚜 C'est dans ce cadre que nous nous interrogeons sur l'agriculture de demain, au croisement de nos besoins #alimentaires, des #bioressources et autres #agrocarburants. Et le tout dans un climat qui ne ressemblera plus à celui d'aujourd'hui, et probablement moins favorable aux cultures ! 🤔 Ces sujets vous intéressent? 📢 Alors venez assister à la table ronde "Une agriculture pour une société bas-carbone : biocarburants et biomatériaux en action : rêve ou réalité?" organisée par Karbon Ethic et la CCI Marne Ardennes! 👥 Venez échanger et participer au débat avec des acteurs de la bioéconomie et des agriculteurs. 📆 Quand? Mercredi 26 juin à 19h 📌 Où? A la CCI Marne Ardennes à Reims 👇 Retrouvez le lien d'inscription en commentaire
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Le bio coute-t-il plus cher ? A la caisse c’est sûr ! D’ailleurs, les surcoûts ne sont pas que ceux de la production mais aussi… ceux des marges des intermédiaires. Parlons des coûts indirects de l’agriculture qui n’est pas bio… J’ai du mal à estimer les coûts en santé : voyons juste les coût d’épuration de l’eau à cause de l’azote et des pesticides : pour la France, je trouve des estimations variables, entre 51 et 94 milliards d’euros par an ! On parle bel & bien d’une partie du coût de l’agriculture actuelle, considérable face aux presque 9 milliards que coûte aux contribuables français la PAC (120 euros par personne et par an). Voilà pourquoi les zones de captage encouragent le bio et les haies, qui réduisent chacun de 20 à 30 % les transferts d’azote vers les nappes. Un chiffre courre à la COP16 : notre agriculture qui ne maintient pas la durabilité des sols (photo Hauts de France, P. Frutier) et met en péril la santé humaine coûte quand même 2 milliards de dollars de soutien par jour dans le monde… Moi je veux bien payer : mais pour une agriculture qui remplisse un cahier des charges sur la qualité et la quantité de l’eau, la qualité de l’air et la santé humaine. Ah, et une agriculture qui nourrisse dignement les agriculteurs. Pour ça on doit continuer à payer ! Mais pas pour des c…ies. En kiosque. Les sols sont notre patrimoine : une interview dans La Recherche n° 580 spécial sols. Pourquoi les fruits bleus sont-ils rares ? dans Espèce n° 54. Ma 5ème chronique dans Médecine/sciences (n°40) : Les déchets, outils du mutualisme parfait ? Sur le net. Biodiversité : réinventer la relation entre l’homme et le vivant (Néoterra à Bordeaux : https://lnkd.in/ebE3vaAy). The evolution of interdependency between symbiotic organisms by neutral evolution (séminaire de recherche, https://lnkd.in/ef4txUx2). Une tribune dans… La Tribune sur la bioinspiration et le lien à la nature, en belle compagnie (https://lnkd.in/eBn_utiN). Sur l’agenda. Le 16 à 18h, présentation de nature et Préjugés au siège d’Ingénieurs et Scientifiques de France, 7 rue Lamennais (75008) et le 18 à 17h30 à Centrale Supélec (dans la cadre des Cafés Frappés). Des sols viticoles au Domaine Bel Argus (49750 Val-du-Layon) le 17 au matin puis intervention l’après-midi à l'ISTOM d’Angers. Le 19, cours sur la Symbiose au master MEEF de Paris VII. Le 22, un exposé sur la truffe à la Fête de la truffe à Rognes (13840) : puis c’est les vacances… on se retrouvera à la rentrée !
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Comparons les vrais coûts du bio et de l'agriculture industrielle....
Le bio coute-t-il plus cher ? A la caisse c’est sûr ! D’ailleurs, les surcoûts ne sont pas que ceux de la production mais aussi… ceux des marges des intermédiaires. Parlons des coûts indirects de l’agriculture qui n’est pas bio… J’ai du mal à estimer les coûts en santé : voyons juste les coût d’épuration de l’eau à cause de l’azote et des pesticides : pour la France, je trouve des estimations variables, entre 51 et 94 milliards d’euros par an ! On parle bel & bien d’une partie du coût de l’agriculture actuelle, considérable face aux presque 9 milliards que coûte aux contribuables français la PAC (120 euros par personne et par an). Voilà pourquoi les zones de captage encouragent le bio et les haies, qui réduisent chacun de 20 à 30 % les transferts d’azote vers les nappes. Un chiffre courre à la COP16 : notre agriculture qui ne maintient pas la durabilité des sols (photo Hauts de France, P. Frutier) et met en péril la santé humaine coûte quand même 2 milliards de dollars de soutien par jour dans le monde… Moi je veux bien payer : mais pour une agriculture qui remplisse un cahier des charges sur la qualité et la quantité de l’eau, la qualité de l’air et la santé humaine. Ah, et une agriculture qui nourrisse dignement les agriculteurs. Pour ça on doit continuer à payer ! Mais pas pour des c…ies. En kiosque. Les sols sont notre patrimoine : une interview dans La Recherche n° 580 spécial sols. Pourquoi les fruits bleus sont-ils rares ? dans Espèce n° 54. Ma 5ème chronique dans Médecine/sciences (n°40) : Les déchets, outils du mutualisme parfait ? Sur le net. Biodiversité : réinventer la relation entre l’homme et le vivant (Néoterra à Bordeaux : https://lnkd.in/ebE3vaAy). The evolution of interdependency between symbiotic organisms by neutral evolution (séminaire de recherche, https://lnkd.in/ef4txUx2). Une tribune dans… La Tribune sur la bioinspiration et le lien à la nature, en belle compagnie (https://lnkd.in/eBn_utiN). Sur l’agenda. Le 16 à 18h, présentation de nature et Préjugés au siège d’Ingénieurs et Scientifiques de France, 7 rue Lamennais (75008) et le 18 à 17h30 à Centrale Supélec (dans la cadre des Cafés Frappés). Des sols viticoles au Domaine Bel Argus (49750 Val-du-Layon) le 17 au matin puis intervention l’après-midi à l'ISTOM d’Angers. Le 19, cours sur la Symbiose au master MEEF de Paris VII. Le 22, un exposé sur la truffe à la Fête de la truffe à Rognes (13840) : puis c’est les vacances… on se retrouvera à la rentrée !
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Je suis tout à fait d'accord avec vos opinions. Malheureusement, il faut aussi considérer tout ce qu'implique l'épandage continu des boues liquides des stations d'épuration sur des terres agricoles, malgré une réglementation plus stricte (due à la pandémie de coronavirus) qui aurait dû limiter cette opération. Les sociétés de l’assainissement, dont la plupart utilisent le système des boues activées pour le traitement des eaux usées, ont été obligées d'investir en partie dans la méthanisation de ces boues, ce qui produit un digestat (90 % du volume en entrée) qui est épandu sous forme liquide et concentrée sur les terres agricoles. D'autres digestats issus de la méthanisation de déchets organiques ont été ajoutés à l'épandage, principalement sur des cultures céréalières. Cette situation conduit progressivement à une dégradation des sols, mettant en péril les nappes phréatiques. Des solutions alternatives existent pour valoriser les digestats sur place avant épandage, mais des investissements sont nécessaires, et tant que les entreprises ne seront pas contraintes par des réglementations plus strictes, elles ne le feront pas. Dans la liste des publications signalées, un article intéressant sur les « polluants éternels » est paru dans Science & Vie du mois de décembre 2024.
Le bio coute-t-il plus cher ? A la caisse c’est sûr ! D’ailleurs, les surcoûts ne sont pas que ceux de la production mais aussi… ceux des marges des intermédiaires. Parlons des coûts indirects de l’agriculture qui n’est pas bio… J’ai du mal à estimer les coûts en santé : voyons juste les coût d’épuration de l’eau à cause de l’azote et des pesticides : pour la France, je trouve des estimations variables, entre 51 et 94 milliards d’euros par an ! On parle bel & bien d’une partie du coût de l’agriculture actuelle, considérable face aux presque 9 milliards que coûte aux contribuables français la PAC (120 euros par personne et par an). Voilà pourquoi les zones de captage encouragent le bio et les haies, qui réduisent chacun de 20 à 30 % les transferts d’azote vers les nappes. Un chiffre courre à la COP16 : notre agriculture qui ne maintient pas la durabilité des sols (photo Hauts de France, P. Frutier) et met en péril la santé humaine coûte quand même 2 milliards de dollars de soutien par jour dans le monde… Moi je veux bien payer : mais pour une agriculture qui remplisse un cahier des charges sur la qualité et la quantité de l’eau, la qualité de l’air et la santé humaine. Ah, et une agriculture qui nourrisse dignement les agriculteurs. Pour ça on doit continuer à payer ! Mais pas pour des c…ies. En kiosque. Les sols sont notre patrimoine : une interview dans La Recherche n° 580 spécial sols. Pourquoi les fruits bleus sont-ils rares ? dans Espèce n° 54. Ma 5ème chronique dans Médecine/sciences (n°40) : Les déchets, outils du mutualisme parfait ? Sur le net. Biodiversité : réinventer la relation entre l’homme et le vivant (Néoterra à Bordeaux : https://lnkd.in/ebE3vaAy). The evolution of interdependency between symbiotic organisms by neutral evolution (séminaire de recherche, https://lnkd.in/ef4txUx2). Une tribune dans… La Tribune sur la bioinspiration et le lien à la nature, en belle compagnie (https://lnkd.in/eBn_utiN). Sur l’agenda. Le 16 à 18h, présentation de nature et Préjugés au siège d’Ingénieurs et Scientifiques de France, 7 rue Lamennais (75008) et le 18 à 17h30 à Centrale Supélec (dans la cadre des Cafés Frappés). Des sols viticoles au Domaine Bel Argus (49750 Val-du-Layon) le 17 au matin puis intervention l’après-midi à l'ISTOM d’Angers. Le 19, cours sur la Symbiose au master MEEF de Paris VII. Le 22, un exposé sur la truffe à la Fête de la truffe à Rognes (13840) : puis c’est les vacances… on se retrouvera à la rentrée !
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« Des #transitions radicales et #structurelles sont donc nécessaires, qui impliquent des choix forts : sortie des énergies fossiles, baisse drastique des usages de #pesticides et d’intrants azotés, #sobriété des modes de consommation, baisse de la consommation de #protéinesanimales… Ces choix induisent des coûts et des risques pour un certain nombre d’acteurs des secteurs agricole et alimentaire, à mettre en regard des opportunités de développement de systèmes sains et durables. Malheureusement, le #climatpolitique et #médiatique actuel favorise une approche relative (voire alternative) de la #vérité, qui mène à la suspicion vis-à-vis des résultats de la recherche, des #atteintes à la #liberté académique, et une #polarisation des opinions. L’influence des #lobbys, aux intérêts #contradictoires, qui cherchent à mettre en cause et à relativiser le discours scientifique, voire à l’intimider, est aussi à prendre en compte…. Dans ce contexte, il est de notre #responsabilité, en tant que #scientifiques travaillant pour toutes les composantes de la société, de #résister à ces #pressions et de maintenir l’objectif d’une recherche exigeante et #indépendante.” INRAE AgroParisTech AgroParisTech Executive AgroParisTech Alumni FNSEA Confédération Paysanne Ministère de l'Agriculture, de la Souveraineté alimentaire et de la Forêt
Agriculture : « Il est de notre responsabilité, en tant que scientifiques, de résister aux pressions des lobbys »
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C’est un des enjeux majeurs de la prochaine mandature des chambres d’agriculture, développer l’agriculture biologique qui, par l’exigence de son cahier des charges, prévient la qualité des eaux sur les aires d’alimentation de captage. Si seulement le grand public pouvait en prendre conscience !
Le bio coute-t-il plus cher ? A la caisse c’est sûr ! D’ailleurs, les surcoûts ne sont pas que ceux de la production mais aussi… ceux des marges des intermédiaires. Parlons des coûts indirects de l’agriculture qui n’est pas bio… J’ai du mal à estimer les coûts en santé : voyons juste les coût d’épuration de l’eau à cause de l’azote et des pesticides : pour la France, je trouve des estimations variables, entre 51 et 94 milliards d’euros par an ! On parle bel & bien d’une partie du coût de l’agriculture actuelle, considérable face aux presque 9 milliards que coûte aux contribuables français la PAC (120 euros par personne et par an). Voilà pourquoi les zones de captage encouragent le bio et les haies, qui réduisent chacun de 20 à 30 % les transferts d’azote vers les nappes. Un chiffre courre à la COP16 : notre agriculture qui ne maintient pas la durabilité des sols (photo Hauts de France, P. Frutier) et met en péril la santé humaine coûte quand même 2 milliards de dollars de soutien par jour dans le monde… Moi je veux bien payer : mais pour une agriculture qui remplisse un cahier des charges sur la qualité et la quantité de l’eau, la qualité de l’air et la santé humaine. Ah, et une agriculture qui nourrisse dignement les agriculteurs. Pour ça on doit continuer à payer ! Mais pas pour des c…ies. En kiosque. Les sols sont notre patrimoine : une interview dans La Recherche n° 580 spécial sols. Pourquoi les fruits bleus sont-ils rares ? dans Espèce n° 54. Ma 5ème chronique dans Médecine/sciences (n°40) : Les déchets, outils du mutualisme parfait ? Sur le net. Biodiversité : réinventer la relation entre l’homme et le vivant (Néoterra à Bordeaux : https://lnkd.in/ebE3vaAy). The evolution of interdependency between symbiotic organisms by neutral evolution (séminaire de recherche, https://lnkd.in/ef4txUx2). Une tribune dans… La Tribune sur la bioinspiration et le lien à la nature, en belle compagnie (https://lnkd.in/eBn_utiN). Sur l’agenda. Le 16 à 18h, présentation de nature et Préjugés au siège d’Ingénieurs et Scientifiques de France, 7 rue Lamennais (75008) et le 18 à 17h30 à Centrale Supélec (dans la cadre des Cafés Frappés). Des sols viticoles au Domaine Bel Argus (49750 Val-du-Layon) le 17 au matin puis intervention l’après-midi à l'ISTOM d’Angers. Le 19, cours sur la Symbiose au master MEEF de Paris VII. Le 22, un exposé sur la truffe à la Fête de la truffe à Rognes (13840) : puis c’est les vacances… on se retrouvera à la rentrée !
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