Post de Université Protestante d’Afrique Centrale

Mais l’accord UE-ACP avec le mandat de groupe conféré au bloc CEDEAO avec les oppositions en son sein comme la Côte d’Ivoire et le Ghana partants devraient aussi être pris en compte de manière officielle. Tout comme la question de l’externalisation de l’enjeu migratoire avec à terme des possibilités d’envois d’éléments de Frontex vers les lieux de départ avec l’épineux enjeu de l’immunité pénale pour ses agents . Sans oublier , le véritable statut des partenariats futurs à bâtir. Sur la base de quel statut précis ? Un partenariat stratégique ? Privilégié ?

Mali : Voici pourquoi Assimi Goïta tourne le dos au Sénégal

Le Togo à l'ère de la Diplomatie Économique : Défense et Promotion des intérêts nationaux partout à travers le monde. (Veille, Intelligence Économique et Stratégique) NB : Consensus indéfectible autour des intérêts nationaux du Togo peu importe la tendance politique, culturelle ou religieuse...

𝗟𝗲𝘀 𝗿𝗲𝗹𝗮𝘁𝗶𝗼𝗻𝘀 𝗲𝗻𝘁𝗿𝗲 𝗔𝗵𝗶𝗱𝗷𝗼 𝗲𝘁 𝗙𝗼𝗻𝗰𝗵𝗮 “Les relations entre Ahidjo et Foncha, deux personnalités aux profils psychologiques contrastés, sont ambiguës. Ahidjo, héritier de la tradition jacobine française, plaide pour une fédération forte,”un régime plus souple que le fédéralisme traditionnel, d’une solution parfaitement adaptée et surtout adaptable”. Quant à John Nguh Foncha, porteur des aspirations des Camerounais anglophones, il désirait une confédération, dans l’esprit du mémorandum du 24 décembre 1960, adressé aux autorités administratives britanniques. Selon ce mémorandum en effet, la réunification des deux Cameroun était définie comme l’union libre des deux parties de l’ancien protectorat allemand.” Les deux étaient certes convaincus de la nécessité de prendre en compte la volonté populaire exprimée dans le plébiscite de février 1961, mais animés d’une prudence qui ne manquerait pas de déteindre sur leurs relations(...) P.113 Catalogue d'exposition 𝗜𝗻𝗱é𝗽𝗲𝗻𝗱𝗮𝗻𝗰𝗲 𝗱𝘂 𝗖𝗮𝗺𝗲𝗿𝗼𝘂𝗻, 𝗟𝗶𝗯é𝗿𝗼𝗻𝘀 𝗹𝗮 𝗺é𝗺𝗼𝗶𝗿𝗲 Profitez encore de l'exposition Indépendance du Cameroun, Libérons la mémoire en cours au Musée des Civilisations à Dschang. French Embassy in Cameroon Agence Française de Développement

Atelier régional de réflexion et de signature du pacte de fraternité et de collaboration entre les religieux du Burkina Faso, du Mali et de la Côte d’Ivoire dans le cadre de la surveillance transfrontaliere entre ces trois pays

Dans le cadre de la conférence régionale de l'Afrique de l'Ouest et en prélude au 9e Congrès panafricain, les ministres des Affaires étrangères et les représentants d'États membres et d'États observateurs de l'Alliance Politique Africaine (APA) se sont réunis ce 15 mars à Bamako, au Mali. L'objectif était de consolider leur engagement en faveur d'une Afrique politiquement forte et indépendante. 👉https://wp.me/p7SnEB-2ao

Une belle analyse de ✔️ Oumar Ndiaye Il faudrait rappeler que le PASTEF est venu au pouvoir avec en bandoulière, la contestation d’un « système » de gouvernance intérieure mais aussi de nos relations internationales, soit le même cadre posé par les militaires qui ont pris le pouvoir ces dernières années au Sahel. La critique de la CEDEAO est un dénominateur commun entre PASTEF et les pays de l’AES et il existait des contacts entre les leaders des deux entités bien avant l’accession au pouvoir de Bassirou Diomaye Faye. Il y a donc une convergence de vision qui donne une légitimité d’emblée à Faye aux yeux des leaders de l’AES. L’exercice de la démocratie par lequel Diomaye Faye est venu au pouvoir, le renforcement du Sénégal comme une vitrine démocratique en Afrique (de l’Ouest) soutenue par l’élan des premières visites du President dans les pays aux leaders démocratiquement élus, maintient aussi la crédibilité du Sénégal sur la ligne politique de la CEDEAO. C’est donc de par cette ambivalence que le Sénégal est le plus légitime pour tenter d’encourager une réconciliation entre la CEDEAO et les pays de l’AES mais doit porter la condition des réformes nécessaires en garantie.

Des exemples à suivre par tout africain merci et bravo

L’initiative d’Ousmane Sonko de tendre la main à Assimi Goïta montre une volonté de préserver des relations solides entre le Sénégal et le Mali, deux pays liés par l’histoire, la culture et la géopolitique. Dans un contexte où les tensions régionales sont exacerbées par les sanctions de la CEDEAO, il est crucial de privilégier le dialogue et la coopération. Cependant, il ne suffit pas de critiquer les décisions de la CEDEAO ; il est tout aussi important de proposer des solutions viables qui favorisent la stabilité et la transition démocratique au Mali. Sauver « ce qui est sauvable » doit passer par une approche équilibrée qui prend en compte les réalités locales tout en respectant les engagements démocratiques de la région. Espérons que ce rapprochement ouvre la voie à des négociations fructueuses pour l’avenir du Mali et de la sous-région.