Post de Réseau d’Enquêteurs Privés | REP

En avril, je fête dix ans d’activité d’administratrice indépendante dans différents établissements financiers genevois (je n’ai pas passé les frontières cantonales pour jusqu’à maintenant. Avis aux amateurs). Qu’est-ce que j’ai appris ? ✔ A tous ceux et celles qui hésitent, qui ne se sentent pas prêt(e)s pour entrer dans un conseil d’administration, allez-y. C’est une expérience formidable. Et vous êtes prêt(e)s. ✔ Arriver préparé(e)s. Cela paraît évident mais... ✔ Comme nouvelle ou nouveau venu(e), examiner avec un oeil d’anthropologue les dynamiques au sein du Conseil et de la direction, le fonctionnement des interactions. Ma formation en approche systémique stratégique m’a beaucoup aidée dans cette phase initiale.  ✔ Poser des questions, toujours. Dépassez cette peur infondée de paraître mal informé(e)s ou cette conviction absurde que vous devriez tout comprendre. C’est le conseil très avisé que m’a donné un de mes anciens associés (c’est bien toi, Alessandro Bizzozero) et je continue à poser des questions et à constater que tout le monde est très soulagé que je les pose.  ✔ Corollaire du point précédent: si vous ne comprenez pas, c’est peut-être qu’il n’y a rien à comprendre, que c’est mal pensé et mal expliqué, que les documents de référence sont mal conçus.  ✔ Insister pour recevoir des reportings (risque, compliance, etc.) dans un format qui vous convient (généralement un juste milieu entre trop d’information très verbeuse et des tableaux tellement condensés qu’ils en deviennent abstraits).  ✔ S'assurer de passer suffisamment de temps sur les aspects stratégiques. Dans les banques, on passe beaucoup de temps sur les aspects liés aux contrôles et aux audits, souvent au détriment de la stratégie. Cela s’est beaucoup amélioré ces dernières années et je pense qu’on peut encore progresser.  ✔ Toujours se mettre d’accord sur ce qui a été décidé (ou pas) à la fin d’une discussion sur un point. Cela peut permettre d’éviter un syndrome d’Abilène dans lequel on finit par mollement décider de quelque chose dont personne ne veut vraiment (voilà un lien vers un article que j’avais publié sur le sujet: https://lnkd.in/ergGvMXy )  ✔ Toujours relire avec beaucoup d’attention les procès-verbaux des séances du Conseil d’administration et de ses comités. C’est votre assurance-risque en cas de problème (et parfois on découvre que, de manière étonnante, une réalité parallèle a été créée dans le PV…).  ✔ Anticiper les départs et les successions au niveau du Conseil d’administration et de la direction. Cela prend du temps et de l’énergie de trouver des nouveaux administrateurs ou membres de direction. Et vous, qu'avez-vous appris?

Quelle pratique a disparu avec la chute de l’empire romain avant de réapparaître au XIIIème siècle et devenir indispensable aux yeux de la majorité des acteurs de notre société aujourd’hui ❓ Non, non : je partage ton esprit joueur mais nous évoluons sur LinkedIn et confirme donc ne pas penser au préservatif…   👉 Il s’agit de l’#audit !   Audit viendrait du terme latin « audire » signifiant écouter. Les Romains l’employaient apparemment pour désigner un contrôle au nom de l’empereur sur la gestion des provinces. A la mort de Philippe le Bel en 1314, Louis X aurait fait examiner de près la gestion du garde du Trésor (le ministre des Finances de l’époque) avec, pour conséquence pour ce dernier, la pendaison. Aujourd’hui, l’auditeur exprime une opinion sur les états #financiers d’une entreprise. Son rôle est d’effectuer les travaux nécessaires visant à permettre l’expression d’une opinion relative à la sincérité et la fidélité des comptes publiés : rôle majeur et empreint d’une grande responsabilité, notamment vis-à-vis des parties prenantes de l'entreprise.   Quand j'interviens pour la première fois chez un nouveau client, je commence systématiquement par une phase d'audit. C'est d'ailleurs ce qui a probablement évité une fin d'aventure précoce à certains #dirigeants que j'ai pu accompagner. 👉 Et de ton côté, où plaçais-tu les origines de l'audit ?   -------------------------------------------------------------------------------   P.S : Si tu me découvres avec ce post, je parle chaque semaine de problématiques rencontrées et gérées par les DAF en entreprise. N'hésite pas à activer la cloche 🔔 sur mon profil si ce que je partage est de nature à t'intéresser 😉

✍️ Après les démarcheurs téléphoniques, «20 Minutes» s’intéresse à une autre profession souffrant d’une réputation sulfureuse, celle de contrôleur des Finances publiques Le métier d’inspecteur des impôts est en effet souvent mal perçu et caricaturé, notamment au cinéma, mais les professionnels interrogés expliquent que cette image négative est surtout due à une méconnaissance de leur travail Malgré cette mauvaise presse, la plupart des contrôleurs fiscaux assument leur rôle et soulignent leur utilité sociale, même si certains préfèrent ne pas en parler. La profession souffre d’une crise des vocations, mais celle-ci serait davantage liée aux conditions de travail qu’à l’image du métier 🔽 #finance #contrôleur #financespubliques #métier #inspecteurdesimpôts #cinéma #travail #profession #conditionsdetravail #réputation

Certains estiment que la somme qu'ils payent pour les services d'un professionnel en général et de l'avocat en particulier est une somme indue et non méritée du fait de la trop grande rapidité dans la prestation de ces services. Pour ces gens j'ai quelques questions : préféreriez vous payer la même somme si le service prenait plus de temps? voulez vous qu'à votre préoccupation une solution vous soit rapidement donnée afin de gagner en temps où voulez vous que cela prenne du temps au risque de vous faire perdre beaucoup plus d'argent et d'opportunités ? Inéluctablement les réponses nous les avons tous😏. le dynamisme, l'efficacité, la promptitude et la proactivité dont font preuve les avocats ont été chèrement acquis à la suite de longues nuits blanches, formations , la lecture d'innombrables documents... c'est donc à la suite de tout cela 😩qu'ils vous fournissent des services qui sembleraient rapides et qui ne nécessiteraient pas grand effort🤦🏿. ceux qui s'amusent à penser pouvoir faire pareil, peuvent s'essayer à cela et ils rencontreront très vite la dure réalité 😑. il faut parfois cesser d'être aigris😤 et remettre à César ce qui appartient à César 👌🏿. cette image résume bien cette réalité sur le métier d'avocat.

Je ne sais parfois plus quoi penser du comportement de certains. Nous facturons sur une de nos prestations 50% de nos honoraires à la prise de poste, 50% au bout de 2 mois si le candidat est toujours en poste. Si le candidat n’est plus en place à l’issue des 2 mois, nous ne facturons les 50% restant qu’une fois le candidat remplacé. Cette offre est par ailleurs en voie de disparition grâce à la mise en place de notre assurance RELAIS-SÛR (merci TalentSafe by Frédéric Voyer 🏔️). Nous venons de découvrir par hasard qu’un candidat qui n’avait pas été conservé par notre client fin 2022 était toujours en poste en juin 2024. Nous n’avions pas facturé le solde, ayant pris note de l’information communiquée par notre client. Comme cela peut arriver dans ce genre de situation, nous n’avions plus eu de nouvelles du candidat. De notre client non plus d’ailleurs, qui ne répondait pas à nos sollicitations pour remplacer le candidat. Nous en étions donc rester là. Mais quelle naïveté de notre part. Je n’en reviens pas. Je ne sais pas quoi en penser ce matin. Je vais le facturer rétroactivement pour le principe bien entendu. Cet ancien client paiera bien entendu. Nous allons aussi appeler le candidat pour lui proposer un nouveau poste, juste pour le fun et entendre sa réaction s’il daigne nous répondre. Ce matin, je suis vraiment fatigué du comportement de certains, qui pour ne pas payer sont prêts à mentir éhontément. A ceux qui me lisent et qui pensent que je critique encore une fois leur profession, je précise que je ne critique jamais leur profession que je respecte énormément. Je critique les comportement de certains et je me questionne sur leur manière d’exercer cette profession en ne respectant pas les contrats qu’ils signent avec leurs prestataires. Pire, en trichant. Que fait un assureur quand un de ses clients triche ?

Quand on vous dit que PLUS QUE PRO sélectionne scrupuleusement les entreprises qui intègrent le réseau...Ce n'est pas un argument commercial,  oh non !!! En voici un exemple criant,  et une expérience inhabituelle pour notre collègue Ludovic LEROY ✨ dans l'Aisne.  Notre réseau à bati toute sa crédibilité depuis 10 ans sur la protection du consommateur en sélectionnant des entreprises partenaires qui s'engagent à délivrer des prestations de qualité,  sous contrôle de véritables avis clients contrôlés et infalsifiables.  Chacun de nous, chaque mois, se voit refusé l'entrée au réseau de dossiers jugés"non eligibles". Cela ne remet pas en cause la qualité de l'entreprise en question,  mais signifie simplement que les critères avancés/étudiés sont insuffisants pour garantir la totale sécurité du consommateur dans l'immédiat. Et dans ce cas, on ne prendra pas le risque d'accorder un label "réseau des meilleures entreprises de France " qui protège nos consommateurs 100% confiants sur les entreprises du réseau.  Rien ne justifie des actes déplacés, dénigrant ou virulents, sous prétexte qu'une entreprise se voit refusée l'accès au réseau ‼️  Tout notre soutien Ludo pour cette malheureuse aventure et continuons de sélectionner les meilleures entreprises de nos régions,  le consommateur nous fait confiance pour cette unique raison.  😉💫

½ SOLUTION = PROBLEMES AU CARRE C’est amusant, lors de mes réunions avec mes clients, il arrive désormais qu’une maxime ou une citation se glisse dans les paroles de mes interlocuteurs avec une proposition de la reprendre dans « Au détour d’une citation ». C’est le cas de celle-ci. Métaphoriquement, cette « formule mathématique » suggère qu’une solution partielle, ou un problème incomplètement résolu peut aggraver le problème initial, ou engendrer des complications supplémentaires. Olivier Bas, Vice-Président de Havas, avait utilisé cette formule de façon encore plus directe « ½ décision = bordel au carré » pour faire passer le message que les décisions partielles sont parfois plus nocives, et couteuses, que la situation d’origine. _______________________  ½ CONTRÔLE = RISQUES ENCORE PLUS MASQUES Cette réflexion s’applique parfaitement à notre domaine du contrôle. Souvent, je constate que des « demi-mesures » ont été mises en place, et que l’existence de ces demi-mesures devient un réel frein, parfois même le plus important, à une réelle maîtrise du risque. Prenons l’exemple des contrôles comptables, sujet de prédilection de geoficiency. Combien de fois n’ai-je pas entendu : - « on a déjà quelques contrôles » - « les commissaires aux comptes le font déjà » - « les directions comptables répondent déjà à des questionnaires d’auto-évaluation sur le sujet ». Résultat des courses, non seulement le sujet n’est pas correctement traité. Réaliser très partiellement, ou penser que d’autres acteurs le font alors que ce n’est pas leur rôle, ou se contenter de déclarations plutôt que de faits, non seulement ne résoud pas le problème mais plus grave, génère deux effets pervers majeurs : - On laisse à penser que le sujet est traité - On a déjà dépensé de l’effort (temps, budget) sur le sujet Donc, in fine, l’effort dépensé a principalement réduit la perception d’un problème, sans résoudre le problème. On a investi dans notre aveuglement. Et cela rend encore plus difficile d’avoir la volonté de résoudre le problème initial, alors que cela pourrait se faire avec souvent une efficacité supérieure et un coût inférieur. Un dernier exemple : Lors de la proposition de mise en place d’une solution automatisée de détection des risques et anomalies comptables, il m’a été opposé que « nous avons déjà beaucoup investit dans nos quelques contrôles, que nous devons désormais maintenir, donc nous n’avons pas le temps de passer à autre chose ». Tout cela me fait penser à ce magnifique dessin qui m’a toujours amusé (voir en commentaire) La vraie solution, faire la chasse aux demi-solutions ! Pour suivre les citations et proverbes revisités ➡ Jean-Marc Allouët Pour en savoir plus et suivre l’activité de geoficiency ➡ geoficiency #datanalytics #audit #controle #sapin2 #corruption #compliance #fraude #comptabilité

💡Il y a deux ans, je finalisais en tant que chercheuse indépendante une étude sur les actions livre/lecture au sein des services de la PJJ, projet de recherche de l’association Lecture Jeunesse, en partenariat avec les ministères de la justice et de la culture. Il y a quelques semaines seulement, après relances-courriers recommandés-mise en demeure-procès , j’ai enfin été rémunérée pour ce travail. Le Bureau de l’association ne voulait pas payer, discutant la teneur du livrable, réfutant des écrits et attestations pourtant signés de leur direction, qui soutenait ma position. Lecture Jeunesse a retourné les faits et m’a assignée au tribunal. Toutes ses demandes ont été déboutées par la justice, qui l’a condamnée à payer ce qui m’était dû ainsi que les frais afférents, reconnaissant la validité de mon travail et de mes arguments dans le cadre de ce litige. Malgré cette décision en ma faveur, j’ai dû attendre 6 mois de plus et plusieurs relances d’huissier pour recevoir le paiement, qui reste incomplet au regard des frais engagés. Je reste amère de cette terrible expérience avec l’association, qui m’a coûté tant, sur tous les plans. J’ai dû travailler plus pour compenser la trésorerie et ma santé physique et mentale s’en est trouvée très altérée. J’ai finalement dû suspendre mon activité d’indépendante. Amère qu’un client ait pu remettre ainsi en cause mon expertise et mon intégrité professionnelles, jusqu’à mentir pour me décrédibiliser et me déstabiliser, alors que les personnes qui ont travaillé avec moi depuis plus de 20 ans savent que je m’engage avec cœur et énergie dans chacune de mes missions, quelle que soit la rémunération prévue. Amère qu’une association dite d’intérêt général, qui mobilise pour mener ses activités de l’argent public, des contribuables, ait finalement payé plus du double du budget prévu parce qu’elle n’a pas su gérer ses problèmes de gestion en interne. Enfin, je reste amère qu’une association d’accès à la culture, de qualité, dont le projet et les actions sont belles et importantes, dont les salariés sont compétents et investis, soit représentée par des élues capables d’un tel manque de discernement. Dans mon cas, ce « manque de discernement » relève du harcèlement moral. Cela renforce ma conviction : le modèle associatif français, souvent basé sur des rapports de domination et de chantage psychologique, doit évoluer et s’assainir. C’est une urgence sociale : dénonçons ces schémas toxiques qui tuent à petit feu le système associatif et les personnes qui le soutiennent. À celleux qui m’ont défendue et accompagnée pendant ces 2 ans de lutte, avocat, collègues, amis, sociologues, collaborateurs de Lecture Jeunesse : MERCI. Vous m’avez permis de tenir le coup, en me rappelant qu’il n’était question que de faits, que le problème ne venait pas de moi. Amère mais si fière de ne pas avoir cédé, je reprends mon activité d’indépendante, plus décidée que jamais à défendre et promouvoir une certaine idée de nos métiers.

📚Plus que 5 jours 🔥. Tu sauras comment procéder pour : • Éviter la prison, la radiation, renvoie face à un Patron mauvais Gestionnaire ; • Avoir L'intelligence Comptable et le Contrôle stratégique (les Comptables n'aiment pas faire sortir de l'argent car pour eux les sorties appauvrissent l'entité. Ce qui n'est pas juste. Donc ils manquent de culture financière. L'avarice dans l'ignorance 🤣) ; • Ne pas manquer de stage ou emploi 💡 • Utiliser l'outil informatique pour des traitements Comptables, de gestion de coûts, mesures... • Être un lecteur averti des comptes et interprétations ; • Monter les états financiers et faire des rapports ; • La gestion du personnel (contrat, rupture, ...) ; ... De continuer ? +225 07 78 65 57 07/ 01 42 21 24 53 #innovation #comptabilité #RH #finance #équipe

Ce soir c’est le Nouvel An dans la tradition hébraïque, une période propice au bilan. Cela tombe bien car ce jour, cela fait aussi 6 mois que j’ai prêté serment. Après 20 ans de pratique du droit et des achats au sein de l’administration, j’ai souhaité vivre une autre aventure humaine en devenant #avocat. Quand d’autres décident de raccrocher la robe face à l'indéniable rudesse de l’exercice, j’ai au contraire décidé de l’enfiler. D’aucuns diront "naïveté", je dirais davantage sens de la contradiction et goût du challenge. Après 6 mois, je suis pas déçu. Il y a un fossé très important entre l’exercice de mes fonctions antérieures, et la vie de l’avocat. Tout est différent : les objectifs, les moyens, le rythme, la culture entrepreneuriale, etc. Là où le cadre du secteur public doit se dépersonnaliser, se fondre dans la masse, l’avocat doit se démarquer, faire preuve de singularité. Là où le cadre du secteur public cherche globalement à « sortir » les dossiers de son champ de responsabilité, l’avocat doit au contraire les capter. Là où le cadre du secteur public est à la fois protégé et contraint par l’institution, l’avocat est libre et exposé, seulement cadré par l’indispensable déontologie. C’est donc un changement de paradigme que je me figurais avant de franchir le pas mais auquel en réalité, on est pas vraiment préparé. En choisissant cette voie, je n’ai certes pas choisi la facilité (d’autant plus en étant un papa désireux de s'investir aussi pour ses jeunes enfants) mais j’ai la conviction d’avoir pris la bonne décision pour ma progression tant professionnelle que personnelle. Aujourd’hui, je suis un « jeune » avocat et j’ai l’humilité de devoir apprendre encore beaucoup de ce métier, surtout dans son évolution actuelle. Vifs remerciements à Maxime M., qui me montre une approche résolument moderne du métier. Au-delà de la technicité dans mes champs d’expertise, je constate avec satisfaction que mon expérience managériale et des organisations est utile pour répondre aux attendus des clients, mais aussi pour appréhender l’environnement de la profession. On se rend compte qu’on a beaucoup accompli et que les nombreux projets traités, y compris sans en avoir été le pilote, peuvent nourrir notre manière d’exercer. 20 ans d’expérience dont 10 ans au sein de l’EFS, m’ont forgé plus que je ne l’aurais imaginé. Avec ce capital et les prémices de ces 6 mois, mon aventure en robe ne fait que commencer. Comme d’autres inspirants confrères tels que Pierre Villeneuve ou Pascal Touhari (il y en a d'autres !) le démontrent, je crois que les expériences croisées cabinet/entreprise portent l’avenir des professions du droit. N’hésitez pas à me consulter si, par votre parcours, vous vous posez la question. J’aurais quelques sentiments utiles à vous partager. En attendant, comme tous les vœux sont bons à prendre en ces temps difficiles, je souhaite à chacun, qu’il soit concerné ou non, une belle année de renouveau. PAZ