Post de RTS - Radio Télévision Suisse

Un moyen puissant pour développer votre notoriété!

Projet de loi fonction publique Pour La CFDT il est urgent d’améliorer les rémunérations , les conditions de travail,et d’agir avec les salariés sur l’organisation du travail. Cette reforme ne peut et ne doit se faire sans les agents et sans un réel dialogue social Les agents des fonctions publiques sont au quotidien au service des citoyens, acteurs de lien social, de solidarité. #CFDT #CFDT Fonction Publique

Situation d'une gravité extrême... On parle de pluralisme et diversité de l'info, de l'importance de la proximité pour le lien de confiance aux citoyens, d'éducation aux médias... et on pond une proposition qui aura pour conséquence à terme de rayer tout un pan du secteur des médias..

La rigueur budgétaire annoncée, dont personne ne conteste la nécessité mais que je ne m’aventurerai pas à commenter (ni sur ses causes, ni sur les choix annoncés), va mettre à rude épreuve bien des secteurs économiques. La presse privée, associative ou pas, déjà bien fragile, en tout premier lieu. Ce n’est que le début. Il y a pourtant des budgets qui se maintiennent et même augmentent par ailleurs. Ce monde est à géométrie variable. Certains, dont nous faisons partie, échappent à toute forme d’aide. Le zéro subvention nous connaissons bien et nous en acceptons le principe. On ne nous calcule pas dans les hautes sphères. Alors que d’autres sont financés à 100% par nos subsides. Difficile, dans ce contexte, de considérer que tous les acteurs de la presse sont logés à la même enseigne. Mais oups! Pouvons-nous seulement en faire état sans avoir le retour de bâton des champions de la morale publique, qui n’ont jamais eu à se battre pour leur propre survie ? Bourgogne Magazine DBM Le Mag Dijon Capitale

Excellent Podcast qui met bien en évidence les dynamiques à l’œuvre pour démanteler nos services publics.

🎙 [RADIO B sur 90 FM - CHRONIQUE #CONNECTONS-NOUS] 𝗟𝗲 𝘀𝗮𝘃𝗶𝗲𝘇-𝘃𝗼𝘂𝘀 ❔ 👉 38% des Français sont encore éloignés du numérique et 1 personne sur 6 est en situation d'illectronisme, c'est-à-dire qu'elle ne maîtrise pas les compétences nécessaires pour utiliser les outils numériques de base comme un ordinateur, un smartphone ou une tablette ni les compétences pour utiliser les services numériques courants. 🎧 𝗣𝗼𝗱𝗰𝗮𝘀𝘁 𝗮̀ 𝗲́𝗰𝗼𝘂𝘁𝗲𝗿 : Stéphane LEPRINCE, Responsable numérique à l'ADEA, et Radouane OUASTI, formateur à l'ADEA et Référent départemental HINAURA (Hub pour l'Inclusion Numérique en Auvergne-Rhône-Alpes) partagent leurs expériences sur la question de l'inclusion numérique dans l'Ain. Ils expliquent la feuille de route départementale de France Numérique Ensemble (FNE), dispositif de l'Etat, pour adapter le numérique aux besoins du territoire sur la période 2024-2027 et ainsi réduire la fracture numérique et garantir l'accès pour tous. 🔊 Écoutez l’émission : https://lnkd.in/eQyVxfhH 🔗 Plus d'infos : https://lnkd.in/e6h3zcWG 📌 𝗢𝗯𝗷𝗲𝗰𝘁𝗶𝗳𝘀 : Aboutir à un plan d’actions réaliste et adapté aux besoins du territoire de l'Ain à partir de la feuille de route départementale, co-pilotée par le Département de l'Ain et la Préfecture, avec un appui méthodologique du hub HINAURA (Agate et ADEA) et en étroite collaboration avec France Services et le SIEA. ✅ Accompagner les conseillers numériques ✅ Améliorer l'accès aux services numériques pour les populations vulnérables ✅ Créer des points d'accès en zones rurales... Emission de Mednum01 en partenariat avec l’ADEA, le Département de l’Ain, et la CAF de l’Ain. #InclusionNumérique #FractureNumérique #ADEA #HINAURA #Ain #RadioB #FranceNumériqueEnsemble

Bien des sujets à traiter encore en cette fin d'année et des inquiétudes fortes liées à la politique d'austérité voulue par le gouvernement et imposée aux collectivités (avec des effets d'aubaine inévitable pour certaines...) Les musiques actuelles rencontrent toujours un très large public mais les missions d'intérêt général que les structures remplissent sur les territoires ne sont pas assez reconnues et financées par les pouvoirs publics, au premier rang desquels l'Etat.

Les diasporas représentent une richesse pour la France et pour l'Europe. L'espace économique Euro-méditerranéen est un ensemble économique et géopolitique qui gagnerait à être homogène et cohérent pour faire face aux véritables défis provenant des autres blocs comme celui de la Chine. La diversité est une richesse qui renforce l'Europe et la France si nous savons saisir cette chance. La croissance a besoin de paix et de fraternité pour prospérer. Stigmatiser les non européens ne peut pas être la solution pour améliorer le pouvoir d'achat du français qui peine à joindre les deux bouts. Présenter la diversité comme un bouc émissaire est un leurre, un mensonge qui risque d'aggraver la situation économique et financière de l'Europe au lieu de l'améliorer. Ensemble et en partenariat bâtissons un espace économique et géopolitique prospère. Un espace de paix, de travail, de prospérité et de respect mutuel. Celles et ceux qui cherchent à créer la haine ne font que saboter les intérêts de la région en l'affaiblissant et la privant de son potentiel. Un espace bordé par deux guerres ne peut pas être un espace de prospérité ni de croissance économique. Au lieu de semer la haine il faut œuvrer pour mettre fin immédiatement aux guerres en Palestine et en Ukraine pour ne citer que les conflits les plus proches. Des guerres qui ont couté en plus des vies humaines inestimables et des souffrances de millions de personnes, des dépenses directes en armes de plus de 500 Milliards USD sans parler des destructions et des manque à gagner économiques dus aux conflits. Si la vie est chère c'est avant tout à cause des conflits qui se servent de l'inflation comme une arme de guerre. Le réchauffement climatique contribue à l'appauvrissement de populations condamnées à l'exode et qui alimentent les flux migratoires. Prétendre traiter tous ces problèmes en brandissant la haine, la stigmatisation et l'exclusion de l'autre n'est vraiment pas responsable ni honnête vis à vis des personnes qui souffrent. https://lnkd.in/evjuWhbv

Adèle Van Reeth, directrice de France Inter depuis 2022, a déclaré récemment dans Le Figaro : « Les faits, c’est que nous sommes une radio progressiste, et nous l’assumons. » Que l’on soit d’accord ou non avec cette prise de position politique marquée — là n’est pas essentiellement la question —, celle-ci pose un problème tant moral que légal. Moral, tout d’abord, car elle se permet d’orienter l’information alors qu’elle n’a aucune légitimité pour le faire. Elle s’octroie un pouvoir que personne ne lui a confié et l’exerce avec l’argent de tous les Français. Comme l’écrit Olivier Babeau : « L’audiovisuel public ne peut être démocratiquement légitime, et donc budgétairement admissible, qu’à la condition d’observer une parfaite neutralité. » En outre, cette notion — le progrès — inquiète par son caractère confus et ambigu. Ces dernières décennies, elle a été confisquée par une partie du monde politique et le contenu qu’on lui donne est loin de faire l’unanimité. Qu’est-ce qu’Adèle Van Reeth veut dire par là ?   Légal, ensuite, car cette prise de position semble enfreindre l’obligation d’impartialité de l’audiovisuel public telle que prévue par l’article 3-1 al. 2 de la loi Léotard. Elle semble également violer le principe de neutralité du service public rappelé à l’article 1er de la loi du 24 août 2021 confortant les principes de la République, qui stipule clairement que les salariés du service public « s’abstiennent notamment de manifester leurs opinions politiques et religieuses ». En assignant une orientation politique et idéologique à France Inter, il semble évident qu’Adèle Van Reeth ne s’abstient pas de manifester ses opinions. En outre, Radio France, en tant qu’organisme de droit privé chargé d’un service public, qui emploie Adèle Van Reeth, a un devoir de vigilance vis-à-vis de ses salariés et est tenue « d’assurer l’égalité des usagers devant le service public et de veiller au respect des principes de laïcité et de neutralité du service public ».  L’article 5 de la charte éthique de France Télévisions la prévoit en ces termes : « En tant que groupe audiovisuel doté d’une mission de service public, France Télévisions doit conserver une stricte neutralité politique. (…) ». La règle étant posée, nous savons qu’il est sans doute irréaliste d’exiger une complète neutralité des journalistes. Nous ne sommes pas des robots, chacun charrie consciemment et inconsciemment une vision du monde. Mais l’éthique professionnelle du journaliste qui travaille au sein du service public doit le garder de tout engagement politique aussi léger soit-il.

ASSISES | À l'occasion des Assises de la radio, l'Arcom levait hier matin le voile sur le #LivreBlanc de la radio, fruit de plus d'une année de travail visant à dresser un état des lieux du secteur et ses axes de transition d'ici 2033. L'évolution vers le #DAB+ et l'#IP constitue aujourd'hui un axe majeur de développement pour notre média. Ces transformations soulèvent de nombreux enjeux, remettant en question la visibilité et la mise à disposition de la ressource hertzienne publique auprès d'une diversité d'éditeurs. Dans le cadre de la table ronde "𝑸𝒖𝒆𝒍𝒍𝒆𝒔 𝒆𝒗𝒐𝒍𝒖𝒕𝒊𝒐𝒏𝒔 𝒅𝒂𝒏𝒔 𝒍𝒂 𝒅𝒊𝒇𝒇𝒖𝒔𝒊𝒐𝒏 𝒆𝒕 𝒍’𝒆𝒄𝒐𝒖𝒕𝒆 𝒅𝒆 𝒍𝒂 𝒓𝒂𝒅𝒊𝒐 ? 𝑸𝒖𝒆𝒍 𝒂𝒄𝒄𝒐𝒎𝒑𝒂𝒈𝒏𝒆𝒎𝒆𝒏𝒕 𝒑𝒐𝒖𝒓 𝒍’𝒂𝒖𝒅𝒊𝒕𝒆𝒖𝒓 𝒅𝒂𝒏𝒔 𝒖𝒏 𝒎𝒐𝒏𝒅𝒆 𝒅𝒆 𝒑𝒓𝒐𝒇𝒖𝒔𝒊𝒐𝒏 ?", notre directeur Pierre B. a réaffirmé l'engagement des radios associatives en faveur du DAB+ depuis une quinzaine d’années, en ayant notamment été à l'initiative des premières expérimentations en France. Il a rappelé le besoin d'accompagnement du secteur par l'Autorité de régulation et l’État afin de garantir la pérennité du paysage radiophonique actuel évoluant de la FM vers le DAB+. Il a également relayé les positions défendues par les radios associatives, soulignant l'importance d'assurer une visibilité appropriée de 25 % pour les radios associatives sur les interfaces des récepteurs embarqués, agrégateurs et enceintes connectées. Il soutient aussi la nécessité d'une distinction claire entre les audiences DAB+ et IP pour une évaluation précise et transparente des supports écoutés, ainsi que l'importance d'assurer une place significative aux radios associatives dans l’association de promotion de la radio numérique 𝑬𝒏𝒔𝒆𝒎𝒃𝒍𝒆 𝒑𝒐𝒖𝒓 𝒍𝒆 𝑫𝑨𝑩+ et dans le pilotage de Radioplayer France, à partir du moment où des financements publics sont prévus. L'ensemble des échanges de la matinée des Assises de la radio sont à retrouver ici > https://lnkd.in/eY7QsWPg © Capture d'écran de la captation vidéo de l'Arcom. Arcom Ministère de la Culture Médiamétrie SNRL - Syndicat National des Radios Libres CNRA Confédération Nationale des Radios Associatives Radioplayer France