Post de Rart.fr

En découvrant les oeuvres de Théo Jansen, vous penserez peut-être qu'il est artiste... mais pour créer ce qu'il fait il faut aussi être un ingénieur, observer le monde de la vie animale, inventer, rêver et plus encore. Son travail est pour moi la résultante parfaite des 3 piliers fondamentaux qui doivent animer un entrepreneur : quelles sont-elles selon vous ?

Il n'existe pas d'artiste sans art,et c'est l'art qui confère à l'individu le statut d'artistes;telle est la méthode traditionnelle pour évaluer la longueur de la fibre de coton. L'art permet une approche sensible des réalités qui nous entourent. Il se présente comme un besoin essentiel pour la réflexion, agissant tel un moteur propulsant vers l'imaginaire, la rêverie et la transcendance. c'est pourquoi l'art accompagne l'humanité depuis les temps préhistoriques.

  💡 En 2021, j’avais été touchée par la vidéo "𝗚𝗮𝗿𝗱𝗶𝗲𝗻 𝗣𝗮𝗿𝘁𝘆", un teaser qui valorise la parole des gardien·nes de musée. Mohamed El Khatib et Valérie Mréjen avaient enquêté dans des musées de différentes villes du monde avant de créer une performance théâtrale. 🔎 𝗠𝗶𝘀𝗲 𝗲𝗻 𝗯𝗼𝘂𝗰𝗵𝗲 "Ces vigiles de la culture assument des tâches hétéroclites : veiller sur les œuvres, orienter le public, indiquer aux un·es le chemin des toilettes, aux autres la salle où s’expose le peintre à la mode. En principe, leur mission est de protéger les œuvres exposées de l’irrépressible envie de toucher des visiteurs·euses et d’éventuelles dégradations ou vols. Présent·e·s et transparent·e·s, actif·ve·s et invisibles, ils et elles voient et entendent tout, sont quelquefois prises à partie, associées aux choix d’accrochage comme s’ils et elles en étaient responsables. L’ennui, bien sûr, est presque continu. Il faut trouver des stratégies, rouler des pensées dans sa tête, avoir un petit carnet. Il faudrait avoir une vie intérieure ou ne pas en avoir du tout. C’est à leur tour d’être regardé·es et entendu·es."   👉 𝗝𝗲 𝘃𝗼𝘂𝘀 𝗲𝗻 𝗰𝗼𝗻𝘀𝗲𝗶𝗹𝗹𝗲 𝘃𝗶𝘃𝗲𝗺𝗲𝗻𝘁 𝗹𝗲 𝘃𝗶𝘀𝗶𝗼𝗻𝗻𝗮𝗴𝗲 𝗷𝘂𝘀𝘁𝗲 𝗶𝗰𝗶 : https://lnkd.in/eEfdSZu4

Les gardiens de musées sont le plus souvent ignorés par le management des musées.... or ce sont quasi les seuls à avoir un contact permanent avec le public. ils pourraient pourtant avoir un rôle précieux dans différents champs pour peu que l'on les ecoute. Par exemple : accueillir, participer à un musée plus hospitalier et inclusif, être partie prenante des études de public, pourquoi pas donner quelques informations sur les oeuvres, les réactions du public sur la signalisation, les cartels ou le vécu des espaces.

Niki : une nana pas comme les autres 💥 Niki de Saint Phalle, c’est l’artiste qui a transformé l’art en un moyen de rébellion. Célèbre pour ses sculptures "Nanas", ces femmes colorées et généreuses, elle a défendu une vision de la féminité puissante, joyeuse et libérée des stéréotypes. Mais Niki, c’était aussi une artiste engagée. Dans ses performances "Tirs", où elle tirait sur des sculptures représentant des symboles d’oppression, elle a utilisé son art pour dénoncer l’injustice et se libérer de ses propres démons. 🔫🖤 💃 Un art vibrant et engagé Son travail, aussi thérapeutique que politique, a une dimension qui résonne profondément avec moi, en tant que graphiste. Tout comme elle a utilisé l'art pour se réinventer, je me sers du design pour aider mes clients à se libérer des normes visuelles imposées et à exprimer leurs messages de manière authentique et percutante. 💪 🎯 Niki de Saint Phalle m'inspire à toujours pousser les limites de la créativité, à mélanger l’esthétique et l’engagement, à bousculer les codes, et à créer des visuels qui résonnent avec ceux qui les voient. Son audace, sa volonté de toucher les consciences, et sa quête de sens dans chaque œuvre sont des valeurs que j’essaie d’intégrer dans mes projets. Et vous, quel artiste ou œuvre vous a marqué par son audace et son engagement ? 🤔

 C’est un truc de snobs et de gens friqués ! Petits fours, entre-soi, paroles feutrées érudites mêlées aux critiques passionnées. Et de l’autre côté de la jolie vitrine toute froide, des badauds qui n’osent pas. « Je n’y connais rien », « ce n’est pas pour moi ». J’ai longtemps eu ce préjugé aussi. Je n’ai pas fait les Beaux-Arts, je ne connais personne dans le milieu. Je suis 100 % autodidacte et j’habite dans un trou paumé. Tu vois le genre. Et je confesse que quand je discute avec certains artistes, je me marre (intérieurement). Leur ego est aussi gros que le compte en banque de Bernard Arnault. En deux mots, ils sont ultra perchés ! Heureusement, il y a aussi des gens simples, cool, humbles. Et on peut les rencontrer en passant les portes des galeries. Je ne cesse de le répéter l’Art avec un grand A n’est pas réservé à une élite. C’est juste tous les moyens d’expression que l’être humain a trouvés pour se représenter le monde, le comprendre, laisser une trace de son passage aussi. Alors la prochaine fois que tu passes devant une galerie, prends quelques minutes pour aller voir ce qui y est exposé. Tu n’as aucune obligation d’acheter. Tu peux juste regarder et échanger quelques mots avec l’artiste. C’est déjà beaucoup ! Tu n’y connais rien ? On s'en tape! Voire, c’est mieux. Ainsi tu peux apprécier avec ton cœur plutôt que ta tête (le but ultime de toute création artistique c'est de générer des émotions). Voici une courte visite d’une expo à laquelle je participe jusqu’au 31 décembre à Carcassonne. Pour voir plus en détail ces peintures, ces sculptures en bois flotté, ces photos et ces créations en tape art, il va falloir te déplacer (si tu n’es pas trop loin bien sûr).  Et si tu connais quelqu'un qui connait quelqu'un qui habite dans le secteur, fais tourner. ✌️ PS : Je voulais mettre du Bob pour renforcer le côté cool mais les droits d'auteur toussa. Donc c'est un titre de reggae pioché au hasard dans Capcut, sorry.

Cet artiste nous offre un cadeau rare : une invitation à contempler la beauté dans sa forme la plus éphémère. Avec un simple râteau, il grave dans le sable des motifs d'une précision et d'une grâce incroyables, tout en sachant que la mer viendra les effacer. Il y a quelque chose de profondément émouvant dans cette démarche, un dialogue humble avec la nature qui transcende les mots. Chaque ligne, chaque courbe, chaque motif est une offrande, un moment suspendu dans le temps, capturé seulement dans notre mémoire ou par le regard d'un drone. Ce qui pourrait sembler fragile ou fugace devient une force, une leçon sur la gratitude et l'acceptation de l'impermanence. C'est un art qui nous rappelle que la beauté réside autant dans la création que dans le lâcher-prise, et qu'il y a une magie unique dans le fait de célébrer quelque chose, même si cela doit disparaître. Merci à cet artiste de nous rappeler, par ces œuvres, la valeur de l’instant présent et l’émerveillement d’un monde en constante transformation. source: bit.ly/4fthxKI

Étude rapide à l'acrylique de la tête d'Asaro : lumière et formes Un exercice sur lequel je m'exerce : la tête d’Asaro. Ce modèle réduit le visage à des plans géométriques, révélant ainsi la manière dont la lumière sculpte les formes. À travers l’acrylique, j’ai cherché à capter ces jeux d’ombres et de lumières, à simplifier sans perdre l'essence du portrait. Une belle exploration de la structure du visage, entre abstraction et réalité. Vos réflexions sur la lumière dans vos créations ? 🎨 #Art #Acrylique #TêteDAsaro #LumièreEtFormes #ÉtudeVisage

À une époque où l'art redéfinissait le monde, les artistes de la Renaissance ne se contentaient pas de reproduire la réalité telle qu'elle était perçue. Ils cherchaient à transcender l'apparence, à révéler des vérités profondes, des émotions et des idées qui échappaient au simple regard. Chez L’Atelier XVe, nous poursuivons cette quête en utilisant la photographie comme moyen d'expression. Notre objectif n'est pas simplement de figer le temps, mais de rendre visible ce qui est souvent invisible aux yeux des autres. Comme les peintres de la Renaissance, nous croyons que l'art, sous toutes ses formes, a le pouvoir de transformer notre perception du monde. Réservez dès maintenant un shooting et laissez-nous capturer l'intensité de ce moment. L'Atelier XVe, le Studio qui vous fait voyager dans le temps. Contact: 0651540025 www.latelier-xv.fr contact@latelier-xv.fr

>> Les manifestations consacrées au surréalisme se multiplient à l’occasion du centenaire du mouvement, chacune se singularisant par une approche propre. Dans ce paysage, l’exposition "Le Surréalisme. Bouleverser le réel" se démarque à plusieurs égards. Davantage qu’une présentation d’œuvres, elle propose une réflexion sur l’actualité du surréalisme et sur la façon de le montrer aujourd’hui. On le répète inlassablement, le surréalisme n’est pas un mouvement artistique ou littéraire. Son objectif est d’avoir un impact sur la réalité, de contribuer à changer la société. C’est là que se trouve la raison d’être des créations surréalistes, qu’elles soient peintes, écrites ou autres. Mais comment montrer cette dimension révolutionnaire, comment la rendre perceptible ? Est-ce que les expositions muséales, en érigeant ces créations en chefs-d’œuvre, les coupe de cet élan de révolte – ou alors sont-elles nécessaires pour qu’on continue à accorder de l’attention à ces créations ? Et comment faire pour transmettre ces idées sous forme d’exposition, de manière vivante et accessible ? Par ailleurs, un mouvement tellement lié à la société qui l’a vu naître a-t-il encore une pertinence dans la société actuelle ? << Ouverture le 19 octobre au BAM à Mons. Photo : Rachel Baes, Le Retable, 1960.