🚀 IA générative : Google commande des mini-réacteurs nucléaires pour alimenter ses data centers Google a annoncé un partenariat avec Kairos Power pour acheter de l’énergie nucléaire via des mini-réacteurs (SMR). Ces réacteurs de nouvelle génération, d'une capacité de 25 à 300 mégawatts, visent à répondre à la demande croissante d'énergie pour les data centers et bureaux de Google, tout en réduisant les émissions de carbone. 📅 Objectif 2030 Google prévoit de mettre en service le premier SMR de Kairos d'ici 2030, avec un déploiement supplémentaire jusqu'en 2035. La firme table sur une production totale de 500 mégawatts, s'inscrivant dans son objectif de zéro émission nette de carbone d'ici 2030. 💡 Innovation et Économies Les SMR de Kairos Power utilisent un système de sels fondus pour le refroidissement, une technologie moins énergivore que les réacteurs traditionnels. Bien que coûteux à développer, ces réacteurs pourraient offrir des économies significatives à long terme. 🌟 Engagement Écologique Google multiplie ses investissements dans les énergies renouvelables, notamment l'éolien et le solaire. En février, la firme a signé un contrat pour deux parcs éoliens en mer aux Pays-Bas, représentant 478 mégawatts. #Innovation #ÉnergieNucléaire #DataCenters #DéveloppementDurable #Google #Technologie
Post de Romain BOINE
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Google et Kairos Power : Une collaboration énergétique Alors que Microsoft prévoit de dépenser environ 1,6 milliard de dollars pour relancer d'ici 2028, la centrale de Three Mile Island afin d'alimenter ses data centers avec une production espérée de plus de 800 mégawatts d'électricité. Google a, lui aussi, récemment annoncé un partenariat stratégique avec la start-up américaine Kairos Power pour l’achat d’énergie nucléaire. Cette collaboration marque un tournant majeur dans la quête de Google pour une énergie plus propre et durable. Kairos Power développe des small modular reactors (SMR), des mini-réacteurs capables de produire entre 25 et 300 mégawatts par unité. Google prévoit une production totale de 500 mégawatts pour alimenter ses data centers. La phase initiale vise à mettre en service le premier SMR de Kairos d’ici à 2030, avec des déploiements supplémentaires jusqu’en 2035. Bien que coûteux à développer, les SMR pourraient être fabriqués en série, réduisant ainsi les coûts de production et d’exploitation à long terme. #InnovationÉnergétique #TechnologieVerte #Google #KairosPower #ÉnergieDurable Certes l'entreprise communique sur la dimension durable de sa production énergétique mais les entreprises de la Tech, notamment pour les besoins opérationnels de l'IA générative, vont augmenter les besoins énergétiques spécifiques.
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Le numérique va-t-il aussi disrupter le nucléaire ?💡🔋 Les #GAFAM bouleversent déjà de nombreux secteurs, mais la dernière annonce de Google pourrait marquer le début d'une révolution dans l’énergie nucléaire ⚛️. En s’associant à Kairos Power pour alimenter ses data centers avec des réacteurs nucléaires modulaires (SMR) 🔧, Google franchit une nouvelle étape dans sa quête de neutralité carbone d’ici 2030 🌍. Cette décision ouvre une question assez vertigineuse : le numérique va-t-il, à son tour, disrupter l'industrie nucléaire ? Traditionnellement dominé par de grandes infrastructures centralisées, le secteur nucléaire pourrait connaître un tournant majeur avec l'arrivée des mini-réacteurs. Ces SMR, moins puissants mais plus flexibles, sont conçus pour être fabriqués en série 🏭 et déployés rapidement, à moindre coût 💰. Avec une capacité initiale de 500 mégawatts ⚡, les SMR de Google offriront une solution énergétique à long terme, en complément des énergies éolienne et solaire 🌬️☀️. Mais Google n’est pas seul. Microsoft et Amazon se tournent également vers le nucléaire pour alimenter leurs activités croissantes en IA et cloud 💻☁️. L'ère du nucléaire "à la demande" semble émerger, portée par l’agilité et les exigences énergétiques des géants du web. Alors que la demande d’énergie explose avec l’intelligence artificielle 🤖, les SMR pourraient devenir un nouvel atout stratégique pour ces entreprises, mais aussi pour la transition énergétique globale 🌱. La question se pose désormais: après avoir révolutionné le commerce, la communication et le divertissement, les GAFAM sont-ils prêts à disrupter un secteur jusqu’alors si #souverain et #stratégique que le nucléaire ? ⚡ #énergie #nucléaire #IA #Google #SMR #développementdurable #transitionénergétique #innovation #gafam
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Le nucléaire, planche de salut aux énormes besoins énergétiques des grands acteurs de la tech ! L'émergence du cloud computing a démultiplié la consommation d'énergie des grands acteurs du secteur, tels Google, Microsoft, Amazon & co du fait de l'utilisation de data centers. Il s’avère que de par l’explosion du marché de l’IA générative qui nécessite des quantités colossales de données et des légions de semi-conducteurs pour les exploiter, ces centres de stockage de serveurs deviennent chaque jour encore plus indispensables . De ce fait, pour s'assurer de disposer des ressources suffisantes en électricité, les grands acteurs du secteur pré-cités passent désormais des accords avec des fournisseurs d'énergies renouvelables, notamment dans le nucléaire. Après Microsoft qui a annoncé fin septembre un partenariat avec le groupe américain Constellation Energy prévoyant la réouverture d'un réacteur de la centrale de Three Mile Island, en Pennsylvanie, Google a ainsi annoncé hier qu'il va acheter de l'énergie nucléaire à la start-up américaine Kairos Power, qui sera produite par de petits réacteurs de nouvelle génération, appelés SMR (small modular reactor). L’intérêt pour Google est que ces SMR sont censés être beaucoup moins onéreux que les centrales nucléaires conventionnelles car susceptibles d'être produits à la chaîne et leur première mise en service est prévue en 2027 aux Etats-Unis… Selon Google, ces SMR pourraient produire jusqu'à 500 MW d'ici 2035, assez pour alimenter une partie de ses infrastructures. En optant pour le nucléaire, l’entreprise veut ainsi se donner une image de pionnier vert tout en assurant une source d’énergie constante pour ses opérations en IA. Les enjeux pour Google (et les autres) sont colossaux et l’avenir dira si la décision de se tourner vers le nucléaire, au détriment par exemple de l’éolien ou solaire qui jouissent d’un soutien bien plus important du public, a été un pari audacieux ou non...
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Google pourrait-il jouer à EDF le même tour que SpaceX a joué à Arianespace? "Le géant du web prévoit d’exploiter six à sept mini-réacteurs nucléaires (SMR) pour alimenter ses data centers et bureaux américains. Sur le long terme, ces réacteurs de nouvelle génération devraient coûter moins cher que ceux de centrales traditionnelles." Si les géants américains (Google, Amazon, Microsoft, OpenAI, ....) commencent à exploiter leurs propres sources d'énergie via des réacteurs nucléaires modulaires, cela réduira grandement leur dépendance aux réseaux d’énergie publics, créant une concurrence pour les opérateurs énergétiques historiques. La bonne nouvelle est que les grands consommateurs d'énergie comme les data centers pourraient devenir autosuffisants, ce qui entraînerait une baisse de la demande sur le marché national de l'énergie. Cela va aussi occasionner une pression sur les prix de l'énergie. Si les SMR offrent une énergie à moindre coût sur le long terme, les opérateurs nationaux pourraient être contraints de revoir leurs stratégies tarifaires. Cela pourrait entraîner une baisse des prix de l’énergie pour rester compétitifs face à des entreprises capables de produire leur propre électricité à un coût inférieur. https://lnkd.in/erEDrzV5
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Google envisage d'intégrer l'énergie de 6 à 7 petits réacteurs modulaires (SMR) d'ici 2035. Cette intégration promet une révolution énergétique, avec le premier réacteur prévu pour 2030. Ces SMR, qui pourraient délivrer 500 mégawatts d'électricité, répondront aux besoins des centres de données de Google, cherchant à minimiser leur empreinte carbone tout en maximisant le potentiel de l'IA. Malgré les avantages d'une énergie propre et continue, des inquiétudes subsistent concernant la sécurité des installations. Les coûts associés pourraient s'avérer élevés. De plus, la gestion des déchets radioactifs et les risques de radiation en cas de défaillance représentent des défis significatifs. Le débat est vif entre Google et les défenseurs de l'environnement. Ces derniers plaident pour des investissements dans des énergies renouvelables plus sûres, telles que l'éolien ou le solaire. Ils souhaitent ainsi éviter les risques associés à l'énergie nucléaire. Pourquoi c'est important : L'entrée de Google dans le domaine de l'énergie nucléaire pour alimenter l'IA marque un tournant majeur dans la quête d'énergies durables pour les géants technologiques. Si cette solution pourrait réactiver nos espoirs d'une IA plus verte, elle n'est pas sans risques. La sécurité, les coûts et l'acceptation publique sont autant de défis à relever.
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🔴 Après Microsoft et Amazon, Google investit dans le nucléaire ! ✅ Les besoins en énergie liés au développement des nouvelles technologies dont l’IA bouleversent le marché mondial de l’électricité. ✅ La trésorerie pléthorique des GAFAM leur permet de lancer des investissements de grande envergure, jusqu'alors réservés aux Etats. 🟢 Concernant Google, les points à retenir sont les suivants : 🔹 Exploitation de 6 à 7 réacteurs SMR délivrés par la société Kairos, 🔹 Mise en route échelonnée de 2030 à 2035, 🔹 Production escomptée de 500 MW (pour mémoire, Flamanville 1650 MW) 👓 Dans un Polytechnique insights de 2022,Renaud Crassous décrivait ainsi les réacteurs SMR : 🔹 En 2022, 443 centrales nucléaires sont en service dans le monde et 50 sont en construction dans 19 pays, 🔹 Les SMR étaient à l’origine conçus pour amener de l’électricité dans des zones géographiques isolées. et EDF envisage de les utiliser pour remplacer les centrales à charbon. 🔹 Le SMR est une technologie de réacteur à eau pressurisée et elle permet de construire rapidement des réacteurs plus petits, plus sûrs et moins chers que les réacteurs classiques. 🔹 Les SMR sont construits en usine et transportés sur site par modules. ✅ En France, le CEA, #EDF, Naval Group et TechnicAtome travaillent sur des réacteurs de 300 à 400 MW dans le cadre du Plan France 2030. Elles participent à un consortium dénommé Nuward. Le coût d’un réacteur serait de 1 Mds€ et 0,5 Mds€ ont été alloués initialement au projet dans le cadre du plan de relance 2030. ➡️ Livraison prévue du 1er réacteur : 2030. 🔵 Ma conclusion 🔹 Les nouvelles technologies sont de grandes consommatrices en énergie et cette annonce sera suivie par d’autres, 🔹 Des techniques comme celle là permettent de respecter les normes d’émissions à bas carbone, 🔹 Les grands trusts comme Google possèdent des ressources financières suffisantes pour financer leurs projets. C’est cependant un changement de business model conséquent car jusqu’à présent, ils possédaient très peu d’immobilisations aussi importantes, 🔹 La France est bien placée pour participer à ce marché mais il ne faut pas qu’elle soit gênée par l’Union Européenne, peu active sur le nucléaire J’espère vous avoir un peu éclairé ( 💡 )sur les enjeux de cette nouvelle et cruciale technologie. #nucléaire #SMR #EPR #Electricite #Energie #investissements #google #IA #dataCenters #innovation #Entrepreneuriat #ODDOBHF #France #Europe #microsoft #amazon Agnès Pannier-Runacher NUWARD Framatome NAVAL GROUP EDF NAVAL GROUP CEA
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Trois mouvements notables en moins d'un mois: 1️⃣ le 16/10, Amazon annonce investir dans X-energy pour développer des SMR (petits réacteurs nucléaires modulaires) ; 2️⃣ le 15/10, Google noue un partenariat avec Kairos Power (autre start up du nucléaire) ; 3️⃣ le 20/09, Microsoft relance la production d'une centrale nucléaire en partenariat avec l'électricien Constellation. 💡 Tout cela illustre un mouvement de fond: les géants du numérique vont avoir des besoins en électricité décarbonée et stable de plus en plus en plus importants. ▶️ Et pour y parvenir, ils l'ont bien compris: sans nucléaire, point de salut ! https://lnkd.in/e2hUPdKt
Gloutons énergétiques, les Gafam relancent le nucléaire civil américain pour leurs IA
usinenouvelle.com
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☢️ Google mise sur le nucléaire ❗ Google a annoncé acheter de l’énergie nucléaire à la start-up Kairos Power, produite par des réacteurs SMR. Cette annonce fait suite à une annonce précédente de Microsoft. L’émergence de l’informatique à distance (cloud computing) a démultiplié la consommation d’énergie des grands acteurs du secteur, tels Google, Microsoft ou Amazon, du fait de l’utilisation des centres de stockage de serveurs (data centers). Ces derniers sont devenus encore plus indispensables avec le développement de l’intelligence artificielle (IA) générative, qui nécessite des quantités colossales de données et des légions de semi-conducteurs pour les exploiter. ➡️ Google : Fin 2023, Kairos a reçu le feu vert de la Commission américain de régulation du nucléaire (NRC) pour mettre en chantier son premier réacteur expérimental, dont il a démarré la construction en juillet, à Oak Ridge (Tennessee). Il vise une mise en service de ce premier SMR en 2027. Le contrat prévoit une mise en service d'un SMR de Kairos d’ici à 2030, avec une montée en régime jusqu’en 2035, pour apporter une réponse supplémentaire aux énormes besoins en électricité de la filiale d’Alphabet. https://lnkd.in/e5HVFqYs ➡️ Microsoft : Fin septembre, Microsoft a dévoilé un partenariat avec le groupe américain Constellation Energy qui prévoit la réouverture d’un réacteur de la centrale de Three Mile Island, en Pennsylvanie. Le second réacteur de Three Mile Island est à l’arrêt depuis 1979, année durant laquelle il a connu plus grave incident du nucléaire civil américain. https://lnkd.in/eENVUfim #nucléaire #énergie #google ⚠️ Abonnez-vous à ma newsletter : "Vincent vous énergise" et partagez la autour de vous !!! https://lnkd.in/eCUaqx4F
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🌍💡 Google investit dans le nucléaire de nouvelle génération ! Pour répondre aux besoins énergétiques croissants de ses data centers, Google s’associe avec Kairos Power pour utiliser des petits réacteurs modulaires (SMR) dès 2030. Une avancée vers des solutions durables pour l’ère numérique. #Nucléaire #Google #SMR #Énergie #TransitionÉnergétique
Google va acheter de l'énergie nucléaire à Kairos, produite par de petits réacteurs
lesechos.fr
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⚛ Google : puissance nucléaire ! ⚛ Google se lance dans le nucléaire pour alimenter ses centres de données en IA, marquant un tournant dans l'industrie énergétique aux États-Unis. Grâce à un partenariat inédit avec la startup Kairos Power, sept petits réacteurs nucléaires seront construits d’ici la fin de la décennie. Cette opération vise à fournir 500 mégawatts d'électricité – l'équivalent de la consommation d’une ville moyenne ou d’un énorme campus de centres de données IA. Pourquoi cette alliance ? L’appétit énergétique des géants de la tech explose, notamment à cause de l’essor de l'intelligence artificielle. Le solaire et l’éolien ne suffisent pas pour garantir une alimentation 100% verte en continu. Selon Michael Terrell, directeur des énergies et du climat chez Google, le nucléaire, complément idéal aux énergies renouvelables, est une réponse incontournable pour atteindre leurs objectifs environnementaux. L’enjeu ? Éviter les échecs traditionnels du nucléaire. L'industrie conventionnelle a longtemps souffert de coûts exorbitants et de délais interminables. Mais Kairos Power, avec ses réacteurs modulaires plus petits et plus faciles à reproduire, entend changer la donne. Leur technologie repose sur un réacteur refroidi au sel fondu, au lieu de l'eau, ce qui permettrait de réduire encore les coûts de construction. Le plus grand défi reste cependant la validation par la Commission de réglementation nucléaire américaine. Bien que Kairos ait déjà l’autorisation de construire un réacteur de démonstration dans le Tennessee d'ici 2027, tout cela devra passer par des étapes réglementaires complexes. Normal ! Dans un contexte où 20 % de l’électricité américaine provient déjà du nucléaire, ce projet pourrait raviver l’intérêt pour cette technologie délaissée. À plus court terme, les analystes prévoient toutefois que la demande énergétique croissante sera surtout couverte par des centrales à gaz naturel. Google, comme d’autres géants tels qu’Amazon et Microsoft, qui ont également fait des investissements similaires, pourrait jouer un rôle clé dans la relance du nucléaire aux États-Unis en devenant des clients fidèles et stables, permettant ainsi de réduire les coûts de cette technologie sur le long terme. —————————————— Je suis Nash, problem solver, solution designer, strategy architech, et je t’aide à craquer tes challenges business, d’innovation ou de transformation grâce à tes équipes et l’intelligence collective. Get in touch! #innovation #acceleration #transformation LightMeUp - Innovation Studio Elodie HUGHES
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