Post de Marine royale canadienne

Merci aux plongeurs-démineurs pour leur confiance renouvelée, cette fois ci dans le cadre du débarquement du commandant du GPD Méditerranée 🔥 L’affiche est disponible sur mon site (https://lnkd.in/eaCSN5Q8) dans deux formats signés et limités à 50 exemplaires ou POSTER. Les groupes de plongeurs-démineurs (GPD), répartis sur les trois façades maritimes de la France, opèrent jusqu’à 80 mètres de profondeur pour neutraliser des engins explosifs et sécuriser les approches maritimes, tant sur le territoire national qu’à l’étranger. Ils maintiennent une alerte permanente pour intervenir sur divers types d’explosifs et participent à des missions de service public, telles que des sauvetages et la protection de l’environnement. Chaque année, ils neutralisent plus de 11 tonnes de munitions historiques. Essentiels pour les opérations de combat aéromaritime, ils sont facilement déployables pour des missions de guerre des mines et de déminage portuaire. Ils travaillent en complémentarité avec d’autres moyens de lutte contre les mines. De plus, chaque GPD possède des capacités spécifiques adaptées à différentes opérations. Le GPD Méditerranée est spécialisé dans l’ouverture de chenal d’assaut pour opérations de débarquement et dans les travaux sous-marins. #plongeur #plongeurdémineur Marine Nationale

Version intégrale Pour remplacer les frégates de lutte anti-sous-marine de la classe Karel Doorman, la Koninklijke Marine, la Marine royale néerlandaise, a entrepris la construction de deux nouvelles frégates, codéveloppées avec la Belgique par Damen, en cours de construction, et désignées, aujourd’hui, par le terme M-Fregat. Ces navires auront pour rôle d’assurer l’escorte anti-sous-marine des Capital Ships de la Koninklijke Marine, comme de ses alliés, en mer du Nord et dans l’Atlantique nord, en particulier contre la menace grandissante que représente la flotte sous-marine russe, en pleine évolution.  C’est précisément pour répondre à cette évolution de la menace russe, que la Koninklijke Marine a annoncé son intention de doter ses nouvelles frégates de navires robotisés destinés à en accroitre le potentiel de lutte anti-sous-marine, sans dégrader la pression en matière de ressources humaines, à laquelle elle doit faire face.

Pour remplacer les frégates de lutte anti-sous-marine de la classe Karel Doorman, la Koninklijke Marine, la Marine royale néerlandaise, a entrepris la construction de deux nouvelles frégates, codéveloppées avec la Belgique par Damen, en cours de construction, et désignées, aujourd’hui, par le terme M-Fregat. Ces navires auront pour rôle d’assurer l’escorte anti-sous-marine des Capital Ships de la Koninklijke Marine, comme de ses alliés, en mer du Nord et dans l’Atlantique nord, en particulier contre la menace grandissante que représente la flotte sous-marine russe, en pleine évolution.  C’est précisément pour répondre à cette évolution de la menace russe, que la Koninklijke Marine a annoncé son intention de doter ses nouvelles frégates de navires robotisés destinés à en accroitre le potentiel de lutte anti-sous-marine, sans dégrader la pression en matière de ressources humaines, à laquelle elle doit faire face.

#NouvellesGroupeMat  Le 31 janvier dernier, le bulbe avant du deuxième navire de soutien interarmées (NSI), le futur Navire canadien de Sa Majesté Preserver,a été transporté avec succès. Qu’est-ce qu’un bulbe avant ?  C’est une structure hydrodynamique complexe conçue pour réduire la traînée afin d'améliorer la vitesse, la portée, le rendement énergétique et la stabilité du navire   Le bulbe avant a été transporté avec succès par barge depuis Ideal Welders, à Richmond (Colombie-Britannique), jusqu'au chantier naval de Seaspan à Vancouver dans le cadre de la Stratégie nationale de construction navale.  Le NSI futur sera en mesure de :   ·       réapprovisionner en carburant, nourriture, munitions, pièces de rechange et plus encore entre les navires en mer ·       transporter et livrer des marchandises ·       soutenir les opérations terrestres, qui peuvent aller du combat aux efforts humanitaires en passant par les secours en cas de catastrophe ·       répondre aux menaces chimiques, biologiques, radiologiques et nucléaires pour permettre des opérations dans des environnements à haut risque Comme 50 % des blocs du deuxième NSI sont actuellement en construction, il s’agit d’une étape importante vers la consolidation de la coque du deuxième NSI d’ici 2025   #BienÉquipé

La manoeuvre mensuelle pour le Centre d’Incendie et de Secours de Saint-Aubin les Elbeuf est : « Reconnaissance sous ARI , dans un environnement humide », d’ou la protection des agents avec un vêtement de protection chimique de type 3.

#prospective ⚓️ " 100 m$ pour un avion de combat, 25 m$ pour un char, 1 Md$ pour une frégate… Les armements occidentaux ont atteint, ces dernières années, des prix pharaoniques, obligeant les armées à réduire leurs formats et leurs flottes, pour en être dotées. Mais qu’en est-il, vraiment, de ce constat empirique ? Les prix des armements, aujourd’hui, sont-ils réellement plus élevés qu’ils ne l’étaient, il y a quelques décennies de cela, une fois le paramètre de l’inflation intégré ? Et cette hausse du prix des armements s’applique-t-elle uniformément aux différents équipements, et aux différents pays ? Pour répondre à ces questions, ainsi que pour en identifier les causes, et les conséquences sur les capacités opérationnelles des armées, une analyse méthodique s’impose. Et, qui sait, peut-être fera-t-elle émerger des constats inattendus ? " https://lnkd.in/ebqDW-kf

#éphéméride 📷 24 septembre 1916, marin du cuirassé Courbet, observant le compas de navigation tribord. (Photo Amédée Eywinger) ⚓️ Notez la présence de sa baïonnette au ceinturon, baïonnette française Berthier 1892 améliorée model 2 ? 🌊 Dans le port de Toulon, lieu de transit de matériel militaire et de troupes à destination ou au retour du front d’Orient, des navires des forces navales françaises sont en cale sèche pour réparation, d'autres à quai en attente de chargement ou dans la rade pour s’entrainer au combat. Le cuirassé "Courbet" mouille dans la rade. A bord, des matelots vont et viennent sur le pont. "Embarquement des obus". Une péniche vient faire le ravitaillement en obus. Ceux-ci sont hissés par palan à bord du cuirassé. "Le départ". Les cuirassés quittent la rade pour effectuer un entrainement au combat. "Tirs sur but fixe". Les navires font des exercices de tir en mer. 📷 Bien plus : https://lnkd.in/e8Hk7j9C . Réf. : SPA 32 E 1389 Sources : ECPAD/Défense, Mg Ministère des Armées Marine nationale

version intégrale 100 m$ pour un avion de combat, 25 m$ pour un char, 1 Md$ pour une frégate… Les armements occidentaux ont atteint, ces dernières années, des prix pharaoniques, obligeant les armées à réduire leurs formats et leurs flottes, pour en être dotées. Mais qu’en est-il, vraiment, de ce constat empirique ? Les prix des armements, aujourd’hui, sont-ils réellement plus élevés qu’ils ne l’étaient, il y a quelques décennies de cela, une fois le paramètre de l’inflation intégré ? Et cette hausse du prix des armements s’applique-t-elle uniformément aux différents équipements, et aux différents pays ?  Pour répondre à ces questions, ainsi que pour en identifier les causes, et les conséquences sur les capacités opérationnelles des armées, une analyse méthodique s’impose. Et, qui sait, peut-être fera-t-elle émerger des constats inattendus ?

Renforcement de la sécurité maritime ⚓️ Un partenariat avec METEO FRANCE et les Phares et Balises a permis d'installer pour le port de commerce de #Bastia, 5 anémomètres: 4 autour du bassin Saint Nicolas, 1 en amont de la passe d'entrée sur la jetée du Dragon du Vieux Port. 🚢 Il s'agit d'un dispositif d'aide à la décision pour le commandant et officiers de port, les pilotes et les commandants de navires, ceci afin de mieux appréhender les conditions météorologiques (orientation et force des vents) pour les manœuvres d'entrées et de sorties des navires.

#éphéméride 📷 2 août 2019, le 5ème patrouilleur du chantier naval français OCEA, construit pour l’Algérie, vient de quitter Les Sables d’Olonne à destination d’Oran puis d’Alger via Lisbonne. ⚓️ Un premier contrat important avait été signé en 2008 avec l'Algérie pour 21 patrouilleurs qui ont été livrés entre octobre 2008 et 2011. 🇩🇿 Dix ans plus tard, la marine algérienne passe une nouvelle commande. Il faut dire que l’Algérie doit contrôler les eaux territoriales de sa longue côte, et la Zone Economique Exclusive (ZEE) qu'elle a ajouté en 2018. De plus, elle est confrontée à la problématique des exils maritimes clandestins. 🌊 Cette commande de 10 patrouilleurs, toujours des FPB 98 de 32 mètres, sera livrée à partir de 2019. Les FPB 98 d’une longueur de 32 mètres (en fait 31,8 mètres), montent à une vitesse de 25 à 30 noeuds, et sont équipés de deux moteurs diesels Caterpillar. Tous les patrouilleurs sont des gardes-côtes et sont donc armés. 🏗 Le 6ème patrouilleur (côté quai sur la photo) devrait partir dans un mois, le temps d’une formation et de la prise en main du navire, l’équipage algérien venant d’arriver. 🛟 Formation et suivi : OCEA mène des opérations commerciales qui ont du succès, malgré la concurrence de pays pouvant tirer les prix en raison de bas coût de main d’oeuvre, car le chantier propose un package : Il construit des bateaux en aluminium qui permettent de réduire les coûts opérationnels, et prend en charge la formation des équipages, des équipes de maintenance et le maintien en condition opérationnel des navires, généralement durant cinq années. Ces conditions rares sont recherchées. 📖 OCEA : https://lnkd.in/e_pyEXcm 📽 Ressentir : https://lnkd.in/eedWVYMA . Sources : Ocea, Le Reporter Sablais, Mg