Post de Salomé Géraud

Vous avez sans doute vu passer la nouvelle, maintenant que les JO se sont terminées : après Uber Eats, la Ligue 1 de football va devenir la “Ligue 1 MacDonald”. Un choix d’une remarquable pertinence et qui intègre tout ce que l’on attendait pour avancer encore plus sereinement vers le futur.   Coca-Cola, Burger King, et autres joyeuses entreprises du futur, étaient déjà connues pour investir la publicité en ciblant le marketing du divertissement. Quand on voit le nombre croissant de personnes se plaindre de l’inaction climatique, ce type d’action est totalement incompréhensible. Le problème est même double : ces entreprises sont actives dans le champ de la prospective ! Ce qui veut dire qu'elles investissent les réflexions sur le futur, tout en perpétuant un modèle d'hyperconsommation que tout le monde sait absurde. On est donc en droit de se demander objectivement, si ces entreprises ont vraiment l'intention de changer. Il y a des signes qui ne trompent quand même pas, quand on voit tout le marketing derrière la sauce curry, après l’exploit du spectaculaire basketteur, Stephen Curry. On est toujours dans les mêmes logiques en réalité. Et en parallèle, on fait de la prospective. On réfléchit sur la soutenabilité de la planète. Il faudra un jour sérieusement ouvrir ce débat de ces entreprises peu soucieuses en réalité du futur, et qui continuent à vouloir se vendre comme des entreprises soutenables. Si on se pose sincèrement la question, imagine-t-on vraiment un futur avec des MacDonalds, Coca-Cola, Burger King et KFC ?  

📚🌍 Aujourd'hui c'est La Journée sans achat, une journée suivie dans plus de 65 pays pour réfléchir à nos habitudes de consommation et leurs impacts. C'est aussi une occasion pour repenser notre rapport à la lecture. Et si acheter moins de livres devenait une opportunité d’explorer plus ? En empruntant des livres plutôt qu’en les achetant, vous : ✅ Réduisez l’impact environnemental lié à la production et au transport. ✅ Favorisez l’accès au savoir pour tous grâce aux bibliothèques et plateformes collaboratives comme MyBlio. ✅ Soutenez une consommation responsable tout en enrichissant vos connaissances. ✅ Montrez à vos collègues que vous êtes toujours à la page. ✅ Faites des économies. 💡 En cette journée sans achat, engageons-nous ensemble pour une lecture durable et partagée. 👉 Et vous, êtes-vous prêt·e à adopter cette habitude écoresponsable ? #JournéeSansAchat #BlackFriday 📷 Photo de Monica Yu sur Unsplash

Connaissez-vous l’affaire Cdiscount VS ADEME ? En 2018, le site de vente en ligne sort une campagne publicitaire incitant clairement à la surconsommation. À coup de slogans tel que « Mon matelas est assez grand… mais à 32 ans, je n’ai pas encore fini de grandir », Cdiscount invite explicitement les consommateurs à renouveler prématurément l’achat de certains produits. Une publicité qui ne passe pas auprès de l’ADEME, qui saisit le Jury de déontologie publicitaire de l’ARPP sur ce dernier motif. L’ARPP va pourtant débouter par deux fois l’ADEME :  ➡ D’abord au motif que cette campagne avait lieu durant la période des soldes ➡ Puis en précisant que ces publicités n’incitaient pas au gaspillage, ne valorisaient pas des modes de consommation excessifs et ne discréditaient pas les principes en matière de développement durable. ❌ « Des pubs qui ne pourraient plus passer aujourd’hui », m’explique Thierry Libaert, Conseiller au Conseiller Économique et Social Européen et professeur des Universités, dans ce nouvel épisode de À CHAUD. Si l’on s’en réfère à l’actualité, le secteur de la #publicité a effectivement évolué depuis cette affaire : La Haye vient par exemple de supprimer les affichages publicitaires pour les produits et services fortement émetteurs de GES. L’allégation à la neutralité carbone est aussi désormais interdite. « Pour autant, le message principal est toujours le même : le bonheur passe par la consommation de biens et de services », ajoute Thierry Libaert. Mais comment changer une industrie dont la fonction principale est l’incitation permanente à la consommation ? « En imaginant de nouveaux récits qui n’associent plus bonheur et possession de biens ». Alors, pourquoi le secteur de la publicité a-t-il pris tant de retard dans la lutte contre le dérèglement climatique ? Quels sont les impacts de la publicité sur l’environnement ? Les enjeux de la création de nouveaux récits ? Et les solutions pour une publicité plus conformes aux objectifs climatiques et de sobriété. Toutes les réponses à ces questions dans cet épisode passionnant ! Belle écoute ! NB : lien de l'épisode et du site internet du podcast en commentaire #podcast #climat #transitionecologique

Magnifique campagne de pub du Groupe SEB qui nous montre avec brio son savoir-faire en matière de gestion de crise ! C'est ce que j'aurais dit si j'avais fait abstraction de toute la réalité sanitaire et environnementale qui se trouve derrière l'activité de #Tefal, comme encore beaucoup de personnes quand il s'agit de parler "business". Je suis d'ailleurs stupéfait qu'il y ait encore autant de gens prêts à travailler pour produire ce genre de campagne de communication. Il y a donc sur ce réseau, une ou un chargé de com' qui a travaillé en toute conscience pour désinformer massivement les consommateurs. Comment peut-on décemment consacrer son temps à cacher la vérité scientifique et à détruire la vie des autres ? Ce fut la même raison qui m'a poussé à quitter l'automobile. Après une discussion avec la directrice RSE du groupe et une question posée sur l'envoi des moteurs ne passant plus les normes antipollutions européennes en Afrique, la réponse a été "parce qu'il y a un marché". Aucune réflexion sur le fait que si l'Europe a fixé des normes, c'est bien qu'il y a un impact sur la santé de tous et non pas seulement les européens. (Merci de m'avoir convaincu !) Je veux bien comprendre que dans un système capitaliste, l'objectif d'une entreprise est de maximiser son profit, zigzaguant entre les contraintes imposées par le législateur qui, de son côté, joue tant bien que mal son rôle de garde fou et tente comme il se peut de limiter les dégâts des activités économiques. Cependant, à l'échelle individuelle, la notion de responsabilité et d'éthique n'a-t-elle réellement aucune valeur ?

😤 Bravo messieurs : côté ''No Paper'' le mal est fait et laissera une catastrophe économique. 2 ans après ce coup de tonnerre mal placé et hypocrite ne nous trompons pas : à date il n'y a pas une seule enseigne en France qui ne continue pas à imprimer du prospectus et à utiliser ce levier d'activation promotionnelle pour continuer à se battre sur sa zone de chalandise ''papier promo en main''. 😢 Une lutte entre bottom up et top down ! Le terrain en veut, mais plus les directions marketing ... par snobisme ? Un peu comme si les managers de magasins, qui oeuvrent côté ''carrelage'', ceux du terrain qui serrent la main de leurs clients tous les jours, étaient rentrés en désaccord avec leur siège, direction générale, marketing ou communication ... en décidant de les laisser parader dans les salons parisiens du tout numérique et de l'Ia, tout en continuant de leur côté à ''imprimer'' et à diffuser leur promo à une clientèle en mal de pouvoir d'achat, et eux même en perte de puissance commerçante face à de nouveaux arrivants. 📬 Contre-productif : regardons la Belgique et les Pays Bas... Et si l'on regarde plus loin les pays pionniers et précurseurs d'une politique du ''JA'' (équivalente du Oui Pub) comme les Pays Bas et la Belgique c'est déjà un total revirement : tous remettent progressivement en place leurs stratégies papier non adressés, et des stratégies ''stop pub'' basée sur l'optout, Lidl en tête. 🤢 Mais voilà, avec ou sans Oui pub, le mal est fait messieurs !!! Un monde d'hypocrisie lancé par un MEL sur-dominateur, suivi comme un seul homme par l'ensemble d'une profession dans le déni sous prétexte de ''gâchis'' environnemental alors que le papier est le support le plus naturel et bénéficiant d'une économie circulaire parfaitement organisée ... Des distributeurs n'assumant pas aujourd'hui que cette décision aura certainement été la pire mesure économique prise ces dernières années, et ceci alors que tous sont en mal de trafic, de baisse de consommation, et d'attaques de modèle alternatifs au ''vieux commerce'', tout en se drapant de vertus responsables. 😱 Et au profit de qui ???? Alors oui ca fait vieux c… mais il faut le marteler : des Gafam et BATX dont les profits s'évadent sous de meilleurs ciels fiscaux, au détriment de l'économie Française. Car le tout digital c’est la route ouverte à la surexposition publicitaire des Temu, Shein, Aliexpress, Amazon et de la data non contrôlée... Des acteurs que les distributeurs ne retrouvaient pas frontalement sur les zones de chalandises primaires et secondaires de leurs magasins. Le face à face se fait maintenant sur les réseaux sociaux principalement. Mettant en surchauffe les serveurs tournant pour l'Ia vertueuse... 2 ans après ? Une filière papier à genoux, bientôt une pénurie de fibres recycables si précieuses pour le maintien du modèle circulaire du papier ... un comble, des coûts matières explosifs, et des plans de licenciements par milliers. Chapeau bas messieurs 😡#retail

Comment conjuguer consommation avec considération écologique ? C'est l'exercice auquel s'est prêté Enrique Martinez - CEO de Fnac Darty dans un livre plein de bon sens et d'optimisme pour réconcilier ces deux volontés qui paraissent contradictoires et qui pourtant sont tout à fait possibles. Un ouvrage utile à lire 👏 PS : Je ne pensais pas retrouver une mention à la DSP2 dans le livre. Comme quoi, le paiement est vraiment partout 😉 #livre #consommation #RSE #achat #commerce #transition #responsable #responsabilité #economiecirculaire #secondemain #réparation #industriels #magasins #ecommerce #paiement

Qui tire les ficelles derrière Leclerc, Carrefour ou Auchan ? J'ai cherché pour vous 🧐 Après plusieurs jours de requêtes Google, de "putain je suis pas sûre", "j'espère qu'on va pas me tomber dessus si je fais une faute", "bah en vrai y'a moyen que ce post floppe tout simplement... ou alors un industriel puissant va vouloir m'éliminer 😱" et de "merde, j'espère que ça intéressera au moins les gens 😅", voici... Un tour d'horizon des actionnaires des 6 plus gros hypermarchés de France 🥵 Se plonger dans ce genre de recherches apprend énormément de choses. Histoire, rachats, transactions, mais aussi termes techniques et intitulés juridiques (j'ai une nouvelle fois vivement regretté de pas avoir choisi ES au bac). Pourquoi pondre soudainement ce genre de carrousel ? J'ai une idée derrière la tête 🙃 Mon but à terme, c'est d'aider les petits commerces engagés à booster leur notoriété et donc leurs ventes, bref, à s'en sortir et à se développer pour une transition écologique locale. Comprendre comment fonctionne ces géants, là, en face, c'est mieux comprendre le contexte dans lequel se trouve le commerce de proximité aujourd'hui en France. Bisous bisous LinkedIn ✌

Connaissez-vous la «stretchflation» ? c'est innovant il parait.😊 Après la pratique dévoilée et mise en lumière de la «shrinkflation» ou l'ancienne genèse du monde des mondes cristallise de façon artificielle le prix affiché du produit pour agir ni vu ni connu sur la diminution du grammage et ingrédient nutritif qualitatif. 🎯 Résultat des courses :  un produit conditionné dans nos habitudes de la course pour gagner une quantité et qualité diminuée. Pris la main dans la confiture aux yeux humains, cette fois-ci, la pratique innove pour la «shrinkflation», celle de revenir à la quantité traditionnelle du produit avec un prix augmenté "rentable" pour être dans le "durable" des modèles conceptuels périmés. 🎯 Résultat des courses : Un prix augmenté de 35% pour 15% de produit en plus en toute transparence. 🕵♀️ Des astuces d'intention marketing de dissimulation et manipulation sous-jacente agissante sur la monnaie d'échange, basées sur les anciens préceptes de vendre des denrées alimentaires coûte que coûte "plus c'est gros, plus ça passe". Des données comparatives répertoriés dans le néant pour hypnotiser les esprits et les illusions d'antan, qui discrédite le storytelling des chiffres de toutes formes et dimensions dans la forme, non-forme et le fond. Des modèles linéaires de survie "économiques" à la peine qui ne vont plus "faire recette" au bénéfice de valeurs rétributives humaines rénovées enrichissantes et prospères dans la justesse, justice, intégrité, dignité, authenticité, équilibre harmonique au profit du plus grand nombre du centre cœur des êtres vivants et vibrants. Prochain sur la liste la stagflation....déjà sur les écrans Êtes-vous préparé(e) à sortir des limites sclérosantes et souffrantes des cadres établis acquis et appris pour redonner du souffle, sens et inspiration ingénieuse aux ailes de vos aspirations profondes uniques et singulières, au profit et bénéfice de la nouvelle genèse du monde des mondes dans le maintenant ? 🌞 #selfempowerment #realitequantique #potentiel #croissance #economie #soutien

Michel-Edouard Leclerc a été un pionnier parmi les dirigeants du retail sur LinkedIn, publiant régulièrement pour valoriser son entreprise, ses équipes et ses engagements. Ce réseau social est devenu un outil stratégique pour les patrons du secteur, leur permettant de commenter l’actualité et de mettre en avant des thèmes tels que l’innovation et la responsabilité sociétale des entreprises (RSE). LinkedIn, initialement conçu pour le réseau professionnel et le recrutement, s’est transformé en un espace d’échange et de discussion où les dirigeants partagent réflexions, positions et succès. La plateforme met en avant la régularité, l’authenticité et la variété des formats, notamment la vidéo, qui bénéficie aujourd’hui d’un onglet spécifique. Eliott SIEGLER, président d’AmazingContent, souligne que les publications sur LinkedIn exigent une maîtrise des formats et une grande cohérence avec les engagements de l’entreprise. Michel-Édouard Leclerc, président du comité stratégique des centres E. Leclerc, publie trois fois par semaine en moyenne. Ses posts alternent entre prises de position sociétales, engagement pour des causes comme les banques alimentaires et mise en avant de personnalités culturelles telles que Kamel Daoud, prix Goncourt 2024. Selon Adeline Daboval, LinkedIn est devenu en 2024 la principale agora des débats du retail en France. Dominique Schelcher, président de Coopérative U, est reconnu comme le dirigeant le plus influent sur la plateforme. Avec plus de 12 publications par mois en moyenne, il combine sujets professionnels et anecdotes humaines. Les thématiques abordées par les dirigeants se répartissent ainsi : - 30 % concernent les enjeux sociétaux et les engagements des entreprises. - 25 % sont consacrés à des anecdotes personnelles et des réflexions. - 35 % traitent des actualités d’entreprise, des résultats financiers et des succès. - 15 % portent sur les événements sportifs, notamment Paris 2024. Barbara Martin Coppola, directrice générale de Decathlon, se distingue par son storytelling maîtrisé, publiant exclusivement en anglais. Elle aborde des sujets variés, comme l’usage de l’intelligence artificielle dans le sport et la participation de Decathlon au World Cleanup Day. Elle valorise également des produits de son enseigne, comme des équipements pour courir la nuit en hiver. Sa capacité à engager l’audience lui permet de surpasser Michel-Édouard Leclerc et Alexandre Bompard, PDG de Carrefour, en influence selon AmazingContent.

*Canal moderne n'est pas fait pour vous* Les erreurs de distribution qui vous condamne à l'échec Nous sommes en 2015 , Irène MELINGUI vient de lancer sur le marché son tout nouveau bébé , un thé instantané et soluble conditionné dans des boîtes de 100g, après plus de 2 ans de recherche et développement et toutes les tracasseries liées a la mise en place de son unité de production Alors viens le moment le plus important, allez à la rencontre de ses consommateurs Je pose la question à Irène Ghislain : Irène ton produit est comment compte tu le mettre a disposition de tes consommateurs ? Irène : écoute je vais faire comme les grands, je mettrais mes produits au supermarché Je vous assure que sa réponse m'a fait comprendre qu'elle était loin de savoir ce qui l'attendait. Quand vous démarrez ce genre de projet a petite échelle votre réseau ou canal de distribution peut être le premier a vous sacrifier sur l'hôtel des 80% d'entreprise qui ne voit jamais leur 5 ème anniversaire Les grandes surfaces ne sont pas là pour vous accueillir, c'est la guerre et vous devez être prêt *1er frein* : le supermarché ne donnera pas d'entrée de jeu la place de choix et l'attention que vous méritez en tant que jeune produit si vous n'êtes pas prêt à payer le prix *2 ème frein* : les grandes surfaces paient a partir de 30 jours fin de mois , comment compter vous soutenir votre trésorerie si d'entrée de jeu vous accorder déjà le crédit client ? Alors que vous n'avez pas reçu du crédit fournisseurs ? *Voici les questions qu'Irene aurait dû se poser* Quel est le chemin le plus court pour que mon produit arrive dans les mains du consommateur final ? Est ce que la contribution marginal ( ratio de gain a l'unité de produit) de mon produit me permet d'être rentable dans le canal de distribution que je vais choisir ? Ne commettez pas la même erreur qu'Irene Maîtrisez les contours de votre marché en prenant 15 minutes pour remplir le questionnaire du lien ci-dessous ; vous recevez votre rapport en *60 minutes* : 100 % Gratuit https://lnkd.in/etw37d_5 𝑳𝒂𝒊𝒔𝒔𝒆 𝒎𝒐𝒊 𝒕‘𝒐𝒖𝒗𝒓𝒊𝒓 𝒍𝒆𝒔 𝒗𝒐𝒊𝒆𝒔 𝒗𝒆𝒓𝒔 𝒅𝒆 𝒏𝒐𝒖𝒗𝒆𝒂𝒖𝒙 𝒎𝒂𝒓𝒄𝒉𝒆𝒔. ~~~~~ Ghislain KUATE Go To Market Expert 650 60 40 20 Optimus Marketing