Post de SAS BIOSTRUCTURE

[ FILIERE CHANVRE ] - Témoignage d'agriculteur 🌱 Retour d’expérience sur une première année de culture de chanvre 🌱 Paul Reslou, agriculteur à Quedillac : "Première année de chanvre sur notre exploitation, avec Terres de Sources. Il semble que cela soit une bonne culture en tête d'assolement qui a la particularité d'étouffer les adventices et de laisser un terrain propre. Cette année expérimentale nous a permis d’identifier plusieurs axes d'amélioration pour la prochaine campagne : - Mise en terre (conditions de semis et fertilisation) - Choix des variétés Ces éléments nous permettront nous l’espérons d’améliorer la rentabilité de la culture, qui reste une interrogation (rendement / prix). Mais je pense que le chanvre représente une culture d'avenir notamment en termes de place dans la rotation, et de débouchés : fabrication de matériaux biosourcé (isolation, parpaing, contenant agroalimentaires...). Nous renouvelons l’expérience l’année prochaine." #chanvre #filierechanvre #terresdesources #eaudubassinrennais

Au-delà de son aspect paysager, la haie est aujourd'hui un véritable outil agronomique multifonctionnel : ✅ Préservation de la biodiversité ✅ Lutte contre l'érosion des sols ✅ Régulation du microclimat ✅ Corridor écologique naturel ✅ Protection des cultures Investir dans les haies, c'est réconcilier performance agricole et transition écologique. Un choix gagnant-gagnant pour nos territoires et notre avenir ! Il est du devoir du Groupe Etablières de sensibiliser les jeunes à cet enjeu.

#Polynésie #Perliculture - La perliculture, deuxième ressource économique de Polynésie, est depuis quelques années reconnue comme une source non négligeable de pollution des lagons. Le bureau d’étude Odewa travaille depuis deux ans à l’élaboration d’un système mécanique permettant de collecter, au moment de la récolte des nacres, tous les déchets de la perliculture. Te Ma Tairoto, c’est son nom, offrirait ainsi une solution pour une gestion plus durable du secteur. À ce jour, le développement technique du projet est achevé, mais les ingénieurs attendent des financements publics et privés pour le concrétiser. La publication des résultats du programme d’étude mené par l’Ifremer entre 2017 et 2020 dans les lagons de Ahe, Manihi et Takaroa, avait révélé la présence de micro-plastiques présentant « des similitudes » avec les équipements utilisés en perliculture dans ces zones concentrant pourtant peu d’habitants. Cette contamination, à première vue invisible, engendre pourtant de gros dégâts sur la faune et la flore marine des atolls où se cultivent les huîtres perlières. Les matières organiques qui s’accrochent aux lignes abandonnées au fond du lagon accélèrent le blanchissement des coraux, et les micro-plastiques altèrent la qualité des huîtres perlières et contaminent la chaîne alimentaire. Face à ce constat « alarmant », le Pays s’est lancé depuis 2021 dans une véritable chasse aux déchets de la perliculture. David Wary et son équipe de quatre collaborateurs ont décidé de concentrer leurs efforts sur la collecte des déchets de la perliculture. Depuis deux ans, ils travaillent sur l’élaboration « d’un système mécanisé » permettant aux perliculteurs d’agir de manière autonome. « Le système permettra, au moment de l’extraction, de nettoyer directement l’intégralité des po’ito, des lignes, des casiers, des collecteurs. Ensuite, de les dissocier directement sur la barge, avec des zones de stockage pour éviter de faire de multiples allers-retours vers le quai du village », explique l’ingénieur. Aujourd’hui, les chercheurs d’Odewa ont achevé le développement technique de leur projet baptisé Te Ma Tairoto. Les premières étapes du prototype ont été dessinées, mais la structure d’études manque de financement : 120 millions au total. Ils attendent désormais un coup de pouce des autorités du Pays Présidence de la Polynésie française et de l’État via l’ADEME, ainsi que de financements privés pour mener à bien ce projet qui devrait être « au moins 10 fois plus performant que les solutions actuelles, voire 20 ou 30 fois plus à terme ». L’adoption généralisée de cette solution innovante dans l’industrie de la perliculture pourrait avoir des implications significatives à long terme. Non seulement elle réduirait considérablement les déchets marins, mais elle améliorerait aussi la durabilité de l’industrie perlicole et préserverait les écosystèmes côtiers. Radio 1 Tahiti

#Polynésie #Perliculture - La perliculture, deuxième ressource économique de Polynésie, est depuis quelques années reconnue comme une source non négligeable de pollution des lagons. Le bureau d’étude Odewa travaille depuis deux ans à l’élaboration d’un système mécanique permettant de collecter, au moment de la récolte des nacres, tous les déchets de la perliculture. Te Ma Tairoto, c’est son nom, offrirait ainsi une solution pour une gestion plus durable du secteur. À ce jour, le développement technique du projet est achevé, mais les ingénieurs attendent des financements publics et privés pour le concrétiser. La publication des résultats du programme d’étude mené par l’Ifremer entre 2017 et 2020 dans les lagons de Ahe, Manihi et Takaroa, avait révélé la présence de micro-plastiques présentant « des similitudes » avec les équipements utilisés en perliculture dans ces zones concentrant pourtant peu d’habitants. Cette contamination, à première vue invisible, engendre pourtant de gros dégâts sur la faune et la flore marine des atolls où se cultivent les huîtres perlières. Les matières organiques qui s’accrochent aux lignes abandonnées au fond du lagon accélèrent le blanchissement des coraux, et les micro-plastiques altèrent la qualité des huîtres perlières et contaminent la chaîne alimentaire. Face à ce constat « alarmant », le Pays s’est lancé depuis 2021 dans une véritable chasse aux déchets de la perliculture. David Wary et son équipe de quatre collaborateurs ont décidé de concentrer leurs efforts sur la collecte des déchets de la perliculture. Depuis deux ans, ils travaillent sur l’élaboration « d’un système mécanisé » permettant aux perliculteurs d’agir de manière autonome. « Le système permettra, au moment de l’extraction, de nettoyer directement l’intégralité des po’ito, des lignes, des casiers, des collecteurs. Ensuite, de les dissocier directement sur la barge, avec des zones de stockage pour éviter de faire de multiples allers-retours vers le quai du village », explique l’ingénieur. Aujourd’hui, les chercheurs d’Odewa ont achevé le développement technique de leur projet baptisé Te Ma Tairoto. Les premières étapes du prototype ont été dessinées, mais la structure d’études manque de financement : 120 millions au total. Ils attendent désormais un coup de pouce des autorités du Pays Présidence de la Polynésie française et de l’État via l’ADEME, ainsi que de financements privés pour mener à bien ce projet qui devrait être « au moins 10 fois plus performant que les solutions actuelles, voire 20 ou 30 fois plus à terme ». L’adoption généralisée de cette solution innovante dans l’industrie de la perliculture pourrait avoir des implications significatives à long terme. Non seulement elle réduirait considérablement les déchets marins, mais elle améliorerait aussi la durabilité de l’industrie perlicole et préserverait les écosystèmes côtiers. Radio 1 Tahiti

les castors peuvent être une alternative écologique et durable aux mégabassines. En encourageant leur développement et en les intégrant dans des projets de gestion de l'eau, nous pouvons contribuer à préserver notre environnement et à faire face aux défis de la sécheresse. Attention je tiens à souligner que la solution des castors n'est pas une solution miracle,mais peut être une bonne alternative

Lionel a 36 ans. Maraîcher depuis 2017, il a créé Le Jardin des Gonnettes en Isère, à St-Pierre-de-Bressieux. Sa production est vendue grâce à des AMAP et en magasin de producteurs. Cet agriculteur cultive environ 5 000 m2 de légumes diversifiés avec des techniques de maraîchage sur sol vivant et en agriculture biologique. Il souhaite faire évoluer son projet initial d’ici 3 ans pour trouver un nouveau souffle et s’adapter au changement climatique. Le maraîchage est très chronophage et les ventes sont difficiles dans le contexte actuel, aussi l’idée d’arrêter s’est posée pour Lionel. Mais après de longues réflexions, celui-ci a plutôt décidé de réorienter son projet. Dans un premier temps, Lionel souhaite implanter des agrumes sous ses serres avec un système de serre passive : le thermitube. En extérieur, le temps que les arbres produisent correctement, il compte cultiver des morilles. Produire des agrumes plus au nord de la France permettra une consommation locale et moins polluante avec moins de transport, tandis que la production de morilles biologiques en France réduira l’empreinte carbone. En effet, en France, seules 2% des morilles séchées consommées sont d’origine française, le reste étant importé. 🍄 Vous souhaitez soutenir Le Jardin des Gonnettes ? Rdv sur la page dédiée : https://lnkd.in/eDV35asU

[Agriculture et climat] 🌾Les prairies se fragilisent et constituent l’habitat qui a le plus reculé au cours des dernières décennies. Les causes ? Le retournement des prairies causées par l’intensification et la spécialisation des pratiques agricoles, la fermeture des milieux qui résulte de la déprise agricole sur certaines zones, causes auxquelles s’ajoutent le changement climatique et ses effets sur la ressource en herbe. ✳Afin de permettre aux prairies de déployer leurs fonctions écosystémiques, de contribuer à la production animale, à la résilience des exploitations et à la qualité environnementale, des actions de préservation et des méthodes d’adaptation sont possibles. Les Parcs constituent de formidables territoires d’expérimentation. Ils mobilisent plusieurs leviers allant de l’accompagnement des pratiques des agriculteurs à celui des filières, en passant par le suivi et la restauration des milieux. Ainsi, certains Parcs coordonnent ou participent déjà à des programmes structurants autour des prairies. 📗 Un sujet extrait du magazine #Parcs94 à retrouver en lecture en ligne ➡ https://swll.to/Parcs94

Reprendre une ferme en Savoie ?

Le réchauffement climatique provoquant la multiplication des épisodes de sécheresse imposent des obligations d’entretiens aux propriétaires pour limiter la propagation des feux. Le broyage, le débroussaillage et le gyrobroyage sont des techniques utilisées pour le nettoyage et l’entretien des terrains, mais ils diffèrent légèrement dans leurs méthodes et leurs résultats : Broyage : Le broyage consiste à réduire en petits morceaux les débris végétaux, tels que les branches, les arbustes et les petites plantes. Cette méthode est généralement utilisée pour réduire le volume des déchets végétaux et faciliter leur élimination ou leur compostage. Les machines de broyage peuvent varier en taille et en puissance en fonction de la densité et de la taille des matériaux à broyer. Débroussaillage : Le débroussaillage implique l’élimination des buissons, des mauvaises herbes, des broussailles et des petites plantes à partir d’un terrain.

🌽 Semis en Escalier : Récolter l'Excellence, Parcelle par Parcelle ! 🌱 Derrière moi, une parcelle semée le 1er août, un symbole vivant de notre stratégie de semis en escalier. Pourquoi cette méthode est-elle essentielle ? Parce qu'elle nous permet de répartir les risques et de garantir des récoltes optimales, même face aux aléas climatiques. En décalant les semis, nous assurons une meilleure gestion des ressources et une récolte plus régulière. Moins de stress pour la culture, plus de contrôle pour nous, et surtout, des rendements maximisés au fil du temps. Chaque étape est pensée pour arriver à une récolte abondante et de qualité. Avec cette approche, nous ne cultivons pas seulement du maïs, nous cultivons l'efficacité et l'innovation ! #AgroInnovation #SemisEnEscalier #Récolte #GestionDesRisques #ProductionDeMaïs