Post de Service Public de l'Administration Togolaise

la digitalisation pour un monde plus juste

Obtenez votre Certificat de Nationalité Togolaise en toute simplicité ! Le Ministère chargé de la Justice vous offre désormais la possibilité de faire votre demande de nationalité en ligne. Grâce à notre plateforme, vous pouvez préparer votre dossier, effectuer votre paiement en ligne et suivre l'avancement de votre demande sans tracas. Nous sommes là pour vous accompagner à chaque étape : prise de rendez-vous pour le dépôt des dossiers physiques, suivi post-dépôt, et bien plus encore. Rendez-vous à Agoè Cacavéli, non loin de la CEET, pour nous rencontrer. Pour toute question, n'hésitez pas à nous contacter au (+228) 97 32 88 02. Simplifiez vos démarches administratives et obtenez votre certificat de nationalité togolaise rapidement et efficacement ! #hasvoyage #nationalite

« La signature électronique : un outil devenu incontournable en France » mais toujours inaccessible aux ressortissants européens. Etonnant à quelques heures d’aller voter pour nos représentants au Parlement. Je suis belge, vivant et travaillant en France depuis 25 ans. Je suis donc un ressortissant européen et avec la libre circulation entre les états européens, je ne dois pas avoir de titre de séjour pour travailler en France. Mais depuis peu, toute formalité administrative en France demande la signature électronique. Pour valider les bénéficiaires effectifs de mon entreprise ou pour valider le compte CPF de mon épouse, par exemple. Comme vous pouvez le lire ci-dessous, cette signature électronique n’est accessible qu’aux personnes de nationalité française ou étrangère qui dispose d’un titre de séjour. Ainsi les européens travaillant en France qui ne disposent pas de titre de séjour sont mis de côté, ayant l’obligation de demander à une personne de nationalité française d’effectuer ces démarches administratives à notre place. Dans Challenges, on peut lire que "269.000 ressortissants d’un Etat membre de l’Union européenne sont inscrits sur les listes électorales en France, dont 88 500 Portugais, 42 100 Belges, 39 800 Italiens". Cela fait au minium 269.000 personnes (de nombreuses personnes ne sont pas inscrites sur les listes électorales) qui sont simplement exclues de la possibilité d’effectuer toutes démarches administratives françaises par discrimination de leurs origines. Est-ce bien normal ? #administration #europe #signatureélectronique

Kemi n'est pas le seul victime de cette propagande .Des Universitaires Franco Africains subissent des menaces pour leurs avis .C'est une exposition de des viellles méthodes de la France Afrique maçonnique criminelle qui a passé toutes des décennies à assassiner chef d'états Africains :Thomas Sankara ,Sylvanus Olympio ,...etc. Tout ces agissements feront plus éloigner cette nouvelle vague de chefs d'états souverainistes Africains .A écouter ces futilités c'est comme si 1.4 milliards d'africains sont des Chimpanzés ou des chauve-souris pour ne pas constater le pillage de la France Afrique maçonnique au Gabon et au CONGO Brazzaville . La France n'est pas la seule nation colonisatrice en Afrique . Les derniers sous préfets seront bientôt chassés ce ne va pas tarder. Les Africains ne sont pas contre le peuple Français mais plutôt contre la politique esclavagiste et néocoloniale en matière de coopération militaire,économique et monétaire. Est ce que Kemi Seba un petit illettré est aussi intelligent pour drainer ces mouvements populistes ?

[Appel aux dons] Aidez-nous à défendre les droits des personnes aux frontières ! La loi « pour contrôler l’immigration, améliorer l’intégration » a été une attaque sans précédent contre les droits des personnes étrangères aux frontières : instrumentalisation du concept de « menace à l’ordre public », consolidation de la notion de « risque migratoire », allongement des délais d’intervention du juge judiciaire en zone d’attente, recours systématisé à la visioaudience et à la délocalisation des audiences, mise en œuvre de plusieurs fichiers, etc. Surtout, alors qu’elle entérine l’interdiction de l’enfermement d’enfants en rétention, cette mesure ne s’applique pas à la zone d’attente qui est devenue le dernier et seul lieu d’enfermement administratif en France où des enfants peuvent être enfermés, seuls ou accompagnés. Ce texte intervient dans un cadre de pressions accrues de la part des autorités sur les personnes solidaires des personnes en migration et des associations de défense des droits, et de montée des logiques et des discours d’extrême droite. En octobre, le gouvernement a annoncé une « nouvelle loi » sur l’immigration pour le début de 2025, preuve encore d’une inflation législative déraisonnée, renforçant l’insécurité juridique tout en affaiblissant les droits des personnes étrangères. Si, comme nous, ce contexte politique vous indigne, vous pouvez agir en soutenant nos actions de défense des droits fondamentaux des personnes enfermées et en difficulté aux frontières. Votre générosité est essentielle pour nous permettre de continuer nos actions d’assistance juridique aux personnes étrangères et nos missions de dénonciation des atteintes à leurs droits et à leur dignité. L’Anafé est une association d’intérêt général : un don vous ouvre droit à une réduction d’impôt de 66% du montant versé (un don de 50 € ne vous coûtera que 17 € après réduction fiscale). Faites un don ici ➡️ https://lnkd.in/eZuUW3fh N'hésitez pas à diffuser cet appel autour de vous !

L’arnaque en ligne à la sauce (piquante) mauricienne. Un petit aperçu des précautions à prendre pour ne pas se faire prendre ! Notre blog vous en parle. #Maurice #IleMaurice #arnaque #fraude #scam #hacker #immigration #expatriation #Business #Gibsonandhills #Businessdesigners #permisdeséjour

#ANEF : la FAS et ses associations adhérentes dénoncent les manquements de l'État dans un courrier au ministère de l'Intérieur. ✉️ La FAS accompagnée de neuf de ses associations adhérentes a adressé ce jour un courrier au ministère de l’Intérieur pour dénoncer les graves carences de l’ANEF (Administration Numérique pour les Étrangers en France) qui gère l’accès au séjour des personnes étrangères et engage la responsabilité de l’État dans le respect de ses obligations relatives aux droits des étrangers. 👉 L’enquête "Accès aux droits entravés, insertion empêchée", menée par la FAS auprès de ses adhérents publiée en octobre révélait que les obligations de l’État ne sont à ce jour pas respectées. Le rapport de la Défenseur des droits, publié le 11 décembre dernier, vient également corroborer ces constats, dénonçant des parcours kafkaïens dans l'accès aux droits des personnes étrangères, trop souvent confrontées à un véritable « mur numérique ». La FAS et les associations signataires appellent l’État à agir sans délai pour : ➡️ Corriger les dysfonctionnements de l’ANEF. ➡️ Garantir le respect des réglementations législatives en matière de droits des étrangers. ➡️ Assurer à toutes les personnes concernées un accès effectif à leurs droits. 🔗 Retrouvez : -Le courrier : https://lnkd.in/ectkgz_T -L’enquête de la FAS "Accès aux droits entravés, insertion empêchée" : https://lnkd.in/ebWsyQxA -Le rapport de la Défenseure des droits : https://lnkd.in/esJ6YVkb ✒️Signataires: FAS, Association Aurore, EMMAÜS Solidarité, La Cimade, Coallia, Forum réfugiés, France terre d'asile, GROUPE SOS, JRS France (Jesuit refugee Service), Secours Catholique-Caritas France

#Etat_Gouvernance_Contrôle https://lnkd.in/eFmAGH4h Visa Maroc Côte d'Ivoire: il y a quelque chose de malsain, vraiment de très malsain dans cette mesure. Pourquoi? Comment comprendre que: -(i) quand les Etats occidentaux sont défaillants dans leur tâche régalienne de maitriser les flux à leur frontière -(ii) quand les autorités ivoiriennes sont défaillantes dans leur mission de sécurisation des documents d'identité Comment comprendre alors que quand des états sont défaillants dans leurs devoirs, ce soit les populations, le citoyen lambda en Côte d'Ivoire qui paie par une restriction de ses droits acquis? On ne demande pas d'explications aux organismes publics en charge de ces questions, on sanctionne les populations. On convient que sur plus d'une dizaine de milliers de migrants présentés comme ivoirien, à peine une dizaine le sont vraiment. Et au lieu de demander des comptes aux administrations et autorités en charge, on sanctionne tout simplement le peuple en imposant des visas. 0% des migrants identifiés comme ivoiriens, le sont en réalité, cette donnée invite à revoir le dispositif de production, de sécurisation et d'authentification de ce document important qu'est le passeport. On en convient tous. Mais de là à faire peser la faute sur le citoyen lambda, je le répète, c'est malsain. C'est juste malsain!

Ce 8 mai 2024, le gouvernement de Patrice Talon, le président béninois, a présenté un nouveau projet de loi. Celui-ci vise à octroyer la nationalité béninoise à tout Afro-descendant qui en ferait la demande, à conditions de prouver son afro-descendance grâce à des documents officiels d’état civil, mais également par des tests ADN et des témoignages authentifiés. Le gouvernement ne dit pas si l’acquisition de la nationalité est immédiate, une fois les documents réunis. Si aujourd’hui, de nombreux Afro-descendants ne possèdent pas la nationalité du pays d’origine de leurs parents, le Bénin veut marquer le coup en donnant la possibilité à ceux qui le souhaitent et le peuvent de revendiquer la nationalité béninoise. En effet, le gouvernement affirme que « toute personne dans le monde qui, d’après sa généalogie, a un ascendant africain subsaharien déporté hors du continent dans le cadre de l’esclavage » est éligible à la nationalité. Si tel est votre cas et que vous souhaitez obtenir la nationalité béninoise, il vous faut encore remplir quelques conditions après l’obtention de votre passeport : vivre au Bénin quelques jours avant la fin de validité de votre passeport valable trois ans. Suite à ce séjour, vous pourrez fièrement brandir votre certificat de nationalité béninoise. Certains y voient la volonté de Patrice Talon de dynamiser le tourisme de son pays en permettant aux Afro-descendants intéressés de s’y rendre sans que le visa ne soit un frein. Maintenant que l’annonce est faite, combien d’Afro-descendants sauteront le pas ?

Que dit la procédure de déchéance de nationalité de l’activiste Kemi Seba? De son vrai nom Stellio Capo-Chichi, Kemi Seba s’est vu notifier par l’administration française le 9 février 2024, qu’elle a engagé à son encontre une procédure de déchéance de la nationalité française. L’administration s’appuie sur un article du code civil stipulant que : le Français qui se comporte en fait comme le national d’un pays étranger peut, s’il a la nationalité de ce pays, être déclaré, par décret, après avis conforme du Conseil d’État, avoir perdu la qualité de Français. Et de poursuivre que les agissements de Kemi Saba révèlent "une posture constante et actuelle résolument antifrançaise, susceptible de porter gravement atteinte aux intérêts français.". Des parlementaires du RN ou de LFI ont publiquement désapprouvé la politique française en Afrique. Pour autant, il ne m’a pas semblé avoir entendu parler de déchéance de nationalité. Dès lors plusieurs citoyens français, réintégrés par décret à la nationalité française, de s’interroger. Que reproche l’administration française à Kemi Seba? N’est-ce pas à la justice de condamner un citoyen français et de décider des peines encourus, dont la déchéance de la nationalité française pourrait faire partie? Quels sont les interêts français au Bénin mis à mal par Kemi Seba, « se comportant comme un national d’un pays étranger », le Benin, en l’occurrence? Enfin dans le contexte géopolitique entre les pays de l’Union Européenne et la Russie, Kemi Seba par ses déplacements, notamment en Russie, représente-t-il un danger pour la France et pour le Bénin? Si jusqu’à récemment encore cette décision de l’administration française n’avait pas interpellé les français afrodescendants et leurs enfants français, comme Kemi Seba, les estrades monocolores des campagnes des européennes de juin 2024, et le nauséabond débat sur Aya Nakamura, rappelleraient comme, s’il le fallait, que des français totalement à part, existent. Et leur liberté d’expression sur la politique de la France en Afrique doit être restreinte, voire muselée. En effet, il ne fait l’ombre d’aucun doute que la politique de la France en Afrique francophone, doit faire son aggiornamento, engluée qu’elle est dans un double standard, qui adoube des coups d’état militaires ou constitutionnels quand ça l’arrange et menace leurs auteurs d’intervention militaire, affublée du masque tombé depuis d’une CEDEAO qui doit retrouver sa raison d’être, quand elle estime ne pas y trouver son compte. De plus, s’il est trop facile de faire de la France le seul responsable de la débâcle économique des pays africains subsahariens, il serait tout aussi erroné de l’absoudre de tout mal, tant elle a pesé sur tous les choix, monétaires, politiques et maintenant sociétaux des pays concernés. La France en Afrique ne peut plus ne penser qu’à ses seuls interêts, au risque de se faire bouter dehors comme au Sahel … avec un Kemi Seba, français ou non.