Post de SMEGREG

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🖍 Début juillet, un multi-traçage a été réalisé par les équipes du SMDE 24, proche de la source des Moulineaux. Les habitants de Coulounieix-Chamiers, Razac-sur-l'Isle, Marsac sur l'Isle, Coursac et Sanilhac ont pu observer la coloration du ruisseau de Cerf. Ce ruisseau est stratégique car il traverse le centre du bassin d’alimentation de la source. 🔍En injectant du colorant dans des zones d'infiltrations, là où l’eau s’enfonce sous terre, les traçages hydrogéologiques permettent de mieux comprendre le bassin d’alimentation de la source pour mieux la protéger et garantir la qualité de l'eau potable. 📌 A l’ouest de l’agglomération périgourdine, la source des Moulineaux est la source du département qui bénéficie du plus gros débit. Elle est utilisée pour l’alimentation en eau potable des communes environnantes, autrement dit, de 50 000 usagers. ✅ Bien qu’impressionnants, les produits injectés ne sont en aucun cas toxiques, ni pour l’environnement ni pour la santé. Ils se dégradent naturellement à la lumière et très facilement au chlore. #Hydrogéologie #Recherche #Environnement #GestionDurable #EauPotable Syndicat Eau Cœur du Périgord, LE GRAND Périgueux, Ville de Coulounieix-Chamiers | TZCLD, COMMUNE DE MARSAC SUR L'ISLE, COMMUNE DE COURSAC, COMMUNE DE SANILHAC Maxime Jolly, Annabelle Berthumeyrie

[#WEBCAFÉ INNOV’ACTION #Astee]   L’Astee - Association scientifique et technique pour l'eau et l'environnement lance une #série de 6 épisodes sur la « Contamination en #PFAS des ressources en eau » 💧   [CONTEXTE] Ce webcafé Innov’action de l’Astee - Association scientifique et technique pour l'eau et l'environnement, le premier d’une série sur le sujet des #PFAS, vise à présenter les #connaissances scientifiques qui peuvent aider les #collectivités à comprendre ces contaminations ainsi que les freins et les avancées de la réglementation. Il présentera également le retour d’#expérience d’Eau du Bassin Rennais qui mène depuis deux ans un travail exploratoire sur ses ressources en #eau pour évaluer la présence des PFAS et les risques associés pour les usagers, et qui a dû renforcer le traitement de ses eaux pour garantir le respect de la nouvelle norme avec un impact économique et des contraintes d'exploitation importantes.   Le sujet de l’épisode #1 portera sur « Connaissances scientifiques, enjeux et adaptabilité des collectivités ». 📆 6 février 2025 ⏱️ de 13h à 14h   Pour vous inscrire et retrouver les informations 👉 https://lnkd.in/evBt8EDS Animateur.rice.s : Etienne PAUL (INSA Toulouse - Institut National des Sciences Appliquées de Toulouse) et Adèle Bressy (École nationale des ponts et chaussées/Laboratoire Eau, Environnement et Systèmes Urbains (Leesu)   Intervenant.e.s : - Pierre Labadie, directeur de recherche CNRS – @laboratoire EPOC - Anne Togola, cheffe de projet et chercheuse – BRGM - Ronan Guillossou, ingénieur – Eau du Bassin Rennais   Programme : ➡️ Généralités et enjeux sur les PFAS, les connaissances de la recherche Pierre LABADIE, directeur de recherche CNRS – laboratoire EPOC ➡️ Évolution des réglementations sur les PFAS, verrous et levier Anne TOGOLA, cheffe de projet et chercheuse – BRGM ➡️ Présence et traitement des PFAS sur le bassin Rennais Ronan Guillossou, ingénieur – Eau du Bassin Rennais   ➡️ Questions/réponses et échanges (30 minutes)   On vous tient au courant pour les prochains épisodes.   #PFAS #eau #contaminations #risques #reglementation #REX

#ALaUne Datation des eaux souterraines... Pourquoi dater les eaux souterraines ? Comment déterminer l’âge de l’eau ? Quel âge ont les eaux des Nappes profondes de Gironde ? 3 questions auxquelles Michel FRANCESCHI, Enseignant-Chercheur à l'Institut Polytechnique de Bordeaux à accepté de répondre pour éclairer nos lanternes et nous donner, plus que jamais, l'envie de préserver nos préceuses ressources girondines ! Découvrez les réponses par ici 👇 https://swll.to/JhxaGbH

Voici une des expérimentations en cours au CER de Rouen sur un sujet à fort enjeu, l'or de demain : l'eau.

#SoyonsSAGE 🤓 Nouvelle réunion de groupe d'experts hydrogéologues auprès de la CLE du SAGE des Nappes profondes de Gironde aujourd'hui... dans le cadre de la révision du SAGE. 🔎La révision du SAGE des Nappes profondes est l'occasion de vérifier la validité des volumes maximums prélevables arrêtés en 2013, voire de les réviser. Les 17 experts, issus de la sphère publique ou para-publique, choisi par la CLE pour l'accompagner dans cet exercice de révision vont à nouveau plancher aujourd'hui. 🎯 Mais pourquoi réviser les volumes maximum prélevables : - d'abord parce que les nouveaux scénarios d'évolution climatique livrés par le GIEC remettent en cause la pertinence des valeurs actuelles ; - mais aussi parce que certaines valeurs ont été fixées par défaut et que les territoires sur lesquels elles s'imposent verront à terme leurs besoins en eau potable dépasser ces limites. ⁉ Et comment fait on ? - des scénarios combinant hypothèses climatiques (pessimistes) et prélèvements sont simulés dans la modèle mathématique nord aquitain (MONA) du BRGM ; - le comportement simulé des nappes soumises à ces scénarios sont examinés par le groupe d'experts hydrogéologues auprès de la CLE ; - le groupe d'experts examine les sorties et formule avis et propositions à la CLE ; - in fine la CLE statue. Au programme ce 20 juin, l'examen des sorties des simulations pour les unités de gestion du littoral et élaboration d'une stratégie pour les unités de gestion de la zone nord du département. A suivre... Pour retrouver le SAGE actuel c'est par ici : https://swll.to/jVLgH

Un réseau national de lysimètres, tel qu’il a été discuté en juin 2024 dans le cadre du PEPR OneWater – Eau Bien Commun, permettrait d’améliorer notre compréhension des processus de recharge, non seulement dans le contexte du changement climatique, mais aussi pour mieux comprendre le cycle du carbone, les transferts de nutriments mais aussi de polluants à travers le sol. Ils permettraient aussi un suivi en temps réel de cette recharge si importante pour anticiper correctement le niveau des nappes.

💧 Semaine de l’Eau et de l’Assainissement : des méthodes innovantes pour un accès durable à l’eau potable 🌍 Lors de la deuxième journée dédiée aux ressources en eau et à l’accès à l’eau potable, une communication captivante a porté sur les méthodes d’investigation des points d’accès aux eaux souterraines en vue de l’approvisionnement en eau potable (AEP). Cette présentation a mis en lumière les défis et solutions associés à l’exploration des ressources hydriques souterraines. L'un des défis majeurs est de réduire le taux d’échec des forages. Dans un contexte où 42 % des tentatives de forage échouent, il est essentiel d’améliorer la précision des localisations pour maximiser le rendement des investissements. Une telle démarche est conseillée (et indispensable d'ailleurs) pour répondre efficacement aux besoins croissants des populations et assurer une meilleure desserte en eau. De l’approche historique de la prospection d’eau, illustrée par les baguettes de sourcier ou les méthodes artisanales, les experts sont passés à des techniques modernes et plus fiables. Ainsi, aujourd’hui, la télédétection offre une vue d’ensemble précieuse des zones potentielles, complétée par des technologies de pointe comme : - Les méthodes géophysiques, telles que les techniques électriques 2D ou électromagnétiques, permettant une cartographie précise du sous-sol. - Les méthodes gravimétriques et radar, utiles pour vérifier l’intégrité des canalisations et détecter les pertes. - La résonance magnétique protonique (RMP) et les méthodes sismiques, qui identifient avec précision les profils d’aquifères. Ces technologies modernes, combinées à des essais de pompage, offrent des résultats plus fiables et permettent de localiser avec précision les fractures aquifères exploitables. Le présentateur a fini ses propos en rappelant l'importance d'investir dans la prospection et la combinaison des différentes méthodes. En effet, investir dans des outils complémentaires et cumuler les approches géophysiques réduit non seulement les risques d’échec, mais optimise également l’exploitation des ressources. Cette démarche contribue à une gestion durable de l’eau, essentielle pour répondre aux besoins actuels et futurs. #Eau #Assainissement #GestionDurable #InnovationTechnologique #Développement

🎤 [Regard sur…le bilan 2023 de l'observatoire MeSeine]   Réalisé chaque année par l'observatoire de la rivière du SIAAP, ce bilan dresse un état des lieux hydrologique, piscicole et physico-chimique de la #Seine francilienne et de ses affluents. Il permet notamment de positionner l'état des cours d'eau par rapport aux seuils réglementaires.   🎥Pour tout savoir du bilan 2023, visionnez le "Regard sur" porté par Anthony Marconi, de la Direction Innovation du SIAAP. Cette année, vous trouverez également un éclairage sur la question des microplastiques. Depuis plus de 10 ans la programmation innEAUvation s'est emparée de ce sujet de recherche pour mieux comprendre les dynamiques d'apparition et de transfert des microplastiques dans le continuum formé par les systèmes d'assainissement et les rivières.    📖Pour consulter le bilan, rendez-vous sur siaap.fr 👇🏼  https://lnkd.in/eTh3jhbW #Seine #bilan #microplastique #rivière #qualité #observatoire

💧[Plongée dans inneauvation]   Suivre la qualité de la Seine est plus que jamais un sujet d'actualité.   Patricia NJAPOU, doctorante à Sorbonne Université, étudie la variabilité du métabolisme de la Seine à partir des données Haute Fréquence enregistrées par l’observatoire MeSeine du SIAAP dans le cadre du programme MeSeine Innovation. Concrètement, il s’agit d’évaluer la sensibilité de la Seine à la désoxygénation vis-à-vis des apports du système d’assainissement dans le but de préserver la vie aquatique.   Ce projet collaboratif entre le SIAAP, Sorbonne Université et l'Université de Lausanne a pour objectif d'intégrer à l'observatoire MeSeine du SIAAP un indicateur du métabolisme de la rivière en temps réel et ainsi anticiper sa sensibilité à de potentiels épisodes de désoxygénation.   📽 Plongez dans les travaux de Patricia NJAPOU pour en savoir plus.👇  https://lnkd.in/d4ARj8p7   #biodiversité #Seine #innovation #environnement