Post de Talents Du Monde

La région lyonnaise a été frappée par des intempéries d’une violence exceptionnelle ces derniers jours. Parmi les infrastructures lourdement touchées figure la ligne ferroviaire SNCF reliant Lyon à Saint-Étienne, un axe clé pour les transports de la région. Les dommages causés par ces pluies diluviennes et ces crues sans précédent sont considérables, entraînant une interruption totale du trafic et de longs travaux en perspective. Une ligne stratégique mise à mal La liaison ferroviaire entre Lyon, la capitale des Gaules, et Saint-Étienne, ville-phare du département de la Loire, est un maillon essentiel du réseau de transports régional. Chaque jour, des milliers de voyageurs empruntent cette ligne, que ce soit pour des trajets domicile-travail, des déplacements professionnels ou de loisirs. Mais les intempéries qui se sont abattues sur la région ont eu raison de cette infrastructure pourtant robuste. D’après une source proche du dossier, les voies ont été submergées en de multiples endroits par les eaux en furie issues des orages diluviens et des crues exceptionnelles des cours d’eau environnants. Des tronçons entiers de rails ont été arrachés, des talus et remblais se sont effondrés, des installations électriques et de signalisation ont été mises hors service. Un triste constat qui laisse présager de longs mois de travaux pour remettre en état cette ligne vitale. Un timing de retour à la normale incertain Alors que les vacances de la Toussaint viennent de débuter, c’est un véritable coup dur pour les voyageurs qui comptaient emprunter cette ligne. Mais la SNCF se veut réaliste et ne promet pas de miracle. Une reprise partielle du trafic est envisagée à partir de lundi entre Lyon et Givors, mais pour le reste du tracé, il faudra faire preuve de patience. La réouverture complète de la ligne n’est pas attendue avant la fin du mois d’octobre au mieux. Les équipes techniques de la SNCF sont d’ores et déjà sur le pont pour évaluer précisément l’ampleur des dégâts et établir un plan d’action pour remettre les installations en état de marche le plus rapidement possible. Mais il faut composer avec les aléas de la météo qui pourraient encore venir perturber le bon déroulement des travaux. Une situation délicate qui exigera des voyageurs une bonne dose de compréhension et d’adaptation dans les semaines à venir. Des répercussions bien au-delà des voyageurs Si les usagers lambda sont évidemment les premiers touchés par cette interruption du trafic, il ne faut pas oublier les autres acteurs impactés. Cette ligne n’est pas seulement empruntée par des TER transportant des voyageurs, elle voit aussi passer de nombreux trains de marchandises. Un trafic fret vital pour l’économie régionale qui se retrouve totalement à l’arrêt pour une durée indéterminée. C’est toute une chaîne logistique qui se retrouve grippée avec des conséquences en cascade sur de nombreuses entreprises. Des usines qui vont tourner au ralenti faute d’approvisionnement, des livraisons...

Les avantages et les inconvénients des autoroutes : Le premier avantage de l’autoroute est sans aucun doute la rapidité avec laquelle vous allez atteindre votre destination. Le temps de parcours va être sensiblement réduit. Le réseau autoroutier est quatre fois plus sûr que le réseau traditionnel. Arriver sans dégât, une autre raison d'accepter de payer les péages. En effet, par rapport aux routes nationales, le réseau autoroutier français est plus fluide, et la limitation de vitesse y est plus élevée. Ce qui permet de réaliser des trajets plus rapides que par le réseau secondaire. L’autre avantage est le niveau d’équipements et de services que vous pourrez trouver sur l’autoroute. On y trouve des aires de repos, des stations-services, des véritables points de restauration, des toilettes… Et pourtant, les comportements dangereux sur autoroute demeurent l’un des inconvénients : 1 accident mortel sur 4, en 2022, sur autoroute en France, a été causé par des conducteurs ayant consommé de l'alcool, des drogues ou des médicaments. C'est la première cause de mortalité sur autoroute. Il y a également le coût du péage qui peut s’avérer salé. On peut aussi noter la forte affluence lors des grands départs en vacances ou en week-end. Vidéo 🎥 Autoroute en plein centre-ville à l’entrée de Port Louis, à l’île Maurice 🇲🇺

État des routes : le déclassement de la France se poursuit https://lnkd.in/eaG7qxBD Qu’il semble loin le temps où la France dominait le classement international réalisé par le Forum économique mondial concernant la qualité des infrastructures routières. C’était pourtant en 2012. Depuis, la chute est sévère (18e rang en 2019), et rien ne semble en mesure d’endiguer cette dégradation constante de nos routes qui nuit continuellement à la sécurité des usagers, parfois avec des circonstances dramatiques, notamment pour les deux-roues. Alors que le Gouvernement n’a de cesse d’évoquer la sécurité comme argument en faveur de la mise en place du contrôle technique moto, l’État, qui s’est désengagé de l’entretien du réseau routier français en 1982 avec les lois de décentralisation, ne semble guère se préoccuper de l’état de ses routes. Un manque d’entretien, qui, combiné aux aléas climatiques (excès de pluie et sécheresse) de plus en plus extrêmes fait souffrir le réseau routier français, parmi les plus longs d’Europe avec 1,1 million de kilomètres. Outre le manque d’entretien, déploré depuis des années, la dégradation des routes françaises s’explique également par un manque de savoir-faire en ce domaine, comme l’ont précisé nos confrères du Figaro, qui ont donné la parole à Jean-Max Gillet, délégué général du syndicat Maintenance des routes de France (MRF) : « le savoir-faire pour créer et entretenir une route s’est volatilisé. Le point de départ de ce délitement coïncide avec les lois de décentralisation de 1982, quand les collectivités, héritant de routes nationales, ont vu les préfectures réduire leurs effectifs d’ingénieurs. Ces derniers n’ont alors plus, comme ils le faisaient, conseillé les collectivités, notamment les communes, alors qu’elles détiennent la plus grande partie du réseau, soit 705 000 km contre 378 834 km pour les départements et 12 530 km pour l’État. « Or ces communes ne font pas toujours appel à des bureaux d’études car ils sont trop coûteux. Elles s’en remettent à des entreprises juges et parties et ne font pas toujours les bons choix » déplore Jean-Max Gillet. »

🚧 Trafic important dans les Yvelines pour le week-end de l'Ascension (6-12 mai 2024) 🚧 🚆 Perturbations significatives dans les transports en commun : RER A : Interruption complète entre Le Vésinet-Centre et Rueil-Malmaison du 8 au 12 mai. Des bus de remplacement seront mis en place. RER C : Des perturbations sont prévues en soirée les 6 et 7 mai, avec des ajustements également prévus du 13 au 17 mai et du 21 au 24 mai. 🚗 Conditions routières difficiles anticipées : 7 mai : Journée classée rouge par Bison Futé pour les départs. Attendez-vous à des embouteillages, notamment sur l'A10 et l'A11. 12 mai : Forte affluence attendue dans le sens des retours, avec des conditions de circulation difficiles sur l'A10, l'A11 et l'A13, cette dernière étant récemment rouverte. Conseils pour les professionnels et les résidents des Yvelines : Planifiez à l'avance et restez informés grâce aux mises à jour de trafic en continu. Utilisez les ressources d'Île-de-France Mobilités et Transilien pour des déplacements optimisés. 📢 Partagez ces informations avec vos collègues et votre réseau ! #Yvelines #Transports #BisonFuté #RERA #RERC #Mobilité

Une décision inconcevable, très lourde de conséquences pour l’attractivité des territoires de notre région, la qualité de vie de ses habitants, en particulier des milliers de navetteurs. L’énorme effort budgétaire consenti par la collectivité régionale en faveur du développement des mobilités ferroviaires mérite mieux que ce dicktat qui ne prend pas en compte les enjeux économiques et sociaux du territoire.

Ces interventions, qui se dérouleront du 20 au 21 septembre 2024, nécessiteront une entrave partielle affectant la circulation. Les détails 👇🏼 #PontHonoréMercier #EntravesRoutières #TravauxQuébec #MobilitéMontréal #TransportQuébec #PlanifiezVosDéplacements

les jalons d'entretien de nos infrastructures routières sont importants, les ignorer, c'est abandonner la valeur d'un patrimoine (2000 Mds d'euros) qui a été construit au fil des années avec de l'argent public, c'est notre patrimoine, alors préservons le...

Il est clair que reporter des travaux d'entretien ne se voit peut être pas immédiatement mais creuse la "dette grise". Il est scientifiquement démontré que des travaux d'entretien non réalisés au bon moment coûteront beaucoup plus chers plus tard. Une image : lorsqu'une tuile manque sur un toit de votre maison, attendez-vous que l'eau soit rentrée et est abîmée toute la toiture, laine de verre et placo ? Evidemment que non !! Vous remettez une tuile sur le toit.......la route, c'est la même chose ! Il faut la mise en place d'une stratégie de gestion des collectivités afin de structurer la démarche. Les ingénieristes en France sont là pour vous accompagner. Tous ceux qui l'ont fait communiquent sur les bienfaits immense de la démarche. Il n'y a pas de fatalité. NextRoad

Bonjour "15 millions d’euros pour les routes nationales d’Ille-et-Vilaine en 2024, voilà la somme que l’Etat met sur la table pour l’entretien et la modernisation du réseau bretillien. Le département d'Ille-et-Vilaine qui compte 308 kms de routes nationales. Autant de routes qu'il faut entretenir régulièrement et parfois en profondeur, c'est le cas cette année dans certains secteurs, comme l'explique Frédéric Lechelon, directeur de la Direction interdépartementale des routes Ouest, invité de France Bleu Armorique, ce vendredi 29 mars." (sources: ICI par France Bleu et France 3) Bonne nouvelle, n'est-il pas ? Sauf que ... "Délaissées pendant des années, les routes françaises, parfois en très mauvais état, font aujourd’hui figure de mauvais élèves au niveau international. Un manque d’entretien qui pose un vrai problème de sécurité pour les usagers et des maux de tête aux collectivités locales. Les routes de France continuent de se déliter au gré des saisons. Qu’il semble loin le temps où la France dominait le classement international réalisé par le Forum économique mondial concernant la qualité des infrastructures routières. C’était pourtant en 2012. Depuis, la chute est sévère (18e rang en 2019), et rien ne semble en mesure d’endiguer cette dégradation constante de nos routes qui nuit continuellement à la sécurité des usagers, parfois  avec des circonstances dramatiques (...)" pointait en avril de cette annéele site caradisiac.com C'est dit si la journée technique Routes de France #FRTP #Bretagne ici en rappel et que j'aurai le plaisir d'animer tombe à point nommé! Innovations et solutions... Au fil des interventions prévues au gré de cette journée technique, un message fort sera adressé à tous les Moa et Moe présents dans la salle et autres représentant des collectivités: oui au diagnostic, oui à la prévention, oui à l'anticipation... qui valent mieux que les "corrections" et réparations in extremis. Mais est-ce si simple de changer les habitudes ? Les réponses le 20 juin prochain !