Post de Thibault Chevalier

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Directeur Général Délégué d'ALB Conseil

"Pas moins de sécurité  en capital et en liquidité, mais moins de charges de procédure." Cette déclaration de François Villeroy de Galhau résonne particulièrement dans le contexte actuel, où les banques françaises redoutent un décrochage face aux États-Unis sur le terrain de l'IA. Le potentiel est là : des économies massives estimées à 170 milliards d'ici 2028, selon Citi. Pourtant, la réalité est plus complexe. Concilier innovation et régulation reste un défi, notamment pour les technologies à "haut risque" comme l'octroi de crédit. Mais tout n'est pas perdu : les cas d'usage comme les chatbots ou l'automatisation documentaire montrent déjà des résultats concrets. Chez ALB Conseil, nous croyons en une transition progressive, où chaque technologie est testée et validée avant d'être déployée à grande échelle (cf. Post précédent sur l'Intelligent Document Processing). Que faudrait-il pour que le secteur bancaire européen tire pleinement parti de cette révolution technologique tout en respectant ses valeurs, et donc son cadre réglementaire ?

IA : après les promesses de grand soir, les banques recentrent leurs efforts

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lesechos.fr

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