Le phénomène des "écotaffeurs" intéresse jusqu'à l'Ademe pour son impact sur la transition écologique des entreprises. Cet article dans Le Point ne le présente qu'à grands traits, évoquant la relation qui peut s'installer avec la RSE qui gagne par ailleurs en consistance, et il était temps, dans nombre d'organisations. Planet'RSE Toulouse accueille parmi ses membres des "engagées" ou "engagés" à titre personnel pouvant être salariés ou salariées d'entreprises elles-mêmes peu ou pas mobilisées dans la transition, voire non mobilisables (et c'est alors une autre histoire). Le déploiement des fresques a favorisé le phénomène, quelques fois par "inadvertance" de directions imaginant que mettre en place de tels ateliers au sein de l'entreprise règle largement et à bon compte la question des "actions" à mener en faveur du climat, de la décarbonation. On sensibilise - case "action" pour le climat cochée - sans percuter que collaborateurs et collaboratrices peuvent alors - en étant ainsi informés, éclairés, inquiétés, secoués - s'attendre, en toute logique, à une réaction concrète de leur entreprise, jusqu'à la remise en question parfois très profonde d'un "business as usual" pouvant être considéré comme participant du problème à l'échelle planétaire. Soyons positifs, ces "écotaffeurs" peuvent devenir des ressources précieuses pour faire bouger les lignes, y compris donc au niveau de la place accordée à la RSE dans l'entreprise. De ses versions cosmétiques à son utilisation stratégique, il n'y a parfois qu'un (grand) pas, surtout quand on s'équipe pour le provoquer, et c'est là un des effets "kiss cool" de la RSE, sa profonde logique systémique. Y mettre un doigt peut entraîner les cœurs, et parfois même la tête.
Post de Thierry Faba
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Le rapport écotaf de l'ADEME (https://lnkd.in/gvvgk3NK) commence à faire du buzz, y compris sur les grands médias comme le Point. Espérons que cela accélère la prise de conscience des entreprises sur la nécessité d'instiller un peu de 'bottom-up' dans leur stratégie RSE.
Le phénomène des "écotaffeurs" intéresse jusqu'à l'Ademe pour son impact sur la transition écologique des entreprises. Cet article dans Le Point ne le présente qu'à grands traits, évoquant la relation qui peut s'installer avec la RSE qui gagne par ailleurs en consistance, et il était temps, dans nombre d'organisations. Planet'RSE Toulouse accueille parmi ses membres des "engagées" ou "engagés" à titre personnel pouvant être salariés ou salariées d'entreprises elles-mêmes peu ou pas mobilisées dans la transition, voire non mobilisables (et c'est alors une autre histoire). Le déploiement des fresques a favorisé le phénomène, quelques fois par "inadvertance" de directions imaginant que mettre en place de tels ateliers au sein de l'entreprise règle largement et à bon compte la question des "actions" à mener en faveur du climat, de la décarbonation. On sensibilise - case "action" pour le climat cochée - sans percuter que collaborateurs et collaboratrices peuvent alors - en étant ainsi informés, éclairés, inquiétés, secoués - s'attendre, en toute logique, à une réaction concrète de leur entreprise, jusqu'à la remise en question parfois très profonde d'un "business as usual" pouvant être considéré comme participant du problème à l'échelle planétaire. Soyons positifs, ces "écotaffeurs" peuvent devenir des ressources précieuses pour faire bouger les lignes, y compris donc au niveau de la place accordée à la RSE dans l'entreprise. De ses versions cosmétiques à son utilisation stratégique, il n'y a parfois qu'un (grand) pas, surtout quand on s'équipe pour le provoquer, et c'est là un des effets "kiss cool" de la RSE, sa profonde logique systémique. Y mettre un doigt peut entraîner les cœurs, et parfois même la tête.
Plus nombreux et mieux organisés, qui sont les « écotaffeurs » au bureau ?
lepoint.fr
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➡️ Comment engager l’ensemble des membres de mon entreprise sur ma démarche RSE ? ➡️ Comment faire en sorte d’avoir une démarche pérenne ? ➡️ Comment faire pour que mes collaborateurs deviennent des acteurs de cette démarche ? Pas de panique, un peu de lecture et tout s’éclaire ! Sorti en début d’année 2024, le rapport ECOTAF de l’ADEME vous permet de répondre à ces questions.
Lecture d'été - Avez-vous entendu parler début 2024 de la sortie de l'étude ECOTAF menée par l'ADEME ? Menée par le sociologue Gaëtan Brisepierre, cette étude a investigué sur les différents dispositifs de mobilisation écologique des salariés. En effet, si le mécanisme des "déserteurs" (des salariés qui décident de quitter leur entreprise si elle ne soucie pas ses impacts environnementaux et sociaux) est connu depuis plusieurs années déjà, des salariés s'orientent de plus en plus vers une autre voie : Transformer l'entreprise de l'intérieur, en cherchant à faire bouger les rapports de force interne dans l'entreprise. Via ce rôle d' "écotaffeur", les salariés passent alors de "travailleurs" à "acteurs", en cherchant à avoir un rôle dans la trajectoire de l'entreprise. Pour réussir cela, les écotaffeurs s'appuient sur différents types de dispositifs : - Des parcours de formation ou d'accompagnement (ex : Corporate for Change) - Des ateliers de sensibilisation (ex : 2tonnes) - Des fédérations ou collectifs (ex : LES COLLECTIFS) - Ou encore des dispositifs digitaux comme Lakaa ! Vous trouverez le lien vers la synthèse d'une vingtaine de pages via le lien en commentaire ⬇
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La traditionnelle trêve professionnelle de la première quinzaine d'août peut laisser à chacun du temps à consacrer à la réflexion pour préparer sa reprise après des vacances sans aucun doute méritées 😉. Eh bien voici une étude qui mérite bien d'être lue et méditée pour la rentrée 😊😎 ! L'étude sociologique pour explorer les dispositifs de mobilisation écologique et leurs impacts sur les entreprises c'est ici ➡️ https://lnkd.in/esCZWVbf
Lecture d'été - Avez-vous entendu parler début 2024 de la sortie de l'étude ECOTAF menée par l'ADEME ? Menée par le sociologue Gaëtan Brisepierre, cette étude a investigué sur les différents dispositifs de mobilisation écologique des salariés. En effet, si le mécanisme des "déserteurs" (des salariés qui décident de quitter leur entreprise si elle ne soucie pas ses impacts environnementaux et sociaux) est connu depuis plusieurs années déjà, des salariés s'orientent de plus en plus vers une autre voie : Transformer l'entreprise de l'intérieur, en cherchant à faire bouger les rapports de force interne dans l'entreprise. Via ce rôle d' "écotaffeur", les salariés passent alors de "travailleurs" à "acteurs", en cherchant à avoir un rôle dans la trajectoire de l'entreprise. Pour réussir cela, les écotaffeurs s'appuient sur différents types de dispositifs : - Des parcours de formation ou d'accompagnement (ex : Corporate for Change) - Des ateliers de sensibilisation (ex : 2tonnes) - Des fédérations ou collectifs (ex : LES COLLECTIFS) - Ou encore des dispositifs digitaux comme Lakaa ! Vous trouverez le lien vers la synthèse d'une vingtaine de pages via le lien en commentaire ⬇
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🌱 ÉCOLOGIE · DISPOSITIFS POUR SENSIBILISER ET MOBILISER LES COLLABORATEURS 🙋♂️ Écotafeurs ? Quelle est la portée des différents dispositifs tels que Vendredi, 2tonnes, Lakaa ou encore LES COLLECTIFS ? Je vous laisse lire ce post très intéressant de 2tonnes ! ⤵️ 👉Par ailleurs, vous trouverez la publication de ce rapport complet de l'ADEME en commentaire.
Les écotafeurs, ça vous parle ? Vous en faites sûrement partie ! Les #écotafeurs sont ces personnes qui ont décidé de changer leur entreprise de l’intérieur, en faveur de la transition écologique, souvent par le biais de la mobilisation et la sensibilisation. Et ces écotafeurs se révèlent plus que nécessaires pour porter la transition au coeur même de leur organisation : la #RSE se diffuse dans l’ensemble des équipes, ce qui permet à ces dernières de devenir actrices du changement. C’est un vrai facteur encourageant que de constater la mise en mouvement de l’ensemble des équipes ➡️ Or, les organisations, et particulièrement les directions, ont aussi la charge de participer à la création d’une culture commune autour des enjeux de la transition. L’objectif ? Embarquer leurs équipes efficacement et avec cohérence. Pour porter cette culture de la transition, l’organisation doit : - Faire converger les intérêts entre les différentes parties prenantes (toutes les équipes, le département RSE, la direction) - Générer de l’engagement de manière durable - Proposer des actions concrètes adaptées à chaque département Il est nécessaire de prendre en compte ces éléments pour que la démarche soit vraiment efficace, engageante et concrète. Mais alors, comment s’y prendre ? L’étude sociologique #ECOTAF menée par Gaëtan Brisepierre pour l’ADEME a présenté un panorama des dispositifs de mobilisation interne, dont 2tonnes fait partie. 2tonnes permet : - à chacun et chacune de passer à l’action, à la fois sur le plan professionnel et personnel. - de déployer de manière personnalisée l’atelier, pour rester en lien avec la stratégie de l’organisation - de mettre l’accent sur les dynamiques d’action enclenchées par la mobilisation interne 👉 Retrouvez toutes les informations pour déployer l'atelier 2tonnes dans votre structure juste ici : https://lnkd.in/erPY8Jb5 Et merci à Gaëtan Brisepierre pour la mention, et pour ce travail qui met en valeur la marche à franchir dans le monde des entreprises ! 👏
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🗞️ ON PARLE DE NOUS DANS LA PRESSE! "Partout où iels sont présent·es, les militant·es du Printemps écologique challengent leurs directions sur les questions écologiques et sociales et font des propositions pour rediriger leurs entreprises dans le sens d’un monde soutenable. Tout en se battant pour l’amélioration des conditions de travail de leurs collègues. En 2023, la loi Climat et résilience confirme la raison d’être du Printemps écologique, en faisant de l’écologie un sujet obligatoire du dialogue social : le texte oblige les directions à consulter les CSE sur les impacts écologiques de leurs activités, et sur les actions qu’elles mettent en place pour les limiter. Hélas, dans la réalité, il reste encore beaucoup de travail. Les directions traînent encore trop des pieds et les élu·es CSE n’ont pas assez de temps et ne sont pas assez formé·es aux enjeux écologiques. 84 % des représentant·es du personnel se sentent mal informé·es sur la nouvelle prérogative environnementale du CSE, selon un récent baromètre Syndex-IFOP. “Pour accélérer les choses, on forme chaque année des dizaines de CSE, on montre aux élu·es comment challenger leurs entreprises sur le volet écologique, commente Armand Blondeau ✊🌱, cofondateur du Printemps, en charge de l’accompagnement syndical." La suite à lire sur Chiche, le média des solutions par makesense ! Merci à eux pour l'article 👇👇👇 https://lnkd.in/eFUzEmm5
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Article très intéressant sur un phénomène de plus en plus prégnant : les écotafeurs. Ces salariés qui agissent pour impulser une transformation écologique de leur entreprise. Une tendance de fond, qui démontre l'impact d'un engagement RSE sur la marque-employeur et la préférence de marque.
🌍 Les écotafeurs : Ces salariés qui changent les choses de l'intérieur De plus en plus de salariés s'engagent pour transformer leur entreprise et accélérer la transition écologique. Ce mouvement, porté par les « écotafeurs », montre que le changement peut venir de l'intérieur. 📍 Initiatives internes 🎨 Dispositifs variés 🌱 Impact sur la RSE 👉 Découvrez-en plus : https://urlr.me/bHDtP #ecofidelite #TransitionEcologique #RSE #Sustainability #EntrepriseVerte #EcoTafeurs
Les « écotafeurs », ces salariés qui contribuent de l’intérieur à la transition écologique de leur entreprise
theconversation.com
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🌍 Les écotafeurs : Ces salariés qui changent les choses de l'intérieur De plus en plus de salariés s'engagent pour transformer leur entreprise et accélérer la transition écologique. Ce mouvement, porté par les « écotafeurs », montre que le changement peut venir de l'intérieur. 📍 Initiatives internes 🎨 Dispositifs variés 🌱 Impact sur la RSE 👉 Découvrez-en plus : https://urlr.me/bHDtP #ecofidelite #TransitionEcologique #RSE #Sustainability #EntrepriseVerte #EcoTafeurs
Les « écotafeurs », ces salariés qui contribuent de l’intérieur à la transition écologique de leur entreprise
theconversation.com
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La montée en puissance des #Ecotafeurs ! C'est qui ces ecotafeurs ? les salariés qui se mobilisent pour la transition écologique et sociale, terme issu de l'étude sociologique ECOTAF de l'ADEME, dirigé par Gaëtan Brisepierre Quelles sont les grandes #tendances ? ✔ La démocratisation des actions en lien avec le climat De la naissance de la fresque du climat et d'autres ateliers - à - une vraie #démarche en interne pour aller vers la transformation des #pratiques #métiers. 🚩La mobilisation des salariés : une réussite #nécessaire pour réussir sa stratégie RSE Même si la #réglementation #RSE est toujours plus mise en avant que les actions portées par les salariés, la mobilisation est nécessaire pour améliorer sa performance environnementale et sociale. 🌌Des effets reconnus : - Pour les salariés : la mobilisation nourrit la #quête personnelle : quête de sens, fierté, limite l'écoanxiété, reconnaissance vis-à-vis entreprise... - Pour l'entreprise : la mobilisation permet de partager une #culture d'entreprise autour de la transition. Au sein de Coopairs, nous sommes convaincus de la nécessité de coopair'ation entre #directions et #salariés pour réussir sa stratégie RSE ! 👐 🚀Alors, vous êtes prêts à vous laisser surprendre par vos salariés ? Créons une dynamique collective ! alice@coopairs.eco Anais Rocci
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🌱🌳Sujet brûlant au sein des directions RSE depuis plusieurs années, les trois quarts des salariés estiment désormais que la situation écologique est préoccupante voire alarmante révèle une étude menée par L'ObSoCo. 🔥 La grande majorité d’entre eux s’accorde à dire qu’il est urgent d’agir mais semble confiante quant à la pérennité de l’entreprise dans un contexte de transition écologique. Un sentiment plus largement partagé par les managers. 👇 #entreprise #transitionecologique #RSE
Les salariés pressants mais confiants
workplacemagazine.fr
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🌱 Une structure engagée, ça veut dire quoi ? ✅ Pour nous, c’est une structure qui : 👉 intègre la notion d’urgence écologique 👉 a un statut ou un mode de gouvernance qui l’engage à oeuvrer pour l’intérêt général, sur les sujets de transitions écologique et/ou justice sociale (qu’il s’agisse ou non de son cœur d’activité) 👉 est transparente sur son éventuelle chaîne de production et exerce ses activités localement autant que possible 👉 agit dans un secteur de la transition socio-écologique, par exemple la transitions agro-écologique et l’alimentation durable, la rénovation énergétique, la transformation industrielle (décarbonation de l'industrie et réindustrialisation de la France), l’électrification des usages, le développement des énergies renouvelables, l’énergie nucléaire, la gestion et la préservation de l'eau, les mobilités douces, l'économie circulaire et la valorisation des déchets, le domaine social (insertion, soin/soutien personnes fragiles, ESS), la santé publique, le secteur publique, l’aménagement du territoire, la seconde main / la réparation / les produits robustes et durable, la formation et la sensibilisation, … ❌ C’est une structure qui : 👉 n’exerce ni ne finance des structures exerçant une activité dans les secteurs suivants : énergies fossiles, armement, tabac, fast fashion, pesticides de synthèse ; 👉 évite autant que possible de pousser à la consommation, ne fait pas le Black Friday ; 👉 veille à des conditions de travail décentes, non précaires sur toute sa chaîne de valeur ; 👉 a mis en place des éléments de vigilance contre les discriminations à l’embauche et au sein de ses équipes. 💡 Et pour vous ça veut dire quoi ? Vos idées en commentaires ? ℹ️ On organise une soirée recrutement gratuite le 30 janvier à la maison du zéro déchet et on cherche encore quelques structures engagées qui recrutent. Attention, places limitées ! Les infos en commentaire 👇 #engagement #transitionecologique #interetgeneral #emploi
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Prenons conscience des enjeux d'aujourd'hui et démocratisons la démarche RSE de façon ludique🔥Une stratégie durable pour passer à l'action 👊
9 moisMerci pour le partage d'article, j'ai entendu pas plus tard qu'hier, quelqu'un me dire : "ça m'intéresse mais je n'ai pas le temps dans mon travail". En fait, on ne lui donne pas de temps pour être acteur du changement dans l'entreprise. Mais si on veut vraiment mettre des actions en place et embarquer l'ensemble des collaborateurs, laissons leur le temps d'y participer !