Post de Thomas D.

À la une de LSA : fruits et légumes, six distributeurs à la relance ! ➡️ https://lnkd.in/eBFaM4ZJ 🔎 Au programme cette semaine : L’ÉVÉNEMENT  ➡️ Comment les marques s’emparent du retail media LES STRATÉGIES  ➡️ Les Jeux olympiques, événement gagnant pour le commerce   ➡️ Consommation responsable, le « oui, mais » des Français   ➡️ Bonduelle tourne la page de la salade prête à l’emploi  ➡️ Duralex® SCOP SA se relance sous forme de Scop LE DOSSIER SPÉCIAL FRUITS ET LÉGUMES ➡️ Auchan Retail parie sur ses filières françaises  ➡️ Coopérative U au plus proche des agriculteurs  ➡️ ALDI France met en avant ses prix mais pas seulement  ➡️ Carrefour s’appuie sur la transition alimentaire  ➡️ Lidl France mise sur la simplicité et la lisibilité  ➡️ Intermarché veut revitaliser ses étals LES PRODUITS  ➡️ Les adultes, nouveau moteur de croissance pour le jouet CAHIER BIO  ➡️ Les e-spécialistes du bio cherchent leur modèle  ➡️ La Fourche : petits prix et gros engagements  ➡️ Greenweez fait le pari de l’écoresponsabilité  ➡️ Bene Bono lutte contre le gaspillage  ➡️ Kazidomi teste le point de vente physique LSA DATA  ➡️ Tous les chiffres sur l’entretien du linge  ➡️ Tous les chiffres sur l'achat et la consommation de jambon cuit de porc (avec Kantar)

⏺ 🛒 En direct de la table ronde « 𝗟𝗮 𝗚𝗿𝗮𝗻𝗱𝗲 𝗱𝗶𝘀𝘁𝗿𝗶𝗯𝘂𝘁𝗶𝗼𝗻 𝗲𝗻 𝟭𝗲̀𝗿𝗲 𝗹𝗶𝗴𝗻𝗲 ? ». Plusieurs aspects de la consommation de produits de la mer dans les grandes surfaces ont été abordés : 🔸 Denni Benoît, directeur, SCAPMAREE E.LECLERC a souligné que les magasins non côtiers représentent une large partie des consommateurs, mais que le volume de produits transformés en libre-service est insuffisant. 🔸 Xavier Labergere, responsable des achats marée chez 𝗔𝘂𝗰𝗵𝗮𝗻 a évoqué l'évolution des habitudes de consommation due à la COVID-19, avec un besoin de renouveler et d'attirer les jeunes consommateurs vers des produits sains et pratiques, tout en mentionnant le manque de recrutement dans le secteur. 🔸 𝗝𝗼𝘀𝗲́ 𝗥𝗼𝗱𝗿𝗶𝗴𝘂𝗲𝘀, directeur de la Scapp Poissonnier Corail a observé que les poissonneries artisanales vendent principalement des produits français, mais constatent une baisse de la consommation de poissons entiers et une augmentation des produits traiteurs, tels que les sushis par exemple. Il a également noté les défis liés à l'image vieillissante de la poissonnerie et au recrutement des jeunes. 🦪 🦑 Cette table ronde a mis en lumière les défis et opportunités pour la grande distribution dans le contexte actuel de dé-consommation et de transformation des habitudes alimentaires. #APPM24

🙌🍐 Accès pour tous à une alimentation de qualité : comment faire ? L'an dernier, AIR coop et l'Agence nouvelle des solidarités actives (Ansa) ont accompagné l'Institut national du cancer dans le recensement et l'analyse des solutions permettant l'accès de tous à une alimentation saine. 🤔 Pourquoi l'Institut national du cancer s'y intéresse ? 👉Parce que les liens entre alimentation et santé sont de mieux en mieux documentés, que la précarité alimentaire est en forte augmentation (16% des Français déclaraient en 2022 ne pas manger suffisamment), et qu'elle se manifeste souvent par une dégradation de la qualité de l'alimentation : incapacité à manger des fruits et légumes quotidiennement, surconsommation de féculents, réorganisation des repas... 💡 Parmi les dispositifs mis en lumière : en France comme à l'étranger, des groupements d'achat citoyens et solidaires se développent, avec comme objectif l’accès du plus grand nombre à des produits de qualité issus de l’agriculture paysanne/biologique/équitable à des prix bas, grâce à la réduction des coûts intermédiaires (circuits-courts) et superflus (limitation des emballages). 🛒C'est notamment le cas du réseau VRAC France (Vers un Réseau d'Achat en Commun) qui compte désormais 18 antennes ! (dont une à Avignon, que nous accompagnons en ce moment-même pour introduire dans leur offre des fruits et légumes bio et locaux Marielle MARTINEZ 😉) Retour illustré par l'ANSA sur le fonctionnement de cette démarche. Pour plus d'infos sur cette étude, contactez Alexandre MAILLET, Camille Millot et Jimmy Balouzat !

Au-delà de proposer une opération commerciale dans nos 3 magasins pour mettre en avant la production locale, ce temps nous permet de nous poser sur une définition du local. Et c’est peu dire que nous avons eu des débats dans notre SCOP! Comment les clients définissent le local ? Que souhaitons nous valoriser auprès d’eux ? Le local intègre-t-il la notion d'artisanat ou de paysannerie? Dans la Coopérative Biocoop, le local, c’est moins de 150 kms du magasin et en direct. Nous atteignons, dans la SCOP BIONACELLE, 17,8% de notre chiffre d’affaires global avec cette définition avec un pic à 40% sur les légumes. Mais nous avons aussi une offre produite localement qui passe par la logistique Biocoop. Ce n’est pas du direct, ce n’est pas forcément plus émissif en carbone et ça crée de l’emploi et de la vie autour du magasin. Et nous avons une offre régionale moins scrutée mais qui peut avoir un sens aussi pour les consommateurs. Pour atteindre 83% de nos matières premières produites en France. Enfin, Nous pouvons relocaliser à l’échelle mondiale, des amandes d’Espagne plutôt que de Turquie, des avocats d’Espagne plutôt que d’Amérique du Sud… Tout cela pour dire que le local est une notion relative pour ne pas dire à géométrie variable. Relocaliser peut être un acte de de progrès ou de repli sur soi. Ou un peu des 2. Nous avons fait le choix de valoriser le lieu de production auprès de nos clients (quelque soit la logistique derrière) mais cette thématique démontre que nous avons besoin d'échanger sur notre alimentation. Alimentation qui mérite plus qu’un simple marketing pour aller plus loin que les poncifs ou les idées reçues ! Et s'approprier ou se réapproprier notre alimentation et donc notre santé, notre modèle agricole, la répartition de la valeur et notre environnement. Les opérations commerciales permettent aussi ces échanges!

« Il nous paraît souhaitable d’introduire des quotas de produits locaux sur les rayonnages de la grande distribution » C'est le titre d'un article 📰 du Monde ce matin dans lequel Marie-Laure Mourre, professeure de Sciences de gestion, préconise de davantage approvisionner les rayons des supermarchés en produits locaux. Son constat : 1️⃣ Une part croissante de la population souhaiterait pouvoir consommer local (36% de la population souhaite manger local, sondage OpinionWay, octobre 2021). 2️⃣ Les produits locaux constituent seulement 2% des biens en rayon dans les supermarchés et hypermarchés (étude IRI, 2022). 3️⃣ Les consommateurs n'ont pas la volonté de faire leurs courses dans divers points de ventes pour s'approvisionner en local, ils restent principalement des usagers de grandes et moyennes surfaces. 4️⃣ L'un des enjeux majeurs pour les acteurs de la grande distribution est de reconfigurer leur logistique, de la décentraliser, pour répondre à cette demande de produits locaux. Cet enjeu est complexe, d'autant qu'il implique des négociations décentralisées, locales, avec les producteurs du territoire et réduit donc le pouvoir de négociation des géants de la distribution qui repose aujourd'hui sur le poids de leurs centrales d'achats face à des fournisseurs mondiaux. 💡 L'auteure propose donc que la loi Egalim 4 comprenne des quotas de produits locaux dans la grande distribution afin de répondre aux attentes des consommateurs, de limiter l'empreinte carbone des produits commercialisés (#environnement) et de soutenir les tissus agricoles locaux (#souveraineté #autonomie_alimentaire). ❌ Il reste à déplorer que s'il aborde la grande distribution et mentionne les magasins spécialisés, cet article ne mentionne pas les #marchés_de_producteurs comme alternative pour répondre à l'attente des consommateurs de s'approvisionner en produits locaux, frais et de saison... ➡️ Pour aller plus loin : https://lnkd.in/evmcjhET

La revue de presse du retail : Quand les habitants prennent en main leurs achats alimentaires : le boom des épiceries ...: Alternatives aux enseignes de la grande distribution, des épiceries participatives (ou collaboratives) fleurissent depuis quelques années un peu ... ==> Abonnez vous à la revue de presse du retail #retail #distribution #commerce

Oserai Je? Qui est le moins cher ? L’obsession des principaux réseaux de #distribution est de démontrer qu’ils offrent les prix les plus bas. Nous savons pourtant tous, que le #prix, même s’il représente une composante majeure de notre #budgetalimentaire, ne suffit pas pour identifier ce qui est le moins coûteux pour notre #alimentation. Il faut également tenir compte de la qualité nutritive, des rendements de cuisson, des effets rassasiants et des gaspillages induits. C’est dans cette logique que nous avons construit notre offre. Nos choix ; 100% #origineFrance ; #surgelé ; portionné ; emballage épuré, servent tous une détermination sans faille : proposer à nos clients une alimentation saine et durable au #meilleurprix ! Plus que des comparatifs de tickets de caisse, je vous propose de vous démontrer la pertinence de notre démarche en décrivant, ci-après, le modèle écomiam par rapport à l’analyse de valeur de l’alimentation des #français. Il me semble que cette approche permet de mieux objectiver la compétitivité relative des réseaux de distribution. L’engagement des ressources pour chaque élément de la chaîne de valeur est au final payé par le #consommateur. Même si certains acteurs s’organisent pour en faire supporter le coût sur le maillon qui les précède, qui à son tour le répercute soit à son amont soit à ses autres clients, le consommateur final les supportera d’une façon ou d’une autre. Je suis impatient de lire vos commentaires. #BalanceTonOrigine Agnès Pannier-Runacher Ministère de l'Agriculture et de la Souveraineté alimentaire Olivia Gregoire FNSEA Jeunes Agriculteurs

Depuis 10 ans une étoile se lève dans les #achats du quotidien pour ceux qui ont la chance de "voter" 3x par jour avec leurs choix alimentaires responsables. Au passage, en France, dans le pays d'Europe le plus saturé d'Hypers et de Supermarchés qui s'entretuent eux-mêmes à coup de #référencements annuels sur l'autel des #prix "cassés", de nombreuses exploitations à visage humain sont broyées. 27 disparaissent chaque jour ! Des contre-pieds incroyables de marques PLUS CHERES, PLUS TRANSPARENTES, PLUS PATRIOTES existent ; en particulier avec C'est qui le Patron ?! La Marque du Consommateur et ses 17 produits du quotidien proposés. Plus de 10 Millions de français la préfèrent déjà et pour de bon ! Selon Nicolas Chabanne, initiateur du mouvement et OVNI télévisuel er radio positif (par les temps qui courent) "Les consommateurs montrent qu’ils sont prêts à suivre à plus grande échelle encore, les ventes des produits solidaires CQLP n’ont jamais été aussi fortes : +12,5% de progression depuis le début de l’année et +27,1% pour le seul mois de septembre ce qui est du jamais vu en 8 ans" Je n'ose pas imaginer "le carton" avec une distribution numérique convenable et un minimum de produits à la marque par point de ventes... et une vraie volonté des #distributeurs qui n'ont qu'à écouter quelque chose qui leur échappe (pour une fois) au service des concitoyens qui nous nourissent

📢 La #consommation #responsable et son impact dans le commerce (1/3) Le gaspillage alimentaire mis en exergue par l’Agence de la transition écologique (ADEME) depuis 2020 a conduit le gouvernement à s’emparer de cet enjeu. Ainsi, le ministère de la Transition écologique et de la Cohésion des territoires a lancé le 1er mars 2023 un label national anti-gaspillage alimentaire 🙅♂️. Ce label prend sa source de la loi anti-gaspillage pour une économie circulaire (AGEC) de 2020, dont l’objectif est de réduire de moitié le gaspillage alimentaire d’ici 2025 pour les secteurs de la #distribution et de la restauration collective, et de moitié d’ici 2030 pour les autres acteurs de l’agroalimentaire 🚜. Les premiers acteurs concernés par ce label sont les grandes et moyennes surfaces (supermarchés et hypermarchés), les grossistes et les métiers de bouche (bouchers, charcutiers, boulangers, fromagers, primeurs). L’engagement des acteurs économiques sera récompensé par une à trois étoiles ⭐ selon le niveau d’engagement. Le groupe Carrefour a reçu la première certification du « label anti-gaspillage alimentaire » pour l’un de ses hypermarchés. De son côté, E.Leclerc mise sur la pédagogie et pour ce faire, les produits de la marque arborent des mentions et astuces visant à alerter le consommateur. #Observatoireducommerce #Lopcommerce #commerce L'Opcommerce, opérateur de compétences du commerce

Pourquoi est-il essentiel de manger local ?: En cette période compliquée, repensons notre consommation alimentaire. Manger local ? Nous sommes nombreux à le souhaiter. C'est plus écolo, ça contribue à l'économie du pays, c'est plus rassurant car on sait à qui l'on achète ses carottes, ses pommes de terres ou ses fraises… Manger local, mais à quel prix, quand les prix de certains produits importés restent inférieurs à ceux de la ferme d'à côté… Et puis comment s'y prendre pour consommer local quand on habite en ville ? Certes, il existe les paniers AMAP, mais le plus souvent nous faisons nos courses au supermarché de notre quartier, ou dans la grande surface en périphérie. Des commerces qui ne proposent pas toujours des produits locaux en circuit court. Bref, comment consommer local en pleine période d'inflation et au moment où le monde agricole connaît une crise d'identité sans précédent ? Et puis avec (...) - Commerce responsable / Commerce équitable / Responsable / Circuits courts, Radio, Jeunes ESS, Territoires d'économie sociale et solidaire, grand public