La revue de presse du retail : Quand les habitants prennent en main leurs achats alimentaires : le boom des épiceries ...: Alternatives aux enseignes de la grande distribution, des épiceries participatives (ou collaboratives) fleurissent depuis quelques années un peu ... ==> Abonnez vous à la revue de presse du retail #retail #distribution #commerce
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Pour mieux vendre en direct, il faut savoir mutualiser. C'est ce qu'on bien compris les groupements de #producteurs et les réseaux de #franchise. Mais pour travailler ensemble, vous aurez besoin de 2 choses essentielles : - un accès commun à vos offres pour les clients, en public ou en privé - un canal commun pour la gestion des commandes C'est ce que vous propose Lisy.co : une interface collaborative pour centraliser vos offres et commandes, compatible avec tous vos outils 😎👍 #VenteDirecte #VentesPrivées
[Made in France] Si les consommateurs apprécient de plus en plus les produits locaux, les acteurs du commerce n’ont pas encore référencé tous les producteurs capables de répondre à cette demande. Un constat qui a poussé Sébastien HUBERT et Olivier Blanchard à lancer Lisy, une application qui facilite les relations entre producteurs et franchiseur ou franchisés dans le secteur de l'alimentaire. A lire ici : https://lnkd.in/eg3urs_b #franchise #reseau #local #madeinfrance #producteurs #agriculture #RSE #commerces #alimentation #restauration
Alimentation : Lisy, une appli qui valorise les circuits courts et les produits locaux
https://officieldelafranchise.fr
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#TendanceConso Thierry Cotillard patron d'Intermarché : "Un tiers des Français aux revenus les plus fragiles se privent et achètent moins de poisson, de viande et de produits bio" Le président du Groupement Les Mousquetaires (Intermarché, Netto, Bricomarché) soutient que le trop léger recul des prix observé dans les grandes surfaces alimentaires ne suffira pas à relancer la consommation. Selon Thierry Cotillard, un positionnement prix pertinent et juste est le principal levier pour créer une dynamique commerciale. Résultat, après des années d’absence, on assiste au retour des comparateurs de prix entre enseignes (<=> guerre des prix) https://lnkd.in/etSvV__B cc isabelle senand Xavier Terlet Stéphane BRUNERIE Thomas Bégon Philippe Cahen Noël ZIERSKI Olivier Dauvers Dominique Schelcher
Thierry Cotillard, patron d’Intermarché : «Un tiers des Français aux revenus les plus fragiles se privent et achètent moins de poisson, de viande et de produits bio»
lefigaro.fr
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Les distributeurs s'engagent! 𝗠𝗮𝗿𝗱𝗶 𝗱𝗲𝗿𝗻𝗶𝗲𝗿 𝗹𝗲𝘀 𝗮𝗻𝗻𝗼𝗻𝗰𝗲𝘀 𝗱𝗲 𝗧𝗵𝗶𝗲𝗿𝗿𝘆 𝗖𝗼𝘁𝗶𝗹𝗹𝗮𝗿𝗱 𝗲𝘁 𝗱’𝗔𝗹𝗲𝘅𝗮𝗻𝗱𝗿𝗲 𝗕𝗼𝗺𝗽𝗮𝗿𝗱 𝗼𝗻𝘁 𝗳𝗮𝗶𝘁 𝘃𝗶𝗯𝗿𝗲𝗿 𝗹𝗮 𝗰𝗼𝗺𝗺𝘂𝗻𝗮𝘂𝘁𝗲́ 𝗟𝗶𝗻𝗸𝗲𝗱𝗜𝗻 De son côté, Thierry Cotillard appelle toutes les marques de lait à finaliser leurs accords avec les producteurs laitiers avant de lancer les négociations commerciales. Alexandre Bompard, quant à lui, engage les marques à afficher le Nutri-Score, que ce soit sur leurs produits ou encore sur le site Internet de Carrefour dans le cadre de l’initiative ACT FOR FOOD. Malgré certaines critiques, voici les raisons pour lesquelles c'est une excellente nouvelle. 1️⃣ 𝗣𝗮𝗿𝗰𝗲 𝗾𝘂𝗲 𝘀𝗮𝗻𝘀 𝗲𝗻𝗴𝗮𝗴𝗲𝗺𝗲𝗻𝘁 𝗱𝗲𝘀 𝗱𝗶𝘀𝘁𝗿𝗶𝗯𝘂𝘁𝗲𝘂𝗿𝘀, 𝗽𝗮𝘀 𝗱𝗲 𝗰𝗵𝗮𝗻𝗴𝗲𝗺𝗲𝗻𝘁 𝗱𝘂𝗿𝗮𝗯𝗹𝗲. Les distributeurs sont responsables des produits qu’ils mettent en rayon. Plus ils s'engagent, plus les industriels sont poussés à faire évoluer leurs produits. Sans contraintes, les évolutions sont lentes, car les entreprises ont tendance à se reposer sur leurs acquis, surtout sur les marchés où elles sont performantes. 2️⃣ 𝗣𝗮𝗿𝗰𝗲 𝗾𝘂𝗲 𝘁𝗼𝘂𝘁𝗲𝘀 𝗹𝗲𝘀 𝗲𝗻𝘁𝗿𝗲𝗽𝗿𝗶𝘀𝗲𝘀, 𝗾𝘂𝗲𝗹𝗹𝗲 𝗾𝘂𝗲 𝘀𝗼𝗶𝘁 𝗹𝗲𝘂𝗿 𝘁𝗮𝗶𝗹𝗹𝗲, 𝗱𝗼𝗶𝘃𝗲𝗻𝘁 𝘀𝗲 𝗺𝗼𝗯𝗶𝗹𝗶𝘀𝗲𝗿 𝗽𝗼𝘂𝗿 𝗮𝘃𝗮𝗻𝗰𝗲𝗿. Les PME ont déjà fait des progrès significatifs en RSE, ce qui est encourageant. Mais les grandes entreprises, avec leur portée sur toute la chaîne de valeur, ont un rôle majeur à jouer. En poussant tous leurs fournisseurs à des efforts significatifs, les distributeurs peuvent réellement impacter les habitudes de consommation. 3️⃣ 𝗣𝗮𝗿𝗰𝗲 𝗾𝘂𝗲 𝗰𝗲𝗹𝗮 𝗺𝗮𝗿𝗾𝘂𝗲 𝘂𝗻 𝘁𝗼𝘂𝗿𝗻𝗮𝗻𝘁 𝗱𝗮𝗻𝘀 𝗹𝗮 𝗰𝗼𝗺𝗺𝘂𝗻𝗶𝗰𝗮𝘁𝗶𝗼𝗻 𝗱𝗲𝘀 𝗱𝗶𝘀𝘁𝗿𝗶𝗯𝘂𝘁𝗲𝘂𝗿𝘀. Lorsque Thierry Cotillard annonce arrêter les fraises en hiver, c’est peut-être anodin pour certains consommateurs, mais c’est monumental pour un réseau de 1 800 magasins. Quand Alexandre Bompard défend le Nutri-Score, alors que certains industriels font marche arrière, c’est une position forte en faveur du "mieux manger". Tout comme Dominique Schelcher, qui soutient une taxe sur les produits sucrés avec Institut Montaigne, prend position malgré l’impact potentiel sur 7 des 10 produits les plus vendus dans ses magasins. Ces prises de position ne sont plus de simples éléments de communication, mais des engagements réels avec un véritable impact économique. Après trois ans de communication centrée sur les prix, voir des acteurs de la distribution inciter leurs fournisseurs à devenir plus vertueux est extrêmement positif. Bien sûr, le prix restera une considération clé, mais nous devons maintenant offrir des produits à la fois engagés et compétitifs. Dans ce contexte, les PME françaises ont un rôle central à jouer (FEEF (Fédération des Entreprises et Entrepreneurs de France), LABEL PME+). À nous de saisir ce virage avec force et détermination.
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Il y a plusieurs solutions: le circuit court payer au juste prix les personnes qui cultivent leur terre pour nous nourrir donc éviter les gms (grandes et moyennes surfaces) pour tout ce qui est fruits et legumes, on achete de saison on oublie les fraises et cerises en décembre, on achete local on privilegie les primeurs qui ont du made in France juste une évidence, les prix en grande surface sont aussi chers que sur les marchés parisiens, on privilegie les commerces de quartier …. C est juste un état d esprit une philosophie de vie on consomme moins mais mieux. On cuisine plutot que d acheter des plats surgelés ….etc…
Conférencier, Conseils stratégique et marketing des entreprises agri-agroalimentaires, Spécialiste des relations agriculture-industrie-commerce-consommation, Maître de Conférences HDR en Sciences de Gestion
Choux-fleur breton et partage de la valeur ajoutée : Quand la centrale d’achat Carrefour se gave aussi bien sur le dos des agriculteurs que de ses franchisés ! Aors que s’ouvre le salon de l’agriculture et que 7 patrons de la grande distribution versaient hier, assez opportunément, des larmes de crocodile sur l’agriculture au travers de la signature d’une tribune commune (sans Lidl France faut-il le souligner), l’exemple ci-dessous du partage de la valeur ajoutée dans la chaîne de valeur du choux-fleur breton permettra à tout un chacun de se positionner. En bio, alors que l’on était partiellement en rupture en linéaire dans les magasins Carrefour, les prix payés aux producteurs ces derniers jours prenaient la tournure suivante : - vendredi 16/02 : 0,30€/tête - lundi 19/02 : 0,23€/tête - mardi 20/02 : 0,20€/tête En même temps, la centrale d'achat de Carrefour validait les prix suivants : - Prix vendu par la centrale à ses magasins : 2,21€/tête !!!! (Il n’y a ici aucune transformation produit et les coûts d’approche logistique et de conditionnement sont au maximum de 15% de la valeur du choux-fleur) - Prix de vente conseillé en magasin aux clients (et les franchisés ne manqueront pas d’en tirer une nouvelle fois toutes les conséquences) : 3,25€ / tête, c'est à dire un prix multiplié par 16 entre le producteur et le consommateur...Soit 1.525% d’augmentation minimum entre le prix départ et le prix consommateur sachant que certains magasins hyper Carrefour ont commercialisé le choux-fleur bio breton au delà des 4€/tête ! Pour information, le prix de revient pour l’agriculteur est d'environ 0,60€/tête, c'est à dire qu'actuellement, aux prix auxquels les producteurs sont payés, ces derniers vendent à perte pour chaque chou livré (environ 0,4€/tête)…Tandis que le consommateur est bien roulé dans la farine également au regard du prix final du choux-fleur...Le grand gagnant est ici la centrale d’achat Carrefour qui réalise une marge brute colossale à l’achat ainsi qu’une très confortable marge brute à la vente sur ses franchisés (AFC Association des Franchisés de Carrefour) ! Quand va t-on enfin arrêter cette mécanique implaquable qui détruit notre agriculture en décrétant enfin un seuil d’achat à perte (ici par exemple de 0,60€/tête de choux-fleur bio) qui serait un prix opposable à la grande distribution mais aussi aux industriels ? Il est grand temps de prendre en compte un consentement à produire des agriculteurs face au consentement des centrales d’achats des GMS à payer des prix toujours plus bas. L’exemple ci-dessous est édifiant mais il vaut pour bien des produits bruts d’origine agricole. Cela ne peut plus durer. Salon International de l'Agriculture Emmanuel Macron Gabriel Attal Marc Fesneau agridées think tank Agriculture Stratégies Ministère de l'Agriculture et de la Souveraineté alimentaire Michel-Edouard Leclerc Alexandre Bompard Dominique Schelcher Michel Biero La Coopération Agricole SICA St Pol de Léon Prince de Bretagne - Cerafel
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La revue de presse du retail : Fruits et légumes - Beaucoup moins chers en circuit court - Actualité - UFC-Que Choisir: La grande distribution ne tient pas sa promesse de défense du pouvoir d'achat des consommateurs : elle vend les fruits et légumes nettement plus ... ==> Abonnez vous à la revue de presse du retail #retail #distribution #commerce
Beaucoup moins chers en circuit court
quechoisir.org
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La revue de presse du retail : Les magasins de producteurs reprennent un peu de couleur près de Rennes - Ouest-France: Pour la responsable de l'enseigne qui compte cinq employés, « les clients ont repris leurs habitudes avec la grande distribution » aux lendemains de ... ==> Abonnez vous à la revue de presse du retail #retail #distribution #commerce
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ouest-france.fr
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La revue de presse du retail : VIDÉO GRANDE CONSO : Découvrez “La Récolte”: VIDÉO GRANDE CONSO au cœur de Paris pour découvrir une enseigne que vous ne connaissez peut-être pas mais qui fête cette année ses 10 ans : La Récolte. L’enseigne illustre deux tendances qui traversent actuellement le retail. D’abord la fragmentation de la consommation avec des magasins aux promesses toujours plus pointues, ici bio et circuit … L’article VIDÉO GRANDE CONSO : Découvrez “La Récolte” est apparu en premier sur Olivier Dauvers. ==> Abonnez vous à la revue de presse du retail
VIDÉO GRANDE CONSO : Découvrez "La Récolte" - Olivier Dauvers
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Ça me révolte. 4.09€ le chou-fleur bio vendu chez Carrefour mais seulement 0.20€ dans la poche du producteur (5%). Pour un légume qui lui coûte 0.60€/pc à produire. Quand prendra-t-on conscience de la valeur du travail de nos agriculteurs ? Quand arrêterons-nous de laisser la grande distribution réaliser des marges exorbitantes sur le dos de ceux qui nous nourrissent alors que 18% des agriculteurs vivent sous le seuil de pauvreté (INSEE, 2018) ? Je ne vois ici aucune justice sociale ni pour le producteur, ni pour le consommateur, pour qui les denrées bio deviennent de plus en plus inaccessibles à l'heure où il n'a jamais été aussi urgent d'encourager l'agroécologie. Cette semaine encore, l'un de nos producteurs chez Kelbongoo me faisait part de son inquiétude face à l'avenir et à l'éventualité de devoir revendre sa ferme bio en polyculture élevage (200ha) dans sa famille depuis plus de 5 générations en voyant les cours du blé bio s'effondrer et les consommateurs retourner faire leurs courses en grande surface, là où le prix des produits à base de blé a augmenté mais celui de la matière première payée au producteur a chuté. ⏩ Où va la marge ?? Mêmes témoignages cette semaine sur le Salon de l'Agriculture où nous avons rencontré une partie de nos producteurs, toujours en colère contre un système qui les met à genoux et en concurrence avec des marchés internationaux aux pratiques agricoles moins strictes / limitantes au lieu de les valoriser. D'où leur choix de travailler majoritairement en direct ou avec des acteurs valorisant à juste prix leur travail : vente directe à la ferme, marchés, AMAP, épiceries de circuit-court (Champs Libres Le Zingam, Épicerie de quartier, Kelbongoo 🏪) La balle est en partie dans notre camp à nous, consommateurs. C'est à nous de prendre conscience de ces enjeux mais surtout de PASSER À L'ACTE en modifiant nos modes de consommation, en faisant le choix de s'approvisionner en direct ou dans des structures plus transparentes, rémunératrices pour les producteurs et vertueuses pour l'environnement si l'on veut préserver notre souveraineté alimentaire, l'agriculture française et nos producteurs à l'heure où le nombre de fermes et d'agriculteurs en France diminue drastiquement. Car in fine manger c'est voter. Ville de Paris Audrey Pulvar Paris International Agricultural Show Région Hauts-de-France Carrefour Marc Fesneau Agnes Lutun Stéphane CATRICE Benjamin Delamarre Philippe Collin Adrien Massari Pauline Manfredi
Conférencier, Conseils stratégique et marketing des entreprises agri-agroalimentaires, Spécialiste des relations agriculture-industrie-commerce-consommation, Maître de Conférences HDR en Sciences de Gestion
Choux-fleur breton et partage de la valeur ajoutée : Quand la centrale d’achat Carrefour se gave aussi bien sur le dos des agriculteurs que de ses franchisés ! Aors que s’ouvre le salon de l’agriculture et que 7 patrons de la grande distribution versaient hier, assez opportunément, des larmes de crocodile sur l’agriculture au travers de la signature d’une tribune commune (sans Lidl France faut-il le souligner), l’exemple ci-dessous du partage de la valeur ajoutée dans la chaîne de valeur du choux-fleur breton permettra à tout un chacun de se positionner. En bio, alors que l’on était partiellement en rupture en linéaire dans les magasins Carrefour, les prix payés aux producteurs ces derniers jours prenaient la tournure suivante : - vendredi 16/02 : 0,30€/tête - lundi 19/02 : 0,23€/tête - mardi 20/02 : 0,20€/tête En même temps, la centrale d'achat de Carrefour validait les prix suivants : - Prix vendu par la centrale à ses magasins : 2,21€/tête !!!! (Il n’y a ici aucune transformation produit et les coûts d’approche logistique et de conditionnement sont au maximum de 15% de la valeur du choux-fleur) - Prix de vente conseillé en magasin aux clients (et les franchisés ne manqueront pas d’en tirer une nouvelle fois toutes les conséquences) : 3,25€ / tête, c'est à dire un prix multiplié par 16 entre le producteur et le consommateur...Soit 1.525% d’augmentation minimum entre le prix départ et le prix consommateur sachant que certains magasins hyper Carrefour ont commercialisé le choux-fleur bio breton au delà des 4€/tête ! Pour information, le prix de revient pour l’agriculteur est d'environ 0,60€/tête, c'est à dire qu'actuellement, aux prix auxquels les producteurs sont payés, ces derniers vendent à perte pour chaque chou livré (environ 0,4€/tête)…Tandis que le consommateur est bien roulé dans la farine également au regard du prix final du choux-fleur...Le grand gagnant est ici la centrale d’achat Carrefour qui réalise une marge brute colossale à l’achat ainsi qu’une très confortable marge brute à la vente sur ses franchisés (AFC Association des Franchisés de Carrefour) ! Quand va t-on enfin arrêter cette mécanique implaquable qui détruit notre agriculture en décrétant enfin un seuil d’achat à perte (ici par exemple de 0,60€/tête de choux-fleur bio) qui serait un prix opposable à la grande distribution mais aussi aux industriels ? Il est grand temps de prendre en compte un consentement à produire des agriculteurs face au consentement des centrales d’achats des GMS à payer des prix toujours plus bas. L’exemple ci-dessous est édifiant mais il vaut pour bien des produits bruts d’origine agricole. Cela ne peut plus durer. Salon International de l'Agriculture Emmanuel Macron Gabriel Attal Marc Fesneau agridées think tank Agriculture Stratégies Ministère de l'Agriculture et de la Souveraineté alimentaire Michel-Edouard Leclerc Alexandre Bompard Dominique Schelcher Michel Biero La Coopération Agricole SICA St Pol de Léon Prince de Bretagne - Cerafel
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La revue de presse du retail : « On a perdu des grandes cultures et on a gagné des maraîchers plus petits »: À l'exception de la grande distribution tous les lieux d'achat du bio enregistrent une croissance : artisans / commerçants 8 % (+4,3%), magasins bio ... ==> Abonnez vous à la revue de presse du retail #retail #distribution #commerce
« On a perdu des grandes cultures et on a gagné des maraîchers plus petits »
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