🌟 Opportunités de Carrière à Sarcelles 🌟 𝗥𝗲𝘀𝗽𝗼𝗻𝘀𝗮𝗯𝗹𝗲 𝗱𝗲 𝗹𝗮 𝗽𝗿𝗼𝗱𝘂𝗰𝘁𝗶𝗼𝗻 𝗰𝘂𝗹𝘁𝘂𝗿𝗲𝗹𝗹𝗲 Vous souhaitez rejoindre une équipe motivée, solidaire et dynamique, donner du sens à votre action ? ✅ La ville de Sarcelles recherche un(e) Responsable de production culturelle pour compléter les équipes de sa Direction des affaires culturelles. 📣 Placé.e sous la responsabilité du directeur de la Culture vous participez à la définition de la programmation artistique de la saison culturelle. Le·la responsable de la production repère et fait des propositions de spectacles au directeur de la Culture, en fonction du projet artistique et culturel municipal et de la lettre de cadrage établie. 🔗 Si vous souhaitez en savoir plus, cliquez ici pour accéder à la fiche de poste https://bit.ly/3YqfCBr Patrick Haddad Maya Sebaoun Laure Decourty Helene Diguet Mathias Trogrlic
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🌟 Nouvelles passionnantes de mon parcours en Master Commerce et Marketing ! 🎓 Dans le cadre de mon programme de master, j'ai la chance d'explorer un sujet qui me passionne depuis des années : l'expression artistique autour des danses urbaines. 🕺💃 J'ai choisi d'étudier comment les danses urbaines reflètent l'identité culturelle et la créativité dans notre société contemporaine. Pour rendre cette recherche significative et enrichissante, j'ai besoin de votre contribution précieuse ! 📝 Pourriez-vous consacrer moins de 2 minutes pour remplir mon questionnaire ? Vos réponses seront essentielles pour atteindre mon objectif de 100 réponses fixé par ma tutrice. 👉 Voici le lien vers le questionnaire : https://lnkd.in/gVd83zDN Votre participation serait d'une grande valeur pour moi et contribuera à approfondir notre compréhension des danses urbaines en tant qu'expression culturelle. N'hésitez pas à partager le lien avec ceux qui pourraient être intéressés ! Merci à tous pour votre soutien et votre implication dans cette passionnante aventure académique ! Découvrez avec moi les nuances fascinantes des danses urbaines dans le cadre de mon parcours 🎼
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Mon message au ministère de la culture . Au Gabon, le ministère de la culture a souvent été critiqué pour sa tendance à se substituer en organisateur de spectacles pour la propagande politique au lieu de créer un environnement propice à l'épanouissement des artistes locaux. Il est temps de repenser le rôle du ministère et de mettre en place des mesures visant à soutenir et promouvoir la culture de manière plus efficace. Plutôt que de se limiter à l'organisation de spectacles ponctuels, le ministère de la culture devrait investir dans la construction d'un palais de la culture, qui servirait de centre névralgique pour les artistes du pays. Ce lieu pourrait offrir des espaces de création, de répétition et de diffusion des œuvres, permettant ainsi aux artistes de développer leur talent dans des conditions optimales. De plus, il est primordial de mettre en place des programmes de formation pour les entrepreneurs culturels et les manageurs. En effet, il ne suffit pas d'avoir du talent pour réussir dans le monde de la culture, il faut également avoir les compétences nécessaires pour gérer sa carrière de manière professionnelle. En formant les acteurs de la culture aux aspects administratifs et financiers de leur métier, le ministère de la culture contribuerait à renforcer le secteur culturel dans son ensemble. Enfin, il est essentiel de favoriser l'originalité dans la création artistique. Trop souvent, les artistes sont contraints de se conformer à des normes préétablies pour être reconnus et soutenus par les institutions culturelles. Le ministère de la culture devrait encourager la diversité des expressions artistiques, en soutenant les artistes qui osent innover et explorer de nouvelles voies créatives. En résumé, le ministère de la culture au Gabon doit revoir sa stratégie et se concentrer sur la création d'un environnement favorable à l'épanouissement des artistes. En investissant dans des infrastructures culturelles, en formant les acteurs du secteur et en encourageant la diversité artistique, le ministère contribuerait à dynamiser la scène culturelle du pays et à promouvoir la richesse de sa culture. Présidence de la République Gabonaise Présidence du Comité de la Transition et la Restauration des Institutions Pheel Pambou
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A la découverte de l'expression Artistique, les racines du Dancehall et son influence Mondiale
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La culture, au coeur des territoires. 🤍 Les Agences culturelles Les Agences culturelles sont des associations qui agissent au service d’une politique culturelle régionale, de ses acteurs et des territoires. Elles interviennent dans les domaines du spectacle vivant, des techniques de la scène et de l’action publique. Elles participent au développement de l’aménagement culturel du territoire, des publics et des qualifications des pratiques professionnelles dans une perspective d’équité territoriale. À ce titre, l’Agence culturelle propose un ensemble d’accompagnements à destination des équipes artistiques et des structures culturelles en vue de soutenir la création et la diffusion ; s’ajoutent également des formations, des rencontres professionnelles et des parcours. Projet culturel de territoire, schéma de développement culturel, projet local de développement culturel, stratégie culturelle... Ces différentes appellations traduisent toutes une même volonté : celle de se doter d’un outil de cadrage de référence pour conduire une politique publique en matière culturelle sur son territoire. Un projet culturel de territoire ne correspond ni à une terminologie réglementaire, ni à un label. Son articulation autour de certaines idées et grands axes permet de cadrer un modus operandi commun à tous les territoires pour mieux donner à produire et à révéler leurs singularités : - une approche globale et stratégique dans le secteur culturel - une implication de plusieurs parties prenantes - une volonté de faire converger des objectifs communs pour le développement du territoire - un déploiement sur et émanant de territoires à échelle variable. Exemple : L'Agence culturelle Grand Est de la Région Grand Est met à disposition des élus et agents des intercommunalités - qui souhaitent initier des démarches visant à mettre en œuvre un projet culturel de territoire : un guide construit grâce à l’observation de pratiques de terrain, des retours d’expériences et des apports de ressources universitaires. Avec un lexique très utile et un décryptage d'étapes permettant d'anticiper et de structurer. Photo : Parcours festival Furies, 2024 à Châlons-en-Champagne (51) © DR Chaque jour, une initiative, un 🤍 #Culture #Société #Planète
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[#FolksKnowledge] Dans les musées, on connait depuis longtemps la "folksonomie" qui consiste à intégrer le langage des publics dans le tagging des œuvres numériques sur les plateformes de collection, pour en faciliter la recherche. 🏺Le The Pitt Rivers Museum d'Oxford a intégré dans ses équipes des médiateurs-curateurs un peu particuliers, des migrants, qui se trouvaient avoir une connaissance contextuelle sur certains objets détenus dans les collections du musée. Il s'agit du projet #Multaka. 🏛️ Le Victoria and Albert Museum vient de franchir encore une étape dans l'inclusion du savoir "populaire", en annonçant un recrutement pour le moins surprenant par sa forme et par son fond. 🎤 🤔 Le musée est effet à la recherche de 5 experts en "Taylor Swift", "Crocs", "Emojis", "Drag", et le plus curieux de tous, "Tufting trailblazer" (capitonnage) et ce pour permettre aux équipes d'orienter les futurs objectifs de conservation. 💶 L'annonce a été très sérieusement postée sur la page du site du musée, dédiée au recrutement. Si elle mentionne le fait que les déplacements seront défrayés, elle omet de clarifier les revenus éventuels des généreux donateurs de leur savoir. Seuls quelques "goddies" sont proposés en défraiement du temps passé. 📝 On pourrait pourtant envisager un principe de smart contract permettant au musée de ne pas surcharger sur l'instant son poste salarial, tout en reconnaissant une juste rémunération des concernés à l'augmentation du savoir sur les collections du musée sur le long terme. Une idée ?💡 ➡️ Pour les intéressés, vous avez jusqu'au 7 mars pour répondre ! #museums #curation #VandALondon #museovation
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LA POLITIQUE CULTURELLE Elle est définie par le Gouvernement, sa mise en œuvre est en collaboration avec la DRAC (Direction Régionale des Affaires Culturelles) service déconcentré du ministère de la Culture, sous l’autorité du préfet de Région. Elle exerce une fonction d’accompagnement et d’expertise auprès des collectivités territoriales, et de tous les autres partenaires de la culture. L’ingénierie culturelle se définie par rapport au cadre que constitue toute politique culturelle et agit avec elle. Dans ce cadre là, la connaissance des mécanismes d’intervention de l’Etat dans la culture est indispensable. La Politique Culturelle en France est d’abord une politique de conservation du patrimoine et de sa diffusion en direction des publics. L’un des rôles importants de l’Etat dans la sphère culturelle est : la démocratisation de la culture. Ses interventions sont multiples comme : · L’aide à la construction de grands équipements culturels, (bibliothèques, musées, etc…) qui ouvrent la création au public 🖼 · La construction et la gestion d’un certains nombres d’établissements dans le domaine des arts plastiques, des conservatoires (Ecole du Louvre, Ecole nationale du patrimoine, 🗼 Conservatoire nationale de musique, 🎼 Ecole des Beaux-Arts, Ecole des Arts décoratifs. Ou dans le domaine audiovisuel (FEMIS Fondation Européenne des Métiers de l’Image et du Son) · Le versement des subventions à des associations qui organisent des manifestations culturelles de toutes sortes · L’adaptation aux particularités des catégories sociales en engageant des actions spéciales en direction de publics défavorisés : banlieues, émigrés, enfants défavorisés, 👫 👩👦👦 👨👨👧👧 🧕 etc… La sensibilisation à l’Art et la Culture, l’histoire et la recherche sont gérées par l’Education Nationale. 🏛 Dans le rôle subventionneur de l’Etat il gère soit directement ses propres services, soit il verse des subventions 💶 à des collectivités locales, ou soit s’engage auprès des associations qui interviennent souvent comme relais de la puissance publique, ou soit il apporte des aides aux personnes privées. Avec le maintien des financements entre l’Etat et les Collectivités territoriales, les subventions tiennent une place importante dans la politique culturelle en France. Notre région les Hauts de France est la 1ère d’une politique culturelle et d’une identité culturelle fortes aux services des territoires et des habitants. La culture est une richesse pour les territoires et vectrices d’attractivités et d’emplois.
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📣 De plus en plus d'organisations publiques ou associatives, culturelles ou sociales portent aujourd'hui des projets artistiques participatifs. 🙌 Ces projets ont en commun de générer une participation des personnes du #territoire et de créer du lien. La forme et les concrétisations de ces projets peuvent être particulièrement variables, d'une contribution ponctuelle à une implication active dans une représentation artistique. 🤩 Ces expériences peuvent correspondre à une attente exprimée par les habitant·es mais aussi à une évolution des projets portés par les institutions culturelles et les équipes artistiques, tandis que nombre d'élu·es souhaitent soutenir de telles initiatives. 💡 Trois agences culturelles régionales, Auvergne-Rhône-Alpes Spectacle Vivant, ARTIS en Bourgogne-Franche-Comté, L'A. Agence culturelle Nouvelle-Aquitaine, en partenariat avec l’Association des Maires Ruraux de France - AMRF et avec la complicité de la FNCC, ont conçu ces fiches synthétiques à l’intention des élu·es. 👉 Pour voir tous les sujets abordés dans "Culture, une fiche pour l'essentiel" : https://bit.ly/3gRlBII 👌 Quelques exemples des thématiques déjà traitées : La protection du #patrimoine culturel, les résidences d'#artistes et d'auteurs, l'intercommunalité culturelle, les liens entre #culture et #ESS, conservatoires et écoles de #musique... #droitsculturels #participation #territoire #territoires
La création partagée - Auvergne Rhône-Alpes Spectacle Vivant
https://auvergnerhonealpes-spectaclevivant.fr
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🛑 Comme vous l’avez perçu en me lisant (ici ou dans mon infolettre Muzeodrome), les diversités et les écologies sont mes moteurs... Lorsque vous serrez dans l'isoloir (les 30/06 et 07/07 2024), imaginez bien le futur porté par votre bulletin. Si nous n’y prenons pas garde, l’espace culturel français pourrait basculer vers d’autres “valeurs”. Extrait du communiqué des musées engagés : "Lieux de patrimoine, de savoir et de culture, nous partageons la conviction que les musées ne sont pas des lieux étanches aux soubresauts politiques et aux grands débats de société. Les musées publics ont non seulement un rôle social mais aussi une responsabilité dans la formation des consciences citoyennes. Si chaque jour nous cherchons à élargir nos publics, à renforcer l’accueil des scolaires et des personnes les plus éloignées de la culture, c’est parce que notre vocation est d’être des espaces ouverts, de dialogue et de reconnaissance de nos identités plurielles. Nous ne sommes pas des lieux militants, mais nous ne sommes pas non plus des lieux neutres, coupés du contexte social dans lequel nous agissons." (Voir lien en commentaire) Affiches : Cedric Bucaille & Fanny QuÉment #MuseumsAreNotNeutral #Diversités #IdentitésPlurielles #MuséesEngagés
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5 bonnes pratiques pour nos institutions culturelles ✨ Il y a deux ans, j’ai co-fondé l’entreprise Aartemis, un ensemblier de solutions innovantes à destination des institutions culturelles. Nous travaillons quotidiennement auprès des institutions culturelles pour trouver de nouveaux moyens de transmission et de médiation pour faire (re)venir, faire découvrir et faire aimer les lieux culturels. Voici 5 bonnes pratiques que nous poussons nos clients à mettre en place : 1️⃣ Adapter les discours de médiation aux différents publics : nous devons dès maintenant retravailler le fond, la posture et les discours véhiculés par nos institutions culturelles en fonction des différents publics. 2️⃣ Penser l’accrochage d’une exposition en fonction des différents publics : aujourd’hui encore, il arrive qu’on accroche des œuvres dans nos institutions sans se soucier des enfants, ni des personnes en situation de handicap. Pourtant, souvent, c’est à 10 centimètres près que cela se joue… 3️⃣ Pousser les services de médiation et de communication à travailler ensembles : car la communication n’est que la continuité - sous une autre forme - de la médiation, et qu’une collaboration entre ces deux pôles, permettrait à chacun de se nourrir de l’expertise de l’autre. 4️⃣ S’approprier les outils numériques pour poursuivre le devoir de transmission en dehors de l’enceinte des musées : les musées restent encore inaccessibles géographiquement, culturellement, économiquement ou encore socialement pour de nombreux Français. Heureusement, le développement des outils numériques permet de recréer du lien avec certains de ces publics, notamment les plus jeunes. 5️⃣ Faire travailler ensemble les lieux culturels et les offices de tourisme : je reste encore sidérée que ces lieux ne travaillent pas automatiquement ensembles. C’est au niveau de la mairie qu’il faut agir, pour s’assurer d’une vraie communication et entraide entre ces différents établissements. Et vous, quelles bonnes pratiques soutenez-vous dans nos institutions culturelles ? ____________________________________________________________________ Si vous me découvrez avec ce post, je m'appelle Marlène Diard, je suis la CEO d’Aartemis, une entreprise, ensemblier de solutions 360° pour les institutions culturelles privées et publiques. Si vous aussi, vous cherchez à faire revenir les publics dans les musées, contactez-moi !
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En matière culturelle dans les quartiers difficiles, on entend tout et son contraire, on voit des actions magnifiques et des ratés incroyables. On parle souvent de la résistance au changement des habitants, en oubliant que de nombreux professionnels de la culture font leur programmation en oubliant ces habitants. L'excuse est toujours la même, il faut "élever" le niveau culturel des habitants des quartiers difficiles, il faut les "mener" à l'excellence... Il faut donc éloigner les habitants de ces quartiers de leurs acquis culturels, afin de leur faire découvrir la grande culture française, à travers, les musées, l'opéra, les grands classiques... Comme si les habitants des quartiers difficiles, n'avaient pas un bagage culturel au départ, comme si Beethoven et les tableaux accrochés au Louvre étaient la seule et unique façon d'accompagner le public vers la culture... Comme si... Et saison après saison, toutes les villes de France reproduisent le même schéma et cela, depuis la nuit des temps. Et on s'étonne que rien ne change ? Alors quid de la participation des habitants dans la vie culturelle de leur cité ? Comment donner aux habitants le pouvoir d'agir sur leur territoire en décidant de tout dans un bureau entre professionnels de la culture ? Le pouvoir d'agir, empowerment, en anglais, désigne à la fois : un processus par lequel les individus, les groupes, les organisations et les communautés acquièrent la capacité d'exercer un pouvoir. Mais peut-on vraiment laisser des habitants décider seuls de la programmation culturelle d'une ville ? Exercer donc un pouvoir ? Pas évident et on peut alors comprendre ces programmations culturelles qui, de Montauban à Bourges, en passant pas Lyon et Le Havre, se ressemblent toutes. Ces programmations qui semblent avoir définitivement oublié l'avis et la concertation avec les habitants. La coopération est remplacée par l'orientation ou l'obligation. On ne prend aucun risque au grand bonheur des tourneurs et des artistes parisiens qui viennent cachetonner en banlieue, sans rencontrer les habitants. Panem et circenses, « du pain et des jeux du cirque ». Les empereurs Romains avaient compris qu'il fallait se préoccuper en priorité de l'estomac et des loisirs de la plèbe, à base de distribution de pain et d'organisation de jeux du cirque dans le but de s'attirer la bienveillance du peuple et que ces derniers ne se soucient pas d'enjeux plus exigeants, ni du destin collectif. #empowerment #participationdeshabitants #culture #pouvoirdagir
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Retraitée
1 moisDommage je suis à la retraite...