Dans un contexte de tensions extrêmes entre Moscou et Kiev, le président ukrainien Volodymyr Zelensky vient de lâcher une bombe. Lundi soir, il a affirmé que quelque 12 000 soldats nord-coréens seraient « bientôt » déployés en Russie. Une annonce choc qui fait craindre une escalade majeure dans ce conflit qui dure depuis plus de deux ans. Des milliers de soldats nord-coréens en renfort Selon les déclarations de Zelensky, la Corée du Nord s’apprêterait à dépêcher un imposant contingent militaire sur le sol russe. Une information qui vient corroborer les estimations du Pentagone. Dans la journée, le ministère américain de la Défense évoquait en effet l’envoi d’environ 10 000 soldats de Pyongyang pour s’entraîner en Russie. Ce déploiement massif de troupes nord-coréennes aurait pour conséquence « un renforcement des forces russes près de l’Ukraine dans les prochaines semaines », a averti la porte-parole adjointe du Pentagone. Un scénario inquiétant alors que les combats font rage dans l’est de l’Ukraine. L’Ukraine s’alarme d’un soutien militaire croissant à Moscou Pour les autorités ukrainiennes, cette annonce est un signal très préoccupant. Kiev redoute que l’arrivée de ces milliers de soldats aguerris ne permette à la Russie de lancer de nouvelles offensives d’envergure. Un risque jugé très sérieux alors que Moscou a déjà gagné du terrain ces dernières semaines dans le Donbass. Poutine cherche clairement à intensifier la pression militaire sur l’Ukraine. L’apport de ces renforts nord-coréens pourrait changer la donne sur le terrain. Une source diplomatique occidentale Avec ses alliés, Kiev tente de s‘organiser face à cette menace. Des discussions sont en cours pour accélérer les livraisons d’armes et d’équipements à l’armée ukrainienne. L’objectif est de permettre aux forces de Zelensky de contrer cette montée en puissance russe. Une escalade aux conséquences imprévisibles Au-delà de l’Ukraine, c’est toute la communauté internationale qui s’inquiète de cette évolution du conflit. Beaucoup craignent que l’implication croissante de la Corée du Nord n’entraîne une dangereuse surenchère. Le chancelier allemand Olaf Scholz a ainsi mis en garde contre une « escalade » aux conséquences « imprévisibles ». Un avertissement partagé par de nombreux dirigeants, qui appellent à la retenue face au risque d’embrasement. Mais sur le terrain, la réalité est tout autre. Avec des combats qui s’intensifient et des renforts qui affluent, le spectre d’une guerre totale ne cesse de se rapprocher. L’Ukraine se prépare au pire, dans l’attente fébrile de ces soldats nord-coréens qui pourraient bien faire basculer le destin de tout un pays. The post Guerre en Ukraine : l’inquiétante annonce de Zelensky first appeared on ViralMag.
Post de Maelien Goarin
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ℹ️ 🪖☝L'Ukraine a annoncé mardi une nouvelle mobilisation de 👉 160 000 hommes 👈 devant les avancées russes qui s'accélèrent avec, notamment, 👉 la prise de la ville orientale de Selydové et face à la crainte d'un déploiement de troupes nord-coréennes par #Moscou. 👈 ℹ️ La Russie a aussi procédé mardi à de nouveaux exercices militaires nucléaires sous la supervision du président Vladimir Poutine, qui avait évoqué récemment encore la possibilité de recourir à ces armes dans le cadre du conflit en #Ukraine et avec les #Occidentaux. ℹ️ Face à une #armée ukrainienne moins bien équipée et manquant d'hommes, les forces russes, malgré d'importantes pertes, multiplient les succès ces dernières semaines. Elles ont revendiqué mardi la conquête de #Selydové, qui comptait quelque 20 000 habitants avant la guerre, une progression importante à proximité de #Pokrovsk, carrefour logistique dans la région ukrainienne de #Donetsk, dans l'est du pays. ℹ️ La conquête des régions orientales de l'Ukraine a été définie comme la priorité par Vladimir #Poutine dans cette invasion lancée en février 2022 par l'armée #russe qui n'avait alors pas réussi à prendre Kiev, la capitale, et qui avait ensuite été repoussée vers l'est. ℹ️ Le ministère russe de la Défense a aussi annoncé la prise de trois localités de la zone : #Guirnyk, #Katerynivka et #Bogoyavlenka. ℹ️ La #Russie a repris l'initiative depuis environ un an face à des troupes ukrainiennes handicapées par le manque d'hommes, de matériel et les tergiversations occidentales sur l'emploi et l'ampleur de l'aide militaire fournie. ℹ️ 🪖 👊 Pour la contrer, #Kiev (#Kyiv) va mobiliser au moins 160 000 soldats supplémentaires, a indiqué devant les députés Oleksandre #Lytvynenko, le secrétaire du Conseil de la sécurité et de la défense nationale de l#'Ukraine. ☝ 🪖 🤝 Selon lui, cela permettra de regarnir les rangs de l'armée à hauteur de 85 %, alors que depuis le début de l'#invasion, un total de 1,05 million de citoyens ont été enrôlés. 👉 🪖 🙏 Cette #mobilisation doit s'étaler sur les trois prochains mois, a précisé à l'#AFP une source au sein du secteur de la sécurité. #coréedunord #nordcoréen #guerre #ukrainien
L’Ukraine mobilise face aux avancées russes
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Selon des sources militaires, le conflit en Ukraine connaît une nouvelle escalade ces derniers jours. Alors que les troupes russes multiplient les avancées sur le terrain, notamment dans l’est du pays, l’Ukraine a annoncé une mobilisation supplémentaire de 160 000 hommes pour tenter de contrer l’offensive de Moscou. Une mobilisation d’urgence côté ukrainien Face à la dégradation de la situation sur le front, les autorités ukrainiennes ont décidé de procéder à une nouvelle vague de mobilisation. Selon Oleksandre Lytvynenko, secrétaire du Conseil de sécurité et de défense nationale ukrainien : Cette mobilisation de 160 000 hommes supplémentaires doit permettre de regarnir les rangs de l’armée à hauteur de 85%. Depuis le début de l’invasion, un total de 1 050 000 citoyens ont déjà été enrôlés. Une source au sein du secteur de la sécurité a précisé à l’AFP que cette mobilisation devrait s’étaler sur les trois prochains mois. Kiev espère ainsi pouvoir endiguer les récentes progressions russes, malgré un net désavantage en termes d’équipements et d’effectifs. Des pertes importantes des deux côtés Si l’armée russe a subi de lourdes pertes depuis le début de son invasion il y a plus de deux ans, elle semble avoir repris l’initiative depuis plusieurs mois grâce à sa supériorité numérique et matérielle. De son côté, l’Ukraine peine à compenser l’usure de ses troupes et de ses équipements, malgré l’aide militaire occidentale. Ainsi, les forces russes ont revendiqué mardi la prise de la ville de Selydové, localité d’environ 20 000 habitants avant-guerre dans la région de Donetsk. Une avancée significative qui rapproche les Russes de Pokrovsk, carrefour logistique clé pour l’approvisionnement des forces ukrainiennes. L’arrivée inquiétante de renforts nord-coréens Autre sujet d’inquiétude pour Kiev : la confirmation par les États-Unis de la présence de soldats nord-coréens aux côtés des Russes, près de la frontière ukrainienne. Selon le porte-parole du Pentagone Pat Ryder, un “petit nombre” se trouverait déjà dans la région russe de Koursk, tandis que 2000 autres seraient sur le point d’arriver. Nous sommes préoccupés à l’idée que la Russie compte employer ces forces nord-coréennes au combat, ou qu’elles soutiennent au moins les opérations militaires dans la zone. – Déclaration de Pat Ryder, porte-parole du Pentagone L’Otan avait déjà mis en garde lundi contre une “escalade significative” et une “expansion dangereuse” du conflit avec l’envoi de ces troupes nord-coréennes. Au total, ce sont quelque 10 000 soldats de Pyongyang qui seraient attendus en Russie selon les estimations du Pentagone. Vers une intensification des combats L’ensemble de ces développements laisse présager une intensification des affrontements dans les prochaines semaines sur le sol ukrainien. Malgré ses efforts de mobilisation, l’Ukraine semble en difficulté face à un adversaire qui consolide ses positions et reçoit le soutien d’alliés comme la Corée du Nord. Les...
Selon des sources militaires, le conflit en Ukraine connaît une nouvelle escalade ces derniers jours. Alors que les troupes russes multiplient les avancées sur le terrain, notamment dans l’est du pays, l’Ukraine a annoncé une mobilisation supplémentaire de 160 000 hommes pour tenter de contrer l’offensive de Moscou. Une mobilisation d’urgence côté ukrainien Face à la dégradation de la...
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Selon une déclaration récente du président ukrainien Volodymyr Zelensky, la Corée du Nord s’apprêterait à envoyer pas moins de 12 000 soldats en Russie dans un avenir proche. Une nouvelle qui fait craindre une escalade supplémentaire dans le conflit qui oppose l’Ukraine à la Russie depuis février 2022. Des milliers de soldats nord-coréens bientôt déployés en Russie D’après les informations divulguées par Zelensky lors d’une conférence de presse en Islande, 3 000 soldats nord-coréens seraient déjà présents sur le territoire russe. Mais ce n’est qu’un début, puisque les services de renseignement ukrainiens estiment que leur nombre devrait rapidement atteindre les 12 000. Le président ukrainien ne cache pas son inquiétude face à ce qui s’apparente clairement à «une escalade» du conflit. Selon lui, la Russie compte bien utiliser ces soldats nord-coréens directement sur le champ de bataille en Ukraine. Un scénario des plus préoccupants pour Kiev. Un soutien nord-coréen qui ne se limite pas aux hommes Le soutien apporté par la Corée du Nord à la Russie dans ce conflit ne se limiterait pas à l’envoi de troupes. Toujours selon Volodymyr Zelensky, Pyongyang aurait déjà fourni «des millions d’obus d’artillerie ainsi que des missiles» à Moscou. Des livraisons d’armement conséquentes qui témoignent de l’implication croissante du régime nord-coréen aux côtés de la Russie. Une alliance qui pourrait peser lourd dans la balance et compliquer sérieusement la tâche des forces ukrainiennes sur le terrain. Washington confirme l’entraînement de soldats nord-coréens en Russie Les révélations de Zelensky ont été en partie corroborées par le Pentagone. Selon le ministère américain de la Défense, 10 000 soldats nord-coréens seraient d’ores et déjà en train de s’entraîner sur le sol russe. Une information qui accrédite la thèse d’un déploiement imminent de ces troupes en Ukraine. Reste à savoir quel impact aura réellement cette force nord-coréenne sur l’évolution du conflit. Le soutien occidental à l’Ukraine plus crucial que jamais Face à cette nouvelle donne, Volodymyr Zelensky a insisté sur l’importance de maintenir et même renforcer le soutien occidental à l’Ukraine. Interrogé sur un éventuel revirement de Washington en cas de victoire de Donald Trump en 2024, le président ukrainien s’est voulu ferme : Ne pas soutenir l’Ukraine serait une grande victoire pour Poutine et une grande perte pour l’Occident, pour l’unité, la démocratie et la liberté. Un message on ne peut plus clair adressé aux alliés de Kiev. D’ailleurs, les dirigeants nordiques réunis en Islande ont d’ores et déjà promis de «poursuivre leur soutien à l’Ukraine», à l’image de la Suède qui a annoncé une nouvelle aide de 63 millions d’euros. La Chine pointée du doigt pour son rôle dans le conflit Si l’implication de la Corée du Nord aux côtés de Moscou inquiète, celle de la Chine n’est pas en reste. Pour la Première ministre danoise Mette Frederiksen, le soutien chinois est même...
Selon une déclaration récente du président ukrainien Volodymyr Zelensky, la Corée du Nord s’apprêterait à envoyer pas moins de 12 000 soldats en Russie dans un avenir proche. Une nouvelle qui fait craindre une escalade supplémentaire dans le conflit qui oppose l’Ukraine à la Russie depuis février 2022. Des milliers de soldats nord-coréens bientôt déployés en Russie D’après les informations...
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L'Ukraine a créé la surprise cet été en lançant une offensive sur le territoire russe, une initiative que peu attendaient, compte tenu des difficultés de recrutement et de la pression liée aux élections américaines de novembre. Selon serge july, l'Ukraine, en invoquant la légitime défense reconnue par la charte des Nations unies, a franchi un tabou en occupant une partie de la Fédération de Russie. Depuis le 6 août, ses troupes, composées de plusieurs milliers d'hommes, y compris des brigades aéroportées et blindées, ont pénétré en Russie et affrontent les forces de Vladimir Poutine. Mykhaïlo Podoliak, conseiller proche de Volodymyr Zelensky, a souligné que la communauté internationale considère désormais la Russie comme une cible légitime pour toutes les opérations, y compris avec des armes fournies par les États-Unis. En quelques jours, l'Ukraine a frappé des infrastructures russes stratégiques, notamment une plateforme de forage de gaz en mer Noire et une base aérienne, et a coulé une vedette russe à l'aide d'un drone marin. Cette offensive intervient alors que des discussions entre Russes et Américains sur l'avenir de l'Ukraine pourraient se tenir prochainement. Volodymyr Zelensky a clairement affirmé l'objectif de l'opération : « Déplacer la guerre en Russie pour rendre justice et renverser les rôles. » Cette offensive a provoqué une évacuation en urgence de 76 000 personnes par les autorités russes, rappelant la crise de la marche sur Moscou par Evgueni Prigojine, le patron de Wagner, aujourd'hui décédé. L'armée russe, prise par surprise, a réagi tardivement en reconnaissant l'incursion ukrainienne dans la région de Koursk. Selon un responsable ukrainien cité par l'Agence France-Presse, l'attaque visait à détourner les forces russes du Donbass pour alléger la pression sur les troupes ukrainiennes. Ce même responsable a indiqué que l'attaque avait pris les Russes « au dépourvu » et que ces territoires pourraient être utilisés à des fins politiques lors de futures négociations de paix. L'invasion limitée du territoire russe constitue un choc pour Vladimir Poutine, qui avait bâti son pouvoir sur la promesse de protéger la Russie. Cette situation fragilise le président russe, révélant des failles dans les services de renseignement russes, notamment le FSB, qui semble moins informé que Vladimir Poutine ne le croyait. Alors que Vladimir Poutine exige une réponse militaire immédiate pour des raisons d'image, ses chefs militaires préfèrent invoquer la « stratégie de l'éponge », utilisée par la Russie dans le passé pour piéger des envahisseurs comme Napoléon et Hitler, en les laissant s'enfoncer avant de les neutraliser.
Et si l’Ukraine envahissait la Russie… par Serge July
liberation.fr
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Évidemment. « L'envoi de troupes françaises en Ukraine rapproche de cette ligne à partir de laquelle commence la participation directe au conflit, a commenté Alexander Makogonov. Cela augmente les risques de cobelligérance ukrainienne". Et de conclure sur la question: "Cela change de manière très dangereuse le paradigme de la guerre." Évidemment, si on invite l’ambassadeur de Russie à Paris, il ne faut pas s’attendre à ce qu’il dise autre chose. Parce que, depuis le début de cette guerre, c’est Poutine qui fixe les conditions d’une « esacalade ». Beaucoup plus que l’autorisation d’utiliser les armements occidentaux pour frapper le territoire de la Russie, une telle décision fait de nous des « co belligérants ». Elle augmente considérablement le risque d’un engrenage vers une guerre ouverte contre la Russie. Sans la garantie du soutien US de l’article 5 de l’Otan car ils y sont fermement opposés. Pourtant l’anniversaire du débarquement nous rappelle une évidence: 80 ans après la fin de la deuxième guerre mondiale nous sommes incapables de nous défendre sans les Américains. Dissuasion nucléaire ou pas dissuasion nucléaire qui n’est qu’une menace de dernier recours. Une menace de survie après avoir épuisé les autres options. Si on ajoute que la Russie fait tout, elle aussi, pour éviter une escalade. On comprend pourquoi le Poker est le roi des jeux de cartes. Sauf qu’au poker, en général, on ne joue pas une guerre mondiale entre puissances nucléaires. #faireface
"Des cibles légitimes": l'ambassade de Russie avertit la France sur l'envoi d'instructeurs en Ukraine
bfmtv.com
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Dans une annonce retentissante, le ministère russe de la Défense a affirmé mardi avoir pris le contrôle de la ville de Selydové, située dans l’est de l’Ukraine. Cette conquête marque une avancée significative pour les forces russes et accroît la pression sur les troupes ukrainiennes dans la région stratégique de Pokrovsk. Selon un communiqué diffusé sur Telegram, la ville aurait été “libérée grâce aux actions réussies des formations et des unités militaires du groupement Centre”. Selydové, qui comptait environ 20 000 habitants avant le début du conflit, revêt une importance stratégique de par sa proximité avec Pokrovsk, un carrefour logistique clé pour les forces ukrainiennes. Une série d’avancées russes dans l’est de l’Ukraine La prise de Selydové s’inscrit dans une série de gains territoriaux revendiqués par la Russie ces derniers jours. Juste avant l’annonce concernant Selydové, le ministère avait fait état de la capture de trois autres localités dans la même région : Guirnyk, Katerynivka et Bogoyavlenka. Ces avancées illustrent la dynamique actuelle sur le front, où les forces russes semblent avoir l’initiative depuis plusieurs mois face à des troupes ukrainiennes en difficulté. Selon une analyse de l’AFP basée sur les données de l’Institut américain pour l’étude de la guerre (ISW), l’armée russe a progressé de 478 km² en Ukraine depuis début octobre, enregistrant ainsi son gain territorial le plus important sur un mois depuis mars 2022. Des forces ukrainiennes sous pression La situation devient de plus en plus préoccupante pour les forces ukrainiennes dans l’est du pays. Moins bien armées et disposant de moins d’hommes que leurs adversaires, elles peinent à contenir l’avancée russe malgré les efforts déployés. Une source proche du dossier a confié que les tergiversations des pays occidentaux quant à l’emploi et l’ampleur de leur aide militaire constituent un handicap supplémentaire pour l’Ukraine. Alors que la Russie semble déterminée à poursuivre son offensive, la question du soutien international apparaît plus cruciale que jamais. Une tentative de diversion ukrainienne qui tourne court Face à la pression dans l’est, l’Ukraine a tenté en août dernier une manœuvre audacieuse visant à détourner les forces russes en attaquant et en occupant une partie de la région frontalière russe de Koursk. Mais ce pari semble avoir échoué, la Russie n’ayant pas relâché son emprise sur sa “priorité” comme l’a rappelé Vladimir Poutine. Pire, Moscou serait sur le point de recevoir des renforts conséquents en provenance de Corée du Nord. Plusieurs sources, dont des responsables occidentaux, ukrainiens et sud-coréens, font état d’une alliance politico-militaire de plus en plus étroite entre la Russie et le régime de Pyongyang. Des milliers de soldats nord-coréens pourraient ainsi venir grossir les rangs de l’armée russe dans les prochaines semaines. Selydové, un verrou qui saute Au-delà de sa position stratégique, Selydové revêt une importance...
Dans une annonce retentissante, le ministère russe de la Défense a affirmé mardi avoir pris le contrôle de la ville de Selydové, située dans l’est de l’Ukraine. Cette conquête marque une avancée significative pour les forces russes et accroît la pression sur les troupes ukrainiennes dans la région stratégique de Pokrovsk. Selon un communiqué diffusé sur Telegram, la ville aurait été “libérée...
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🔴 Les infos à retenir : - Une série d’attaques ukrainiennes sur Volgograd, dans l’ouest de la Russie - Des abris antiaériens installés dans la région de Koursk - La Russie continue de progresser dans l’Est ukrainien où fuient les civils #Ukraine #Russie #Koursk
Guerre en Ukraine : de nouvelles attaques aériennes menées par Kiev déjouées par la Russie
lexpress.fr
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Au cœur des tensions croissantes au Moyen-Orient, des révélations troublantes émergent sur l’implication présumée de la Russie dans le conflit qui oppose depuis des années le Yémen aux puissances occidentales. Selon des sources bien informées, le Kremlin apporterait un soutien crucial aux rebelles houthis en leur fournissant des données satellites leur permettant de cibler des navires marchands en mer Rouge. Une aide qui pourrait bouleverser les équilibres dans la région. La Russie, un allié de poids pour les Houthis Les rebelles houthis, qui contrôlent une grande partie du Yémen, mènent depuis plusieurs mois une campagne d’attaques contre les intérêts israéliens et occidentaux dans la mer Rouge. Une escalade motivée selon eux par la volonté d’afficher leur solidarité avec le Hamas dans la bande de Gaza. Mais derrière cette détermination se cacherait en réalité un soutien de taille : celui de la Russie. D’après des responsables européens de la défense, les Houthis auraient pu bénéficier de données satellites russes pour planifier et exécuter leurs attaques contre des navires marchands. Ces informations sensibles leur auraient été transmises via des intermédiaires iraniens, témoignant une nouvelle fois des liens étroits qui unissent Moscou, Téhéran et les rebelles yéménites. Des attaques qui perturbent le trafic maritime Les offensives des Houthis, menées à l’aide de missiles balistiques et de drones, ont semé le chaos dans cette zone maritime stratégique, essentielle pour le commerce international. Face à cette menace, les États-Unis ont dû mettre en place une coalition maritime pour sécuriser la région et frapper des cibles rebelles au Yémen. Des opérations auxquelles le Royaume-Uni a également participé. Mais malgré ces contre-mesures, les Houthis affirment désormais viser aussi les navires américains et britanniques en plus de ceux liés à Israël. Une escalade qui fait craindre une internationalisation du conflit et de lourdes conséquences pour la stabilité déjà précaire de la région. Poutine veut démontrer l’échec de l’isolement russe Pour Vladimir Poutine, ce soutien aux Houthis s’inscrit dans une stratégie plus large visant à prouver l’échec des tentatives occidentales d’isoler la Russie sur la scène internationale. Depuis le début de la guerre en Ukraine en 2022 et les sanctions qui ont suivi, le président russe multiplie les initiatives pour afficher la solidité de ses alliances, notamment lors du récent sommet des BRICS. Comptant sur le soutien économique crucial de la Chine et profitant des réticences de l’Inde à condamner ses actions en Ukraine, Poutine entend démontrer que son pays n’est pas seul et conserve des partenaires de poids. L’implication présumée de Moscou au Yémen, si elle se confirmait, serait une illustration supplémentaire de cette volonté. Un jeu dangereux aux conséquences imprévisibles Mais en choisissant d’attiser les tensions au Moyen-Orient, la Russie s’engage dans un jeu dangereux dont les...
Au cœur des tensions croissantes au Moyen-Orient, des révélations troublantes émergent sur l’implication présumée de la Russie dans le conflit qui oppose depuis des années le Yémen aux puissances occidentales. Selon des sources bien informées, le Kremlin apporterait un soutien crucial aux rebelles houthis en leur fournissant des données satellites leur permettant de cibler des navires...
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