C’est une véritable onde de choc qui a secoué la scène politique américaine. En annonçant qu’il renonçait à briguer un second mandat en 2024, le président Joe Biden a ouvert une nouvelle page pour son camp démocrate, et rebattu les cartes d’une élection qui s’annonce d’ores et déjà épique. Car dans les starting-blocks, sa vice-présidente Kamala Harris est prête à en découdre. Kamala Harris, la favorite naturelle Propulsée sur le devant de la scène, Kamala Harris s’impose comme la candidate naturelle pour porter les couleurs démocrates en 2024. Première femme, mais aussi première personne de couleur à accéder à la vice-présidence, elle jouit d’une stature unique pour succéder à Joe Biden. Son parcours, son charisme et sa combativité en font un atout de poids dans la bataille à venir. Kamala, what else ? George Clooney, acteur et soutien démocrate Le précieux soutien des stars La vice-présidente peut compter sur des soutiens de poids, à l’image de la star hollywoodienne George Clooney. “Le président Biden a montré ce qu’est le véritable leadership“, a-t-il déclaré, promettant de faire “tout ce qui est en [son] pouvoir” pour soutenir Kamala Harris. Un appui qui confirme l’aura de la candidate démocrate, mais aussi les moyens considérables qu’elle pourra mobiliser pour mener campagne. Car la bataille s’annonce rude face à une opposition républicaine avide de reconquête. Enjeux et défis d’une campagne à hauts risques Si Kamala Harris part avec une longueur d’avance, rien n’est joué pour autant. Plusieurs défis de taille se dressent sur sa route : Rassembler un parti démocrate fracturé Proposer un projet novateur et mobilisateur Faire face aux attaques des républicains Convaincre un électorat volatil et désabusé Pour l’emporter, elle devra faire preuve d’habileté politique, occuper le terrain médiatique, et surtout se démarquer de l’héritage contrasté de l’administration Biden. Un véritable chemin de crête, dans un contexte américain profondément polarisé. Alors que les primaires démocrates s’annoncent palpitantes, avec la perspective de candidatures alternatives, les regards sont déjà braqués vers la présidentielle de novembre 2024. Une élection qui pourrait accoucher d’une nouvelle première historique, en installant une femme à la Maison Blanche. Mais le suspense reste entier. The post Le Retrait de Joe Biden Rebat les Cartes pour 2024 first appeared on ViralMag.fr.
Post de Maelien Goarin
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Tout semblait sourire à Donald Trump il y a encore quelques semaines. Le candidat républicain à la présidentielle américaine caracolait en tête des sondages face à un Joe Biden en difficulté, porté par une convention républicaine survoltée qui l’encensait tel un messie. Mais c’était avant l’entrée fracassante en campagne de Kamala Harris, choisie pour remplacer Biden. Depuis, les cartes ont été totalement rebattues. Un nouveau duel Trump-Harris qui change la donne L’irruption de Kamala Harris dans la course à la Maison Blanche a pris tout le monde de court, à commencer par Donald Trump. Le septuagénaire se retrouve face à une adversaire plus jeune, charismatique et coriace, qui incarne un renouveau du camp démocrate. Pris à contre-pied, Trump peine à ajuster sa stratégie. Habituellement si prompt à attaquer ses opposants, le milliardaire new-yorkais semble hésiter sur l’angle à adopter face à cette nouvelle rivale, première femme noire candidate à la vice-présidence. Ses premiers assauts, mettant en doute les origines de Harris, ont été jugés maladroits voire teintés de relents racistes : Elle a toujours uniquement mis en avant son héritage indien… – Donald Trump sur Kamala Harris Harris dynamise le camp démocrate Mieux, la nomination de Kamala Harris a revigoré les démocrates, remotivés comme jamais pour faire barrage à un second mandat de Trump. La collecte de dons s’est envolée, atteignant des records. Surtout, Harris réussit un tour de force en éclipsant médiatiquement Trump, une première ! Trump contraint de revoir sa com’ Déstabilisé, le président doit repenser urgemment sa communication et son positionnement face à ce nouvel attelage démocrate qui gagne du terrain dans les sondages. Trump va devoir sortir de sa zone de confort et innover pour ne pas se laisser déborder. Plusieurs options s’offrent à lui : Cibler le bilan et les propositions “de gauche” de Kamala Harris pour remobiliser sa base conservatrice Mettre en avant ses réussites économiques et diplomatiques face au “manque d’expérience” des démocrates Jouer la carte de la proximité avec les électeurs face à des adversaires “déconnectés” Vers une présidentielle plus que jamais incertaine Une chose est sûre, à trois mois du scrutin, l’élection est relancée et son issue s’annonce plus incertaine que jamais. La stratégie qu’adoptera Donald Trump dans ce nouveau duel face à Kamala Harris sera déterminante pour sa réélection. Le moindre faux pas pourrait lui coûter cher dans une élection qui s’annonce serrée. Le duel Trump-Harris promet d’être électrique jusqu’au bout avec son lot de coups d’éclat, de polémiques et de rebondissements. Une présidentielle américaine qui déchaîne déjà les passions et dont il faudra suivre chaque soubresaut avec attention, tant elle pourrait déterminer le visage des Etats-Unis pour les 4 prochaines années ! Affaire à suivre… The post Présidentielle US : Donald Trump déboussolé face à Kamala Harris first appeared on ViralMag.fr.
Tout semblait sourire à Donald Trump il y a encore quelques semaines. Le candidat républicain à la présidentielle américaine caracolait en tête des sondages face à un Joe Biden en difficulté, porté par une convention républicaine survoltée qui l’encensait tel un messie. Mais c’était avant l’entrée fracassante en campagne de Kamala Harris, choisie pour remplacer Biden. Depuis, les cartes ont ...
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106 jours. C’est le temps qu’il reste aux démocrates américains pour se réinventer après l’annonce choc du président Joe Biden de renoncer à briguer un second mandat. Une décision sans précédent à ce stade avancé de la campagne, qui sème le trouble au sein du parti. L’heure est à la mobilisation pour trouver dans l’urgence un candidat capable de l’emporter face aux républicains en novembre prochain. Kamala Harris, la favorite évidente ? Avec le soutien affiché de Joe Biden, sa vice-présidente Kamala Harris semble partir avec une longueur d’avance. Mais son bilan en demi-teinte et sa popularité en berne pourraient fragiliser sa candidature. D’autres prétendants démocrates, restés jusqu’ici dans l’ombre de Biden, pourraient être tentés de se lancer dans la bataille. Un ticket rajeuni pour séduire l’électorat Pour maximiser ses chances, Kamala Harris devra s’entourer d’un colistier au profil complémentaire. Jeunesse, origine géographique, sensibilité politique… Plusieurs critères entreront en compte pour former un ticket gagnant capable de rassembler largement. Un défi de taille en si peu de temps. Les républicains aussi chamboulés Du côté républicain aussi, la nouvelle donne impose de revoir les stratégies. Privé de son adversaire désigné, Donald Trump va devoir réajuster son discours de campagne. De quoi relancer les spéculations sur l’éventuelle entrée en lice d’autres candidats comme le gouverneur de Floride Ron DeSantis. Cette présidentielle 2024 s’annonce plus imprévisible et indécise que jamais. Une seule certitude : le suspense sera au rendez-vous jusqu’au bout ! – Un analyste politique La convention démocrate, moment clé Tous les regards seront tournés vers la convention démocrate qui s’ouvrira le 19 août prochain. C’est là que le nom du candidat sera officiellement désigné. D’ici là, les prétendants vont devoir mener une campagne éclair pour se démarquer et rassembler leur camp. Tout en ménageant l’unité du parti, crucial pour la bataille de novembre. Kamala Harris va-t-elle réussir à s’imposer ? Quels outsiders pourraient créer la surprise ? Comment les républicains vont-ils s’adapter ? Autant de questions qui vont rythmer cette campagne présidentielle totalement atypique. Une chose est sûre : l’issue du scrutin est plus incertaine que jamais. Et la course contre la montre ne fait que commencer pour les démocrates, qui ont 106 jours pour se réinventer et convaincre les Américains. The post Chez les démocrates, la course contre la montre est lancée first appeared on ViralMag.fr.
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L’élection présidentielle américaine de 2024 s’annonce d’ores et déjà palpitante. Alors que la course à la Maison Blanche bat son plein, de nouveaux sondages viennent bouleverser les pronostics. Dans plusieurs États clés, la vice-présidente Kamala Harris devance désormais son rival républicain Donald Trump, insufflant un vent d’optimisme dans le camp démocrate. Kamala Harris en tête dans le Michigan, la Pennsylvanie et le Wisconsin Selon les sondages publiés par le New York Times et le Siena College ce samedi, Kamala Harris recueille 50% des intentions de vote contre 46% pour Donald Trump dans trois États décisifs du Midwest : le Michigan, la Pennsylvanie et le Wisconsin. Une avance significative qui inverse la tendance observée ces derniers mois. Ces fameux “Swing States” sont en effet déterminants pour l’issue du scrutin, en raison du système électoral américain où la présidentielle se joue dans une poignée d’États susceptibles de basculer d’un côté ou de l’autre. Une victoire dans ces trois États donnerait un avantage conséquent à la candidate démocrate. Un nouvel élan démocrate depuis le retrait de Joe Biden L’actuelle dynamique favorable côté démocrate doit beaucoup au retrait de Joe Biden de la course à l’investiture, au profit de sa vice-présidente Kamala Harris. Âgé de 81 ans, le président sortant a préféré passer la main, ouvrant la voie à un duel entre Harris, 59 ans, et Donald Trump, 78 ans. Si les sondages donnent Harris gagnante dans les Swing States, les électeurs continuent néanmoins de préférer Trump sur les grands thèmes de la campagne comme l’économie et l’immigration. La vice-présidente est en revanche considérée comme plus compétente et dotée d’un meilleur profil pour diriger le pays. Le choix de Tim Walz comme colistier, un atout pour les démocrates ? La nomination mardi du gouverneur du Minnesota Tim Walz comme colistier de Kamala Harris semble aussi avoir galvanisé les troupes démocrates. Un choix stratégique saluée par les uns, vivement critiqué par les autres, Donald Trump n’hésitant pas à le qualifier de “dangereux gauchiste”. Je suis fière d’avoir choisi Tim Walz comme colistier. Ensemble, nous allons mener ce pays vers le progrès. Kamala Harris, candidate démocrate à la présidentielle Avant le retrait de Joe Biden, Donald Trump faisait figure de favori, porté par sa popularité suite à sa tentative d’assassinat et son triomphe à la convention républicaine en juillet. Mais l’arrivée de Kamala Harris a rebattu les cartes, obligeant le camp républicain à revoir sa stratégie. La “Kamalamania” s’empare de la campagne démocrate Depuis plusieurs semaines, un vent de “Kamalamania” semble s’être emparé de la campagne démocrate. La candidate suscite un véritable engouement, notamment auprès des jeunes et des minorités ethniques, des segments clés de l’électorat. Ni les attaques de Donald Trump sur ses origines, ni les polémiques suscitées par d’anciens propos de son colistier n’ont pour l’instant réussi à en...
L’élection présidentielle américaine de 2024 s’annonce d’ores et déjà palpitante. Alors que la course à la Maison Blanche bat son plein, de nouveaux sondages viennent bouleverser les pronostics. Dans plusieurs États clés, la vice-présidente Kamala Harris devance désormais son rival républicain Donald Trump, insufflant un vent d’optimisme dans le camp démocrate. Kamala Harris en tête dans le...
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Dans moins de deux semaines, les Américains seront appelés aux urnes pour désigner leur prochain président ou présidente. Un scrutin historique qui voit s’affronter l’ancien président Donald Trump et l’actuelle vice-présidente Kamala Harris. Au-delà des personnalités, quels sont les véritables enjeux de cette élection ? Quelles seront les clés du résultat final ? Décryptage en quelques chiffres essentiels. 2 candidats pour un duel au sommet Malgré la présence de quelques candidats tiers comme l’écologiste Jill Stein, la présidentielle se résume à un face-à-face entre Donald Trump, pour les Républicains, et Kamala Harris, pour les Démocrates. Un duel attendu depuis de longs mois, les deux protagonistes ayant très tôt lancé leur campagne. Pour Trump, c’est l’occasion de prendre sa revanche après sa défaite en 2020. Du côté d’Harris, il s’agit de confirmer son statut d’héritière désignée de Joe Biden et de devenir la première femme présidente des États-Unis. Les sondages donnent les deux candidats au coude-à-coude. 4 ans à la Maison-Blanche C’est la durée du mandat présidentiel outre-Atlantique. Si Kamala Harris l’emporte, elle pourrait donc se représenter en 2028 et potentiellement gouverner pendant 8 ans. Mais en cas de victoire de Donald Trump, ce dernier serait limité à un seul mandat, la Constitution interdisant d’effectuer plus de deux mandats, consécutifs ou non. Quel que soit le vainqueur, son impact sur la vie des Américains et la politique mondiale sera considérable pendant au moins 4 ans, et potentiellement le double. Analyse un expert de la vie politique américaine. 7 États clés Michigan, Wisconsin, Pennsylvanie, Caroline du Nord, Géorgie, Arizona, Nevada… Ces 7 “swing states” seront décisifs. Véritables champs de bataille électoraux, ils concentrent toutes les attentions car ils ne penchent nettement ni Démocrate, ni Républicain. Conscients de leur importance, les deux candidats y multiplient meetings et déplacements. Chaque voix compte et pourrait faire la différence au soir du 5 novembre. 34 sénateurs et 435 représentants La présidentielle n’est pas la seule élection en jeu. Les Américains renouvelleront aussi l’ensemble de la Chambre des représentants (435 sièges) et un tiers du Sénat (34 sièges sur 100). L’enjeu est de taille, le parti du président n’ayant pas toujours la majorité au Congrès. En cas de victoire de Kamala Harris, les démocrates espèrent bien conserver le Sénat et reprendre la Chambre des représentants, actuellement républicaine. Si Donald Trump l’emporte, les républicains visent eux la double majorité pour avoir les coudées franches. 538 grands électeurs Contrairement à une idée reçue, ce ne sont pas directement les électeurs qui élisent le président, mais 538 grands électeurs. Chaque État dispose d’un nombre de grands électeurs dépendant de sa population. C’est ce qui explique qu’en 2016, Donald Trump ait pu être élu avec près de 3 millions de voix de moins qu’Hillary Clinton au niveau...
Dans moins de deux semaines, les Américains seront appelés aux urnes pour désigner leur prochain président ou présidente. Un scrutin historique qui voit s’affronter l’ancien président Donald Trump et l’actuelle vice-présidente Kamala Harris. Au-delà des personnalités, quels sont les véritables enjeux de cette élection ? Quelles seront les clés du résultat final ? Décryptage en quelques...
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L’annonce du retrait de Joe Biden de la course à la présidentielle américaine de 2024 provoque une vague de réactions dans la presse internationale. Entre soulagement et inquiétude, les éditorialistes s’interrogent sur l’avenir politique des États-Unis avec l’entrée en lice de Kamala Harris comme candidate démocrate face à Donald Trump. Une décision attendue mais qui soulève des questions Pour beaucoup d’observateurs, le retrait de Joe Biden, âgé de 81 ans, semblait inévitable au vu de son âge avancé et de ses fréquents dérapages verbaux. Le parti démocrate craignait que cela ne desserve sa candidature. Comme le souligne le correspondant du Times à Washington David Charter : La position de Joe Biden, moqué régulièrement pour ses oublis, ses lapsus et ses confusions, n’était plus tenable. – David Charter, The Times Mais cette décision soulève aussi son lot d’interrogations quant à la capacité de Kamala Harris à incarner une alternative crédible. Le Washington Post s’inquiète ainsi dans un éditorial : Qu’est-ce qui pourrait changer dans une présidence Harris, à part le fait qu’elle serait la première femme élue ? Présentera-t-elle une vision nouvelle, ou sa seule caractéristique sera-t-elle simplement d’être plus jeune et plus vigoureuse que Biden ? – Dan Balz, The Washington Post L’Europe dubitative sur les chances de Harris En Europe, les commentateurs doutent de la capacité de Kamala Harris à s’imposer face à Donald Trump. Pour le journal espagnol El País : Ses rivaux la considèrent exagérément à gauche, intolérablement woke et trop faible. Les États-Unis ont également manifesté par le passé leurs réserves quant au choix d’une femme comme locataire de la Maison-Blanche. – Iker Seisdedos, El País Le poids de son mandat de vice-présidente dans l’administration Biden pourrait aussi lui porter préjudice selon le Corriere Della Sera : Ayant été numéro deux au cours des quatre dernières années, Kamala ne peut pas faire campagne sans assumer l’entière responsabilité de la politique de Biden. – Federico Rampini, Corriere Della Sera Une opportunité pour les démocrates malgré tout ? Malgré un certain scepticisme, des éléments pourraient jouer en faveur de Kamala Harris. Son âge pourrait contrebalancer l’argument utilisé contre Biden, estime Shane Goldmacher du New York Times : Le simple fait de retirer la question de l’âge de la table des négociations pourrait suffire à assurer la victoire des démocrates. – Shane Goldmacher, The New York Times Et au sein du parti démocrate, beaucoup espèrent que ce changement de candidat apportera un nouveau souffle, analyse Molly Ball dans le Wall Street Journal : De nombreux démocrates espèrent pouvoir aller de l’avant avec le sentiment que l’ancienne impasse est rompue et qu’une nouvelle option est sur la table. – Molly Ball, The Wall Street Journal Bilan : une présidentielle 2024 plus que jamais incertaine Au final, le retrait de Joe Biden rebat les cartes d’une élection q...
L’annonce du retrait de Joe Biden de la course à la présidentielle américaine de 2024 provoque une vague de réactions dans la presse internationale. Entre soulagement et inquiétude, les éditorialistes s’interrogent sur l’avenir politique des États-Unis avec l’entrée en lice de Kamala Harris comme candidate démocrate face à Donald Trump. Une décision attendue mais qui soulève des questions ...
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La course à l’investiture démocrate pour la présidentielle américaine de 2024 semble bien lancée. Et pour l’heure, une seule candidate se détache : Kamala Harris, actuelle vice-présidente des États-Unis. Introduite comme la candidate naturelle par Joe Biden lui-même, qui a renoncé à se représenter, elle bénéficie déjà de nombreux soutiens de poids au sein du parti. Mais certaines figures démocrates restent étrangement silencieuses. Tour d’horizon. Les soutiens s’accumulent pour Harris Sitôt l’annonce du retrait de Joe Biden, Kamala Harris s’est positionnée pour lui succéder. Et les soutiens n’ont pas tardé à pleuvoir. À commencer par celui de la figure tutélaire du couple Clinton : Il est temps de soutenir Kamala Harris et de nous battre de toutes nos forces pour la faire élire. L’avenir de l’Amérique en dépend. Bill et Hillary Clinton Un appui de poids, auquel se sont ajoutés ceux de nombreux gouverneurs d’États-clés, comme ceux de Pennsylvanie, Caroline du Nord, Kentucky ou Minnesota. Les principaux caucus de la Chambre des représentants, des progressistes aux centristes en passant par les Hispaniques, se sont aussi rangés derrière la vice-présidente. Harris peut aussi compter sur un atout financier majeur. Ayant été la colistière de Biden en 2020, elle a accès aux 96 millions de dollars récoltés par leur campagne, à condition qu’elle soit la candidate. De quoi convaincre les indécis… Mais des soutiens manquent encore à l’appel Pour autant, des figures importantes du parti démocrate n’ont pas encore clairement appuyé une candidature Harris : Barack Obama, l’ancien président, s’est contenté d’appeler à choisir un “candidat extraordinaire”, sans plus de précision. Les chefs de la minorité à la Chambre et de la majorité au Sénat, Hakeem Jeffries et Chuck Schumer, sont restés muets. Certains gouverneurs-clés, comme ceux du Wisconsin et du Michigan, n’ont rien dit. Ces silences sont-ils des marques de défiance ? Difficile à dire. Mais une chose est sûre : aucune voix ne s’est pour l’instant élevée contre une candidature Harris au sein du parti. Harris, seule en lice pour le moment Autre signe encourageant pour la vice-présidente : aucun autre prétendant démocrate ne s’est déclaré pour l’instant. Certains gouverneurs pressentis, comme Gavin Newsom (Californie) ou J.B. Pritzker (Illinois) ont même dit qu’ils la soutenaient. À ce stade, Kamala Harris semble donc avoir le champ libre pour décrocher l’investiture démocrate. Mais la partie est loin d’être gagnée. Pour être officiellement désignée par son parti, elle devra obtenir les voix d’une majorité des 3788 délégués démocrates. Un long chemin reste à parcourir d’ici la convention d’investiture d’août 2024… The post Kamala Harris, seule candidate démocrate pour 2024 ? first appeared on ViralMag.fr.
La course à l’investiture démocrate pour la présidentielle américaine de 2024 semble bien lancée. Et pour l’heure, une seule candidate se détache : Kamala Harris, actuelle vice-présidente des États-Unis. Introduite comme la candidate naturelle par Joe Biden lui-même, qui a renoncé à se représenter, elle bénéficie déjà de nombreux soutiens de poids au sein du parti. Mais certaines figures dém...
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À un peu plus d’un an de l’élection présidentielle américaine de 2024, la course à la Maison Blanche s’annonce d’ores et déjà particulièrement serrée. Alors que Donald Trump part favori côté républicain, la candidate démocrate Kamala Harris peine encore à s’imposer, devant faire face aux profondes divisions de son camp sur les questions identitaires et raciales. Parviendra-t-elle à rassembler les siens pour éviter un nouveau coup de tonnerre façon 2016 ? Harris doit fédérer un parti démocrate éclaté Portée par “l’effet Kamala” lors de sa désignation, la colistière de Joe Biden a vu son élan quelque peu retomber ces derniers mois. En cause : la difficulté à faire converger les différents courants démocrates autour de sa candidature, en particulier sur les délicates questions identitaires et raciales qui continuent de fracturer le parti. Pour Jean-Éric Branaa, maître de conférences à l’université Paris-Panthéon-Assas et auteur de “Kamala Harris, l’Amérique du futur” : “Sur la question identitaire, Kamala Harris devra réconcilier les courants divergents du Parti démocrate pour éviter qu’un scénario similaire à celui de 2016 ne se reproduise.” Jean-Éric Branaa Un véritable casse-tête pour la candidate, qui doit à la fois séduire l’aile gauche et les minorités, tout en rassurant l’électorat modéré. Le tout avec un adversaire républicain qui n’hésite pas à jouer des divisions. Trump favori, mais pas intouchable Côté républicain, Donald Trump fait figure de grand favori pour décrocher l’investiture du “Grand Old Party”. Porté par une base électorale fidèle et galvanisée, l’ex-président conserve une emprise forte sur l’appareil républicain. Mais le magnat de l’immobilier n’est pas pour autant invincible. Empêtré dans de multiples affaires judiciaires, critiqué pour sa gestion erratique de la crise du Covid-19, il peine encore à élargir son socle électoral au-delà de ses supporteurs les plus inconditionnels. De quoi laisser une opportunité à Kamala Harris ? Un duel à l’issue incertaine À ce stade, les sondages donnent les deux candidats au coude-à-coude, avec un léger avantage pour Donald Trump. Mais comme en 2016, où les projections donnaient Hillary Clinton largement gagnante, la prudence reste de mise. D’autant que des “événements” comme une nouvelle poussée de la pandémie ou un krach boursier pourraient venir rebattre les cartes à tout moment. Sans compter les inévitables “coups” des deux camps pour tenter de déstabiliser l’adversaire. Quoiqu’il en soit, cette élection présidentielle 2024 s’annonce passionnante, avec un suspense qui devrait tenir les Américains et le monde entier en haleine jusqu’au bout. Verdict final en novembre 2024. The post La course présidentielle américaine 2024 : un match serré entre Harris et Trump first appeared on ViralMag.fr.
À un peu plus d’un an de l’élection présidentielle américaine de 2024, la course à la Maison Blanche s’annonce d’ores et déjà particulièrement serrée. Alors que Donald Trump part favori côté républicain, la candidate démocrate Kamala Harris peine encore à s’imposer, devant faire face aux profondes divisions de son camp sur les questions identitaires et raciales. Parviendra-t-elle à rassembler...
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Alors que la course à la Maison Blanche bat son plein, Donald Trump vient de faire une annonce qui risque de bouleverser le paysage politique américain. L’ancien président juge en effet “inopportun” de débattre avec Kamala Harris tant que celle-ci n’aura pas été officiellement désignée candidate par le Parti démocrate pour l’élection présidentielle de novembre prochain. Une décision stratégique qui soulève de nombreuses interrogations. Trump refuse le débat : un calcul politique ? En refusant de se confronter directement à Kamala Harris à ce stade de la campagne, Donald Trump cherche-t-il à éviter un éventuel faux pas ? Ou au contraire, souhaite-t-il laisser planer le doute sur les capacités de sa potentielle adversaire à incarner une alternative crédible ? Pour son équipe de campagne, il s’agit avant tout d’une question de principe. Il serait inopportun de programmer quoi que ce soit avec Harris car les démocrates pourraient très bien changer d’avis. – L’équipe de campagne de Donald Trump En d’autres termes, tant que la désignation officielle n’a pas eu lieu, rien ne garantit que Kamala Harris sera bel et bien la candidate démocrate. Une précaution qui en dit long sur la prudence dont fait preuve le camp républicain dans cette élection qui s’annonce d’ores et déjà serrée. Harris prête à en découdre De son côté, la vice-présidente Kamala Harris ne cache pas son impatience d’en découdre avec Donald Trump sur le terrain des idées. Grande favorite pour succéder à Joe Biden depuis le retrait de ce dernier, elle s’est dite “prête à débattre” avec son rival républicain. Mais pour l’heure, la priorité de la candidate pressentie est de rassembler son camp et d’obtenir l’investiture démocrate dans les règles. Un processus qui devrait se dérouler sans accroc majeur au vu de sa position de force actuelle, mais qui reste un passage obligé pour lancer véritablement sa campagne présidentielle. Un nouveau chapitre de la saga électorale américaine Ce bras de fer entre Donald Trump et Kamala Harris marque donc un nouveau chapitre de la saga électorale américaine. Après le renoncement surprise de Joe Biden, la recomposition du paysage politique se poursuit, avec son lot de rebondissements et de coups politiques. Nul doute que les prochaines semaines seront riches en développements, à mesure que la bataille pour la Maison Blanche s’intensifiera. Une chose est sûre : entre stratégies électorales affûtées et passes d’armes par médias interposés, la confrontation entre les deux favoris promet d’être électrique. Rendez-vous donc dans les urnes en novembre prochain pour connaître le dénouement de cette passionnante élection ! The post Trump Écarte un Débat avec Harris : La Stratégie Électorale Dévoilée first appeared on ViralMag.fr.
Alors que la course à la Maison Blanche bat son plein, Donald Trump vient de faire une annonce qui risque de bouleverser le paysage politique américain. L’ancien président juge en effet “inopportun” de débattre avec Kamala Harris tant que celle-ci n’aura pas été officiellement désignée candidate par le Parti démocrate pour l’élection présidentielle de novembre prochain. Une décision stratégi...
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La décision inattendue de Joe Biden de se retirer de la course à l’investiture démocrate pour l’élection présidentielle américaine de 2024 a créé une onde de choc à Washington. Alors que beaucoup s’attendaient à ce que le président sortant brigue un second mandat, son désistement soudain soulève de nombreuses questions sur l’avenir du parti démocrate et la dynamique de la campagne électorale à venir. Un soulagement palpable chez les démocrates Malgré le choc initial, de nombreux démocrates ont accueilli la nouvelle avec un certain soulagement. En effet, les sondages récents montraient une baisse de popularité inquiétante pour Joe Biden, laissant craindre une défaite cuisante face aux républicains en 2024. Comme l’a souligné un stratège démocrate sous couvert d’anonymat : La situation était devenue invivable pour le parti. Avec ce désistement, nous avons une chance de nous réinventer et de proposer un nouveau visage aux électeurs. – Un stratège démocrate Une opportunité pour de nouveaux candidats Le retrait de Biden ouvre grand les portes à de nouveaux prétendants démocrates. Parmi les noms qui circulent avec insistance, on retrouve la vice-présidente Kamala Harris, l’ancien maire de New York Michael Bloomberg ou encore le gouverneur de Californie Gavin Newsom. Chacun espère désormais tirer son épingle du jeu dans cette primaire démocrate relancée. Les républicains en embuscade Du côté des républicains, le désistement de Biden est accueilli avec un mélange de satisfaction et de prudence. Si certains y voient une opportunité en or de reconquérir la Maison Blanche, d’autres craignent l’émergence d’un candidat démocrate plus redoutable et difficile à attaquer que le président sortant, affaibli par les critiques. Une présidentielle plus que jamais incertaine Avec ce coup de théâtre, l’élection présidentielle américaine de 2024 s’annonce plus ouverte et indécise que jamais. Les prochains mois seront cruciaux pour les candidats démocrates, qui devront se démarquer et convaincre un électorat en quête de renouveau. Les républicains, eux, tenteront de surfer sur les faiblesses de l’administration Biden tout en proposant une alternative crédible. Une chose est sûre : la route vers la Maison Blanche sera semée d’embûches pour tous les prétendants. Les enjeux pour l’Amérique de demain Au-delà des considérations politiciennes, le désistement de Joe Biden pose la question de l’avenir des États-Unis. Quels seront les grands défis auxquels devra faire face le prochain locataire de la Maison Blanche ? Comment répondre aux attentes des Américains en matière d’économie, de santé, d’environnement ou encore de justice sociale ? Autant d’enjeux cruciaux qui animeront sans nul doute les débats de cette campagne présidentielle hors norme. En se retirant de la course, Joe Biden a pris de court l’Amérique entière. Son désistement rebat les cartes d’une élection présidentielle qui s’annonce plus passionnante et imprévisible que jamais. Reste à savoir qu...
La décision inattendue de Joe Biden de se retirer de la course à l’investiture démocrate pour l’élection présidentielle américaine de 2024 a créé une onde de choc à Washington. Alors que beaucoup s’attendaient à ce que le président sortant brigue un second mandat, son désistement soudain soulève de nombreuses questions sur l’avenir du parti démocrate et la dynamique de la campagne électorale...
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C’est officiel, la candidate démocrate à la présidentielle américaine Kamala Harris a tranché. Pour l’accompagner dans sa course à la Maison Blanche, elle a jeté son dévolu sur Tim Walz, l’actuel gouverneur du Minnesota. Un choix qui n’a pas manqué de faire réagir, à commencer par le camp adverse. L’équipe de campagne de Donald Trump s’est empressée de qualifier Tim Walz de “dangereux gauchiste extrémiste”. Mais qui est vraiment cet homme politique jusqu’ici peu connu du grand public ? Éclairage sur un choix stratégique qui ne fait pas l’unanimité. Un gouverneur plutôt modéré avec un penchant progressiste Âgé de 58 ans, Tim Walz est gouverneur du Minnesota depuis 2019, après avoir été élu de justesse face au candidat républicain. Auparavant, il a siégé pendant 12 ans à la Chambre des représentants. Au sein du parti démocrate, il est perçu comme un centriste pragmatique. Un positionnement qui pourrait permettre à Kamala Harris d’élargir son socle électoral. Pourtant, Tim Walz a aussi pris des mesures étiquetées progressistes durant son mandat de gouverneur : Légalisation de l’usage récréatif de la marijuana Renforcement des contrôles sur les armes à feu Augmentation du salaire minimum Investissements dans les énergies renouvelables Des réformes saluées par l’aile gauche du parti démocrate, mais qui font tiquer les républicains. Ces derniers n’ont d’ailleurs pas tardé à attaquer le nouveau venu. Le camp Trump dénonce “le cauchemar de tout Américain” Karoline Leavitt, porte-parole de Donald Trump, a fustigé la nomination de Tim Walz, le qualifiant de “rêve de transformer les États-Unis en Californie gauchiste”. Une référence à peine voilée à l’État d’origine de Kamala Harris, vu comme un bastion progressiste honni des conservateurs. “Tout comme Kamala Harris, Tim Walz est un dangereux gauchiste extrémiste, et le rêve de Harris et Walz de transformer notre pays à l’image de la Californie représente le cauchemar de tout Américain” Karoline Leavitt, porte-parole de Donald Trump Des propos volontairement alarmistes qui donnent le ton d’une campagne qui s’annonce agressive. L’objectif est clair : dépeindre le duo démocrate comme une menace pour le mode de vie américain traditionnel. Reste à savoir si cela suffira à convaincre un électorat de plus en plus polarisé. Les démocrates minimisent le côté “progressiste” de Walz Du côté démocrate, on s’efforce au contraire de présenter Tim Walz comme un homme du centre. Nancy Pelosi, figure influente du parti, a balayé les critiques républicaines : “Définir Tim Walz comme étant à gauche est surréaliste. Il est tout à fait au centre de l’échiquier politique.” Nancy Pelosi, élue démocrate Le président Joe Biden, qui a passé le flambeau à Kamala Harris, a lui aussi validé ce choix, saluant “une excellente décision”. Selon lui, le duo formé par Harris et Walz sera “la voix des travailleurs et de la classe moyenne”, ainsi que “les plus ardents défenseurs de nos libertés individuelles et de ...
C’est officiel, la candidate démocrate à la présidentielle américaine Kamala Harris a tranché. Pour l’accompagner dans sa course à la Maison Blanche, elle a jeté son dévolu sur Tim Walz, l’actuel gouverneur du Minnesota. Un choix qui n’a pas manqué de faire réagir, à commencer par le camp adverse. L’équipe de campagne de Donald Trump s’est empressée de qualifier Tim Walz de “dangereux gauchi...
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