12/08/2022 - Libre Feuille numéro 5

12/08/2022 - Libre Feuille numéro 5

12/08/2022 – Libre Feuille numéro 5.

Dans ce numéro 5, nous allons nous attaquer au dogme pasteurien. Vous allez certainement refuser de croire ce qui va être dit dans ce nouveau numéro de mes «libres pensées», mais je me dois de le dire, non seulement parce que des découvertes récentes tendent à montrer que l'on s'est grandement trompé sur le rôle des microbes, mais aussi parce qu'il est nécessaire de partager les idées pour provoquer le débat et faire évoluer nos connaissances.

Je ne vous demande pas de croire aveuglément ce que je vous dit . Croire aveuglément une thèse, aussi sérieuse soit-elle, est une preuve d'immaturité intellectuelle, tout autant que de la rejeter sans prendre la peine de l'étudier. Lisez ce texte, étudiez-le, pesez le pour et le contre et décidez alors de votre position vis à vis des idées présentées.

Du rôle et de l'activité des microbes

Si je vous dit que tous les accidents mortels de la route, dans 100% des cas, sont provoqués par les pompiers, vous allez me traiter de fou, me dire que je suis bon pour l'asile. Pourtant, chaque fois que nous nous rendons sur les lieux d'un accident, nous constatons toujours leur présence. Il y a une corrélation à 100% entre la présence des pompiers et la constatation d'un accident. Donc ce sont les pompiers qui sont à l’origine des accidents Nous avons ici une confusion entre corrélation et relation de cause à effet.

Il en est de même pour les maladies dites infectieuses : à chaque fois on constate la présence de virus ou de bactéries, donc ils sont la cause des maladies infectieuses. C'est le postulat le plus désastreux de toute la médecine moderne.

Bien sûr, il y a de nombreux exemples d'épidémies : la peste noire qui a décimé la moitié de la population européenne au milieu du quatorzième siècle, la grippe espagnole de 1918 qui a fait plus de morts que la guerre elle-même, les épidémies de polio, de variole et de choléra, l’épidémie de SIDA qui décime depuis plus de trente ans des millions d’êtres humains, la tuberculose, provoquée par le bacille de Koch et le cancer du col de l’utérus provoqué par le papillomavirus.

Mr Pasteur a bien observé la présence de microbes lorsqu'une maladie dite «infectieuse» se déclare et il en a déduit que les microbes étaient responsables de la maladie. De plus, Mr Pasteur pensait que les cellules du corps humain étaient aseptiques, donc sans microbes. En cas de maladie, on observe des microbes dans le corps, donc obligatoirement, ces microbes viennent de l'extérieur. C'est à partir de ces idées que Mr Pasteur mit au point sa théorie des germes.

Depuis, on a démontré que les cellules humaines ne sont pas aseptiques, elles hébergent des bactéries (mitochondries). De plus en plus de découvertes montrent par exemple que nos cellules peuvent générer des virus.

Nous savons maintenant que dans notre corps, il y a en permanence des milliards de bactéries, de virus et de champignons. Il y a dix fois plus de bactéries dans notre corps que de cellules humaines. Parmi ces bactéries, certaines sont dites pathogènes et pourtant nous ne sommes pas malades en permanence. La théorie des germes de Mr Pasteur est donc basée sur des postulats totalement faux, ce qui inclut que cette théorie est fausse.

Et pourtant la médecine moderne est toujours basée sur cette fausse théorie. Cela a entraîné la recherche d' antibiotiques pour détruire les bactéries et l'utilisation des vaccins dont l'utilité n'a jamais été démontrée scientifiquement (nous y reviendrons dans un prochain numéro). L'obsession des microbes s'est développée entraînant l'utilisation toujours plus importante de produits toxiques comme la plupart des produits ménagers et des produits d'hygiène, de médicaments aux nombreux effets secondaires, entraînant la pollution de notre environnement et l'intoxication de nos corps qui se mettent à dysfonctionner pour finalement tomber malades.

La médecine chinoise ancienne disait que les maladies se développent en deux phases : une phase froide et une phase chaude. Au cours de la phase froide le malade est en état de stress. Les causes de stress sont nombreuses : les peurs dues à différents causes, l'anxiété, les conflits, la culpabilité, se sentir inutile, être obligé de vivre d'une façon complètement opposée à ses valeurs... En cas de stress, c'est le système orthosympathique qui est activé pour assurer notre survie : la circulation sanguine est dirigée vers les organes vitaux, la vasoconstriction provoque le refroidissement des extrémités, d'où le nom de phase froide.

Pendant la phase froide, la personne s'éloigne de l'équilibre physiologique, mais sans symptômes morbides apparents si le stress est de courte durée, avec des symptômes apparents et de plus en plus graves si le stress se prolonge. Lorsque la cause du stress disparaît, le système parasympathique entre en jeu pour permettre le retour à l'équilibre physiologique, la régénération du corps. Cette phase s'accompagne, le plus souvent de symptômes visibles et de fièvre, d'où le nom de phase chaude.

Suivant la phase de la maladie, le rôle des microbes qui sont en nous, est différent. Pendant la phase froide, les microbes n'ont aucun rôle à exercer et se tiennent donc tranquilles. Par contre, pendant la phase chaude, les microbes entrent en action. Ils sont les éboueurs ( élimination des toxines, des cellules mortes ) voire réparateurs des tissus abimés. L'action des microbes sera d'autant plus forte que la durée du stress aura été longue. Une personne en bonne santé, avec une haute vitalité, fera rapidement face aux causes du stress. Mais plus l'organisme est affaibli ( intoxication par l'invraisemblable quantité de produits toxiques que nous utilisons, intoxication médicamenteuse, manque d'exercice physique, mauvaise alimentation... ), moins il aura d'énergie pour réagir. Le stress devient alors chronique entraînant de nombreux dysfonctionnements physiologiques, des symptômes morbides vont apparaître ( hypertension, problèmes cardiaques, cancers), pouvant même entraîné la mort de la personne. Le retour à l'équilibre (phase chaude) sera d'autant plus difficile et présentera de nombreux symptômes.

Il apparaît donc que les microbes ne sont pas responsables des maladies. Les microbes sont en permanence dans notre corps, même pendant la phase froide de la maladie. Ce n'est que pendant la phase chaude, la phase de réparation, qu'ils deviennent actifs pour accomplir ce qui doit être fait, ce qui entraînera plus ou moins de symptômes suivant l'importance des dégâts de la phase froide.

La présence de la fièvre pendant la phase chaude s'explique, comme l'a montré Mr René Quinton ( voir le numéro 4 des libres pensées), par le fait qu'elle stimule l'activité des cellules.

Il vous est certainement arrivé de vous faire une plaie. Vous allez la nettoyer, la désinfecter soigneusement. Ensuite, une croûte va se former. Je suis désolé, mais pour mon argumentation, je vais être obligé d'arracher votre croûte pour pouvoir examiner le liquide blanchâtre purulent qui se trouve en dessous. Savez-vous ce qu'il y a dans ce liquide ? Des bactéries, oui, je dis bien des bactéries ! Pourtant, vous aviez bien nettoyé, bien désinfecté. Pas de panique, elles ne sont pas méchantes. Ce sont des bactéries qui sont présentes en permanence dans notre corps. Elles sont là pour agir au cas où nous nous ferions une plaie. Elles sont là pour réparer les tissus, les régénérer. Vous pouvez leur dire merci.

Connaissiez-vous ce rôle d'agents de reconstruction et de réparation, joué par les bactéries ?

Les virus : pas si méchants qu'on le croit.

Les reproches qu'on fait aux virus sont très nombreux : épidémies de grippe dont la plus meurtrière en 1918, le Sida, les hépatites, les maladies infantiles (rougeole, rubéole, oreillons, coqueluche, diphtérie, méningite...), les maladies tropicales comme la dengue ou la fièvre jaune. On les accuse d'être aussi responsables de certains cancers comme celui du col de l'utérus. Ces reproches sont-ils avérés scientifiquement ? Pourrait-il y avoir d'autres responsables ? Certains faits, certaines observations peuvent nous faire douter. Vous aurez certainement du mal à admettre ce qui suit, c'est normal, vu la propagande de l'industrie pharmaceutique qui a transformé la théorie des germes pathogènes en dogme non discutable. Si vous continuez votre lecture, vous verrez qu'il y a matière à discussion.

Il est admis avec certitude que les virus sont des entités qui existent depuis que la vie est apparue sur la Terre ( nous verrons dans un prochain numéro le rôle essentiel des virus dans l'évolution ) il y a 2,5 ou 3,8 milliards d'années suivant les experts, donc bien avant l'apparition des êtres humains. Donc les virus ne sont pas apparus dans le but de contaminer les hommes mais pour d'autres raisons, notamment permettre le transport et l'échange d'ARN entre bactéries.

A noter que les bactéries existaient aussi bien avant les êtres humains. Nous pouvons même dire que sans virus et sans bactéries, l'être humain n'existerait pas ( nous démontrerons cela dans un prochain numéro). Nous sommes devant un vrai paradoxe : les virus et les bactéries qui nous ont créé sont accusés de nous tuer !

Autre argument en faveur des virus : savez-vous que nous, oui vous qui me lisez et moi-même, savez-vous que nous hébergeons en permanence environ trois mille milliards de virus ! Savez-vous que ces virus sont absolument indispensables pour notre survie, pour notre équilibre physiologique, tout comme les bactéries que nous hébergeons.

Il y a des milliers de sortes de virus. Seule une petite minorité, soit une ou deux dizaines d'entre eux, est considérée comme pathogènes par les virologues, mais nous verrons que même cela est faux..

Il y a une nécessité a étudier plus sérieusement les virus, à essayer de les comprendre, à apprendre à vivre en bonne intelligence avec eux.

Qu'en est-il de la petite dizaine de virus considérés comme pathogènes par les virologues ?

Pour notre démonstration, nous allons prendre comme exemple l'épidémie de grippe annuelle. Premier constat, si la contamination par le virus était responsable de l'épidémie, pourquoi le pourcentage de personnes touchées est-il si faible et pourquoi il n'y a pas d'épidémie en été ?

Deuxième constat, pourquoi dans une même communauté (famille, lieu de travail, maison de retraite) où il y a une certaine promiscuité qui, d'après les virologues, favorise la contamination, certains membres de la communauté ne sont pas touchés bien qu'ils soient au contact du virus comme les membres touchés ?

La réponse est que seules les personnes affaiblies sont touchées. Les causes de la maladie sont l'intoxication du corps physique et le déséquilibre psychologique du aux différentes causes de stress. Plus le déséquilibre est important, plus la maladie sera grave.

En automne-hiver, du fait du manque de soleil, de lumière, de chaleur, l'organisme est plus rapidement affaibli. De plus, c'est le retour au travail, les soucis, les horaires à respecter, le stress. Au fil des mois, le corps s'affaiblit. Il entre en déséquilibre et des dysfonctionnements physiologiques apparaissent. C'est alors que l'on tombe malade. Le froid, surtout le passage des locaux surchauffés au froid du dehors, met nos muqueuses respiratoires à rude épreuve. Suivant l'intensité de votre affaiblissement, ce sera un rhume, une bronchite, une pneumonie, une grippe. Votre corps en tombant malade, vous dit stop, il est temps de faire une pause. C'est cela qui est à l'origine de la fameuse épidémie de grippe de l'hiver 1918-1919. La population sortait de quatre années de guerre. Elle était en état de stress permanent, mal alimentée, fatiguée, terrorisée, endeuillée. Les soldats qui avaient survécu à la guerre avaient respiré les gaz toxiques, utilisés comme arme de guerre, très irritants pour les muqueuses respiratoires. C'est pourquoi cette année là, beaucoup de jeunes adultes sont décédés, non pas à cause d'un virus, mais à cause de leur affaiblissement. L’armistice signé le 11 novembre 1918 fut le signal de relâchement généralisé et simultané pour des millions de personnes. C’est à ce moment-là que le système parasympathique de tous ces gens a été activé simultanément, les faisant entrer de force dans cette fameuse phase chaude ! Ce qui donne l’illusion d’une épidémie où tous auraient « attrapé » le même virus, alors que ce phénomène ne vient que de la simultanéité d’un événement spécifique : la fin de la guerre…

Nous verrons dans les prochains numéros que les maladies dites à virus comme le sida, la variole, l'hépatite... peuvent s'expliquer sans mettre en cause un supposé virus. Rappelons par exemple que le virus du sida n'a jamais été isolé et purifié. Il en est de même du SRAS COV2 soit disant responsable de la covid.

Je vous rappelle qu'il y a trois mille milliards de virus qui sont installés en nous, vingt-quatre heures sur vingt-quatre, sept jours sur sept! La virologie classique les décrit d’ailleurs comme non pathogènes ou non virulents. Et quel rôle jouent-ils, lorsqu’ils deviennent actifs? Ils réparent les tissus, les reconstruisent, les régénèrent ( phase chaude)

Conclusion

On ne peut pas, chaque jour, respirer un air pollué, boire une eau polluée, avoir une alimentation polluée, être soumis à un stress permanent et s'étonner ensuite d'être malade un jour. Il ne sert à rien d'accuser des bactéries ou des virus alors que nous sommes les seuls responsables de nos maladies. Changeons notre mode de vie pour retrouver l'harmonie de notre corps et de notre esprit.

Il existe une réelle coopération entre notre corps et les microbes. Vu le nombre impressionnant de microbes qui nous habitent, certains virologues contemporains proposent même de les considérer comme un système à part entière, le système microbien, au même titre que nous possédons un système sanguin, un système immunitaire ou un système respiratoire. Il apparaît de plus en plus clairement que ce système microbien est commandé et contrôlé par le système nerveux autonome, en fonction des besoins de l’organisme qui cherche à se rééquilibrer. Les microbes présents dans notre corps ne seraient donc plus à considérer comme des agents extérieurs et indépendants, mais bien comme des composantes à part entière de notre réalité physiologique. Le rôle du système immunitaire n'est pas de lutter contre les microbes, mais de réguler leur population afin qu'il y ait un équilibre entre eux et de les rendre actifs quand cela est nécessaire.

Tout cela peut surprendre, pourtant il est absolument nécessaire de reconsidérer les microbes : ils sont les premiers êtres vivants apparus sur la Terre et ils sont les briques qui constituent tous les organismes vivants (végétaux, animaux dont bien sûr les humains) qui peuplent notre planète. Si nous continuons à combattre les microbes à coup d'antibiotiques, de détergents, d'antiseptiques et de nombreux produits toxiques, nous allons au devant de catastrophes.

Nous verrons dans les prochains numéros le rôle des microbes pour le climat, les paysages et la biodiversité.

Je vous souhaite de bonnes vacances. A propos de vacances, savez-vous que les mers et les océans sont les milieux les plus riches en bactéries et en virus. Vous n'êtes pas seuls quand vous vous baignez !

Prochain numéro vers la mi-septembre.

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