Agent littéraire, gare aux pièges !

Une petite épopée de gogo qui voulu bien croire. Voici comment je me suis trouvé amputé d’un peu d’argent et me suis ravisé sur ma quête d’un agent littéraire.

 

Poursuivez donc cette lecture si vous avez un peu de temps pour vous interrompre dans cette démarche, vous apprendrez pourquoi entretenir votre vigilance dans vos relations avec Madame Biava Laurence et d’autres à se dire professionnels dans des termes proches.

 

 En quête d’un agent littéraire, je viens de vivre une expérience enrichissante à bien des égards.

Comme nombre de mes semblables, j’ai des compétences, des appétences, des capacités d’apprentissages, et de réalisation. De la même manière, j’ai des limitations. Parmi elles, se trouve un manque d’intérêt plus qu’éprouvé à convaincre de s’intéresser à mes propositions, à proposer ce qui va plaire d’emblée communément. C’est tout naturellement que je me suis tourné vers les professionnels de la mise en relation entre auteurs et éditeurs pour tenter de placer une de mes propositions pour laquelle s’était forgé en moi, l’idée que sa portée méritait de sortir du lectorat confidentiel que j’ai déjà su faire apparaître pour de précédents ouvrages.

En effet, l’autoédition me convient tout à fait pour la publication de poésie, qui même promue par des professionnels du livre, est sauf exception, sur le marché de la poésie contemporaine, limité à un lectorat de petite dimension. Il se pourrait que dans ce cadre, je parvienne dans mon peu de compétence à promouvoir un livre, à toucher autant de lecteurs potentiels qu’un éditeur. Mon peu d’appétence à ce travail laissera toujours la portée du possible en la matière pour moi en deçà du possible d’un professionnel. Mais, je me donne peu de peine à rechercher un éditeur pour la poésie. Me lira qui voudra et pourra ou l’inverse.

Dommage ! Car, j’aimerais à collaborer aussi par ce prisme, mais qui sait ?

 

Un premier roman d’une structure singulière pour l’évocation provocante du soin à l’amour dans nos relations, que j’ai jugé suffisamment abouti pour le proposer à lire, mérite selon moi qu’un professionnel du livre le porte. S’entame alors la quête de l’éditeur qui le lira jusqu’au bout, envisagera sa publication comme hors collection ou au sein d’une collection existante. Des recherches, quelques envois puis, 2 mois plus tard me parviennent les premières réponses négatives. Deux d’entre elles m’encouragent par le contenu personnalisé de leurs réponses. En parallèle, je vis d’autres activités, d’écritures et d’autres pans de ma vie. Sur le constat du temps à investir pour cette quête d’un éditeur et de la combinaison compétence et appétence en la nature de la démarche, apparaît alors qu’un agent littéraire serait un allier de choix sur ce chemin.

Bien vite, j’apprends que ce métier est boudé en France et exercé essentiellement à tirer le meilleur profit de droits étrangers et audio-visuels, qu’il existe un collectif des agents et, de grandes agences locales ou internationales et  quelques indépendants. Je me rends vite compte que la quête d’un agent ressemble fort à celle d’un éditeur. Une sorte d’impasse accueille mon découragement.

C’est dans cet état qu’une nouvelle recherche sur un réseau social orienté pro fait tomber quelques noms de personnes travaillant comme agent littéraire et / ou artistique en agence ou de façon indépendante. Sur ce réseau, je suis larve de petit scarabée. J’en contacte quelques uns qui me semblent susceptibles de s’intéresser à mon écrit pour travailler avec moi. Une Laurence me répond.

 

Un échange de message, des réponses à mes questions suivant la visite de son site Internet et la présentation de son fonctionnement en quelques points :

- " Je ne travaille pas comme les autres agents, ce qui implique que je ne me rémunère pas sur les contrats signés mais avec un forfait qui m’engage à travailler pour votre manuscrit pendant un an sauf à lui avoir obtenu une publication avant " ;

- " Vous m’envoyez votre manuscrit que je détermine si je souhaite le porter et si oui, voici comment nous procèderons :

 

- Je vous fais un devis qu’il faudra me renvoyer signé avec la mention « bon pour accord » accompagné d’un acompte d’au moins 150 € par virement ou par chèque ;

- Je ne peux pas établir de contrat, vous expliquerai pourquoi un jour où nous prendrons plus de temps pour mieux nous connaître ;

- À partir de là, je relis 2 fois votre manuscrit pour rédiger une synthèse avec des pistes d’améliorations au besoin, et l’accompagne d’une liste d’une trentaine d’éditeurs pressentis pour votre roman ;

- Quand tout est prêt, le manuscrit, la synthèse et la lettre aux éditeurs, je procède à un premier envoi à une liste d’éditeurs dont nous aurons convenus ;

 Ensuite, c’est un travail de relance puis un second envoi au besoin. "

 

 

Avec un forfait à 650 € dans un plateau de la balance et dans l’autre, tout le temps à passer en recherche pour essayer de cibler les maisons les plus susceptibles d’accueillir au mieux ce premier roman, j’ai opté pour tenter le coup malgré l’absence d’engagement contractuel et mes ressources limitées. Fin octobre, le courrier par avec le devis signé en même temps qu’un virement bancaire de 250 € pour des versements équilibrés par tiers comme convenu au téléphone et sur le devis. Le 2 novembre, Laurence reçoit le manuscrit, le virement, et conformément à son injonction verbale : « C’est moi qui vous appellerai, quand j’aurais quelque chose à voir avec vous, je suis débordée, c’est mieux ainsi », je laisse passer un peu de temps.

Mi novembre, un appel auquel je n’ai pas pu répondre, avec un message téléphonique confus où je comprenais des difficultés financières et la gêne de devoir solliciter ses clients récents pour l’urgence de sa situation présente. Quelques quarts d’heure plus tard alors qu’elle avait indiqué rappeler le lendemain, nouvel appel avec plus de détail sur la demande toute aussi confuse que sur le message répondeur. Ma réponse à cette demande légitime comme le sont toutes les demandes fut un refus, d’impossibilité et de principe à ne pas verser le deuxième tiers avant que le travail n’ait progressé. Ce en dépit d’un discours vantant le mérite de mon écrit, le peu de retouches à lui apporter et une idée déjà pour sa maison d’édition qui serait assurément motivée.

Le 18 novembre, des nouvelles d’elle par un courriel qui m’invite à une soirée pour la remise de 2 prix dont j’ignorais l’existence. Aveugle, je ne peut lire la pièce jointe qui est une photo, et lui demande de m’indiquer les informations du document dans le corps du message. Ce qu’elle fait en précisant qu’en l’absence de sponsor pour l’évènement, elle se devait de demander 20 € par participants, mais que ce sera une occasion de rencontrer nombre d’éditeurs et de personnalités du monde littéraire. Je lui réponds en substance que je suis à Nantes, que la soirée est à Paris, qu’aveugle, j’ai besoin de me sentir en grande confiance pour m’en remettre pour des besoins élémentaires de ma personne aux mains de quelqu’un dans un lieu où je manquerai de repères en tous points, et qu’il m’étonnerait qu’il soit demandé à tous les participants de contribuer au financement de la soirée en plus de tous les frais d’hébergement, transports et de bouche pour lesquels rien n’était prévu à les diminuer. Elle s’excuse et assure répondre dès que possible aux questions que je lui pose.

Premier grand questionnement sur la posture professionnelle de la dame qui passe plus de temps dans nos échanges à parler d’elle qu’à s’intéresser à son client et n’a su à ce moment, que réclamer des sous.

 

12 décembre, un courriel avec des pièces jointes : le manuscrit mis en forme avec quelques suggestions de modifications mineures, une synthèse et une liste d’éditeurs pressentis. Le tout constituant un emballage pour de pauvres excuses à propos du retard de son travail (2 semaines dont 8 jours pour cause avancée de Covid). Bon, nous semblons avancer. Dans la circonspection d’étonnements mais, avancer. Si peu de modifications à apporter à mon manuscrit, c’est flatteur mais étonnant, j’entends parler de toutes parts de corrections importantes avant publication, et m’attendais qu’elle m’en demande plus avant d’envoyer. Une synthèse faite d’envolées flattant mon travail. Là-dessus, je m’étonne encore mais, ne me sentant aucunement compétent dans les démarches de réseaux en général, et s’il s’agit d’avancer de ma personne ou de mon travail en particulier, j’admets que c’est peut-être ainsi que l’on devrait s’y prendre pour donner plus de chance à un manuscrit d’être accueilli au mieux. Un nouvel étonnement sur la liste des éditeurs. Une douzaine que j’avais déjà démarché moi-même m’a conforté dans l’idée que je ciblais peut-être assez bien, une autre douzaine a allumé des feux rouges clignotant sur le tableau des vigilances, s’agissant de maisons à comptes d’auteurs ou d’éditions dites participatives, que je lui avait explicitement indiqué vouloir éviter et qui, pour son « métier » devraient être écartées de ses cibles. Je lui en fais part.

 

17 décembre, je lui adresse ma sélection dans sa liste de 13 éditeurs à démarcher ainsi qu’elle me l’a suggérer pour un premier envoi au plus vite. Lui indique les éditeurs déjà démarchés par mes soins avec les réponses reçues et négatives of course, et l’interroge à nouveau sur des maisons d’éditions qui ne me semblent pas si claires dans leurs lignes éditoriales et leurs manières de travailler. En retour, elle m’indique immédiatement qu’elle me contactera le lundi suivant.

Cet appel aura lieu début janvier sans plus d’explication que les vacances scolaires et la vie de famille pour excuser son retard sur le délai qu’elle avait indiqué d’elle-même. Elle m’y demande de produire une sorte de mini biographie qu’elle adressera en même temps que le manuscrit et la synthèse qu’elle va reprendre. Pas chaud sur le principe d’utilité à ce stade d’une biographie, je me pli à l’exercice tout de même puisque j’avais déjà eu cette demande par des formulaires ou depuis des pages d’éditeurs qui l’exigeait également. Tout est prêt pour un « premier envoi » le 8 janvier. Selon elle le temps presse, la rentrée littéraire bas son plein et ce serait le moment. Selon moi, nous n’avons que trop tardé avant, et j’ai tant entendu des éditeurs se plaindre de crouler sous les manuscrits à chaque rentrée littéraire. Enfin, j’avais déjà mis 250 € et passé un peu de temps dans cette aventure et me montrais curieux de voir ce que cela pourrait bien donner in fine.

Je suis assez joueur et surtout quand j’ai déjà misé !

 

9 janvier, envoi d’un courriel avec mon adresse en copie cachée comme celles de chaque destinataire éditeur. Pas de surprise sur les pièces jointes et, les autres destinataires sont biens masqués. Nous sommes un dimanche, je suis sensé effectuer le deuxième virement, qui semble urgent pour Laurence, le jeudi suivant. Je retrouve ma chérie après plus de 3 semaines sans nous voir dans nos habitats un peu distants et nos modes de vies différents et son covid qui lui rendrait son emploi. Bref, j’ai la tête, le cœur et le corps tourné vers bien plus de plaisir que celui de me questionner encore sur cette relation qui pourrait être professionnelle. Le mercredi, me revient cette histoire de virement, j’en parle à ma chérie qui a suivi d’un peu loin par mon récit de certaines étapes où rien n’a installé une véritable confiance. Avisée, elle m’interroge sur la preuve de l’envoi avant de remettre de la tune qui ne déborde pas de mes poches. Joueur, j’avais accordé de la confiance quand rien n’en posait, naïf sans doute un peu, j’étais prêt à relancer pour voir. Prudente, elle m’invite tout de même à lui demander la preuve par un transfert du courriel de son dossier des messages envoyés, que je vois les destinataires. Alors je me range à sa sagesse et, m’attendant à ce que cela ne soit pas si simple, je guette la réponse. Un collage de ce qui ressemble à l’entête d’un message envoyé se glisse dans un courriel de réponse par Laurence qui me liste les éditeurs auxquels elle a remis en main propre, envoyé par la poste et donc par courriel.

Ceci n’est encore que parole et non un début même de preuve de l’avancement de son travail.

Laurence m’assure ne pouvoir transférer de messages depuis son dossier des messages envoyés, sans que le nouveau message ne masque à nouveau les adresses des destinataires en copie cachée. Je lui assure de mon côté, non sans l’avoir vérifié en testant car je n’ai pas l’habitude de ces formalités technologiques, et ai d’autres projets pour la soirée, que cela se peut en transférant en pièce jointe. De réponses en réponses qui assombrissent l’humeur de cette soirée en amoureux, Laurence se froisse du manque de confiance que je lui accorde. Des appels auxquels je ne souhaite pas répondre, préférant le temps de l’écrit où les esprits se posent. Elle m’invite à nouveau à juste lui faire confiance, fâchée qu’elle se trouve de ce que je ne viendrais pas lui apprendre à se servir de son client mail ou de son webmail qu’elle assure maîtriser. Fin des hostilités, je l’enjoins pour finir à défaut, de m’envoyer les copies des factures de reprographies et d’envois postaux pour lesquels elle doit bien avoir des reçus, comme pour les dépôts en main propre.

En l’absence de cette preuve et de la précédente, aucun virement ne sera possible.

 

Le 25 janvier, 12 jours après ces échanges houleux, arrive un message ou Laurence ignore mon prénom en m’adressant son bonjour, et m’annonce sa décision faisant suite à une « mûre réflexion », de ne plus travailler pour moi. Elle me demande un RIB pour me rembourser les 250 € versés en acompte, et en profite pour brosser mon portrait où vous verrez assurément les traits d’un naïf comme je me suis montré je crois s’il faut en juger :

« Je ne peux en aucun cas travailler avec quelqu'un comme vous, aussi procédurier, soupçonneux, complexe, et compliqué, qui se noie dans ses logorrhées insipides, et passe son temps à épingler quelqu'un qu'il prend pour une ignare, quelqu'un à qui il demande toujours des preuves, à qui il n'accordera jamais sa confiance, quoi qu'elle fasse. Je connais parfaitement mon travail, et la façon de l'envisager, depuis toutes ces années où je l'exerce, et je n'ai nul besoin qu'on vienne mettre en doute mes méthodes, qui, depuis longtemps, ont fait leurs preuves. Je sais aussi parfaitement le fonctionnement de ma messagerie. J'ai d'autres clients autrement plus chaleureux et à l'écoute, à qui j'ai envie de consacrer un temps infini, plutôt que de perdre ce temps à lire vos procès d'intention, dans lesquels je sens un contrôle inadmissible sur mon travail et uns suspicion permanente sur mes actions d'intermédiaire. Gardez donc vos protocoles et vos procédures qui sont à cent lieux de la littérature. Restons en là, je vous en remercie, et trouvez quelqu'un d'autre. Les 250 euros repartent par chèque ou par virement dès que vous m'avez communiqués ou un RIB ou une adresse postale. »

Elle conclut avec un cdt de bon aloi.

 

Un peu piqué par le culot de la dame, sur la logorrhée insipide en particulier, quand c’est plutôt elle qui en souffre, de logorrhée, que je ne qualifierai pas d’insipide car, elle en dit tant à son sujet, que je me fends d’une réponse en joignant mon RIB et, la preuve que l’on peut transférer en pièce jointe depuis les dossiers des messages envoyés de son webmail. J’ai en effet testé son webmail depuis une adresse de mon fournisseur d’accès à Internet, adresse que je n’utilise jamais, et dont le webmail s’est montré accessible aux personnes aveugles par chance. J’avais pu effectuer le transfert vers 2 adresses personnelles qui étaient lisibles dans la pièce que je joignis. Je lui ai même offert la rédaction d’un tutoriel tenant en quatre point dont un expliquant la démarche à éviter car ne fonctionnant pas.

 

31 janvier, au lieu d’avoir gagné du temps que je comptais consacrer aux écrits que j’ai sur l’établi, du temps était passé sans que je m’occupe de promouvoir ce manuscrit, mais, je devais à présent reprendre son travail éditeur par éditeur. En effet, si elle avait bien envoyé les manuscrits, je devais obtenir des éditeurs que mes coordonnées leurs soient associées au lieu des siennes. Si elle ne les avait en fin de compte pas expédié, je devais le savoir.

- Reprendre la confusion des informations contradictoires et complémentaires indiquées sur les divers modes d’envoi ou de dépôts ;

- Dénicher les coordonées téléphoniques si possible de chaque maison d’édition indiquée ;

- Passer les barrages des secrétariats lorsqu’il s’en trouverait ;

- Expliciter la demande sans paraître dénigrer pour ne pas ternir mon image et obtenir le changement des coordonnées associées à mon manuscrit ;

- Relancer Laurence en demandant une date proche pour recevoir le remboursement qu'elle avait spontanément annoncé dans la lettre de rupture de nos relations. Elle indiquera le 15 février plus fâchée encore en concluant : « pas cordialement ».

Telles seraient les tâches de cette mission qui s’est déroulée mieux que je ne l’augurais en l’initiant.

 

 

Je dois à la facilitation de ce travail, remercier Laurence dont voici le bilan tel que je suis en mesure de le dresser aujourd’hui. Preuve qu’il y avait eu travail tout de même !

Bilan au 18 février 2022 :

- Aucune remise en main propre n'a eu lieu sur les 4 annoncées.

 

- Pour les envois dits par courrier postal :

1 jette tous les manuscrits papiers conformément aux indications de son site ;

1 confirme n'avoir rien reçu après avoir pris la peine de vérifier ;

1 troisième a trop de retard dans l'enregistrement des manuscrits pour me répondre à ce jour.

 

- Pour les envois par courriels :

2 maisons confirme la réception et ont remplacé ses coordonnées par les miennes ;

1 maison m'indique que l'adresse courriel n'était pas la bonne ;

1 me demande d'envoyer par la poste car ne reçoit pas par courriel ;

1 me demande de renvoyer sans prendre le temps de vérifier ;

1 en attente de confirmation.

 

Je lui ai envoyé ce bilan le 19 février en ironisant quelque peu sur la fiabilité de sa personne à ne tenir aucun engagement puisque le virement ne m’était pas parvenu alors qu’un tel bilan le justifiait amplement.

 

Aujourd’hui, je détiens toutes les preuves que cet article ne présente aucun caractère diffamatoire pour avancer l’ensemble de mon propos et suis désireux de mettre en garde toutes personnes qui souhaiterait faire appel à ses services et lui accorder un brin sa confiance. Laurence se dit autrice soit, agent littéraire faut voir, elle a peut-être déjà travaillé correctement ou le fera un jour, présidente de prix littéraires qu’elle a créés, animatrice d’ateliers d’écritures dont je ne souhaite rien savoir. Elle gardera sans doute 250 € que j’eus pu employer mieux, et pour elle les réponses aux nombreuses questions que j'ai pu lui adresser. Elle m’aura donné d’entendre au téléphone, des éditeurs avec qui je n’aurais probablement pas été en contact direct sans une réponse positive sur mon manuscrit, et d’apprécier ces échanges humains et simples. J’espère ne pas avoir nuit à la lecture qui sera faite de mon écrit en adressant la demande que je me suis trouvé contraint de formuler auprès d’eux.

 

Je poursuis mes travaux d’écriture et viens de trouver une nouvelle bêta lectrice pour le manuscrit en question ici. Vais probablement le réécrire avant de nouveaux envois aux éditeurs.

 

Je vous remercie de m’avoir lu jusqu’ici et vous souhaite de belles aventures littéraires et éditoriales.

Florence LESAVRE

Passeuse de mots, j'ai à cœur de transmettre. Et maintenant, Passeuse de Rêves dans le groupe des lectrices de l'association CLEF des Familles.

2 ans

Courageux et généreux de ta part, #Lyncée, de prendre le temps de cette mise en garde utile et justifiée. Les arcanes du monde de l'édition sont parfois difficiles à cerner. C'est à certains égards une nébuleuse où des acteurs connexes évoluent en eau trouble, nuisant ainsi à l'image d'une profession dans laquelle, fort heureusement, des puristes continuent à creuser un beau sillon. Je te souhaite de continuer à semer et de trouver le bon.

Laurent Cailleton

Auxiliaire de vie sociale chez DAY AFTER DAY SERVICES

2 ans

Il est parfois bon de savoir publiquement faire ce genre "d'états des compétences" et je t'admire de le faire ici.

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