Association Aide Entreprise au service des entrepreneurs en difficulté
Depuis plus de 10 ans Brigitte Vitale consacre sa vie à la défense des entrepreneurs qui subissent une injustice notoire de la part d'une Justice Commerciale « hors sol ».
Retrouvez-la sur le site de l'OSDEI.
En effet, même si certains ont commis des « erreurs », un grand nombre d'entre-eux ont été propulsé dans un « monde », partiellement, pour le moins malhonnête et même osons le dire « mafieux » où le copinage était de rigueur et le demeure encore, même si cela est à une échelle moins importante aujourd'hui.
Il y a 20 ans, le rapport du député d'alors, Arnaud Montebourg s'est heurté au silence complice d'une partie de la classe influente, qui souhaitait mettre une « chape de plomb » concernant ce sujet dramatique pour des « entrepreneurs » qui avaient cru à une éthique minimum, concernant cette justice « consulaire ».
Aujourd'hui, après deux rencontres à l'Assemblée Nationale avec Sylvain Waserman, et la présence du Vice-président de cette même Assemblée parlementaire à la Conférence Débat « 360º autour de l'Entrepreneur », le 10 juillet dernier à Strasbourg, il est raisonnable d'espérer une évolution des rapports entre ces entrepreneurs et leurs interlocuteurs que sont les mandataires judiciaires.
Conférence réunissant des membres venant de la France entière, pour exprimer leur « douleur » et leur volonté d'agir pour une juste reconnaissance de ce que l'on leur à fait subir, et en particulier détruire leur « vie ».
La prochaine rencontre avec Sylvain Waserman, étant programmée pour le 11 septembre prochain dans cette Institution de notre République.
Cela dépendra de la volonté de certains de ceux-ci, qui, si ils ne l'avouent pas, savent qu'un certain nombres d'entre-eux ont « fauté », mais aussi, de parlementaires qui prendront connaissance de la gravité de cette situation pour des personnes qui n'hésitent pas devant cet immense gâchis, à mettre un terme à leur existence.
Sans compter les conséquences sur le désir d'entreprendre et la destruction de familles que cela génèrent et dont notre pays à besoin.
Aujourd'hui, des journalistes s'y emploient, tel Kai Littmann d'Eurojournalist, et Médiapart permet d'avoir une audience qui nous espérons en entraînera d'autres à mettre au grand jour ces dysfonctionnements.
Est-on dans une France, mon pays, où la seule alternative, pour se faire entendre est de « casser », ou d'être conduit à « disparaître » pour ne plus souffrir ?