Business Angels, Investisseurs et Patrons de Start-up : ce message est pour vous !
Ces derniers temps, je me suis intéressé aux start-up.
J’ai constaté qu’il existait beaucoup d’aides, étatiques ou privées, qui soutiennent le fondateur, pour créer sa société, lever des fonds, effectuer quelques tâches administratives et financières.
Par contre, qu’en est-il du suivi et de l’accompagnement, sur le terrain et au quotidien, du ¨nouveau patron¨ ?
Les problèmes des sociétés comme les start-up, c’est le manque de structure, au niveau de l’entreprise, et l’absence d’expérience du ou des dirigeants !
Pas d’organisation claire, souvent pas de comptabilité, pas de gestion de trésorerie, le fondateur doit tout faire, etc... S’il est occupé sur une tâche plus complexe, plus personne ne va voir les clients ! Si personne ne va voir les clients, les effets s’en ressentent sur le chiffre d’affaires, etc..
S’il n’a pas d’argent, il doit en chercher et cela lui prend tout son temps sur de longues périodes et s’il a la chance d’en avoir, souvent, il le gère mal !
Imaginez, comme un nouveau patron, qui sort de l’école, peut se sentir démuni devant les problèmes à régler, de surcroît dans une entreprise qui débute. Il faut solutionner les problèmes : juridiques, structurels, financiers, de management, du personnel, du marketing/vente, des achats, des négociations, etc.. Avec souvent un besoin d’argent permanent et un produit encore au R&D. Sans parler du fait que s’il se trouve dans les 80% des sociétés qui démarrent avec une idée et qui doivent changer en cours de route (c’est très fréquent), faute de marché. Imaginez les difficultés.
En ce qui concerne les relations entre les investisseurs et la start-up, chacun défend ses intérêts, qui ne sont pas forcément les mêmes simultanément.
En effet, la start-up pense à ses ventes et à ses produits, à se développer en somme. Quant à l’investisseur, il pense à son argent. Normal, étant donné qu’il ne sait jamais, à l’avance, lequel de ses investissements lui rapportera de quoi couvrir ceux qui lui coûteront.
Cela peut créer quelques divergences et frustrations de part et d’autres.
Ce n’est pas profitable au business !
L’autre souci des start-up : le fondateur est, dans la majorité des cas, un bien meilleur technicien que manager. Il connaît, en effet, sur le bout des doigts son produit et ses applications mais se trouve complètement largué en ce qui concerne la gestion de la société. Ni le management, ni les Ressources Humaines, ni la Finance, ni la Supply Chain ou la Production ne lui parlent vraiment.
Comme il doit s’en occuper pour que cela fonctionne, il le fait dans la douleur et avec des résultats plus que moyens. Pire, cela lui mobilise une telle quantité de ressources qu’il en vient à délaisser son produit et ses clients, provoquant ainsi la débâcle de l’entreprise.
Ce qui fait que seule une start-up sur 5 passe le cap des 3 ans !
Pour l’entrepreneur c’est un échec cuisant et pour l’investisseur la perte de son capital.
Le paradoxe, de cette situation, est que du côté produit, ce dernier avait pourtant un marché, du potentiel et des clients.
Pourtant, il existe une solution permettant à l’investisseur de sécuriser son capital, de diminuer le temps de sa mise à disposition et de donner à la start-up toutes les chances de réussir !
Cette solution est un accompagnement de l’entreprise, dès le début de ses activités. Ceci facilite la mise en place de la structure et des outils de gestion nécessaires à son bon fonctionnement.
Il s’agit en fait de structurer l’entreprise avec une stratégie claire, une organisation adéquate, un budget, une gestion financière, un tableau de bord, les bonnes actions marketing, les manières d’acheter, etc…
Le fait de faire cette mise en place avec le dirigeant, le rassure et le soulage. En plus, il y a un gain de temps énorme et une forte diminution des risques et des erreurs.
Ce qui fait que la société a toutes les chances de se développer mais en plus elle le fera beaucoup plus rapidement que si le fondateur avait été obligé de tout découvrir et apprendre par lui-même.
Ainsi le Business Angel peut sortir de son investissement plus rapidement (en 3 ans au lieu de 5 ans par exemple), avec une plus value. Il a donc diminué le risque et le capital tourne plus vite, ce qui lui permet de financer d’autres entreprises.
Côté start-up, elle met toutes les chances de son côté pour assurer sa pérennité.
A méditer sérieusement ! On peut le faire ensemble.
Christian Moser +4178 688 4608, christian.moser@bluewin.ch
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8 ansTout à fait!