Ce qu'il ne fallait pas louper cette semaine
#1 De la vente classique au Modern Selling : quatre prérequis qui conditionnent la réussite de votre transition
Les entreprises du B2B qui ratent le train du Modern Selling sont probablement condamnés à l'obsolescence. Faire la politique de l'autruche face à l'évolution des attentes des acheteurs, à la digitalisation des parcours et à la montée en exigence des cibles professionnelles, c'est menacer sa compétitivité, puis sa pérennité.
Voici quatre prérequis qui conditionnent la réussite de votre transition de la vente classique au Modern Selling.
#2 Management commercial : les trois principales structures des équipes de vente B2B
Les structures des équipes de vente ne relèvent pas simplement du formalisme de l’organigramme. C’est le moteur qui détermine la rapidité et l’efficacité avec lesquelles les opportunités sont converties en résultats concrets.
Voyons les trois principales structures des équipes de vente B2B, leurs avantages et leurs limites.
#3 Prise de parole en public : 5 règles d’or pour préparer vos interventions
Parmi les soft skills qui pèsent dans une carrière professionnelle, la capacité à délivrer un discours en public occupe sans doute une place de choix. Selon une étude signée Robert Half, la qualité de la prise de parole en public est en effet la compétence la plus décisive pour les professionnels, devant la capacité de gestion et l’aptitude à résoudre les problèmes.
Vous intervenez lors du BtoB Summit, les RIM ou un autre événement au S2 2024 ? Vous souhaitez maximiser l’impact de vos discours en interne pour inspirer votre audience ?
#4 Le marketing est dans le flou : les décideurs n’ont pas confiance en leurs KPI
Une étude récente signée Forrester révèle un chiffre alarmant : 64 % des directeurs marketing B2B déclarent « ne pas avoir confiance » dans les analyses de performance sur lesquelles ils basent leurs décisions.
#5 Trois conseils actionnables pour réussir le coaching des commerciaux dans le B2B
La formation est une activité ponctuelle, mais le coaching, lui, est continu. Pour que l’organisation commerciale de l’entreprise soit favorable à la montée en compétences progressive, ces deux piliers doivent être complémentaires et œuvrer à la fois pour le développement des commerciaux et leur fidélisation.
Voici trois conseils immédiatement actionnables pour que le coaching de votre force de vente passe un cap et serve véritablement la performance globale de l’entreprise.
Recommandé par LinkedIn
#6 75 % des marketeurs B2B misent sur « la créativité audacieuse» pour stimuler la conversion
Dans une étude réalisée par LinkedIn, la majorité des professionnels du marketing B2B affirment que la « créativité audacieuse », qui sort des sentiers battus, leur a permis d’améliorer l’engagement envers la marque et de stimuler les conversion.
#7 L’infographie dans le B2B : un format puissant à chaque étape du cycle de vente
L’infographie est un type de contenu marketing qui représente des concepts et des données d’une manière visuellement attrayante.
C’est un format de synthèse qui permet de mieux comprendre un produit, un service, un secteur d’activité, un marché ou l’état des lieux d’une pratique ou d’une technique.
#8 L’ABM, un framework pour adopter le paradigme de la valeur potentielle de chaque compte
Il ne fait aucun doute que l’Account-Based Marketing (ABM) a prouvé son succès dans le B2B. Selon Forrester, 99 % des entreprises qui disposent d’une équipe ABM en interne déclarent que leur programme génère un retour sur investissement (ROI) supérieur à celui des autres tactiques marketing.
Mais l’ABM a une autre vertu : c’est un excellent framework pour passer de la prospection tous azimuts à un paradigme plus rationnel qui priorise la valeur potentielle de chaque compte pour maximiser la rentabilité.
#9 Création de contenu B2B : trois points de vigilance sur l’IA
C’est indéniable : les chatbots d’Intelligence Artificielle générative (genAI) comme ChatGPT, Gemini ou encore Claude sont très utiles aux équipes marketing, chargées des tâches créatives, notamment au niveau de la création de contenu.
Pour tirer profit de cette technologie disruptive, les marketeurs doivent bien cerner son périmètre d’action : l’IA est un assistant, un copilote, à qui l’on ne peut pas confier des missions qui sortent de ce scope.